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La chapelle-d'armentieres, Nord, Nord-Pas-de-Calais

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La Chapelle-d'Armentières, située dans le département du Nord, est un véritable joyau du Nord-Pas-de-Calais. Entourée de paysages verdoyants et traversée par la rivière Lys, cette charmante commune offre un cadre de vie paisible et authentique. À seulement quelques kilomètres de Lille, elle est idéale pour les amateurs de nature et de tranquillité tout en étant proche de l'effervescence urbaine. L...Voir plus

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Guerres et reconstructions : les enfants de la patrie
908 m

Guerres et reconstructions : les enfants de la patrie

La ville d’Armentières, distinguée par deux Croix de guerre, et sa population ont payé un lourd tribut lors des deux guerres mondiales et notamment la première : cité détruite, fils morts au champ d’honneur, civils abattus. De nombreuses plaques commémoratives ont été apposées, en divers lieux de la ville, dans des bâtiments publics ou privés, pour rappeler au souvenir les victimes de la guerre : liste des paroissiens morts exposée dans chaque église, plaque souvenir dans les établissements scolaires (Lycée Gustave Eiffel, Institution Saint-Jude, école Gambetta et Paul Bert) comme dans les bâtiments publics (mairie, complexe sportif, gare). Outre le cimetière militaire, des monuments aux morts et des plaques ponctuant certains espaces de la ville, ainsi que le nom de nombreuses rues rebaptisées après guerres, évoquent la mémoire de ces enfants de la patrie. Vingt quatre rues d’Armentières portent des noms évocateurs des deux guerres mondiales : noms de glorieux militaires (Mangin, Lyautey, Foch, Joffre), noms d’aviateurs (Garros, Guynemer, Védrines, Nungesser), noms de faits de guerre (Clémenceau, de la Marne, de Verdun, du Kemmel, du 11 novembre, de la Victoire, de l’Harmonie),ou des noms d’Armentiérois célèbres (Raymond Lis, Auguste et Michel Mahieu, Ernest Deceuninck). Les frères Mahieu et la Goutte de lait :La riche famille industrielle Mahieu installe dès 1839 des filatures à Armentières. Dans la cour de l’ancien hôtel de Mme Mahieu, situé rue Jean Jaurès, se dressent les statues des frères Mahieu. Inauguré en 1924, le monument de bronze, oeuvre du sculpteur lillois Hippolyte Lefebvre, rappelle la mémoire d’Auguste, le chasseur, mort à Verdun en 1916 et de Michel, l’aviateur, tué lors d’une mission de bombardement en 1918. Mme Mahieu, fait don de la maison reconstruite après la guerre aux œuvres de la protection de l’enfance. Ce lieu est encore surnommé aujourd’hui par les armentiérois la Goutte de lait. Le monument aux morts :Construit en 1925 par l’architecte Cordonnier et le sculpteur Boutry sur l’actuelle place du Général de Gaulle, ce monument aux morts est érigé à la mémoire des 1085 armentiérois tombés sur les champs de bataille. Un poilu se dresse vainqueur, l’arme au pied, maintenant au sol l’aigle vaincu, symbole du militarisme allemand. Une femme, représentant la ville d’Armentières, lui tend une couronne de laurier. A la base, des bas-reliefs évoquent la mobilisation, la bataille et le retour des soldats. Les autorités allemandes font effacer l’aigle en 1940, le considérant comme une insulte au troisième Reich. Les cimetières :A l’est de la cité s’étend le cimetière militaire britannique près de la cité Bonjean. Dans cet immense alignement de stèles toutes semblables, reposent 2658 combattants, de nationalités diverses. Ernest Deceuninck :Né à Saint-André le 26 mars 1877, Ernest Deceuninck, représentant de commerce, installe sa famille à Armentières en 1904. Résistant de la première heure, il est fusillé par les allemands le 22 septembre 1915 dans les fossés de la citadelle de Lille. Son corps repose sous le monument aux morts du cimetière de la ville depuis le 22 mars 1930.

Place Jules Guesde 59280 ARMENTIÈRES
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7/ Guerres et reconstructions : les enfants de la patrie
940 m

7/ Guerres et reconstructions : les enfants de la patrie

La ville d’Armentières, distinguée par deux Croix de guerre, et sa population ont payé un lourd tribut lors des deux guerres mondiales et notamment la première : cité détruite, fils morts au champ d’honneur, civils abattus. De nombreuses plaques commémoratives ont été apposées, en divers lieux de la ville, dans des bâtiments publics ou privés, pour rappeler au souvenir les victimes de la guerre : liste des paroissiens morts exposée dans chaque église, plaque souvenir dans les établissements scolaires (Lycée Gustave Eiffel, Institution Saint-Jude, école Gambetta et Paul Bert) comme dans les bâtiments publics (mairie, complexe sportif, gare). Outre le cimetière militaire, des monuments aux morts et des plaques ponctuant certains espaces de la ville, ainsi que le nom de nombreuses rues rebaptisées après guerres, évoquent la mémoire de ces enfants de la patrie. Vingt quatre rues d’Armentières portent des noms évocateurs des deux guerres mondiales : noms de glorieux militaires (Mangin, Lyautey, Foch, Joffre), noms d’aviateurs (Garros, Guynemer, Védrines, Nungesser), noms de faits de guerre (Clémenceau, de la Marne, de Verdun, du Kemmel, du 11 novembre, de la Victoire, de l’Harmonie),ou des noms d’Armentiérois célèbres (Raymond Lis, Auguste et Michel Mahieu, Ernest Deceuninck). Les frères Mahieu et la Goutte de lait La riche famille industrielle Mahieu installe dès 1839 des filatures à Armentières. Dans la cour de l’ancien hôtel de Mme Mahieu, situé rue Jean Jaurès, se dressent les statues des frères Mahieu. Inauguré en 1924, le monument de bronze, oeuvre du sculpteur lillois Hippolyte Lefebvre, rappelle la mémoire d’Auguste, le chasseur, mort à Verdun en 1916 et de Michel, l’aviateur, tué lors d’une mission de bombardement en 1918. Mme Mahieu, fait don de la maison reconstruite après la guerre aux œuvres de la protection de l’enfance. Ce lieu est encore surnommé aujourd’hui par les armentiérois la Goutte de lait. Le monument aux morts Construit en 1925 par l’architecte Cordonnier et le sculpteur Boutry sur l’actuelle place du Général de Gaulle, ce monument aux morts est érigé à la mémoire des 1085 armentiérois tombés sur les champs de bataille. Un poilu se dresse vainqueur, l’arme au pied, maintenant au sol l’aigle vaincu, symbole du militarisme allemand. Une femme, représentant la ville d’Armentières, lui tend une couronne de laurier. A la base, des bas-reliefs évoquent la mobilisation, la bataille et le retour des soldats. Les autorités allemandes font effacer l’aigle en 1940, le considérant comme une insulte au troisième Reich. Les cimetières A l’est de la cité s’étend le cimetière militaire britannique près de la cité Bonjean. Dans cet immense alignement de stèles toutes semblables, reposent 2658 combattants, de nationalités diverses. Ernest Deceuninck Né à Saint-André le 26 mars 1877, Ernest Deceuninck, représentant de commerce, installe sa famille à Armentières en 1904. Résistant de la première heure, il est fusillé par les allemands le 22 septembre 1915 dans les fossés de la citadelle de Lille. Son corps repose sous le monument aux morts du cimetière de la ville depuis le 22 mars 1930.

11 Place Jules Guesde 59280 Armentières
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6/ Les actions sociales : les établissements
1 km

6/ Les actions sociales : les établissements

L’Asile d’aliénés est fondé en 1615 par un Armentiérois, Henri Pringuel et quelques compagnons, les «Bons fils». Installée d’abord à l’angle de la rue des Capucins et de la rue d’Arras (rue de Lille), cette structure enseigne aux enfants avant de recevoir des prisonniers et des pensionnaires ayant perdu l’esprit. En 1875, l’Asile devenu propriété des hospices d’Armentières est transféré sur les terrains actuels, où est construit un magnifique établissement composé de 14 pavillons et de nombreuses annexes (habitations, infirmerie, cuisine, bains généraux, boulangerie, château d’eau), entourés de vastes espaces végétalisés : une ville dans la ville. L’asile, devenu hôpital psychiatrique depuis 1937, est entièrement détruit pendant la Première guerre mondiale, puis reconstruit de 1921 à 1938. En 1940, une population de 2480 malades vit dans cette enceinte, soignée par 535 personnes. En 1993, le centre hospitalier spécialisé prend le nom d’Etablissement Public de Santé Mentale Lille-Métropole. Pour répondre notamment à la nouvelle politique en matière de santé mentale, certains travaux de rénovation du site sont alors nécessaires, menés dans le respect de la qualité architecturale des lieux. Depuis plusieurs années, de nombreuses démarches ont été initiées pour l’ouverture du site sur la ville, un certain nombre de patients étant par ailleurs pris en charge grâce à diverses structures de soins et d’accueil, réparties sur toute la métropole. Une vocation hospitalière Le grand nombre d’établissements de soins témoigne d’une longue vocation hospitalière de la ville. Avant les hôpitaux, il y eut sans doute les maladreries, situées hors de remparts pour éviter les contagions. L’hôpital des Pèlerins (1482), l’hôpital des Sœurs Grises (1504), l’hôpital Sainte Catherine (1565), l’hôpital Sainte Marie (1632), l’hôpital des Dames de la Charité (1682) et l’hôpital des Jésuites (1782) sont détruits tour à tour par les sièges et les incendies dont la ville eut maintes fois à souffrir. De l’hospice Humanité au centre hospitalier Tout au long du XVIe siècle et grâce à la protection des seigneurs d’Armentières, plusieurs communautés religieuses ouvrent de petits hôpitaux. Les Sœurs Grises hospitalières prennent en 1504 la direction d’un établissement donnant sur la place Saint-Vaast. L’hôpital devient, en 1796, la maison communale des malades de la ville. Pour pallier le manque de place, un nouvel hôpital est créé en 1882 dans la rue des Ecoles (rue Sadi Carnot), tandis que l’hospice reste provisoirement place Saint-Vaast. Il est touché lors des deux guerres. En 1984, le nouveau centre hospitalier est construit en lieu et place de l’ancien Hôpital civil.

106 Rue du Général Leclerc 59280 Armentières
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Les actions sociales : les établissements
1 km

Les actions sociales : les établissements

L’Asile d’aliénés est fondé en 1615 par un Armentiérois, Henri Pringuel et quelques compagnons, les «Bons fils». Installée d’abord à l’angle de la rue des Capucins et de la rue d’Arras (rue de Lille), cette structure enseigne aux enfants avant de recevoir des prisonniers et des pensionnaires ayant perdu l’esprit. En 1875, l’Asile devenu propriété des hospices d’Armentières est transféré sur les terrains actuels, où est construit un magnifique établissement composé de 14 pavillons et de nombreuses annexes (habitations, infirmerie, cuisine, bains généraux, boulangerie, château d’eau), entourés de vastes espaces végétalisés : une ville dans la ville. L’asile, devenu hôpital psychiatrique depuis 1937, est entièrement détruit pendant la Première guerre mondiale, puis reconstruit de 1921 à 1938. En 1940, une population de 2480 malades vit dans cette enceinte, soignée par 535 personnes. En 1993, le centre hospitalier spécialisé prend le nom d’Etablissement Public de Santé Mentale Lille-Métropole. Pour répondre notamment à la nouvelle politique en matière de santé mentale, certains travaux de rénovation du site sont alors nécessaires, menés dans le respect de la qualité architecturale des lieux. Depuis plusieurs années, de nombreuses démarches ont été initiées pour l’ouverture du site sur la ville, un certain nombre de patients étant par ailleurs pris en charge grâce à diverses structures de soins et d’accueil, réparties sur toute la métropole. Une vocation hospitalière :Le grand nombre d’établissements de soins témoigne d’une longue vocation hospitalière de la ville. Avant les hôpitaux, il y eut sans doute les maladreries, situées hors de remparts pour éviter les contagions. L’hôpital des Pèlerins (1482), l’hôpital des Sœurs Grises (1504), l’hôpital Sainte Catherine (1565), l’hôpital Sainte Marie (1632), l’hôpital des Dames de la Charité (1682) et l’hôpital des Jésuites (1782) sont détruits tour à tour par les sièges et les incendies dont la ville eut maintes fois à souffrir. De l’hospice Humanité au centre hospitalier :Tout au long du XVIe siècle et grâce à la protection des seigneurs d’Armentières, plusieurs communautés religieuses ouvrent de petits hôpitaux. Les Sœurs Grises hospitalières prennent en 1504 la direction d’un établissement donnant sur la place Saint-Vaast. L’hôpital devient, en 1796, la maison communale des malades de la ville. Pour pallier le manque de place, un nouvel hôpital est créé en 1882 dans la rue des Ecoles (rue Sadi Carnot), tandis que l’hospice reste provisoirement place Saint-Vaast. Il est touché lors des deux guerres. En 1984, le nouveau centre hospitalier est construit en lieu et place de l’ancien Hôpital civil.

Rue du Général Leclerc 59280 ARMENTIÈRES
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8/ Richesses architecturales : école de natation, bains et lavoirs publics
1.1 km

8/ Richesses architecturales : école de natation, bains et lavoirs publics

L’école de natation, bains et lavoirs publics est l’expression d’une ambition hygiéniste et sociale forte. En 1890, la municipalité décide la construction d’une école permanente de natation à eau chaude avec cabinets de bains en baignoires, salle de vapeur et de sudation, douches et lavoir public, piscine et salle d’hydrothérapie. Le bâtiment est conçu par l’ingénieur hygiéniste Edmond Philippe. Il associe différents bains dans une construction en longueur qui traverse l’îlot. L’entrée principale prend place à l’angle de deux rues, jouxtant le square Victor Hugo. En juillet 1891, l’établissement des bains ouvre ses portes. Armentières est alors une des premières villes de France à offrir, dans un souci d’hygiène, un établissement de ce type à sa population, et notamment aux enfants des écoles qui en sont les premiers bénéficiaires. En 1906, la piscine est transformée en salle des fêtes, pouvant accueillir 800 personnes, grâce à la réalisation d’un plancher amovible recouvrant le bassin. Le bâtiment est reconstruit à l’identique en 1923 après sa destruction pendant la Première Guerre mondiale, mais n’offre plus que les possibilités de bains publics et de natation. Le décor de rochers, le plancher amovible, les salles de massage et de coiffure, le gymnase non couvert et les installations des laveries n’existent plus. Le bâtiment est inscrit à l’inventaire des Monuments Historiques en 2003. Un projet hygiéniste La fin du XIXe siècle voit apparaître le mouvement hygiéniste en architecture, qui prône l’application des théories du même nom. On désenclave et aère les villes, on lutte contre l’insalubrité des logements, on laisse entrer la lumière naturelle. Ce mouvement suscite aussi la construction de nouveaux bâtiments à vocation sociale et hygiéniste, souvent d’une grande qualité architecturale.

10 Square Victor Hugo 59280 Armentières
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Richesses architecturales : école de natation, bains et lavoirs publics
1.1 km

Richesses architecturales : école de natation, bains et lavoirs publics

L’école de natation, bains et lavoirs publics est l’expression d’une ambition hygiéniste et sociale forte. En 1890, la municipalité décide la construction d’une école permanente de natation à eau chaude avec cabinets de bains en baignoires, salle de vapeur et de sudation, douches et lavoir public, piscine et salle d’hydrothérapie. Le bâtiment est conçu par l’ingénieur hygiéniste Edmond Philippe. Il associe différents bains dans une construction en longueur qui traverse l’îlot. L’entrée principale prend place à l’angle de deux rues, jouxtant le square Victor Hugo. En juillet 1891, l’établissement des bains ouvre ses portes. Armentières est alors une des premières villes de France à offrir, dans un souci d’hygiène, un établissement de ce type à sa population, et notamment aux enfants des écoles qui en sont les premiers bénéficiaires. En 1906, la piscine est transformée en salle des fêtes, pouvant accueillir 800 personnes, grâce à la réalisation d’un plancher amovible recouvrant le bassin. Le bâtiment est reconstruit à l’identique en 1923 après sa destruction pendant la Première Guerre mondiale, mais n’offre plus que les possibilités de bains publics et de natation. Le décor de rochers, le plancher amovible, les salles de massage et de coiffure, le gymnase non couvert et les installations des laveries n’existent plus. Le bâtiment est inscrit à l’inventaire des Monuments Historiques en 2003. Un projet hygiéniste :La fin du XIXe siècle voit apparaître le mouvement hygiéniste en architecture, qui prône l’application des théories du même nom. On désenclave et aère les villes, on lutte contre l’insalubrité des logements, on laisse entrer la lumière naturelle. Ce mouvement suscite aussi la construction de nouveaux bâtiments à vocation sociale et hygiéniste, souvent d’une grande qualité architecturale.

Square Victor Hugo 59280 ARMENTIÈRES
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Où manger à La chapelle-d'armentieres

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Les Copines d’abord – La guinguette qui fait chanter l’été à La Chapelle-d’Armentières
462 m

Les Copines d’abord – La guinguette qui fait chanter l’été à La Chapelle-d’Armentières

Un air de vacances à deux pas de chez vous Imaginez… Une table en bois sous un saule pleureur, des rires d’enfants qui résonnent autour de l’étang, le tintement des verres qui s’entrechoquent, et en fond, une playlist joyeuse qui fleure bon les beaux jours. Bienvenue aux “Copines d’abord”, la nouvelle guinguette de La Chapelle-D’armentières, un véritable havre de paix pour se reconnecter à l’essentiel : la nature, les amis, et les bons moments. Un cadre naturel enchanteur au bord de l’étang Lovée derrière la mairie, autour de l’étang paisible du cœur de ville, cette guinguette a tout pour séduire : verdure, sérénité, espace, et une ambiance chaleureuse portée par des équipes passionnées. Chaque banc, chaque guirlande, chaque recoin a été pensé pour favoriser la détente et l’évasion. Une cuisine locale et responsable La guinguette propose une petite restauration mettant à l’honneur des produits bios et locaux, avec au menu des pizzas et des planches à partager. Côté boissons, vous pourrez déguster des cocktails, des bières artisanales et des softs rafraîchissants. Des animations pour tous les goûts Les Copines d’abord ne sont pas seulement un lieu de détente, mais aussi un espace d’animations variées : Tournois de pétanque et de fléchettes Bingos Marchés de créateurs et friperies Braderies Concerts Un accès facile et un stationnement malin Venir aux Copines d’abord, c’est facile ! Grâce aux nombreux parkings gratuits à proximité, vous n’aurez qu’à suivre les guirlandes pour atteindre la guinguette : Parking de la mairie Parking du restaurant scolaire Parking de l’école du Bourg Place du Général de Gaulle Square Birchington Que vous veniez à pied, à vélo ou en voiture, l’accès est simple et fluide. Un lieu pensé pour tous L’accessibilité est au cœur du projet. Si vous êtes en situation de handicap, notre équipe reste disponible pour vous accompagner et adapter votre expérience sur place. Ici, tout le monde a sa place autour de la table.

269 Avenue du Stade 59930 La Chapelle-d'Armentières
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Les Copines d'abord
478 m

Les Copines d'abord

Les Copines d’abord – La guinguette qui fait chanter l’été à La Chapelle-d’Armentières Un air de vacances à deux pas de chez vous Imaginez… Une table en bois sous un saule pleureur, des rires d’enfants qui résonnent autour de l’étang, le tintement des verres qui s’entrechoquent, et en fond, une playlist joyeuse qui fleure bon les beaux jours. Bienvenue aux “Copines d’abord”, la nouvelle guinguette de La Chapelle-D’armentières, un véritable havre de paix pour se reconnecter à l’essentiel : la nature, les amis, et les bons moments. Un cadre naturel enchanteur au bord de l’étang Lovée derrière la mairie, autour de l’étang paisible du cœur de ville, cette guinguette a tout pour séduire : verdure, sérénité, espace, et une ambiance chaleureuse portée par des équipes passionnées. Chaque banc, chaque guirlande, chaque recoin a été pensé pour favoriser la détente et l’évasion. Une cuisine locale et responsable La guinguette propose une petite restauration mettant à l’honneur des produits bios et locaux, avec au menu des pizzas et des planches à partager. Côté boissons, vous pourrez déguster des cocktails, des bières artisanales et des softs rafraîchissants. Des animations pour tous les goûts Les Copines d’abord ne sont pas seulement un lieu de détente, mais aussi un espace d’animations variées : • Tournois de pétanque et de fléchettes • Bingos • Marchés de créateurs et friperies • Braderies • Concerts Un accès facile et un stationnement malin Venir aux Copines d’abord, c’est facile ! Grâce aux nombreux parkings gratuits à proximité, vous n’aurez qu’à suivre les guirlandes pour atteindre la guinguette : • Parking de la mairie • Parking du restaurant scolaire • Parking de l’école du Bourg • Place du Général de Gaulle • Square Birchington Que vous veniez à pied, à vélo ou en voiture, l’accès est simple et fluide. Un lieu pensé pour tous L’accessibilité est au cœur du projet. Si vous êtes en situation de handicap, notre équipe reste disponible pour vous accompagner et adapter votre expérience sur place. Ici, tout le monde a sa place autour de la table.

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Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾