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Bienvenue à Concores, un joyau du Lot en région Midi-Pyrénées. Situé au cœur d’une nature luxuriante, le Camping Moulin des Donnes vous offre un accès privilégié à une multitude d’activités et de découvertes locales. Profitez de la tranquillité des balades le long des sentiers de randonnée, où les paysages pittoresques de la vallée du Lot s'offrent à vous. Explorez le riche patrimoine historique d...Voir plus

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Eglise Saint jacques le Majeur
9.8 km

Eglise Saint jacques le Majeur

L'église Saint Jacques le Majeur fut construite au 13ème siècle par l'archiprêtre de Salviac, Géraud de Barasc, comte et évêque de Cahors. A sa construction, elle était l’église la plus grande de Bouriane. 27 cantons dépendaient de cette église. Au cours de la guerre de Cent ans, elle servit de refuge aux anglais, qui se fortifièrent dans le clocher. Elle marque l'apogée et la fin d'une époque. Elle est située à un tournant tant sur le plan architectural que sur le plan historique, son style va donc subir des influences romanes et gothiques. Cette église a connu plusieurs transformations, remaniée au 14ème avec le rajout de la chapelle Saint Eutrope, construction de deux grandes chapelles au 14ème et au 15ème siècle deux nouvelles constructions dont une pièce de rangement, actuelle chapelle de service, occultant la porte sud. Durant la révolution, elle connut plusieurs incendies et ses vitraux auraient été brisés. Ces vitraux dataient du 14ème siècle et représentaient la légende de Saint Eutrope. Cette église fut repérée par les services de Prosper Mérimée dès la fin du 19ème siècle et elle sera l'un des premiers édifices classés du Lot. Elle fût classé monument historique en 1913. L’intérieur se compose de 4 chapelles: -la chapelle Saint Eutrope, dédiée à l’un des fondateurs de l’église en Gaule -la chapelle du Saint Sacrement, dans laquelle se trouve la lanterne des pèlerins. -la chapelle Saint Joseph -la chapelle de la Vierge La Chaire (tribune dans l’église destinée à la prédication) est datée du 19ème siècle et fut construite en pierres des Charentes. 3 statues encadrent l’autel, à gauche Saint Pierre, à droite Saint Paul, pères fondateurs de l’église. En haut de l’autel se trouve Saint Jacques le Majeur, saint Patron de l’église.

3 Rue du 8 Mai 1945 46340 Salviac
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Square Tatou
9.9 km

Square Tatou

La silhouette représentée est à l'effigie de Tatou (1856-1926). Tatou était un "innocent", personnage atypique fils du ménage Albouyssou, ménage atypique connu de Salviac par la carrure de la mère, qui était dite "énorme" et "gigantesque", et la carrure du père, comparée à un échalas des vignes desséchée par le soleil. Tous deux étaient les décrotteurs de la ville, ils nettoyaient les chaussures et vêtements des personnes devant l'église. Tatou était réfractaire à toute éducation. Il fut soldat, mais le commandant le déclara fou et il fut renvoyé. Cependant, ses parents étaient morts à son retour et il fut accueilli par le village car les rumeurs disaient qu'il portait bonheur. Il chantait pour se nourrir et faisait fonction de crieur public et même de convoyeur de fonds. Tatou est décédé le 18 février 1926 et le village entier assista à ses obsèques, le sculpteur Emile Mompart, sculpteur Salviacois ayant notamment réalisé les monuments aux morts de Lavercantière, Lherm et bien entendu de Salviac, lui dressa une stèle au cimetière, mais celle-ci est aujourd'hui disparue. Salviac a également connu un écrivain et homme de lettre, Jean Auguste Boyer, dit Boyer d'Agen, né en 1857 mort en 1945. Son grandpère avait épousé Jeanne Passefond dont le père avait acquis la chapelle de l'Olm, vendue bien national à la Révolution. C'était un écrivain célèbre, qui demeura fidèle à son village d'enfance, où il passa avec son épouse de très nombreux étés. Il consacra plusieurs articles à Salviac. Boyer d'Agen a écrit un petit texte sur Tatou: "Et devant sa bêtise et sa philosophie, Vous ne savez non plus qu'admirer davantage Ou que tant de sagesse aille à tant de folie Ou que d'un fou pareil ait pu naître un tel sage".

9 Rue de la Chapelle 46340 Salviac
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Le Presbytère et le Couvent
9.9 km

Le Presbytère et le Couvent

1.43856305Tournons le dos à l’église, et nous voilà en face du Presbytère et du Couvent. Le Presbytère, avec ses deux tours et colonnades, abrite aujourd’hui plusieurs habitations. A l’origine, c’est un bâtiment où loge le curé, souvent situé à proximité de l’église paroissiale. Des disputes éclatent régulièrement entre villageois. En 1834, par exemple, la place du village est témoin d’une rivalité entre le maire du Vigan, Guillaume Glandin et le curé Jean-Baptiste Albouy, dit "Baptistou de Vers". Ce dernier a décidé d'acheter une grosse bâtisse avec l'argent de quelques jeunes dévôtes pour les y établir en communauté. Mais le maire s’y oppose, et cette querelle divise le village en deux clans. Finalement, le projet voit le jour sous la forme d’une Communauté de sœurs fondée en 1845. Elle est destinée à instruire quinze enfants pauvres gratuitement et à assurer la visite des malades. Située à droite du Presbytère, la Communauté est affiliée à la Congrégation de Gramat. Les sœurs y font l’ecole jusqu’en 1903. Quelques années plus tard, refusant la laïcisation de l’education, appellée ‘sécularisation’ la dernière religieuse enseignante, Sœur Georges Marie Vieillescazes décide de partir au Brésil. Elle signe la fin de l’aventure, et l’ecole des sœurs ferme ses portes en 1906. Regardons enfin derrière nous, et admirons l’Abbatiale. C’est le point final de notre parcours et le témoin d’un passé architectural riche et passionnant.

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L’abbatiale Notre-Dame-de-l'Assomption
9.9 km

L’abbatiale Notre-Dame-de-l'Assomption

Au début du 18e siècle, Le Vigan est doté non pas d’une, mais de trois églises qui fonctionnent simultanément : - Tout d’abord, l'église primitive, la plus ancienne, Saint-Jean des Carbonières, déjà citée et située à proximité du château, au sommet du Mont Saint-Jean. - Ensuite, l'église Saint-Gall, à l'emplacement de l'épicerie d’aujourd’hui : c'est l'église paroissiale, permettant aux fidèles d’assister à la messe. Elle tombe en ruines à la fin du 18e siècle et Napoléon autorise la municipalité du Vigan à aliéner cette église en 1809. Elle sera détruite et les pierres vendues afin de financer les réparations de l'église actuelle et du presbytère. De récentes recherches révèlent qu’un évêque de Gourdon qui vivait au 5e s, Rurice de Limoges, dit Saint Ruricius, né vers 440, est devenu évêque de Limoges. Les originaux de ses lettres sont aujourd’hui conservés dans l’une des bibliothèques médiévales les plus importantes du monde, qui se trouve en Suisse alémanique, au sein de l‘Abbaye St Gall. - Enfin, l'église actuelle. D’abord réservée aux chanoines, et de ce fait, non accessible aux villageois, elle devient paroissiale et ouverte à tous à la Révolution. Révélatrice de la diffusion de l'art gothique dans le Midi de la France à la fin du 13e siècle, l’ancienne collégiale du Vigan adopte un parti architectural audacieux avec son chevet à triple abside. Avec l’arrivée des chanoines de Saint-Sernin de Toulouse et les largesses de nombreux bienfaiteurs, la collégiale du Vigan se dota à la fin du 11e siècle d’une nouvelle église dont on ne connaît seulement que quelques chapiteaux romans décorés d’entrelacs et découverts au cours de fouilles archéologiques dans les années 1950. Les religieux augustins furent par la suite placés sous l’autorité de l’archevêque de Bourges jusqu’au début du 14e siècle et auquel succéda l’évêque du diocèse de Cahors, Raymond de Pauchel, qui fit construire le massif occidental de l’église. L’église, devenue paroissiale au moment de la Révolution sous le vocable Notre-Dame de l’Assomption, est le seul témoin de l’enclos monastique dont les bâtiments, d’abord vendus comme bien national, furent ensuite rasés. Il s'agit donc d'un édifice gothique élevé au cours du dernier quart du 13e siècle, avec un chevet à trois absides et un faux transept cantonné de deux chapelles latérales polygonales. La nef, unique et large dans la tradition méridionale, est précédée à l’ouest d’un imposant massif édifié au 14e siècle dont l’austère façade est pourvue d’un portail orné de chapiteaux sculptés en forme de feuillages.

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