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Schalbach, une charmante ville de la Moselle en Lorraine, regorge de trésors à découvrir. En flânant dans ses ruelles pittoresques, imprégnez-vous de la tranquillité de ce village typiquement lorrain. Profitez des nombreuses activités de plein air dans la région environnante : randonnée, vélo, et balades en forêt vous attendent. Visitez également les sites historiques avoisinants, tels que le chât...Voir plus

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La mercerie
6.7 km

La mercerie

Au 2, rue de la Mercière, le linteau de la porte d’entrée nous indique la date de 1726. Quel passé se cache derrière la façade de cette maison… ? A un moment de son histoire, ce bâtiment accueillait la mercerie du village. Au Moyen Age, on disait « Merciers, marchands de tout, faiseurs de rien ». En effet, dans ce type de commerce, de nombreux produits étaient vendus mais aucun n’était fabriqué par le marchand. Le mercier était chargé de rassembler les marchandises puis de les mettre à disposition des acheteurs. Il était donc l’intermédiaire entre l’acheteur et le fabricant. Le mot mercerie vient du latin merx qui signifie « tout ce qui se vend ». Ainsi, on y trouvait un peu de tout. A Pfalzweyer, les habitants pouvaient s’y procurer divers articles nécessaires à la couture : aiguilles, boutons, tissus, étoffes, fils, dentelles, rubans, agrafes… Savez-vous que la corporation des merciers est l’une des plus anciennes ? Dès le XIIe siècle, ils sont cités dans un acte où on leur concède un droit de place dans les halles de Champeaux à Paris. Certains merciers partaient loin pour acquérir des marchandises précieuses ! Imaginez-vous…or, argent, soie, perles et joyaux ! Autant de matériaux nobles qui ornaient des articles de mode, très prisés par les habitants des grandes villes. Au fil du temps, le statut de la mercerie évolua. Avec le développement des voies de communication au cours du XVIIe siècle, le transport des marchandises devint plus facile et plus rapide. Ainsi, la mercerie se divisa en diverses spécialités : marchands joailliers, marchands quincailliers, marchands papetiers…Il y en avait pour tous les goûts !

2 mercière 67320 pfalzweyer
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La laiterie
6.9 km

La laiterie

Sur la façade de cette maison, vous pouvez lire : MOLKEREI PFALZWEYER 1931. En 1931, la laiterie de Pfalzweyer est créée dans ce bâtiment. A cette époque, les habitants vivaient essentiellement de l’agriculture : autour du village s’étendaient des champs cultivés et des prés où les vaches broutaient. La plupart des éleveurs produisaient pour leur propre consommation, le lait étant un aliment central de la cuisine traditionnelle. Parfois, il y avait un surplus de lait, que l’on donnait alors aux cochons. Quand la laiterie de Pfalzweyer voit le jour, les agriculteurs y ramènent leur lait pour qu’il y soit écrémé. Un comptable était chargé de gérer la collecte. Ensuite, l’agriculteur récupérait le lait écrémé avec lequel il fabriquait du beurre qu’il revendait sur les marchés et dans des magasins, notamment en Allemagne. La crème était stockée dans des grands bidons en aluminium qui lui assuraient une bonne conservation. Très tôt le matin des camions de la Centrale beurrière passaient récolter les bidons pour les acheminer à Drulingen, à une quinzaine de kilomètres de Pfalzweyer. Cette centrale beurrière et fromagère fut créée en 1947 et avait deux missions principales : favoriser l’écoulement des produits laitiers des coopératives locales et fabriquer du beurre de meilleure conservation et d’une qualité supérieure. En 1972, la centrale était formée de 117 coopératives qui regroupaient environ 3000 producteurs. Après sa fermeture dans les années 1970, la laiterie de Pfalzweyer fit place à un Crédit Mutuel puis à une maison d’habitation. L’industrie laitière a marqué l’histoire de Pfalzweyer et des villages de campagnes. L’élevage, la collecte, la vente faisaient partie du quotidien des habitants et rythmaient leurs journées. Aujourd’hui, la laiterie de Pfalzweyer n’est plus mais la Ferme La rose des vents perpétue cette tradition en étant spécialisée dans l’élevage de vaches laitières. Ecoutez le témoignage de ces habitants du village, ils nous racontent le temps où ils allaient encore à la laiterie :

1 des écoles 67320 pfalzweyer
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Habitat traditionnel : les fermes à schopf
6.9 km

Habitat traditionnel : les fermes à schopf

Le long de la rue Principale, les fermes datant principalement de la première moitié du XIXe siècle ont conservé une structure ancienne que l’on retrouve dans d’autres villages du Pays de La Petite Pierre. Ces maisons de type maison-bloc ou « Eindachhüs », présentent une façade parallèle à la rue. L’appellation de « Eindachhüs » signifie que le logis et les bâtiments d’exploitation sont réunis sous un même toit. Ces maisons se situent en recul de la rue, laissant la place pour l’usoir qui s’apparente à une cour ouverte servant à la fois de lieu de stockage (fumier, tas de bois…), d’espace dédié aux activités agricoles et de lieu de sociabilité. Une autre particularité permet aisément de reconnaître ce type d’habitat : le schopf ou l’appenti dont le toit s’avance vers l’usoir et repose sur des poteaux en bois. Cette avancée du hangar abrite l’entrée de l’étable et de la grange où peuvent être stockés le bois de chauffage, les clapiers, l’outillage agricole. Le schopf permet également d’effectuer du bricolage, de faire sécher les fûts après distillation et même d’y tuer le cochon ! Souvent groupées, ces maisons forment alors des villages-rues typiques de la Lorraine. Les matériaux utilisés pour la fabrication de ces maisons sont directement liés aux ressources naturelles du lieu : le bois pour les éléments structurants et le grès pour l’enveloppe du bâtiment. La simplicité de la façade est agrémentée par des éléments en pierres de taille et un décor concentré essentiellement sur encadrements de portes et de fenêtres, les soubassements et les chaînages d’angles. Ce modèle de construction perdure jusqu’au début du XXe siècle, comme en témoignent les dates et inscriptions sur les linteaux de portes. Certains schopfs ont été transformé en garage lorsque l’activité agricole a décliné. C'est sous ces shopfs, devant la maison qu'on entreposait le fumier; écoutez ces habitants parler de ce tas de fumier et de la vie paysanne à Pfalzweyer :

51 principale 67320 pfalzweyer
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Verre et verrerie
7 km

Verre et verrerie

Les origines de Schoenbourg remontent probablement au Moyen Age. C’est à cette époque que les cathédrales ont commencé à voir le jour. Afin d’orner les ouvertures toujours plus imposantes de ces géants de pierre, les maîtres-verriers recherchent du verre en grande quantité et de toutes les couleurs. Les matières premières nécessaires à la fabrication du verre sont : le sable, la cendre de fougères, l’argile et le bois. Ainsi, les forêts se voyaient peu à peu défrichées ; c’est ainsi que Schoenbourg est né, au sein d’une clairière de défrichement. Les familles de verriers jouissaient de privilèges qui leur permettaient de s’installer en des lieux propices à leur activité où toutes ces matières premières étaient disponibles. Aujourd’hui des témoins de l’activité verrière de la commune sont encore visibles au lieu-dit « Glasberg », en contre-bas de la carrière : des débris de verre et un morceau de cul de four enduit d’une pâte vitrifiée y ont été retrouvés. Dès l’époque romaine, l’homme maîtrise le travail du verre. C’est au XVe siècle que des verriers s’installent dans le comté de La Petite Pierre. Ce territoire doit le développement de cette industrie au comte de La Petite Pierre, « Jerri-Hans », « le prince des verriers ». « Schönstes Glas bin ich gennant – Schoenburg ist mein Vaterland », ces quelques vers qui signifient « On m’appelle le plus beau verre, Schoenbourg est ma terre natale », évoquent la légende selon laquelle la grande rosace de la cathédrale de Strasbourg aurait été réalisée à partir de verre de Schoenbourg.

1 Rue de la Carrière 67320 Schœnbourg
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Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾