Les circuits
Activités
Lieux d'intérêts
Où manger
Où dormir

Découvrez Saint-clair, Lot en Midi-Pyrénées et ses attraits

Vous-êtes en charge de la destination ?
Découvrez Saint-clair, une charmante ville nichée au cœur du Lot, dans la région Midi-Pyrénées. Cette page vous guide à travers les nombreuses attractions et activités accessibles depuis ce merveilleux endroit. Flânez dans les ruelles pittoresques du centre-ville et admirez les maisons en pierre typiques des villages lotois. Appréciez l'authenticité de la vie locale et plongez dans la culture régi...Voir plus

Se balader autour de Saint-clair

Voir plus de propositions
Balades et randonnées autour de Saint-clair.
Voir plus de propositions
Balade N°1 de la Cité Médiévale de Gourdon
4.6 km

Balade N°1 de la Cité Médiévale de Gourdon

Départ : Rue du Majou à la « Porte du Majou » : La rue s’ouvre sous la porte « porta Major » de l’enceinte médiévale bâtie au XIIIe. Le blason au-dessus de la porte représente le rempart et le Château de Gourdon. C’est une des 4 portes de Gourdon qui s’ouvrait sur une barbacane. La « Grande rue » du Gourdon médiéval commence ici ; elle est bordée de façades des XIII, XIV, XV, XVIe et XVIIe siècles, anciennes échoppes et hôtels particuliers des grandes familles de marchands gourdonnais. « Chapelle du Majou » : Chapelle de style ogival dédiée à la Vierge. Bâtie contre le mur de la cité au XVIe. elle fut saccagée pendant les guerres de Religion et restaurée au XIXe. Comme le mentionne la plaque c’est un « Autel privilégié ». Des indulgences étaient accordées par le Pape aux fidèles qui y « prient pour la conversion des pêcheurs et le triomphe de la Sainte Église ». De belles boiseries du XVIIIe se trouvent à l’intérieur. Plus haut dans la Rue du Majou, une maison à colombages et à encorbellement, ainsi que l’Office de Tourisme. Après l’Office de Tourisme, sur la droite la Maison du Sénéchal : Anciennes échoppes gothiques au rez-de-chaussée. Au 1er étage : fenêtres à meneaux de la Renaissance. Un escalier à colimaçon à l’arrière permet l’accès aux étages supérieurs Dès le XVIe siècle c’était la Maison du représentant de la justice royale : le Sénéchal. À l’extérieur, les latrines sont visibles dans l’impasse. À l’intérieur des fresques du XVe et les plafonds à la française du XVIIe montrent la richesse passée de ses résidents. (ne se visite pas) En haut de la rue du Majou, la Place de l’Hôtel de Ville : L’Hôtel de ville : du XIIIe, il fut reconstruit au XVIIe, ancien siège du « consulat » mis en place dès 1244. Les barreaux d’une ancienne cellule témoignent que la justice locale y était dispensée. À l’intérieur : Escaliers à paliers de style classique. La porte est décorée du blason consulaire : ce sont les armes de la ville « d’azur à la croix d’argent cantonné de 4 fleurs de Lys d’or reversées ». Les couverts de la place, au cœur de la cité, étaient un lieu de marché. L’Église Saint Pierre (M.H.) : Sa construction a débuté il y a 700 ans et s’est achevée au XVIe siècle. Les tours du clocher se dressent à près de 35 m de hauteur. Cette église fortifiée (mâchicoulis sur la façade) d’aspect austère à l’extérieur est un édifice de style gothique languedocien très ouvragé à l’intérieur. L’abside du chœur est décorée d’un retable en bois doré en trompe l’œil, oeuvre des sculpteurs Gourdonnais les frères Tournier. Ces tableaux en relief représentent des scènes de la vie de Marie et de Jésus (bel exemple de la sculpture baroque du XVIIe). En longeant l’église par la droite, La Maison Cavaignac : Porte classée Monument Historique du XVIIe (la femme à la balance symbolise la justice). Comme le signale la plaque, c’est la maison natale du député Conventionnel Jean Baptiste Cavaignac qui siégea à la « Montagne ». Son père fut maire de Gourdon. La descendance n’est pas moins célèbre : le Général de Cavaignac s’illustra notamment dans l’Histoire Nationale au XIXe s. Possibilité d’accéder à la table d’orientation (Ancien Château) par les escaliers au fond du parking. Le château : Aujourd’hui un belvédère à 284 m d’altitude doté d’une table d’orientation. Rien ne reste du Donjon médiéval construit par les seigneurs locaux. Il fut démantelé par ordre du Roi Louis XIII pour punir Pons de Lauzieres deThemines tombé alors en disgrâce. Descendre la Rue Sourde pour voir les Ogives et les fenêtres à Meneaux. Passage par la rue Frézat, la rue la plus étroite de la ville. Arrivée dans la Rue du Cardinal Farinié, face au Presbytère, remonter et prendre à gauche la rue de la Mairie ou « Rue des Consuls » : pigeonnier et maison à bolet. Rue des consuls : Au XIIIe, la vie municipale s’organise grâce à la charte de Coutumes octroyée par les seigneurs de Gourdon et régit les droits : privé, pénal et public. Les consuls administrent la cité, assistés des représentants des seigneurs locaux. Ainsi s’amorce un processus d’émancipation qui favorise l’essor économique de la cité. Arrivée dans la cour du Sénéchal, traverser les Jardins du Sénéchal pour arriver Rue Zig-Zag : la rue des Taverniers. Belle Porte du XIIIe s. Retour Rue du Majou.

610 m
Très facile
46300 Gourdon
Consulter
Visite de la Cité Médiévale de Gourdon, Balade N°2
4.6 km

Visite de la Cité Médiévale de Gourdon, Balade N°2

Balade N°2 Départ : Rue du Majou à la « Porte du Majou » : La rue s’ouvre sous la porte « porta Major » de l’enceinte médiévale bâtie au XIIIe. Le blason au-dessus de la porte représente le rempart et le Château de Gourdon. C’est une des 4 portes de Gourdon qui s’ouvrait sur une barbacane. La « Grande rue » du Gourdon médiéval commence ici ; elle est bordée de façades des XIII, XIV, XV, XVIe et XVIIe siècles, anciennes échoppes et hôtels particuliers des grandes familles de marchands gourdonnais. « Chapelle du Majou » : Chapelle de style ogival dédiée à la Vierge. Bâtie contre le mur de la cité au XVIe. elle fut saccagée pendant les guerres de Religion et restaurée au XIXe. Comme le mentionne la plaque c’est un « Autel privilégié ». Des indulgences étaient accordées par le Pape aux fidèles qui y « prient pour la conversion des pêcheurs et le triomphe de la Sainte Église ». De belles boiseries du XVIIIe se trouvent à l’intérieur. Plus haut dans la Rue du Majou, une maison à colombages et à encorbellement. Prendre la Rue Calmon pour arriver Place Noël Poujade où se trouve la Maison du Roy. Continuer la balade par une déambulation dans les ruelles médiévales typiques : Rue de la Bride, Rue des Ouliers, Rue Bertrand de Gourdon (Seigneur de Gourdon à qui la légende attribue le meurtre de Richard Cœur de Lion), Rue Lacam, Rue Filliol, Rue de La Bastidette, Rue des Juifs. Arrivée Place des marronniers. Possibilité d’accéder à la table d’orientation (Ancien Château) par les escaliers au fond du parking. Le château : Aujourd’hui un belvédère à 284 m d’altitude doté d’une table d’orientation. Rien ne reste du Donjon médiéval construit par les seigneurs locaux. Il fut démantelé par ordre du Roi Louis XIII pour punir Pons de Lauzieres deThemines tombé alors en disgrâce. La Maison Cavaignac : Porte classée Monument Historique du XVIIe (la femme à la balance symbolise la justice). Comme le signale la plaque, c’est la maison natale du député Conventionnel Jean Baptiste Cavaignac qui siégea à la « Montagne ». Son père fut maire de Gourdon. La descendance n’est pas moins célèbre : le Général de Cavaignac s’illustra notamment dans l’Histoire Nationale au XIXe s. Longer l’église et arrivée sur la Place de l’Hôtel de Ville : L’Hôtel de ville : du XIIIe, il fut reconstruit au XVIIe, ancien siège du « consulat » mis en place dès 1244. Les barreaux d’une ancienne cellule témoignent que la justice locale y était dispensée. À l’intérieur : Escaliers à paliers de style classique. La porte est décorée du blason consulaire : ce sont les armes de la ville « d’azur à la croix d’argent cantonné de 4 fleurs de Lys d’or reversées ». Les couverts de la place, au cœur de la cité, étaient un lieu de marché. L’Église Saint Pierre (M.H.) : Sa construction a débuté il y a 700 ans et s’est achevée au XVIe siècle. Les tours du clocher se dressent à près de 35 m de hauteur. Cette église fortifiée (mâchicoulis sur la façade) d’aspect austère à l’extérieur est un édifice de style gothique languedocien très ouvragé à l’intérieur. L’abside du chœur est décorée d’un retable en bois doré en trompe l’œil, oeuvre des sculpteurs Gourdonnais les frères Tournier. Ces tableaux en relief représentent des scènes de la vie de Marie et de Jésus (bel exemple de la sculpture baroque du XVIIe s.). Retour Rue du Majou.

986 m
Très facile
46300 Gourdon
Consulter

Que faire à Saint-clair

Voir plus de propositions
Découvrez les nombreuses activités réservables à Saint-clair et profitez de chaque instant.
Voir plus de propositions

Que visiter à Saint-clair

Voir plus de propositions
Pratiquez des activités de plein air à Saint-clair.
Voir plus de propositions
Le Presbytère et le Couvent
5 km

Le Presbytère et le Couvent

1.43856305Tournons le dos à l’église, et nous voilà en face du Presbytère et du Couvent. Le Presbytère, avec ses deux tours et colonnades, abrite aujourd’hui plusieurs habitations. A l’origine, c’est un bâtiment où loge le curé, souvent situé à proximité de l’église paroissiale. Des disputes éclatent régulièrement entre villageois. En 1834, par exemple, la place du village est témoin d’une rivalité entre le maire du Vigan, Guillaume Glandin et le curé Jean-Baptiste Albouy, dit "Baptistou de Vers". Ce dernier a décidé d'acheter une grosse bâtisse avec l'argent de quelques jeunes dévôtes pour les y établir en communauté. Mais le maire s’y oppose, et cette querelle divise le village en deux clans. Finalement, le projet voit le jour sous la forme d’une Communauté de sœurs fondée en 1845. Elle est destinée à instruire quinze enfants pauvres gratuitement et à assurer la visite des malades. Située à droite du Presbytère, la Communauté est affiliée à la Congrégation de Gramat. Les sœurs y font l’ecole jusqu’en 1903. Quelques années plus tard, refusant la laïcisation de l’education, appellée ‘sécularisation’ la dernière religieuse enseignante, Sœur Georges Marie Vieillescazes décide de partir au Brésil. Elle signe la fin de l’aventure, et l’ecole des sœurs ferme ses portes en 1906. Regardons enfin derrière nous, et admirons l’Abbatiale. C’est le point final de notre parcours et le témoin d’un passé architectural riche et passionnant.

Consulter
L’abbatiale Notre-Dame-de-l'Assomption
5.1 km

L’abbatiale Notre-Dame-de-l'Assomption

Au début du 18e siècle, Le Vigan est doté non pas d’une, mais de trois églises qui fonctionnent simultanément : - Tout d’abord, l'église primitive, la plus ancienne, Saint-Jean des Carbonières, déjà citée et située à proximité du château, au sommet du Mont Saint-Jean. - Ensuite, l'église Saint-Gall, à l'emplacement de l'épicerie d’aujourd’hui : c'est l'église paroissiale, permettant aux fidèles d’assister à la messe. Elle tombe en ruines à la fin du 18e siècle et Napoléon autorise la municipalité du Vigan à aliéner cette église en 1809. Elle sera détruite et les pierres vendues afin de financer les réparations de l'église actuelle et du presbytère. De récentes recherches révèlent qu’un évêque de Gourdon qui vivait au 5e s, Rurice de Limoges, dit Saint Ruricius, né vers 440, est devenu évêque de Limoges. Les originaux de ses lettres sont aujourd’hui conservés dans l’une des bibliothèques médiévales les plus importantes du monde, qui se trouve en Suisse alémanique, au sein de l‘Abbaye St Gall. - Enfin, l'église actuelle. D’abord réservée aux chanoines, et de ce fait, non accessible aux villageois, elle devient paroissiale et ouverte à tous à la Révolution. Révélatrice de la diffusion de l'art gothique dans le Midi de la France à la fin du 13e siècle, l’ancienne collégiale du Vigan adopte un parti architectural audacieux avec son chevet à triple abside. Avec l’arrivée des chanoines de Saint-Sernin de Toulouse et les largesses de nombreux bienfaiteurs, la collégiale du Vigan se dota à la fin du 11e siècle d’une nouvelle église dont on ne connaît seulement que quelques chapiteaux romans décorés d’entrelacs et découverts au cours de fouilles archéologiques dans les années 1950. Les religieux augustins furent par la suite placés sous l’autorité de l’archevêque de Bourges jusqu’au début du 14e siècle et auquel succéda l’évêque du diocèse de Cahors, Raymond de Pauchel, qui fit construire le massif occidental de l’église. L’église, devenue paroissiale au moment de la Révolution sous le vocable Notre-Dame de l’Assomption, est le seul témoin de l’enclos monastique dont les bâtiments, d’abord vendus comme bien national, furent ensuite rasés. Il s'agit donc d'un édifice gothique élevé au cours du dernier quart du 13e siècle, avec un chevet à trois absides et un faux transept cantonné de deux chapelles latérales polygonales. La nef, unique et large dans la tradition méridionale, est précédée à l’ouest d’un imposant massif édifié au 14e siècle dont l’austère façade est pourvue d’un portail orné de chapiteaux sculptés en forme de feuillages.

Consulter
Les remparts du fort
5.1 km

Les remparts du fort

Ici, si l’on se place en face de la boulangerie et de la boucherie qui donnent sur la rue principale du village, nous pouvons lever les yeux et admirer cette superbe latrine du Moyen-Age qui surplombe la rue. A l’époque, la rue est positionnée plus bas, et ici ne sont que des jardins. La boucherie actuelle se situe aujourd’hui, dans une ancienne porte que la population doit traverser pour se rendre dans l’enceinte du village. Ce dernier est fortifié et bien plus petit que maintenant, constitué de quelques tours et tronçons de murailles autour de l’église. Si l’enceinte est prise, on se réfugie dans l’église, voire dans le haut clocher qui contient quelques coffres abritant un peu de nourriture, et des armes. Situés autour de l’abbatiale, les remparts du fort protègent les villageois des invasions et attaques ennemies, notamment des ‘‘Anglais’’. Ces fameux « Anglais » ne sont pas toujours anglais. Certains sont des Anglo Gascons, français et mercenaires, qui combattent pour le Roi d’Angleterre durant la guerre de 100 ans de 1337 à 1453, et stationnent au Vigan pendant les longues périodes de trêve. Ce qui explique que l’on n’a pas trouvé beaucoup de traces d’interprètes de cette époque dans les actes officiels, car la plupart parlent Occitan. Les vrais Anglais sont si rares, que dans un document notarial de Périgueux, afin de compléter l’identité de l’un des témoins, on y peut lire la mention « Anglais d’Angleterre ». Par extension, la dénomination d’Anglais a ensuite désigné tous ceux qui n’étaient pas du pays. Dirigeons nous à présent le long de la route vers le début de la rue Bombe-Cul dont nous allons vous raconter l’histoire.

Consulter
La rue de l’ancien Hôpital Notre-Dame-de-la-Pitié
5.1 km

La rue de l’ancien Hôpital Notre-Dame-de-la-Pitié

Nous sommes dans l’ancienne rue principale du Vigan, qui relie Gourdon à Rocamadour. A l’époque, l’hôpital Notre-Dame-de-la-Pitié a une toute autre signification qu’aujourd’hui. C’est un asile où l’on accueille les voyageurs, les malades, et les pèlerins de Compostelle. Il semble avoir été composé de deux ou trois masures. Les chambres sont pauvrement dotées de grabas (mauvais lits, ou paillasses), d’un broc d’eau et d’une miche de pain. Contrairement à Gourdon, l’on n’y dispose même pas de couvertures, l’accueil y est rudimentaire. Les visiteurs sont notamment des pèlerins de Rocamadour qui y passent quelques jours. Également des malades, qui s’y reposent, mais n’y sont pas soignés. Mais aussi des chefs de bandes français et anglais qui se retrouvent au Vigan pour discuter des rançons qu’ils peuvent tirer de leurs prisonniers. D'après un plan de la ville du Vigan datant du 18e siècle, un chemin reliait la chapelle de l'hôpital au "fort" et à la fontaine de « Las Vergenas », autrement dit Les Vergènes. On peut apercevoir ce chemin de l’autre côté de la route nationale, qui remonte vers le coteau. Probablement au 9e ou 10e s, un paysan aurait retrouvé un bloc de statue de l’époque Romaine, représentant une matrone avec ses deux filles. Les paysans ont pensé que c’était la Vierge avec des anges autour. Ce vestige antique est devenu une relique pour les Viganais, « Las Vergenas » signifiant les vierges. Elle a depuis disparu au cours des temps. Avançons vers la chapelle Sainte-Rondine, sur notre gauche, qui fut construite sur l'emplacement de l'ancienne chapelle "Notre Dame de L’Hospital ».

Consulter

Où manger à Saint-clair

Voir plus de propositions
Les saveurs de Saint-clair vous attendent.
Voir plus de propositions

Où dormir à Saint-clair

Voir plus de propositions
Logez-vous près de Saint-clair avec nos options.
Voir plus de propositions
Prudence !
Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾