Découvrez Fort-de-France avec le camping l'Or Bleu

Grâce à ce circuit que nous avons conçu chez WATT UP, vous découvrirez l'histoire et le patrimoine de la commune du Marin en Martinique, éminemment liés à la mer. Avec WATT UP, vous pourrez louer un vélo électrique, une trottinette électrique, un scooter électrique ou une Mini-Moke électrique pour réaliser ce parcours Patrimoine / Campagne et Mer en une journée. Contactez-nous au 05 96 74 56 51 ou sur information@wattup.fr A bientôt !

Une évasion entre terre, mer et histoire Ce sentier invite à une escapade entre richesse floristique et vestiges historiques avec l’archipel des Saintes en toile de fond. Ce sentier littoral réaménagé en grande partie par l’ONF, offre environ 3 heures de balades exceptionnelles de par la diversité des paysages qui sont donnés à voir. Le sentier est accessible par ses deux extrémités : l’Anse Grande Ravine et l’Anse Duquery.

Ce sentier qui longe le littoral doit son nom selon la légende à un grand Acomat (une espèce d’arbre) qui a été fortement endommagé par le cyclone de 1643. Une batterie a été érigée à son emplacement. Long d’environ 2km, ce sentier s’inscrit dans la continuité du tracé de celui de la Grande Pointe au niveau de l’Anse Duquery. Pendant les 45 minutes que dure l’excursion, qui n’offre pas de grande difficulté, vous pourrez apercevoir de franches percées panoramiques sur les Saintes et la Dominique. Vous profiterez également de la faune et de la flore de la forêt semi-humide du littoral.

Une fresque quasi-ininterrompue de l’histoire de la Guadeloupe : De l’époque précolombienne à nos jours, Trois-Rivières permet de balayer, grâce à ses nombreux vestiges et témoignages, toute l’histoire de la Guadeloupe. Gageons qu’à l’issue de cette visite au cœur du centre-bourg de Trois-Rivières vous saisirez ce qui fait de cette commune le havre de paix qu’on lui reconnaît et lui confère ce cachet que l’on ne retrouve nul part ailleurs en Guadeloupe...

Rejoignez les stations de créole immersion et vivez l'aventure.

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Come spend a dream holiday in Morocco with OASIS PEACE tourist transport. For an unforgettable adventure in Morocco, full of thrills, and a successful trip. Enriching experiences and authentic. With Authentique Nomade savor the authentic landscapes and Moroccan culture.Come experience this unforgettable adventure of discovering the desert in Morocco. The escape is guaranteed the total package. Explore the desert of Morocco by camel or 4x4. Be enraptured by a sunset in the desert.Discover a country, a culture, spend the night with the nomads. To visit Marrakech and Ouarzazate. Make a circuit: the imperial cities of Morocco. To relax in the sun near the beach of Agadir Essaouira. Make trips to the Ourika valley, waterfalls Ouzoud. To appreciate the warmth and beauty of a riad in Marrakech. For a different tourism, off the beaten track, away from mass tourism organized by tour operators. Far from the hordes of tourists, the real discovery of a fascinating country

Cette expérience offre la possibilité de faire du quad sur la plage avec un petit arrêt pour visiter le Borj portugais, et prendre quelques photos pour immortaliser le merveilleux moment que vous vivez. Passage ensuite à travers la pinède au milieu des vaches, chèvres, dromadaires... et pour finir dans les dunes.

L'expérience du désert a été pour moi dominante. Entre ciel et terre, entre le Tout et le Rien, la question est brûlante. Elle brûle et ne se consume pas. Elle brûle pour elle même, dans le vide. Le désert, c'est aussi l'écoute, L'extrême écoute... n'hesiter pas de nous contacter pour vous faire voyager dans un lieux magique Et te voilà en marche Vers ta contrée lointaine Qu'au-delà des sables bénissent les eaux, é-mail: maroczago@yahoo.com Gravissant l'étendue d'un puits à l'autre puits, Comme les marches d'un escalier, Pris, puisqu'il est une danse à danser Et un ennemi à vaincre, Dans le cérémonial du désert. Et en même temps que des muscles, Je te bâtis une âme. terres des hommes Excursion à dos de Dromadaire & 4X4 Organisation des Bivouacs HASSAN vous propose de voyager dans un lieu magique où le rêve est sa priorité, loin du stress. Notre but : Vous faire découvrir le charme desdunes, le coucher du soleil, dormir sous la tente en écoutant le silence et admirer une merveilleuse nuit étoilée. Vous faire profiter de l'hospitalité du sud du Maroc où se situe LA VALLEE DE DRAA avec ses larges étendues de cailloux et de sable. M'hamid est un joli village sorti du sable avec ses petites maisons en pisé. Sur la petite place se présente le souk très animé le lundi matin, plus au centre vous pourrez flâner de boutique en boutique et déguster un délicieux thé à la menthe au café du coin. Pour loger, vous y trouverez l'hôtel ou plus typique la tente nomade ( 8 à 10 personnes) La route pour se rendre à Mhamid vous offre un paysage de rêve : la vallée du Draa, les dunes de Tinfou le long de l'oued Draa et ses palmiers, ses magnifiques Kasbah. Après avoir parcouru les routes sinueuses du Djbel Bani vous voilà dans le Désert ! CONTACT : maroczago@yahoo.com GSM : +212 666 31 53 60

Profitez d'une excursion en mer pour explorer les fonds sous-marins de la Martinique à l'aide de palmes, d'un masque et d'un tuba !  PROFITEZ D'UNE EXCURSION EN MER POUR EXPLORER LES FONDS SOUS-MARINS DE LA MARTINIQUE À L'AIDE DE PALMES, D'UN MASQUE ET D'UN TUBA !  Le bateau vous conduira au large des Trois Îlets où vous découvrirez certains des plus beaux sites de plongée de l'île. Vous profiterez alors du spectacle de la faune et de la flore multicolores ! 

Profitez de votre séjour en Martinique pour découvrir les plus beaux sites de plongée, du nord au sud de l’île !  PROFITEZ DE VOTRE SÉJOUR EN MARTINIQUE POUR DÉCOUVRIR LES PLUS BEAUX SITES DE PLONGÉE, DU NORD AU SUD DE L’ÎLE ! Vous embarquerez à bord d’un catamaran ou d’une vedette de plongée et partirez à la découverte des fonds marins, très clair et colorés, au large de celle que l’on surnomme « l’île aux fleurs ». La possibilité de choisir jusqu’à 15 sorties en mer vous permettra de découvrir des décors très différents selon les sites de plongée. En effet, le Nord et le Sud de la Martinique offrent des paysages variés : le Nord, réputé pour ses tombants et ses épaves historiques, dévoile un sable volcanique et des sites bien particuliers. Le Sud est quand à lui onstitué de grands plateaux coralliens et abrite une grande variété de poissons tropicaux ! De plus, il existe des sites adaptés à tous les niveaux, ce qui vous permettra de vivre ces sorties en famille ou entre amis ! 

Profitez de votre séjour en Martinique pour partir à la rencontre des dauphins à bord d'un petit bateau à moteur !  PROFITEZ DE VOTRE SÉJOUR EN MARTINIQUE POUR PARTIR À LA RENCONTRE DES DAUPHINS À BORD D'UN PETIT BATEAU À MOTEUR ! ​ Après avoir embarqué, vous vous dirigerez vers le site d'observation des dauphins. Durant la navigation, vous bénéficierez d'une jolie vue sur les villages côtiers : Fort-de-France, Schoelcher, Case-Pilote,  Bellefontaine, Carbet, Saint-Pierre… A l'entrée de la zone, l'équipage marquera une petite halte afin de vous expliquez comment fonctionnent les différentes espèces de cétacés que vous pourrez observer. Parmi les espèces vivant dans cette côte dite "sous-le-vent", vous pourrez observer des dauphins de Fraser et des dauphins tachetés ! Dès les premiers dauphins repérés, l’approche se fera avec une allure modérée pour éviter de les perturber. Vous les verrez évoluer librement et pourrez peut-être observer des scènes de chasse, des phases de repos, des sauts acrobatiques ou bien des jeux tels que le surf dans les vagues ou la nage à l'étrave du bateau... Après cette expérience, le bateau mouillera dans les eaux cristalline d'une anse protégée où vous profiterez d'un rafraîchissement et pourrez vous baigner avant de rentrer à la marina.  

Profitez d'une croisière sur un catamaran pour découvrir la côte nord caraïbe de la Martinique le temps d'une journée ! PROFITEZ D'UNE CROISIÈRE EN CATAMARAN POUR DÉCOUVRIR LA CÔTE NORD CARAÏBE DE LA MARTINIQUE LE TEMPS D'UNE JOURNÉE ! Au départ des Trois-Îlets, vous découvrirez la très jolie baie de Fort-de-France et son port de commerce avec le phare de la "Pointe des Nègres" qui au XVIIe siècle était une place forte militaire. Durant la navigation vers le nord, il est possible que des groupes de dauphins s'approchent du bateau et nagent à côté de vous ! Vous apercevrez les Pitons du Carbet, les falaises de Fond Bellemare, et le volcan de la Montagne Pelée qui culmine à 1397m !  Le catamaran mouillera dans la rade de Saint-Pierre, l'ancienne capitale au prestigieux passé économique et culturel. Vous partirez pour une visite guidée de cette ville ravagée en 1902 par l'éruption du volcan. Au marché des fruits et légumes, vous profiterez des saveurs locales avant de rejoindre une petite embarcation. Vous longerez alors la plage du Carbet (où Christophe Colomb débarqua) pour rejoindre la plage de l’Anse Turin, où vous pourrez vous baigner. De retour au catamaran, vous apprécierez la cuisine locale lors du déjeuner, préparé et servi à bord. Dans l’après-midi, vous vous rendrez à l’anse Bellemare pour une nouvelle baignade. Des masques et tubas vous seront fournis si vous souhaitez explorer les fonds marins, avant de prendre le chemin du retour vers les Trois-Ilets. 

Profitez d'une journée en catamaran pour découvrir les criques de la côte sud caraïbes, approcher le Rocher du Diamant et visiter la "grotte aux chauves-souris" ! PROFITEZ D'UNE JOURNÉE EN CATAMARAN POUR DÉCOUVRIR LES CRIQUES DE LA CÔTE SUD CARAÏBES, APPROCHER LE ROCHER DU DIAMANT ET VISITER LA "GROTTE AUX CHAUVES-SOURIS" ! Après avoir embarqué à bord d'un spacieux catamaran, vous mettrez le cap vers le Rocher du Diamant. Peut-être aurez-vous la chance de naviguer accompagné de dauphins ! Depuis la mer, vous bénéficierez d'une vue dégagée sur la côte sud-est surnommée la route des anses du fait des criques de sable qui la composent : Petite Anse, Anse d’Arlets, Grande Anse, Anse Noire (nom du à son sable noir), Anse Dufour … Vous apercevrez des villages de pêcheurs avant d'arriver sur la plage de Grand Anse en fin de matinée. Cette plage de sable blanc sera propice à la baignade et à la découverte du monde sous-marin avec masques et tubas.  Un repas créole sera servi à bord du catamaran et en musique, accompagné de jus de fruits et de planteurs. Après le déjeuner, vous visiterez la grotte dite "aux chauves-souris" en raison de la colonie de chauves-souris qui y vit. Vous profiterez ensuite d'un arrêt aux abords de l'Anse Dufour pour vous baigner dans une eau pleine de poissons multicolores. Le retour à la marina sera prévu pour 17h. L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération

Explorez le Nord de la Martinique et ses paysages tropicaux le temps d'une randonnée en buggy ! EXPLOREZ LE NORD DE LA MARTINIQUE ET SES PAYSAGES TROPICAUX LE TEMPS D'UNE RANDONNÉE EN BUGGY ! Vous démarrerez votre parcours à la Plantation Leyritz, site qui date de 1713. Vous profiterez d'une vue panoramique sur l'océan Atlantique d'un côté et sur les reliefs du nord de l'île de l'autre. Installé sur votre buggy, très facile à conduire (si vous le souhaitez, un passager pourra partager votre buggy), vous partirez pour une randonnée de 3h jusqu'aux pieds escarpés du versant Est du Mont Pelée. Vous y découvrirez des vues splendides entre champs de canne à sucre, bananeraies et plantations d’ananas.  Durant cette activité, vous passerez des gués de rivière et bénéficierez d'un arrêt baignade très rafraîchissant sous la paroi abrupte d'une cascade. Des boissons fraîches vous seront servies tout au long de la randonnée. En fin de parcours, vous visiterez la Rhumerie J.M. située au village de Macouba. Cette distillerie légendaire fait apparaitre tout son savoir-faire dans la fabrication d’un rhum très parfumé. Vous prendrez après cela le chemin du retour.

Partez à la découverte d'une île anglophone caribéenne aux villages pittoresques : Sainte-Lucie ! PARTEZ À LA DÉCOUVERTE D'UNE ÎLE ANGLOPHONE CARIBÉENNE AUX VILLAGES PITTORESQUES : SAINTE-LUCIE ! Au départ de Sainte-Anne, vous naviguerez toutes voiles dehors par le versant sud caraïbe de la Martinique pour ensuite traverser le canal de Sainte-Lucie. Sainte-Lucie est une île anglophone, indépendante depuis 1978. Le premier mouillage s'effectuera dans la baie de la capitale : Castries.  Une fois à terre, vous découvrirez les étals de marché regorgeant de fruits, de légumes, et d'objet de l'artisanat local. De retour à bord du catamaran, le capitaine mettra le cap vers le sud jusqu'au très joli village de Marigot Bay, connu pour être un refuge lors des ouragans mais aussi un lieu de mouillage des yachts de très grand luxe.  Après une baignade dans les hauts fonds de sable blancs, vous apprécierez un déjeuner typique servi dans un restaurant-paillote situé les pieds dans l'eau. Vous remonterez ensuite vers Pigeon Island, une réserve naturelle protégée, avant de mettre le cap sur la Martinique pour un retour prévu au ponton vers 18h. 

Admirez la côte sud caraïbe de la Martinique le temps d'une randonnée en buggy ! ADMIREZ LA CÔTE SUD CARAÏBE DE LA MARTINIQUE LE TEMPS D'UNE RANDONNÉE EN BUGGY ! Votre parcours commencera au site "La Pointe du Marin", un bras de terre qui ferme la baie du Marin. Sa longue plage de sable blanc s'étire sur plus d'un kilomètre et de grands cocotiers et raisiniers la bordent. Vous apprécierez cette randonnée aux abords de la forêt sèche et le long du littoral. Installé dans votre buggy, vous prendrez le volant et pourrez être accompagné d'un passager si vous le souhaitez. Vous emprunterez des sentiers dans des clairières, des chemins de terre, et des pistes de sable et de boue ! Ce parcours de 35km vous permettra de découvrir l'arrière-pays du village de Sainte-Anne ainsi que des points de vue magnifiques. Vous observerez également les ruines du "Crève-Cœur", une ancienne sucrerie composée d'une propriété imposante (dite "la maison du maître") et de ce qui était le village des travailleurs (doté d'une vingtaine de cases). La promenade vous emmènera ensuite au bord de certaines des plus belles plages du sud caraïbe. Vous profiterez d'une pause pour vous baigner dans la mer des Caraïbes et bénéficierez de boissons rafraîchissantes durant la randonnée.  A la fin de l'excursion, vous retournerez au point de départ. 

Profitez d'une journée en kayak pour explorer le sud de l'île et admirer ses étonnantes faune et flore ! PROFITEZ D'UNE JOURNÉE EN KAYAK DE MER POUR EXPLORER LE SUD DE LA MARTINIQUE ET ADMIRER SA FAUNE ET SA FLORE ! Après avoir retrouvé votre guide sur la plage de l'Anse Michel, celui-ci procèdera à la distribution des gilets et vous conseillera sur le maniement des pagaies. Vous partirez à la découverte de l'extrémité sud de la Martinique. Vous glisserez en direction de l'îlet Chevalier pour y observer la barrière de corail, les îlets voisins, et bien sûr la faune et la flore de ce joli site. Vous profiterez ensuite d'une baignade dans les hauts fonds de sable blanc avant de déguster un planteur, un Ti-punch, et des accras créoles.  Dans l'après-midi, vous visiterez l'Ilet Hardy, une réserve ornithologique, et bénéficierez de nombreuses explications sur les différentes espèces d'oiseaux qui colonisent ce banc de terre. La balade en kayak poursuivra son cours à travers les palétuviers rouges de la mangrove. Arrivé dans la grande Baie des Anglais, le guide vous racontera l'histoire des lieux, riches en vestiges de l'époque coloniale : moulins à sucre, four à chaux, des plantations de melon... Une seconde baignade s'offrira  à vous et un déjeuner typiquement créole sera servi sur la plage de la Baie des Anglais. Il sera accompagné de fruits de saisons, de digestifs et de boissons variées. S'en suivra un temps libre dédié à la détente. Paddles, boules de pétanque, et d'autres jeux serons mis à votre disposition. Ainsi revigoré, vous reprendrez place à bord de votre kayak pour les derniers coups de pagaies. Le retour à l'Anse Michel est prévu à 16h environ.    L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération

EXPLOREZ LA FORÊT TROPICALE ET DÉCOUVREZ SES PAYSAGES GRÂCE À CE TOUR "3 EN 1" ! Vous rejoindrez par vos propres moyens le lieu de l'activité. Vous débuterez votre tour par une traversée en téléphérique durant laquelle vous profiterez d’une vue panoramique sur la canopée. Accompagné par votre guide, vous découvrirez la faune et la flore de la forêt tropicale.  Vous effectuerez ensuite une courte randonnée au cœur de la forêt pour découvrir différentes escpèces animales et végétales depuis le sol.  Vous atteindrez ensuite les plateformes d'où vous vous élancerez pour vos descentes en tyrolienne. Enfin, vous admirerez une dernière fois la canopée lors de votre trajet retour en téléphérique. 

L’usine du Marin est construite en 1869 sur le territoire de l’habitation Poirier, à proximité du bourg du Marin, par Charles Harouard et Joseph Braud, après une première expérience attestée dans les années 1840. Cette usine centrale gérée en société anonyme a pour objectif de centraliser la production de canne à sucre des habitations du Sud de la Martinique. Sa localisation dans le fond de la baie du Marin en fait rapidement un centre névralgique dans l’acheminement de la production vers les ports de Saint-Pierre ou de Fort-de-France, mais aussi de l’acheminement des biens de consommation dans les environs. Elle acquiert progressivement les terres des habitations environnantes afin d’assurer un approvisionnement régulier. La centralisation de l’usine provoque l’abandon progressif des moyens de production jusqu’à présent décentralisés dans les douze habitations des communes de Sainte-Anne et du Marin (les sucrôtes). Cette désaffection provoque la ruine des bâtiments de production des habitations et leur disparition du paysage rural. En 1902, l’équipement de l’usine est modernisé (moulin pour le broyage, triple e et pour l’évaporation, appareil à cuire). Le bassin de l’usine est alors constitué des habitations Grand-Fond, Fougainville, Petit- Versailles et Belfond, pour environ 950 ha. Il avoisine en 1950 les 3 000 ha et approvisionne l’usine centrale par une voie de chemin de fer (11 km de voies) en parallèle d’un réseau maritime via la baie du Marin. Au cours des années 1920-1930, la production annuelle de sucre varie entre 15 000 et 23 000 quintaux, pour passer à 30 000-40 000 quintaux dans les années 1940-1950. Il faut noter une diversification de ses activités avec la production d’alcool, entre 1913 et 1922, et la mise en valeur des salines de Sainte-Anne, pendant la Seconde Guerre mondiale. En 1967, l’usine produit 71 500 quintaux de sucre. Elle offre à une cinquantaine de petits producteurs un débouché à leur production et emploie 120 ouvriers. Malgré une tentative de reconversion dans la production de bananes, l’usine cesse définitivement ses activités en 1969. Pendant près d'un siècle, c'est au rythme de l'arrivée des chargements de canne par voie ferrée, par route ou par mer qu'un quartier, un bourg et tout le sud-est de la Martinique vivaient pendant la saison de la coupe de la canne.

Le quartier Montgérald est situé à l'entrée du bourg. Il doit son nom à Girardin de Montgérald, commandant de Sainte-Anne, qui s'illustra dans la défense de la colonie lors de la descente anglaise de 1808 en portant secours au brick le Griffon et en repoussant l'ennemi au prix de sa vie. Ce quartier, organisé au 19è siècle autour de l'Habitation Montgérald a connu un fort développement en raison de l'activité d'une des seules usines centrales du sud de l'île. Ancienne maison d’habitation du Marin, construite dans les années 1830, l'habitation Montgérald ou Villa Charron, est unique par sa construction en « U » et par ses murs chargés d'histoires. Cette résidence principale était occupée par la famille Charron, l’une des plus riches de l’époque. La maison constitue un ensemble cohérent d'une habitation littorale du 19è siècle ayant perdu ses fonctions productives: maison, jardin et dépendances orientés vers la mer. L'habitation comprend : La maison de maître, Les vestiges bâtis (écurie, bassin ancienne case des travailleurs), et son jardin avec son allée bordée de plantations faisant l'articulation avec la mer.

Trigonolithe (pierre bleue à 3 pointes): oeuvre de l'artiste cubain Julio Neira acquise en 2012. Elle symbolise la fertilité. C'est une adaptation contemporaine du triumvirat traditionnel de la culture Taïno aux Antilles. Taïno signifie "bon et noble". Il était utilisé en opposition à la violence d'un autre groupe d'indiens appelés Caribes. Tous les experts s'accordent sur le fait que l'organisation sociale, politique et religieuse des taïnos, l'expression de leur art, la structure de leur économie, faisaient d'eux sans aucun doute le groupe d'indigènes le plus développé de la région antillaise. La Caraïbe, avant d’être le nom celui d’un groupe d’îles était celui d’un peuple venu de la zone nord d’Amérique du Sud ayant vécu dans l’archipel. L’histoire de la Caraïbe avant Christophe Colomb se résume au peuplement de deux différents groupes, les Taïnos (également appelé les Arawaks) qui occupaient les terres auparavant depuis plusieurs siècles avant l’arrivée par la suite des Caraïbes. Les Taïnos dormaient dans des hamacs, tenaient des cérémonies rituelles autour d’une icône masculine et féminine, figure en bois en pierre de leurs dieux appelés les « zemis ». De plus, ils considéraient la pluie, le vent, le feu et les ouragans comme des forces naturelles spirituelles. Pour eux, après la mort existait un endroit appelé « cobaya », un endroit sanctifié dépourvu de toute maladie, tempête ou faim. Leur principale source d’alimentation était « la terre et l’océan » : poisson, perroquets, colombes et des petits animaux de terre. A cela, ils rajoutaient du maïs, du manioc ainsi que divers fruits sauvages. Les tribus Caraïbes en arrivant dans les îles auraient systématiquement forcé les Taïnos à quitter les îles. Cependant, ce serait les explorateurs espagnols qui auraient définitivement exterminé les Taïnos. Dans leur conquête de l’or, les Espagnols éradiquent la tribu en un peu moins de cinquante années. Les conquistadors envoient les Taïnos pour travailler dans des mines d’or et de perles en Afrique du Sud mais, beaucoup, refusant ce rôle préfèrent se suicider plutôt que d’être réduits à l’esclavage. La course à l’or continuera jusqu’à 1521 où de plus larges réserves sont découvertes au Mexique. Les Pierres à 3 pointes sont l'une des productions les plus remarquables d'une période de l'évolution de la culture arawak. Ces objets n'existent qu'aux Antilles mais sont relativement rares en Martinique. On peut avancer que ces objets symbolisent toute l'histoire de l'humanité. Par leur forme triangulaire elles évoquent la montagne Canta et sa grotte Cacibajagua d'où sont sortis les premiers humains. Elles se réfèrent au mythe d'acquisition des femmes et à leur ouverture grâce au bec de l'oiseau pivert. En tant que matériau, la pierre, elles sont du côté humide. Elles donnaient la pluie quand quand on en avait besoin c'est pourquoi les tainos les enterraient dans leurs jardins de vivres. Vers le 8ème siècle elles ont toutes été brisées intentionnellement aux Petites Antilles durant les longues sécheresses qui se sont produites. La pluie ne tombant plus, les tainons ont pensé qu'elles étaient devenues inefficaces.

Admirez dans cette rue les anciennes maisons en bois du bourg. Mais qui était Victor Schoelcher ? Pour la postérité, Victor Schoelcher reste celui qui abolit l’esclavage et la traite des Noirs qu’il qualifiait de « crimes de lèse-humanité ». Rien ne prédestinait le jeune Victor à devenir un libérateur d’esclaves. Il naît à Paris en juillet 1804 sous le Premier Empire dans une famille bourgeoise aisée et catholique du faubourg Saint-Denis. Deux ans auparavant, le premier consul Bonaparte avait rétabli l’esclavage que l’Abbé Grégoire avait réussi à abolir (1794). Le jeune homme côtoie les milieux littéraires et artistiques parisiens où il se lie d’amitié avec George Sand, Hector Berlioz et Frantz Liszt. Mais son père, impatient qu’il s’investisse dans l’entreprise familiale de porcelaine, l’envoie comme représentant commercial dès 1828 aux Etats-Unis, au Mexique et à Cuba. Dans les Caraïbes, Victor Schoelcher est horrifié par l’esclavage et les mauvais traitements infligés aux esclaves. A son retour en France en 1830, il décide d’abandonner le métier de porcelainier pour celui de journaliste, qui lui permettra de défendre les valeurs républicaines de liberté et d’égalité. Parallèlement, il adhère à la franc-maçonnerie. Ayant revendu la manufacture de son père, il se consacre totalement à ses activités philanthropiques dès 1832. Après la mort de l’Abbé Grégoire, il prend le relais de la lutte contre l'esclavage en multipliant les articles, dont De l’esclavage des Noirs et de la législation coloniale (Paris, Paulin, 1833). Il repart en voyage dans les colonies dans les années 1838-40. Il prône désormais une abolition immédiate et complète, sans renoncer pour autant au colonialisme économique qu’il défend. En 1847, dans Histoire de l’esclavage pendant ces deux dernières années qui regroupe tous ses articles, il reconnaît en préambule : « Il est impossible d'introduire l'humanité dans l'esclavage. Il n'existe qu'un moyen d'améliorer réellement le sort des nègres, c'est de prononcer l'émancipation complète et immédiate ». Survient la Révolution de février 1848. Il rencontre François Arago, ministre de la Guerre, de la Marine et des Colonies du Gouvernement Provisoire et devient Sous-secrétaire d’État aux Colonies et à la Marine et président de la Commission d‘abolition. Il est l'initiateur du décret du 27 avril 1848 qui abolit définitivement l'esclavage en France et dans les colonies françaises, selon le principe que "le sol de la France affranchit l'esclave qui le touche". Dans la foulée, Victor Schoelcher est élu député aux colonies. De 1848 à 1850, il siège à gauche comme député de la Martinique à la Constituante et de la Guadeloupe à la Législative. Lors du coup d’État du 2 décembre 1851, il est aux côtés de Jean-Baptiste Baudin, représentant de la Montagne comme lui, lorsque celui-ci est blessé à mort sur la barricade. Violemment hostile à Napoléon III, il est proscrit jusqu'à la chute de l'Empire. Exilé en Angleterre, il rencontre Victor Hugo. Le mythe Schoelcherien : Dans la seconde partie de sa vie, Schoelcher s'engage dans divers combats démocratiques comme les droits de la femme, l'abolition de la peine de mort, l'analphabétisme. Depuis 1848, son patronyme symbolise l’égalité de tous les hommes et la liberté. Après l’abdication de Napoléon III, il est élu à l’Assemblée de Bordeaux où il tente de jouer les conciliateurs entre Paris et l’Assemblée, sans succès. Il est emprisonné par la Commune quelques jours, puis relâché. Il est réélu, grâce aux réseaux maçonniques des Antilles, député de la Martinique à l’Assemblée nationale, en 1871. Devenu sénateur inamovible en 1875, il milite contre la peine de mort et en 1877 il fait une proposition de loi interdisant la bastonnade dans les bagnes, ce qu’il obtient en 1880 avec l’abolition des peines corporelles. En 1884 et 1885, il tente de s’opposer, sans succès, à l’institution de la relégation des forçats récidivistes en Guyane. Abolitionniste mais colonialiste, il continue de défendre la colonisation par le bulletin de vote et la scolarisation. Il meurt en 1893. Ses cendres seront transférées au Panthéon le 20 mai 1949. Un principe : "Disons-nous et disons à nos enfants que tant qu'il restera un esclave sur la surface de la Terre, l'asservissement de cet homme est une injure permanente faite à la race humaine tout entière." Un texte : "Toutes les libertés sont soeurs : le peuple français, en s'émancipant, devait émanciper les esclaves ; un des derniers devoirs pour la France, délivrée de la monarchie, était d'en finir avec les hontes de l'esclavage. Le gouvernement provisoire l'a compris, il n'a pas différé la réparation de ce grand crime commis envers l'humanité. Il a voulu extirper sans délai, du sol français, l'institution qui nous déshonorait. A peine installé, il abolit la servitude, comme la royauté, comme la peine de mort, comme le châtiment corporel à bord des vaisseaux, comme tous les restes de la barbarie antique qui souillait encore nos codes."

Une chapelle établie dès 1660 est détruite en 1693 lors d’une descente anglaise. Une nouvelle église est reconstruite en 1766 à l’initiative du curé Jean-Marie de Coutances. Le gouverneur général des Antilles aurait posé la première pierre le 17 janvier 1766 ; le maître-autel est acheté en 1769. Mais l’église subit des dégâts importants suite aux cyclones d’août 1766 et de 1817. De 1853 à 1854, elle est agrandie par l’adjonction de deux chapelles latérales ; de 1865 à 1869, le clocher est reconstruit ; la nef est dallée de marbre en 1876. Pendant ces travaux, l’église subit de profondes modifications. L’accès à l’église se fait par une porte d’entrée monumentale surmontée d’un tympan. La façade est entièrement construite en pierre de taille selon un schéma classique ; le fronton est orné d’une niche accueillant la statue de saint Étienne. La façade est encadrée de doubles colonnes engagées, superposées d’ordres toscans, et couronnée par un fronton triangulaire. Les ailes sont constituées de pilastres à bossages. La nef de l’église est couverte d’une charpente en bois dite en forme de carène de navire renversée ; elle a été restaurée en 2009. Durant des années, de nombreux charpentiers de marine se sont installés au Marin, devenant alors charpentiers et ébenistes, savoir-faire alors reconnu sur la commune. À l’entrée de l’Eglise se trouvent les fonts baptismaux en pierre polie et creusée. Le maître-autel est acquis en 1769 grâce au legs de François Cornet, mais son sculpteur est inconnu. D’après la légende, il était initialement destiné à la cathédrale de Lima au Pérou, et le navire qui le transportait aurait fait naufrage à l’est du Marin. Cette légende est peu vraisemblable mais donne une explication à la présence d’un bien aussi précieux dans cette église. Son élégance est liée à l’utilisation de marbre polychrome, à la richesse de l’exécution, à la finesse de l’expression des personnages de la Cène sculptés en bas-relief dans la partie inférieure et aux volumes en élévation au-dessus du tabernacle représentant des groupes d’anges. Ces caractéristiques sont la marque du Grand Siècle français. Les statues en marbre blanc de la Vierge à l’enfant et de saint Étienne, situées de part et d’autre, bien qu’antérieures, complètent le maître-autel ; l’ensemble est protégé par une grille de communion en fer forgé du 18e siècle. Ces éléments sont classés monuments historiques par arrêté du 20 septembre 1982. Les autels situés aux extrémités du transept sont dédiés au Sacré-Cœur et à la Vierge à l’Enfant.

La maison Ursulet repose sur un soutènement en pierres de taille et domine la baie. Elle est entourée d'une galerie dont le sol est couvert de carreaux en terre cuite. De nombreuses portes et fenêtres à double battants avec persiennes sur toutes les façades assurent ventilation et luminosité naturelle dans la maison. Plusieurs cloisons et impostes avec frises décoratives complètent ce dispositif.

La commune du Marin est l’un des plus ancien site habité de la Martinique. En 1664, lors du premier dénombrement de l’île ordonné par Colbert, elle figurait sous le nom de « Cul-de-sac de Saint-Etienne du Marin » avec 199 habitants. En 1673, les anglais brûlèrent la chapelle et le bourg, ravageant les plantations et les troupeaux. Vers 1700, le bourg est reconstruit. Vers 1717, 60 hommes de la milice du Marin, sous la conduite de leur capitaine Henry Saint-Amour, participent au fameux Gaoulé (révolte) du Diamant, qui a pour conséquence l’arrestation et le renvoi en France du gouverneur et de l’intendant. Le petit port du Marin fut doté en 1731 d’une lieutenance royale et devint le chef-lieu d’un des quatre départements de l’île. Le 14 janvier 1759, une attaque anglaise fut repoussée. Le comte d’Ennery, posa la première pierre de l’église du bourg du Marin. Selon nos historiens locaux, l’autel de l’église était destiné à la cathédrale de Lima (Pérou), mais le navire qui le portait fit naufrage sur les côtes du cap, à l’est du Marin. Au XIXe siècle, le Marin fut le théâtre de combats navals entre français et anglais. Girardin de Montgérald, commandant du quartier de Sainte-Anne, et Mondésir Bonnier, commandant le Marin, mirent les anglais en déroute. Depuis deux quartiers du Marin portent leurs noms. La situation de l’agriculture au quartier du Marin se dégrade, en partie à cause de l’exode massif des royalistes pendant la Révolution. En 1839, le Marin fut érigé en commune, un conseil municipal fut élu par des électeurs censitaires. Le premier maire fut Jean-Baptiste Pelet de Lautrec qui fut remplacé 3 ans plus tard par Valcourt Duquesnay. Le maire de l’époque à su éviter avec doigté les troubles consécutifs à l’abolition de l’esclavage (1848). Vers 1868, se développe au Marin une véritable industrie du travail du bois. En 1869, construction de l’usine du Marin, qui remplaça les 120 usines sucreries du sud-est de l’île. C’est près de l’usine du Marin, qu’en 1871 se déroula l’incident qui fut à l’origine de «l’insurrection du Sud». Un conflit de classe et de couleur qui dégénéra. Plusieurs habitations brûlèrent du côté de Rivière Pilote et, comme il était d’usage à cette époque, le mouvement fut écrasé dans le sang par le gouvernement de la IIIe République. En 1974, les difficultés du monde agricole provoque la disparition de l’activité cannière et la fermeture de l'usine. De nos jours, l’économie du Marin est largement tournée vers le tourisme. Le Marin est connu dans la Caraïbe grâce à son port de plaisance. En effet, il est aujourd’hui le plus grand de la Martinique et l'une des plus grandes bases nautique des petites Antilles.

La place située sur le front de mer est l’ancienne place du Carénage, cœur économique du bourg aux 18 ème et 19ème siècles. C’est là que les activités liées à la pêche, au cabotage, au transport des marchandises et des passagers se déroulaient. La présence d’un ancien quai est attestée à l’extrémité est. On y trouve les demeures d’anciens notables mais aussi des maisons traditionnelles liées à ces activités économiques. Plusieurs bâtiments renvoient à l’aménagement de la zone au 19ème siècle, dont l’imposante maison appelée La Girafe. La partie inférieure construite en calcaire offre une série d’entrées avec linteaux taillés. Le linteau situé à l’angle de la rue Pasteur indique « Charlery a fait » tandis qu’un autre indique une date portée illisible, du 19ème siècle.

Vous pouvez vous garer au parking du Cap Beauchêne. Cap le plus avancé de la Martinique en direction de l’Est, le Domaine du Grand Macabou présente un paysage exceptionnel grâce à sa diversité de végétation et de paysages. Prenez le chemin du calvaire pour descendre jusqu'à la Chapelle Notre-Dame des Roses ou chapelle de la Vierge des Marins, restaurée en 2002 par le Conservatoire du littoral . Ce lieu de recueillement dédié au salut des navigateurs est particulièrement fréquenté durant les fêtes de Pâques.

Traversez le Domaine du Grand Macabou jusqu'à la plage de l'Anse grosse roche. Au bout de la plage vous pourrez découvrir dans la roche une ouverture naturelle en forme de coeur ! La flore: Aux XVIIIème et XIXème siècle, la canne à sucre était cultivée sur tout le domaine du Grand Macabou. Le déclin de cette production agricole a progressivement entraîné une extension des savanes herbacées et arbustives, des fourrés épineuses et de la forêt sèche. Quant aux cocotiers bordant Grande Anse Macabou et Anse Grosse Roche, (forêts domaniales de 30 ha gérées par l’ONF), ils ont été plantés au siècle dernier, ce qui explique leur alignement régulier le long des plages. La faune : De nombreux oiseaux sont observables sur le site, comme le Saltator gros-bec protégé depuis 1989. L’étang Massel est devenu le refuge de nombreux oiseaux sédentaires et migrateurs.

Restaurant créole. Pour réserver : +596 696 86 24 53

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La Brasserie du Bout du Monde est abritée dans un ancien souterrain militaire. Récompensée plusieurs fois, la bière de Térénez vous surprendra par son originalité. Un couloir long de 100 mètres vous mènera dans une salle de 400m² où elle est produite. Des visites peuvent se faire au départ de Brest à partir du quai de la douane et par la mer en partenariat avec le bateau le Brestoâ, au départ du site de Terenez avec le Dalh Mad et le Loch Monna. Rendez-vous sur le site internet pour en savoir plus! Petit plus: Cet ancien souterrain servait de soute à munitions et a été construit par l'OTAN.

Tri Martolod ? Vous connaissez probablement la chanson. Pourtant il s'agit ici non pas de musique mais de bière artisanale. Notre histoire commence en 1999, lorsqu'une bande de copains décide de créer une SCOP pour produire la première Pils bretonne. 18 ans plus tard, les 15 associés salariés vous accueillent pour une visite de la brasserie qui vous mènera dans les coulisses de la fabrication de la bière et l'organisation de sa distribution en coopérative. Artisanale et indépendante dans un marché dominé par les industries multinationales, Tri Martolod, c'est LA bière coopérative de Concarneau. Petit plus: Tri Martolod propose également une cave à bières artisanales avec + de 100 références issues des 4 coins de la France.

Le Saint Hubert Repéré mais non testé

Centre d'hébergement et de découverte de l'environnement, 115 couchages, restauration, randonneurs, séminaires, formation, cyclo, classes de découverte

Merveilleux petit port blotti sur la rive ouest de l’Aven. La lumière y est féerique lorsque les rayons du soleil se lèvent entre les petites barques, les voiliers et les bateaux de pêche. Le lieu est idéal pour apprécier une douce soirée estivale en terrasse.

Départ de la remontée du Guillec