Découvrez Lechelle, Pas-de-Calais et ses attraits locaux

Cette promenade sur les derniers contreforts des collines d'Artois vous emmène à la découverte du canton de Bertincourt. A la croisée de la Somme et du Nord, le territoire de Bertincourt a subi de nombreuses influences de ses industrieux voisins... la culture de l'endive par exemple pour la Somme, ou l'activité du tissage pour le Nord, sans oublier les échanges que facilitèrent le chemin de fer et le Canal du Nord.

Rocquigny,Villers-au-Flos et Barastre, trois villages, trois églises, trois clochers que vous distinguerez tout au long du parcours. Tels les phares guidant les marins, les clochers de nos églises sont illuminés (plaquette disponible à l'Office de Tourisme) et guident la nuit tombée les Sud-Artésiens vers leurs îlots de tranquillité.

Tels des pèlerins ou des contrebandiers, partez à la découverte des Anciens Chemins. Le Canton de Bertincourt a toujours été une zone de passage. Au Moyen Age des pèlerins partaient de l'Artois pour honorer St Quentin en passant par Morchies, Vélu, Ruyaulcourt, Neuville. Ceux qui allaient à St Jacques de Compostelle cheminaient de l'Abbaye de Oisy-le-Verger vers l'Abbaye d'Arrouaise en passant par Louverval, Lebucquière et Barastre. L'empire de Charles Quint, quant à lui s'arrêtait à Fins, Léchelle et Le Transloy : la frontière était un lieu de contrebande entre Ytres et Rocquigny, les marchands qui se rendaient aux foires de Champagne ou ceux des Provinces du Nord qui convergeaient vers le Gué de Cappy ont tracé des chemins en tous sens. S'y ajoutaient des chemins de traverse à usage militaire comme le chemin de Mory à Léchelle par Beugny et Bus. Si vous vous y perdez, aucune inquiétude puisque « tous les chemins mènent à Rome » !

Qui pourrait aujourd'hui deviner que la forêt d'Arrouaise a pendant des siècles marqué ce territoire. Elle s'étendait à l'infini jusqu'aux Ardennes. Traverser sans encombre nos contrées couvertes de bois sans être dépouillé par quelques bandits relevait du miracle. Au cours des siècles, cette forêt a été défrichée laissant place à un sol fertile que les paysans ont su exploiter. Seuls aujourd'hui, quelques rares bois tels ceux d'Havrincourt, de Vélu ou de Bourlon et la toponymie rappellent cette vaste étendue boisée. Ainsi, le bois du Touque, la ferme du bois, le bois défriché, le fond des bosquets, le buisson du chat, le chemin du bois, le bois d'essart etc...ne sont-ils plus que des lieux-dits.

Une randonnée agricole sur le plateau qui part à la rencontre du patrimoine de la Reconstruction de la Haute Somme à l’issue de la Grande Guerre par l’architecte Louis Faille. Natif du village de Nurlu (1881), Louis Faille est connu dans la Haute Somme pour avoir participé à la reconstruction des villes et villages de la région à l’issue de la Première Guerre Mondiale. Architecte de talent, il s’inspire de l’architecture traditionnelle locale et y apporte une touche de modernité propre à l’Art Déco. Au cœur du village de Sorel, la randonnée débute dans la cour de la mairie école de Sorel. Prenez à droite à la sortie de la mairie jusqu'à la place arborée. Après avoir admiré les canards dans la mare, rendez-vous au coin opposé en diagonale de la place et empruntez la petite route qui descend à gauche. Au bout de 250 m, elle débouche sur un croisement où vous retrouverez le cimetière du village et la Chapelle Notre-Dame-de-Liesse. Construite en 1904, elle est dédiée à Sainte-Appoline qui soulage les maux de dents. A gauche du cimetière, un chemin agricole s'engage dans la direction de Nurlu. Il rejoint rapidement le bois Rimette qui vous apportera un peu de fraîcheur lors des chaleurs estivales. A gauche, la vue s'ouvre sur le champ d'éoliennes de Nurlu. En remontant ce petit vallon, vous débouchez sur un croisement à 5 voies en bordure du village de Nurlu. Prenez le deuxième chemin à gauche, il remonte une petite butte, le "Bois Faye" ou "Bois Faille", qui culmine à 150 m d'altitude. Ce sommet modeste est l'un des points culminants de la région de Péronne. Après avoir rencontré quelques arbres en bordure du chemin, il rejoint la RD72 puis le village de Liéramont. Après les premières maisons, prenez la première à gauche en bordure d'une exploitation agricole. La dernière ligne droite de ce bel itinéraire est devant vous et quelle ligne droite ! 3 km vous séparent à présent de Sorel et tout le temps nécessaire pour admirer le paysage qui s'offre à vous à 360°. Une fois au village, n'oubliez pas d'admirer l'église Saint-Gervais et Saint-Protais, édifiée par Louis Faille en 1932. Une randonnée agricole sur le plateau qui part à la rencontre du patrimoine de la Reconstruction de la Haute Somme à l’issue de la Grande Guerre par l’architecte Louis Faille. Natif du village de Nurlu (1881), Louis Faille est connu dans la Haute Somme pour avoir participé à la reconstruction des villes et villages de la région à l’issue de la Première Guerre Mondiale. Architecte de talent, il s’inspire de l’architecture traditionnelle locale et y apporte une touche de modernité propre à l’Art Déco. Au cœur du village de Sorel, la randonnée débute dans la cour de la mairie école de Sorel. Prenez à droite à la sortie de la mairie jusqu'à la place arborée. Après avoir admiré les canards dans la mare, rendez-vous au coin opposé en diagonale de la place et empruntez la petite route qui descend à gauche. Au bout de 250 m, elle débouche sur un croisement où vous retrouverez le cimetière du village et la Chapelle Notre-Dame-de-Liesse. Construite en 1904, elle est dédiée à Sainte-Appoline qui soulage les maux de dents. A gauche du cimetière, un chemin agricole s'engage dans la direction de Nurlu. Il rejoint rapidement le bois Rimette qui vous apportera un peu de fraîcheur lors des chaleurs estivales. A gauche, la vue s'ouvre sur le champ d'éoliennes de Nurlu. En remontant ce petit vallon, vous débouchez sur un croisement à 5 voies en bordure du village de Nurlu. Prenez le deuxième chemin à gauche, il remonte une petite butte, le "Bois Faye" ou "Bois Faille", qui culmine à 150 m d'altitude. Ce sommet modeste est l'un des points culminants de la région de Péronne. Après avoir rencontré quelques arbres en bordure du chemin, il rejoint la RD72 puis le village de Liéramont. Après les premières maisons, prenez la première à gauche en bordure d'une exploitation agricole. La dernière ligne droite de ce bel itinéraire est devant vous et quelle ligne droite ! 3 km vous séparent à présent de Sorel et tout le temps nécessaire pour admirer le paysage qui s'offre à vous à 360°. Une fois au village, n'oubliez pas d'admirer l'église Saint-Gervais et Saint-Protais, édifiée par Louis Faille en 1932.

Ce sentier vous emmène à la découverte de paysages variés, du centre du village d'Hermies, aux berges du Canal du Nord, en passant par la plaine cultivée, et le bois d'Havrincourt. Aujourd'hui les bannis et les processions ont déserté ces chemins mais parfois le murmure du vent semble encore porter les bruits de ces cortèges... Le nom de ce chemin rappelle qu'il y a quelques siècles les lépreux étaient « bannis », « mis au ban » de la société. Ils cheminaient sur des sentiers à l'extérieur des villages, pour éviter de propager la maladie. Les lépreux se regroupaient dans les maladreries comme celles d'Havrincourt, de Neuville, de Ruyaulcourt, de Bourlon ou de Graincourt. Ils ne pouvaient déambuler en ville sans autorisation. Ils devaient alors signaler leur présence par un bruit de crécelle.

Cette promenade vous emmène à la découverte des terres du sud de l'Artois, la plaine s'étend à perte de vue, parsemée de-ci de-là de quelques îlots d'habitations ou d’espaces boisés. Les champs cultivés témoignent de la vocation agricole de ce sol très fertile : endives, betteraves, maïs, blé, légumes, plantes fourragères.... Les Huguenots, protestants français, persécutés, fuyant vers des contrées plus tolérantes ont emprunté cette terre de passage et ont laissé leur nom à l'un de ces chemins, que vous allez parcourir. Le sentier des Huguenots a probablement été l'un des chemins empruntés par les Huguenots fuyant la France pour les Provinces Unies. Le terme Huguenot est l'ancienne appellation donnée pendant les guerres de religion aux protestants français d'obédience calviniste par opposition aux protestants d'obédience luthérienne. On parla ensuite de Religion Réformée. Le plus célèbre des huguenots est certainement Henri de Navarre futur Henri IV. Il a été forcé d'abjurer pour sauver sa vie lors du massacre de la Saint-Barthélemy (24 août 1572), et prétendre à la couronne de France en 1593 (« Paris vaut bien une messe ! »). Pendant son règne, il restaura la paix civile en France en signant l'édit de Nantes (13 avril 1598) et en donnant certaines places fortes aux protestants. En 1685, à l'occasion de la révocation de l'édit de Nantes par Louis XIV un très grand nombre de Huguenots français fuirent pour les Provinces Unies des Pays-Bas, la Suisse et la Prusse. Ceux qui restèrent en France furent persécutés jusqu'au milieu du XVIIIe siècle.

Une balade entre bois et plaines qui vous emmènera au coeur de la Haute-Somme et des cultures traditionnelles. Vos pas démarrent depuis l’église d’Aizecourt-le-Bas, elle est excentrée du village. Sur le chemin, voir la plaque sur la ferme en face rappelant que trois villageois y sont morts pour la France le 28 juin 1944. Leurs camarades furent faits prisonniers, fusillés ou déportés. Découvrez la plaine. Puis descendre vers Templeux-la-Fosse pour y découvrir la pierre du vieux moulin datant du XVIème siècle, l’église de la Nativité-de-la-Sainte-Vierge, reconstruite après la Première Guerre Mondiale, le château... Remonter vers le bois de Gurlu et le traveerser sans vous éloigner du sentier. Poursuivre votre chemin par le bois de l’Epinette, jusqu'à la vallée du bois Cauchy. Avant de retourner vers Aizecourt-le-Bas. Une balade entre bois et plaines qui vous emmènera au coeur de la Haute-Somme et des cultures traditionnelles. Vos pas démarrent depuis l’église d’Aizecourt-le-Bas, elle est excentrée du village. Sur le chemin, voir la plaque sur la ferme en face rappelant que trois villageois y sont morts pour la France le 28 juin 1944. Leurs camarades furent faits prisonniers, fusillés ou déportés. Découvrez la plaine. Puis descendre vers Templeux-la-Fosse pour y découvrir la pierre du vieux moulin datant du XVIème siècle, l’église de la Nativité-de-la-Sainte-Vierge, reconstruite après la Première Guerre Mondiale, le château... Remonter vers le bois de Gurlu et le traveerser sans vous éloigner du sentier. Poursuivre votre chemin par le bois de l’Epinette, jusqu'à la vallée du bois Cauchy. Avant de retourner vers Aizecourt-le-Bas.

Ce circuit vous emmène à la découverte de Bapaume et du village de Ligny-Thilloy au gré de la ronde des tilleuls. Cette promenade mêle la découverte d'espaces naturels, de terres cultivées, du patrimoine de la Reconstruction, urbain et rural... et des personnages légendaires ou réels qui ont marqué ce territoire.

Ce petit parcours vous emmène à la découverte du village d'Havrincourt, de son église, de son château et de son Mémorial britannique. A la sortie du village, apparaissent de superbes paysages de plaine où l'horizon finit par se confondre avec le ciel. Alors, comme un écolier insouciant faisant l'école buissonnière, laissez votre flânerie vous guider hors des sentiers battus.

Inscription: Les participants peuvent s'inscrire en ligne pour 3€ sur le site www.arrasenlumieres.fr avant l'événement. Sur place, l'inscription coûtera 4€. But: Cet événement est organisé au profit de l'association "Les Clowns de l'Espoir", grâce à la collaboration de 5 associations de randonnée pédestre de l'Arrageois. Parcours: De 14h à 16h, les participants pourront choisir entre deux parcours, l'un de 6 km et l'autre de 10 km. Les départs sont libres. Contact : secretaire@arrasenlumieres.fr et Tél. 06 49 98 88 00 Collation: Une collation sera offerte de 16h à 19h pour les marcheurs. En résumé, la 7ème Ballade d'Arras en Lumière est une opportunité conviviale de marcher pour une cause, de profiter de la beauté d'Arras en décembre et de partager une collation, le tout au profit de l'association "Les Clowns de l'Espoir".

Le village de Rocquigny (274 habitants) est situé au sud du département du Pas-de-Calais (canton de Bapaume), à proximité immédiate d’une des importantes lignes de front de la Grande Guerre : la ligne Hindenburg. Ce qui explique que la quasi-totalité des villages de ce territoire ont été totalement détruits notamment lors des grandes offensives de 1917. C’est ainsi que le village s’est retrouvé au cœur du vaste dispositif de la Reconstruction mis en œuvre dans les années 1920 par le ministère de la Reconstruction et le diocèse d’Arras. La reconstruction de l’église de Rocquigny a été décidée lors du conseil municipal du 7 février 1924. À la suite d’un concours organisé dans le cadre de la société coopérative de reconstruction des églises du diocèse d’Arras, c’est le projet de Jean-Louis Sourdeau qui fut retenu par le Conseil municipal (mars 1924). Le projet se porte sur une reconstruction très différente qui se démarque des traditionnelles reconstructions mises en œuvre alors dans les régions touchées par la Grande guerre. Sourdeau met toute l’audace de son projet dans le clocher dont il dénude toute la structure en la réduisant à un simple jeu géométrique. Il joue dans cette partie de l’édifice avec l’implantation à 45° qui dynamise l’ensemble, un peu à la manière des peintres et architectes du constructivisme. Il tempère toutefois cet élan par l’emploi de la brique pour tout le socle que forment la nef et le chœur de l’église. L’église est construite entre 1929 et 1930 et présente un plan assez traditionnel centré avec un clocher particulièrement présent et élevé. L’intérieur reste simple avec quatre murs diaphragmes qui soutiennent le plafond en béton armé. Une tribune est installée à chaque angle de la nef. Source : " L’église Notre-Dame de Rocquigny (Pas-de-Calais) : restauration, reconstruction ou abandon ? " Jacques Philippon - Philippe Merlier - Lionel Dubois

Rocquigny, petite commune du sud du département, est principalement connue pour son église. Classée Monument Historique, cette incroyable église de style Art déco a failli disparaître … Saviez-vous que sa destruction a été votée 2 fois ? Heureusement, elle a bénéficié d’une incroyable restauration. Vous serez émerveillé par les rosaces en dalle de verre, œuvre de Jean Gaudin. Son clocher blanc en dentelle de béton de 50m de haut domine la campagne avoisinante. Le village est également un arrêt obligé de nombreux pèlerins qui sillonnent la Via Francigena depuis Canterbury jusque Rome.

Les Bois Durieux sont des boisements légués au Département par l’ancien conseiller général Monsieur Durieux. Les plantations ont été réalisées durant l'hiver 99-2000 par le Ministère de l’Agriculture et financées par l’État et l’Europe. Il y a en tout trois bois Durieux sur la communauté du Sud-Artois représentant 70 hectares de boisement. Celui de Bertincourt couvre 30ha. On y trouve une grande biodiversité du fait de la mixité d'essences d'arbres présentes. Ces boisements ont ainsi un rôle écologique très important puisqu'ils permettent le développement et la diversification de la biodiversité. Les arbres jouent un rôle considérable dans la lutte contre l’érosion et le réchauffement climatique. On y retrouve des fruitiers sauvages (pommiers, poiriers, châtaigniers, alisiers), des bois nobles (chênes, hêtres, noyers hybrides), des arbres à croissance rapide (peupliers, aulnes, bouleaux, érables), ainsi que des haies permettant à diverses espèces de se déplacer. De plus, la mutation de l’espace agricole en milieu forestier est en cours. Elle se constate par l’installation d’espèces nouvelles : champignons, fougères, ronces, petits insectes, araignées, écureuils, mustélidés, geais, etc.

La légende raconte que le Comte de Bonnevallet, châtelain de Villers au XIXe siècle qui avait quatre filles, souhaitait la naissance d'un garçon dans la famille. Il s'adressa au Ciel et fit la promesse de bâtir une grotte à l'identique de celle de Lourdes si son voeu était exhaussé. Il le fut et il tint parole. Il eut à l'esprit de construire une grotte qui rappelât celle de Massabielle. En 1882 les travaux commencèrent. On adossa l'édifice contre une butte de terre. Cet édifice était constitué de ciment et de pierres meulières, entouré d'églantiers et de plantes vertes. Dans le fond de la grotte coule sans interruption une petite fontaine. La grotte fut bénite solennellement en 1892. En 1898, 40 messes y étaient célébrées par semaine. Quant au garçon tant attendu, il mourut à l'adolescence. Ce lieu de pèlerinage est toujours fréquenté comme en témoignent les plaques de remerciements et ex-voto accrochés dans le souterrain. Chaque année, durant un week-end de la mi-juillet, des messes et une procession sont organisées jusqu'à la grotte. Source : Site de Villers-au-Flos et CCSA

Le cimetière militaire britannique de Rancourt contient 90 sépultures et commémorations de la Première Guerre mondiale dont 17 ne sont pas identifiées ainsi que six sépultures d'aviateurs de la R.A.F dont l'avion a été abattu lors de la Seconde guerre mondiale, le 21 mai 1940.

Ce mémorial, aujourd'hui géré par le Souvenir Français, est le haut-lieu du souvenir de la participation française à la Bataille de la Somme. Le cimetière qui l'entoure est la plus grande nécropole française de la Somme. Il atteste de la violence des combats des 3 derniers mois de l'offensive (septembre-novembre 1916).Possibilité de visites guidées individuelles et groupes sur réservation.Un guide bilingue français-anglais se trouve sur place.Pour l'accueil des groupes, envoyez un mail ou téléphonez pour préparer votre visite.

Le château, au centre du village, est une propriété privée appartenant depuis plus de 350 ans à la famille de Cardevacque d'Havrincourt dont la devise est « Mieux mourir que me ternir ». Il a été édifié vers 1880, à la place d'un ancien château brûlé durant la Révolution. Il a servi de siège d'état-major vers 1916, lors de l'occupation allemande. Malheureusement, se trouvant sur la ligne Hindenburg, il a été miné par les Allemands en 1917. La première pierre du château actuel fut posée le 23 juin 1928 ; il est une réplique du château poitevin de Saint Loup sur Thouet.

Erigé au coeur du Bois Delville, rebaptisé Devil's wood (Bois du Diable), le mémorial sud-africain de Longueval retrace et commémore l'implication de l'Afrique du Sud durant les Première et la Seconde guerre mondiales, mais aussi pendant la Guerre de Corée. Cette particularité en fait un lieu unique.Initialement édifié en 1926, le mémorial fait face au cimetière militaire dans lequel reposent 5 523 soldats dont 3 593 restent anonymes. Ces soldats combattirent pendant 6 jours et 6 nuits dans des conditions inconcevables. Le bois fut également consacré lors de cette inauguration en 1926.Le 11 novembre 1986, le musée ouvre ses portes et permet aux visiteurs d'en apprendre plus sur l'implication de l'Afrique du Sud dans les conflits majeurs du siècle dernier.

Ce monument est dédié à toutes les nations impliquées dans la Bataille de Cambrai. Le sol est pavé des contours du drapeau Britannique, l’Union Jack, où chacune de ses branches pointe vers les lieux stratégiques du champ de bataille.   Au centre, sont incrustés dans le sol en béton, les chenilles d’un char se dirigeant vers Cambrai ainsi que les pas des soldats. Ces cicatrices symbolisent la ligne Hindenburg, réputée imprenable, mais cependant franchie par les chars.  

Le restaurant présente dans un cadre lumineux et spacieux l'univers de création de notre chef dont le talent s'affirme autant dans les recettes traditionnelles que dans la cuisine gastronomique

Une cuisine traditionnelle et raffinée : Notre chef passionné met à l'honneur une cuisine française traditionnelle de saison, élaborée exclusivement à partir de produits frais et de circuits courts. Laissez-vous tenter par nos spécialités régionales revisitées, des plats mijotés aux saveurs franches et généreuses. Notre carte évolue régulièrement, garantissant une expérience culinaire toujours renouvelée. Nous proposons également un menu du jour attractif pour vos déjeuners d'affaires ou repas rapides de qualité. Cadre chaleureux et service attentionné : Poussez les portes d'un établissement à l'ambiance chaleureuse et conviviale. Le décor élégant et soigné du Gourmet offre un cadre parfait pour toutes les occasions : un dîner romantique, un repas de famille, ou une réception professionnelle. Notre équipe vous réserve un accueil personnalisé et un service discret, veillant à ce que votre moment de détente soit synonyme de plaisir absolu. Découvrez Le Gourmet, une adresse de choix au cœur de Bapaume, où la tradition culinaire est magnifiée par une touche de modernité. Que vous soyez de passage sur l'autoroute A1 (Lille-Paris) ou en visite dans l'Artois historique, notre restaurant est l'endroit idéal pour une pause gastronomique mémorable.

petite salade d'accueil gratuite

Agriculteurs, Marie-Christine et Olivier invitent les groupes autour de leur table toujours bien garnie: porcelet à la broche, coq à la bière, carbonade. Ouvert toute l'année sur réservation pour des groupes de 25 à 60 personnes.

Restaurant de qualité, ouvert 7jours sur 7 tous les midis. Le soir ouvert uniquement les jeudi, vendredi et samedi.

Buffet, grillades, japonais et wok à volonté

LE RILEY est un concept de steakhouse autour du vin et de la cuisson de la viande à la braise. Une belle aventure gustative qui allie respect de la bonne viande, finesse de la sélection des vins, l'exigence du service,la joie de vivre. (Cave de quelques 1000 bouteilles). Possibilité de réserver pour déjeuner ou diner en groupe. Salles climatisées, terrasse et parking gratuit. Parking autocars. Proximité sortie 14, autoroute A2 et sortie 8, autoroute A26.

Réservations groupes, goûter anniversaires enfants, location de salle.

Notre maison d'hôtes le Rouet date de 1830 et a été rénovée pour proposer 3 studios de 1 à 2 personnes et une chambre individuelle. Elle dispose d'un espace restauration pour y prendre petit-déjeuner ou repas (formule snack ou table d'hôtes) Au coeur d'un village calme entre Bapaume et Peronne Vous avez accès au jardin pour boire un verre au soleil

Bienvenue aux Chambres d'Hôtes et Gite, la Cense des 6 Sens. La ferme est située à Beugny, dans les Hauts-de-France, dans le sud du Pas-de-Calais. Reconstruite aprés la Première Guerre mondiale, elle dipose d'écuries dans lesquelles ont été aménagées 5 chambres de 2 à 3 personnes, avec douche et toilettes privatives. Une chambre  au rez-de-chaussée, est accessible aux personnes à mobilité réduite. Le lieu est rustique, calme et agréable.   Vous aurez tout loisir de profiter d'une grande salle de 120 m2, avec un coin cuisine pour vous détendre. L'habitation et les dépendances jouxtent un espace naturel de plus de 9 ha. Le charme de la campagne aux portes de la ville.

Un accueil chaleureux vous attend dans cette maison de 1920, située à proximité des champs de bataille de la Somme. Vous découvrirez des sites historiques et apprécierez les charmes de la campagne.  Le domaine est situé à Le Sars, entre Bapaume et Albert et à proximité de la butte de Warlencourt-Eaucourt, haut lieu de la Pemière Guerre mondiale.

Idéalement situé au coeur des champs de bataille de la Première guerre mondiale à Bapaume, vous serez accueilli dans une ambiance moderne et chaleureuse par Johanne et Denis. Pour vos petites et grandes faims, le restaurant situé au rez de chaussée vous comblera.

Notre gîte se situe dans un bâtiment annexe à quelques mètres de la maison, avec chauffage électrique et WI-FI. Chaque chambre a sa salle de bain et son WC, ainsi qu'un lit électrique en 1,80 m que l'on peut séparer en 2 lits de 0,90 m. Chaque chambre a son poste de TV, 2 fauteuils, 1 bureau avec 1 lampe, 2 tables de chevet, 2 lampes de chevet, 1 coiffeuse avec rangements, 1 petite penderie. Chaque salle de bain a sa douche, son lavabo, son miroir, son porte serviettes, son radiateur porte serviettes, La n°4 est équipée en plus d' 1 table pour poser le nécessaire de toilette, d'1 coffre, d'1 étagère avec des patères, d'un sèche cheveux. La n° 8 est équipée en plus d'un meuble de rangement, de patères, d'un tabouret, d'1 petit meuble pour ranger le papier toilette, d'1 sèche cheveux. La n°4 a son WC séparé avec 1 lave mains, un porte serviettes, 1 tablette, 1 glace. La n°8 a son WC dans la salle de bain derrière une cloison. Nous avons 2 cuisines l'une au rez de chaussé, l'autre à l'étage. Elles sont équipées d'1 réfri/congél, TV, micro ondes, aspirateur, bouilloire, cafetière, four, plaque de cuisson, grill pain ainsi que le nécessaire pour cuisiner et pour manger. Dans le grande cuisine 1 lave vaisselle et un lave linge en plus.

DESCRIPTIF DE LA CHAMBRE D'HÔTES N° 4 et 8 avec WI-FI Ces chambres (que nous pouvons adapter en gîte avec cuisines équipées)se situent dans un bâtiment annexe, a quelques mètres de la maison. Chaque chambre a sa salle de bain et son WC, ainsi qu'un lit électrique en 1,80 m que l'on peut séparer en 2 lits indépendants de 0,90 m. Les petits déjeuner sont servis dans ce même bâtiment ou dans l'habitation principale selon notre disponibilité, entre 7 h et 10 h. Vous n'aurez pas de problèmes de parking, la cour est suffisamment grande pour accueillir 7 véhicules.

DESCRIPTIF DE LA CHAMBRE D' HÔTES : avec WI-FI La chambre se trouve dans notre habitation, au 1er étage, accès directe par le couloir ou par la partie privative, selon le moment de la journée. Elle se compose d'une grande chambre avec un lit de 2 personnes en 1,40 m et d'une petite chambre avec un lit d'1 personne en 0,80 m. La salle de bain et le WC se trouvent sur le même palier 2 tables de nuit ainsi que 2 lampes de chevet, une coiffeuse,2 chaises, 1 armoire meublent cette chambre. La petite chambre attenante est équipée d'un fauteuil, d'1 poste TV, d'une ancienne machine à coudre (déco), d'une lampe de chevet posée sur une étagère d'angle. Vous n'aurez pas de problèmes de parking, la cour peut accueillir 7 véhicules. Le petit déjeuner est servi entre 7 h et 10 h.)

À la campagne, au cœur d'un petit village fleuri, cette maison pleine de charme abrite 3 chambres soigneusement décorées (non fumeur) avec sanitaires privés et TV. Wifi gratuit. Petit déjeuner gourmand : jus de fruits, croissants, confiture maison, yaourts. Parking dans cour fermée. Vous pourrez vous promener dans le très beau jardin fleuri, né de la passion des propriétaires, et ensuite profiter du calme des lieux, assis sur le banc au bord du miroir d'eau.

Ne cherchez pas le château, il a disparu. Mais l'église voisine, avec ses jolies tourelles, donne aux lieux ce petit air d'ailleurs et de vacances qu'on cherche lors d'une escapade. L'ancienne étable du domaine a été transformée en un espace de bien-être avec jacuzzi et hammam. Les quatre chambres aux thèmes chic, voyage, industriel et romantique, complètent cette parenthèse de bien-être à la campagne. Ancien estaminet de 1925 transformé en chambres d'hôtes, la Ferme du Château vous promet un séjour reposant au coeur d'un petit village, niché en pleine campagne.

Évadez-vous dans un cadre bucolique et enchanteur à La Fontaine d'Inville. Cette demeure de charme vous accueille dans une atmosphère chaleureuse et authentique. Profitez de chambres personnalisées, d'un jardin paisible et d'une cuisine savoureuse.