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MIMET - MIMET, LE PAYSAGE MINIER

MIMET - MIMET, LE PAYSAGE MINIER
Crédit : Ville de Mimet

Description

Mimet, terre de charbon

Enfoui sous nos pieds depuis 76 millions d’années, le charbon est exploité depuis le XVIIe siècle sur environ 440 ha.
Avant les puits de mine, des « descenderies », galeries creusées en escalier à 45° en direction des couches de lignite, conduisaient les mineurs vers les lieux d’extraction.
De la fin du XIXe siècle jusqu’en 2003, l’industrie charbonnière est une composante essentielle de la vie économique mimétaine.
Depuis le point de vue du village perché de MIMET – le plus haut des Bouches-du-Rhône, à 500 m d’altitude – on découvre un paysage minier avec ses puits, ses terras*, ses quartiers ouvriers…
Avec une vue sur 180° depuis les rives de l’Étang de Berre en passant par le panorama dominé par la montagne Sainte-Victoire, les clochers du nord du département jusqu’au pied de Mont Ventoux, on aperçoit les paysages du bassin minier et de la Provence éternelle.

Informations techniques

Voiture
Difficulté
Non renseignée
Dist.
93 km
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Profil altimétrique

Point de départ

6 Boulevard Etienne Boyer , 13530 Trets
Lat : 43.44566Lng : 5.68538

Points d'intérêt

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MIMET - LE PAYSAGE MINIER

Mimet, terre de charbon Enfoui sous nos pieds depuis 76 millions d’années, le charbon est exploité depuis le XVIIe siècle sur environ 440 ha. Avant les puits de mine, des « descenderies », galeries creusées en escalier à 45° en direction des couches de lignite, conduisaient les mineurs vers les lieux d’extraction. De la fin du XIXe siècle jusqu’en 2003, l’industrie charbonnière est une composante essentielle de la vie économique mimétaine. Depuis le point de vue du village perché de MIMET – le plus haut des Bouches-du-Rhône, à 500 m d’altitude – on découvre un paysage minier avec ses puits, ses terras*, ses quartiers ouvriers… Avec une vue sur 180° depuis les rives de l’Étang de Berre en passant par le panorama dominé par la montagne Sainte-Victoire, les clochers du nord du département jusqu’au pied de Mont Ventoux, on aperçoit les paysages du bassin minier et de la Provence éternelle.

333-377 Chemin des Rigauds 13105 Mimet
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SAINT-SAVOURNIN - L'HISTOIRE SOCIALE DU PAYS MINIER

La sécurité sociale minière La 1ère Caisse de Sécurité Sociale Minière des Bouches-du-Rhône a été créée ici-même au puits Castellane (Saint-Savournin) en 1864. Ses origines sont anciennes et diverses.En témoigne l’édit de 1604 d’Henri IV qui assurait aux mineurs les secours d’un chirurgien et la délivrance de médicaments gratuits. Bien plus tard, le mouvement « Le Sillon » contribue lui aussi à son essor par son aide aux travailleurs. L’abbé Joffrey, muté à Saint-Savournin, instaure un système de soins et de conseils sur l’hygiène, délivrés par des religieuses dans des locaux qu’il met à disposition.De leur côté, certains patrons dits « paterna-listes », créent une bourse pour les ouvriers en difficulté.C’est l’implication de tous les acteurs de la mine qui conduit à la création de la « Caisse Saint-Pierre » (1864). En 1894 et 1914, la loi imposera dans chaque exploitation la création d'une société de secours minière et de « caisses autonomes de retraites des ouvriers mineurs» (CAROM) avec un financement tripartite (exploitants, ouvriers, État)

365 Route Départemental 47A de Pichauris À Gardanne 13119 Saint-Savournin
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PEYPIN - LE DEMARRAGE DE L'INDUSTRIALISATION

L’industrialisation du 19ème siècle Le développement des concessions et des industries régionales, combiné à la concurrence accrue de la houille anglaise et française (Loire, Gard) impulsent la modernisation des mines de Provence. Le progrès technique doit répondre à un triple défi : l’eau qui inonde les mines, le rendement, l’éloignement des lieux de consommation du charbon. C’est l’apparition de la machine à vapeur qui apporte la réponse : - Les machines d’extraction du charbon améliorent les rendements. Elles équipent les 1er puits verticaux pour atteindre les couches profondes de charbon. - Les machines d’épuisement des eaux (exhaure) et le creusement de galeries d’écoulement traitent les problèmes d’inondations. - La locomotive à vapeur arrive et une ligne de train est créée en 1868 pour acheminer le charbon vers les industries marseillaises. Le quartier de Valdonne à Peypin est l’un des premiers sites à bénéficier de ces avancées et devient le lieu de démarrage de l’exploitation industrielle du charbon et de l’implantation des usines de ciment.

Chemin Départemental 8 13124 Peypin
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CADOLIVE - LES MINEURS IMMIGRÉS

La mine et les travailleurs immigrés Tout au long de son histoire, la mine va accueillir plusieurs vagues successives de travailleurs immigrés. La 1ère vient d’Italie dès 1850. C’est la construction de la ligne de chemin de fer qui conduit de nombreux piémontais à s’installer à Cadolive et dans les environs. En effet, embauchés à Nice, ces travailleurs suivent la construction de la ligne jusqu’au Puits Castellane, où elle s’arrête. Et c’est ainsi que la plupart d’entre eux se retrouvent à travailler dans les mines ou à l’usine de ciment Lafarge. A Cadolive, la plupart des familles italiennes s’installent dans le quartier de Chantecoucou, lieu qui accueillait une gare et un site de triage du charbon qui a employé de nombreuses femmes. D’autres vagues se succèdent, notamment après la guerre de 1914, les régimes totalitaires de Mussolini et Franco, poussent de nombreux italiens et espagnols à venir s’établir ici. Sur d’autres communes du bassin minier, comme Gardanne, l’immigration a été surtout polonaise, arménienne puis algérienne.

2 Place de la Mairie 13950 Cadolive
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BELCODENE - LES ORIGINES DE L'EXPLOITATION

Les débuts de l’exploitation L’exploitation du lignite est ancienne, les 1ers documents qui en font état remontent à 1584. Pendant plus de 2 siècles, elle ne concerne seulement que les zones d’affleurement. A partir du 18ème siècle, la production commence à évoluer mais lentement. Fin 1700, des mines ouvrent à Belcodène (mines de la Galère et du Grand-lot) et dans les environs. La plus importante est celle de la Galère à Belcodène : 12 à 20 piqueurs y travaillaient ainsi que 50 à 80 manoeuvres avec une production journalière de 25 à 30 tonnes. Le charbon apparaît tout naturellement comme substitut au bois. Une partie servait à alimenter les nombreux fours à chaux aux alentours. L’autre partie était expédiée, à grands frais, vers Marseille pour alimenter les usines. Jusqu’alors d’importance modeste par rapport aux autres bassins miniers de France, le bassin minier de Provence commence à se développer à partir du 19ème siècle, avec l’apparition des concessions. Ainsi, peu à peu des concessions apparaissent et commencent à employer de nombreux mineurs : 205 à Belcodène en 1845.

5023F Plaine de Beaumont 13720 Belcodène
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LA BOUILLADISSE - L'EXPLOITATION ARTISANALE DU CHARBON

Les concessions A La Bouilladisse, le charbon était extrait de manière artisanale dans des descenderies et alimentait les usines locales (plâtrières d’Auriol, fabriques de tuiles). Son exploitation conduisit à la création de concessions dans la commune et partout ailleurs dans le bassin minier. Leur régime juridique (loi du 21/04/1810) attribuait la pleine propriété du sous-sol à l’Etat qui ensuite donnait en concession les mines aux personnes qu’il jugeait les plus qualifiées pour mener à bien l’exploitation moyennant une redevance annuelle. Une des concessions de la commune était celle de Pinchinier détenue par la société « Pierre Armand & cie ». Pierre Armand avait installé dans le secteur son usine de soude qui servait à la fabrication du savon et qui fonctionnait grâce au charbon extrait dans cette concession. L’exploitation des puits de La Bouilladisse s’arrête en 1874 et les mineurs qui y étaient employés s’en vont vers les puits Castellane et Léonie (Saint-Savournin) qui marquent le début de l’exploitation industrielle du charbon.

Chemin de la Mireille 13720 La Bouilladisse
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LA DESTROUSSE - LA MINE EN TEMPS DE GUERRE

La mine, un foyer de résistance Sous la 1ère guerre mondiale, la mine est prioritaire car nécessaire à la défense nationale. Ainsi, beaucoup de mineurs sont mobilisés mais restent sur place pour l’extraction du charbon qui est placée sous le contrôle de l’Etat. Durant cette période, il y aura peu de mouvements de grève car les mineurs étaient menacés d’être envoyés au front s’ils montraient trop d’agitation. Lors du 2d conflit, la production est dédiée à alimenter l’Allemagne nazie. Les mineurs voient leurs conditions de travail se dégrader et sont contraints de se plier à un rythme intensif sous peine d’être envoyés en Allemagne. La mine devient alors un foyer de résistance. Plusieurs actions de résistance se forment dans le bassin minier allant du ralentissement volontaire de la production au sabotage d’équipements. Le sabotage des rails sur lesquels se déplaçait « la Grosse Bertha » fut organisé par un groupe de résistants de la Bouilladisse mené par Léon Rebuffat, avec l’aide d’un mineur-artificier destroussien, Joseph Pedrogno et de Marcel Garcia qui empêchèrent les tirs du canon sur Toulon.

Avenue des Tisserands 13112 La Destrousse
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TRETS - LES PAYSANS MINEURS

Histoire de la mine à Trets Dès le XVe siècle, les habitants de Trets constatèrent que les pierres noires qu’ils grattaient (le lignite),s’enflammaient et pouvaient chauffer les chaumières, mieux et plus longtemps que le bois. Ainsi commence l’histoire des mineurs paysans de Trets, qui alla jusqu’au XXe siècle (fermeture le 31 décembre 1935). L’exploitation di lignite va s’intensifier et faire la prospérité du village et ce, pour deux raisons : d’une part la mine recrutait sur place, et d’autre part, de nombreux mineurs ont conservé quelques lopins de terre, ainsi ces derniers pouvaient délaisser la mine pour se livrer aux travaux des champs. Par ailleurs, les autorités impériales tenaient compte de cette réalité, le sous-préfet d’Aix indique que : « Les mineurs ont cessé le travail en promettant de revenir ensuite à la mine » et explique cette promesse : « L’administration des mines assure qu’elle est bien aise de laisser les ouvriers vaquer à leurs cultures ». Le lignite affleurait le long des collines, au sud du village, notamment au quartier des Reynauds sous le hameau de Kirbon.

279-319 Chemin de Peynier Ancien 13530 Trets
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FUVEAU - GALERIES D’EXHAURE

L’eau et la mine C’est au moins au XVe siècle que commence l’exploitation du charbon dans le bassin minier de Provence. Avec le développement des travaux miniers se pose le problème de l’abondance des eaux souterraines (ruissellement et nappes phréatiques). De 1880 à 1888, la Société Nouvelle des Charbonnage des Bouches-du-Rhône a dépensé trois fois plus d’argent pour l’évacuation des eaux qu’elle n’a réalisé de bénéfices. Une galerie d’exhaure à la mer est envisagée (exhaure : évacuation des eaux d’infiltration hors d’une mine par canalisation et pompage). La galerie à la Mer, terminée en 1905 et d’une longueur de 15km, relie le puit Biver à la Madrague, près de Marseille. Légèrement inclinée pour permettre l’écoulement des eaux et équipée d’une voie ferrée, elle sert à ses débuts au transport du charbon vers Marseille. Depuis l’ennoyage en 2003, des pompes immergées au fond assurent un niveau d’eau à -350 m.

6 Cours Victor Leydet 13710 Fuveau
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GARDANNE / FUVEAU - DU CHARBON AU SOLAIRE

Du charbon au solaire L’extraction d’abord artisanale puis industrielle du lignite a permis le développement économique de la région, la fixation d’industries lourdes (usine d’alumine, cimenteries, centrale électrique) et l’intégration de populations d’origines très diverses. L'ancien bassin minier de Provence, qui s'étend sur 17 communes, de Bouc Bel Air à Trets et de Meyreuil à Peypin en passant par Rousset, a entamé sa reconversion dans les années 60, bien avant la fermeture du dernier puits de mine (2003). Le bassin de Gardanne a gardé ses industries, tandis que la zone de Rousset s'est tournée vers la microélectronique et le photovoltaïque. Il y a ici une valorisation des anciennes implantations minières (parc photovoltaïque sur un terril, récupération de la chaleur des eaux d'ennoyage de la mine), en même temps que le développement de nouvelles filières de production (centrale biogaz du Pays d'Aix). Du charbon au solaire, des énergies fossiles jusqu'aux énergies du futur, le bassin minier continue de s'adapter aux mutations.

Chemin de Bramefan 13710 Fuveau
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MEYREUIL - LE LIGNITE DE PROVENCE

Meyreuil, un site unique en son genre Depuis l’ère secondaire, période du crétacé supérieur, le lignite est abondamment présent dans le sous-sol du bassin minier de Provence. Charbon jeune, c’est un excellent combustible pour la production d’électricité (charbon vapeur de type flambant). La construction de la Centrale thermique de Provence, située en partie sur la commune et disposant d’eau en grande quantité fournie par les puits de l’Arc, favorisa le développement du site d’extraction de Meyreuil qui fut, de 1971 à 1986, le seul siège d’extraction du bassin minier. Le charbon de Provence, soumis à de très fortes pressions des terrains a pu être exploité avec une très bonne productivité grâce à l’usage du rabot. Entre 1928 et 1986, les puits Boyer pour les mineurs et Courau pour le charbon, permirent la production de 5 843 000 tonnes de lignite. Le charbon, moteur de la révolution industrielle, mais émetteur de CO2 lors de sa combustion, est progressivement remplacé par des énergies renouvelables ; il reste la 1ère source de production d’électricité dans le monde, les réserves connues correspondent environ à 200 ans de consommation actuelle. Les centrales photovoltaïques sur d’anciens terrils sont emblématiques des évolutions en cours.

6469 Route du Coteau Rouge 13590 Meyreuil
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GARDANNE - RECONVERSION D’UNE VILLE MINIERE

Reconversion d’une ville minière L’histoire de la mine commence à Gardanne en 1605. Les exploitations se concentrent alors principalement autour du charbon de terre présent sur les collines de Camp Jusiou et de Verdillon. Mais les mines vont connaître de nombreux dégâts notamment liés à l'eau présente en sous-sol. Le creusement de la Galerie de la Mer à partir de 1890 résolvera ce problème et permettra à l’eau des mines d’être évacuées jusqu’à la mer à Marseille. En 1980, les Houillères du Bassin de Provence décident de construire ce que l'on appellera le "Grand ensemble de Provence" avec le fonçage de deux nouveaux puits : le Puits Z et Y, qui seront les derniers puits foncés et ayant fonctionné dans le bassin de Provence. L’exploitation minière à Gardanne prend fin le 1er février 2003 du fait du faible coût des produits pétroliers et du développement du nucléaire. Aujourd’hui la ville a installé l’école des Mines de Saint-Étienne à Gardanne comme centre de formation supérieure en microélectronique, et réalise plusieurs projets dans la cadre de sa reconversion : réalisation de parcs d’activités, d’un parc de panneaux photovoltaïque et reconversion du Puits Y en hôtel d’entreprises innovantes.

Avenue Lieutaud 13120 Gardanne
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GREASQUE - SAINTE-VICTOIRE ET LA FORMATION DU CHARBON

Le bassin géologique de Sainte-Victoire La montagne Ste Victoire, rendue célèbre par le peintre Cézanne, constitue l’une des bordures du bassin charbonnier de Provence. Il y a 70 millions d’années, ce paysage avait un aspect fort différent : on ne parlait pas de Sainte-Victoire mais d’un relief bordant un lac de faible profondeur. Les végétaux se sont déposés là et, se décomposant dans l’eau, à l’abri de l’air, ont fini par former le lignite de Provence. L’originalité de ce bassin, dénommé synclinal de l’Arc, a été de recueillir de petits végétaux au lieu de la végétation arborée plus habituelle. Datant de 76 à 70 millions d’années avant notre ère, soit avant l’apparition de l’Homme, il s’étend sur 75 km d’ouest en est et 20 km du nord au sud, soit 1 500 km2. La forme en cuvette du bassin a fait affleurer le charbon vers Trets et à proximité des reliefs. L’enfoncement des couches exploitables, au cœur du bassin, en direction de Gardanne, a nécessité d’adapter les moyens techniques pour extraire de manière rentable les couches les plus profondes.

1 Route de la Chapelle 13850 Gréasque
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GREASQUE - ÉVOLUTION DES TECHNIQUES EN PROVENCE

Le puits d’Héli d’Oissel et l’évolution des techniques L’exploitation provençale commence par les descenderies, excavations creusées dans la terre dès 1443-1444 à Saint Savournin-Peypin. Elles se multiplient aux 17e et 18e siècles sous l’impulsion de grands propriétaires et grâce aux concessions sous Napoléon. Le bassin minier de Provence en a compté plus de 800. Gréasque en garde une trace avec le site préservé du Tombereau. Au 19e siècle, la machine à vapeur permet de pomper les galeries inondées et d’actionner les ascenseurs. L’une des premières a été installée au puits Bonaventure, autre site préservé. Plus de 50 puits ont été creusés afin d’atteindre les couches de charbon plus profondes. Au 20e siècle, l’air comprimé et l’électricité améliorent grandement les outils : perforateurs, marteaux piqueurs, couloirs oscillants… Après la 2e guerre mondiale, les engins arrivent dans les mines, d’abord sur ce puits, ensuite sur Biver, Meyreuil et sur le puits Morandat. Ce Musée présente un chantier reconstitué donnant un aperçu de l’évolution depuis l’usage du pic.

1 Route de la Chapelle 13850 Gréasque
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