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Camping Plateau des Landes : Découvrez Blendecques, Pas-de-Calais

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Bienvenue sur la page dédiée aux activités et attirances locales autour du Camping Plateau des Landes à Blendecques, dans le Pas-de-Calais. Plongez au cœur de la nature, au sein du Parc Naturel Régional des Caps et Marais d'Opale, un véritable havre de paix pour les amateurs de randonnée et d'observation de la faune et la flore. À seulement quelques minutes, laissez-vous charmer par les richesses ...Voir plus

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Cathédrale Notre-Dame
4.7 km

Cathédrale Notre-Dame

Ce joyau s’inscrit dans une longue histoire. Il est l’un des monuments à l’origine de la ville. Dernier témoin de l’art gothique des provinces du nord, il fut édifié du 12e au 16esiècle. Il surprend par la quantité et la qualité de son mobilier. De la chapelle à la cathédrale Au 7e siècle, Omer, premier évêque de Thérouanne, reçoit en don d’Adroald un seigneur local le territoire de Sithieu. Sur le point le plus haut, il fonde une chapelle à l’emplacement d’un temple païen. Avant sa mort, il la confie à Bertin l’abbé du monastère tout proche. Il s’y fait enterrer en 663. Un siècle et demi plus tard, l’abbé Fridugise applique la réforme de l’Empereur carolingien Louis le Pieux. La chapelle devient une collégiale , une église desservie par 30 chanoines (des prêtres). Elle s’enrichit et devient un centre intellectuel et artistique. Une église dans son enclos Avec la destruction de Thérouanne en 1553, Saint-Omer devient un des trois nouveaux évêchés. La collégiale devient cathédrale en 1559 et jusqu’à la Révolution. Redevenue simple église, elle obtient du pape le titre de basilique en 1879. A la fin du 9e siècle, face aux invasions vikings l’enclosest fortifié. Au sud, les comtes de Flandre y fondent un château transformé en motte castrale vers l’an mil. Les chanoines sont à l’origine de la construction de la cathédrale. Au nord, ils construisent leurs bâtiments communs où ils vivent jusqu’à la fin du 12e siècle. Le cloître, accolé à la collégiale dessert les différentes pièces de vie : dortoir, cuisine, bibliothèque, salles… Cet ensemble a été détruit à la Révolution. Mais à partir du 13e siècle, les chanoines se font construire des maisons autour de la cathédrale. L’enclos est alors fermé par cinq portes. Après la prise de la ville par Louis XIV en 1677, les nouveaux évêques français se font construire un palais à côté du cloître. Trois siècles d'architecture gothique Les premières constructions étaient réalisées en bois jusqu’à une collégiale romane édifiée en pierre dans la 2e moitié du 11e siècle. Elle est déconstruite progressivement et englobée par l’édifice gothique . Il mesure 105m de long pour 51 de large (au transept ) et 22,90m de hauteur sous voûte. Sa construction s’étale sur 4 siècles et progresse d’est en ouest du chœur vers la tour. On trouve donc toutes les périodes du style gothique dans l’édifice. Le chœur est caractéristique de la première architecture gothique dans notre région par son plan et l’élévation des murs. Les transepts sont ornés au sud d’une rose rayonnante et au nord d’une rose flamboyante . Dans la nef, l’art flamboyant est surtout présent dans quelques détails comme la frise. Malgré les trois siècles de construction et les évolutions de style, c’est une impression d’unité qui prédomine pour cet édifice. Un incroyable mobilier Les chanoines ont doté la cathédrale d’un mobilier exceptionnel : des objets techniques comme l’ horloge astrolabe ou les grandes orgues, une collection de tableaux dont une descente de croix du peintre Rubens, de sculptures funéraires (cénotaphe de St-Omer, tombeau d’Erkembode, monuments des chanoines), de décors (dalles médiévales, clôtures des chapelles…)

Enclos Notre Dame 62500 SAINT-OMER
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Prison de la Motte Castrale
4.7 km

Prison de la Motte Castrale

Voilà un site qui nous plonge aux origines de la ville ! Autrefois appelé le bourg, du flamand « burg », le château, il s’agit du tout premier château de la ville fondé par les premiers comtes de Flandre au cours du Xe siècle. C’est l’un des très rares exemples de motte castrale (château constitué d’une butte de terre) qui ait été conservé en milieu urbain. Sa plateforme a d’abord porté une tour en bois puis les archéologues ont mis au jour l’ancien donjon de pierre qui figurait sur quelques gravures et sa chemise, un épais mur de pierre qui l’entourait. C’était la demeure du châtelain de Saint-Omer qui veillait pour le comte sur le territoire alentour de la châtellenie. Lorsqu’il perdit ce rôle, le donjon fut transformé en prison. Au début du XVIIIe siècle il est détruit et remplacé quelques décennies plus tard par une prison de type Vauban. Cette solide construction de brique et pierre sur trois niveaux a été remarquablement bien conservée et vient d’être restaurée. Ses geôles sont désormais ouvertes à la visite et réservent quelques surprises… Le bâtiment accueille également une série d’expositions sur le rôle de la ville, siège du Grand Quartier Général de l’armée britannique pendant la Grande Guerre. Autour de l’édifice s’étend un jardin qui surplombe les alentours et offre à la fois un point de vue unique sur la cathédrale et des panoramas remarquables sur la ville et ses alentours. Prochainement ouverte au public.

62500 SAINT-OMER
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Chapelle du Collège des Jésuites
4.7 km

Chapelle du Collège des Jésuites

Par son volume et ses couleurs vives la chapelle des Jésuites se détache dans le paysage urbain. Sa taille impressionnante illustre l'importance du collège des jésuites wallons installé depuis 1566 et plus généralement du rôle joué par la ville dans l'enseignement de la Renaissance à la Révolution. C’est qu’au début de cette période, les évêques catholiques luttent contre les mouvements de réforme religieuse. Ils font appel à la Compagnie de Jésus, les Jésuites, pour les aider à mieux former les jeunes et les prêtres. Saint-Omer va ainsi s’imposer comme un des principaux centres d’enseignement secondaire avec la multiplication des établissements et la création d’un collège de jésuites anglais. La chapelle est édifiée de 1615 à 1640 par Jean du Blocq (1583-1656), architecte de la compagnie et auteur de la cathédrale de Luxembourg. Inspirée du Gesù, l'église des jésuites de Rome, sa construction allie la tradition gothique dans sa structure (voûtes à croisée d’ogives, contreforts, chapelles latérales…) et un style nouveau avec un seul volume central, de grosses volutes et une façade étonnante dont le portail est emprunté à l’architecte italien Serlio. L'importante campagne de restauration en cours sur l'édifice permet d'apprécier son riche programme de sculptures, notamment en façade. L’architecte nous montre ici qu’il a lu les traités d’architecture et redécouvert les motifs utilisés dans l’Antiquité : sur la pierre blanche ou celles du portail comme ces intrigants crânes de bœufs… A côté de la chapelle, la bibliothèque d’agglomération a pris ses quartiers dans l’ancien internat du collège et dans les bâtiments de classe reconstruits vers la fin du XIXe siècle. Elle s’organise autour d’un jardin bordée par 4 siècles d’architecture.

Rue du Lycée 62500 SAINT-OMER
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MUSEE SANDELIN
4.9 km

MUSEE SANDELIN

Le Musée de l’hôtel Sandelin est l’un des principaux Musées de France du Nord/Pas-de-Calais. Occupant un magnifique hôtel particulier du 18e siècle, il renferme depuis plus d’un siècle de riches collections très diverses. Près de 3000 oeuvres et objets d’art allant du Moyen Âge au 19e siècle vous sont présentées dans ses 21 salles aux atmosphères singulières. Une invitation au voyage de l’esprit à travers l’Histoire et les Arts ! Un ancien hôtel particulier transformé en musée : L’élégant hôtel particulier où se situe actuellement le musée a été construit à la fin du 18e siècle par Marie-Josèphe Sandelin, Comtesse de Fruges. Suivant le modèle parisien de l’hôtel « entre cour et jardin », cette demeure est l’un des plus beaux exemples d’architecture civile datant de la fin du 18e siècle, conservé dans la région. La ville de Saint-Omer l’acheta à la fin du 19e siècle afin d’y installer son musée, qui ouvrit ses porte le 10 avril 1904 Des collections riches et variées: Le musée s’organise sur trois niveaux. Au sous-sol, dans une ambiance de crypte, une exceptionnelle collection d’armes ainsi que des vestiges de l’ancien hôtel de ville, de la collégiale Notre-Dame et de l’Abbaye Saint-Bertin témoignent du riche passé de Saint-Omer à l’époque médiévale, alors une des principales villes flamandes portes de l’Artois ! Au rez-de-chaussée, la salle religieux, baignée d’une lumière tamisée, présente des objets d’art qui offrent un large panorama de la richesse des arts de l’Europe du 12e au 16e siècle. Dans le corps central l’hôtel particulier, peintures, sculptures et mobilier reflètent le goût des collectionneurs et l’art de vivre du 17e au 19e siècle. cabinets d’amateurs plongent le visiteur dans l’atmosphère du 17e siècle et les salons de réceptions, aux boiseries classés, dans celle du 18e et du début du 19e siècle. Ces salles renferment des chefs d’œuvres de la peinture européenne. En empruntant l’escalier d’honneur, qui mène au premier étage, les visiteurs peuvent admirer les grands et la peinture du 19e Cet étage offre également sélection de sept cent cinquante pièces de faïences, de porcelaines européennes asiatiques du 17e au 18e siècle, qui mettent en lumière les influences entre l’Orient et l’Occident. la continuité, une salle dédiée à la collection de pipes en terre cuite locale, témoins de la culture tabagière et de l’industrie pipière à Saint-Omer.

14 Rue Carnot 62500 SAINT-OMER
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THEATRE A L'ITALIENNE
5 km

THEATRE A L'ITALIENNE

A Saint-Omer, caché au sein de l’Hôtel de ville, se trouve un petit théâtre au faste oublié, aux dorures peu connues. Construit par l’architecte Pierre Bernard Lefranc, ses caractéristiques sont celles du théâtre apparu dans la Venise du XVII e siècle : parterre réservé au public populaire et loges pour les classes aisées ; la scène au plancher incliné, les décors, fixe et mobile, et la machinerie invisible pour les spectateurs suivent les idées de l’italien Nicolas Sabbatini. A la différence qu’en France et notamment dans notre théâtre audomarois, chaque loge est placée en retrait de la loge inférieure, créant un ensemble harmonieux qui met en valeur le plafond richement décoré et orné d’un grand lustre à pampilles qui s’y dissimule pendant les représentations. Les couleurs, les sculptures et peintures en trompe l’œil participent à l’enchantement qui se dégage de l’ensemble. Si vos pas vous mènent vers des endroits inaccessibles au simple spectateur, vous pourrez admirer la cage de scène où se trouve la machinerie. Vous ne verrez pas, par contre, les vases en terre qui sont noyés dans les murs : ils contribuent avec l’ossature en bois à assurer une excellente acoustique. Leur usage remonte au théâtre antique ; ils ont également été utilisés au Moyen-Age pour améliorer la transmission des sons dans certaines églises. Lors de l’inauguration du théâtre, le 18 octobre 1840, furent joués un opéra, « Le domino noir », et un vaudeville, « Aîné et cadette», rapidement suivis de nombreuses pièces. Le spectateur contemporain, à moins d’un voyage dans le passé, ne peut venir s’asseoir dans un fauteuil et applaudir les acteurs qui s’inclinent, car le théâtre est fermé au public pour des raisons de sécurité depuis 1973. Mais un voyage dans le futur le permettrait et avec un peu de patience, nous pourrons, nous aussi, profiter de représentations théâtrales dans ce cadre exceptionnel. Théâtre à l’italienne. Saint-Omer. 2018 Vous arrivez en flânant sur la place Foch, accompagnés d’amis aussi impatients que vous d’assister à la toute première représentation du siècle dans notre théâtre. Vous gravissez les marches et arrivez dans un lieu ouvert et dédié à la culture. Vous êtes un peu en avance et décidez de vous rendre à la boutique du théâtre avant de prendre un rafraîchissement ou de grignoter quelque chose dans l’espace traiteur du rez-de-chaussée. Vous croisez le chargé de mission, qui vous salue en souriant et qui prend le temps de vous expliquer la politique culturelle du lieu et la programmation de l’année : vous saviez déjà que vous pourriez y voir jouer votre neveu pour le spectacle de fin d’année de son école et votre sœur qui fait partie d’une troupe locale, vous apprenez que vous pourrez y voir des pièces d’envergure régionale et même nationale pendant la saison d’hiver, qui aura une dominante musicale : œuvres lyriques, musique de chambre… La saison d’été mettra, elle, l’accent Porte d'origine du théâtre donnant accès aux loges. Détail du décor en trompe l’œil du plafond. Dans le médaillon, on peut voir une des gures allégoriques qui y sont représentées : la Poésie et son phylactère. Les trois autres gures étant : la Musique et sa lyre, le Théâtre et son masque et la Danse et son tambourin. Pause dans le théâtre silencieux où en fermant les yeux, on peut imaginer que la représentation va commencer. La saison d’été mettra, elle, l’accent sur le tourisme et l’aspect patrimonial et celle du printemps et du début de l’automne sera réservée aux amateurs et aux associations. La programmation tient compte des contraintes liées aux particularités de l’endroit : la scène est peu profonde et peu ouverte, la capacité d’accueil du public est limitée (environ 350 places) et il n’y a pas de fosse d’orchestre mais en contrepartie, la proximité entre le public et les artistes est intéressante et crée une atmosphère pleine d’émotion. Le chargé de mission vous explique également la configuration de ce lieu dont la fonction est maintenant essentiellement théâtrale (accueil du public, des artistes, logistique) : au rez-de-chaussée, boutique et espace traiteur, au premier étage, théâtre, salle des mariages et galerie des tableaux, qui se verront parfois détournées de leurs fonctions pour accueillir des répétitions ou des expositions et manifestations importantes, bureau protocolaire du maire. Les deuxième et troisième étages accueillent les parties techniques et administratives. Dans le dôme, une salle de répétition est à disposition des artistes. Mais il est l’heure de prendre place dans la loge que vous avez réservée. Nous vous laissons à votre rêve… un rêve qui devrait devenir réalité dans les années à venir car la municipalité de Saint-Omer travaille activement à le réaliser. (Cette partie de l’article est une projection construite à partir des projets à l’étude. Elle est représentative de l’orientation donnée à la réflexion actuelle mais la réalisation finale peut être différente).

62500 SAINT-OMER
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Vestiges de l'Abbaye Saint-Bertin
5 km

Vestiges de l'Abbaye Saint-Bertin

Les ruines, classées Monument historique en 1840, sont celles de l’église gothique. Sa construction débute au 13ème siècle par le glossaire chœur . L’abbé Gilbert, surnommé l’abbé d’or, voit grand, il prévoit un édifice aussi haut que la cathédrale d’Amiens soit environ 40m sous voûte ! Son successeur réduira le projet de moitié. Il fera tout de même 122m de long, 40 de large au transept et 25 de hauteur sous voûte. La construction s’achève au 16e siècle par la tour qui symbolise l’art gothique des provinces du nord. Dans le glossaire transept sud se trouvait un glossaire labyrinthe en pavement noir et blanc. Son dessin a été reproduit au quart à la croisée du transept de la cathédrale au 19e siècle. L’abbatiale gothique a succédé à une église romane du 11ème siècle connue par des fouilles menées au 19e siècle. Le chœur était pavé d’une mosaïque dont le musée de l’hôtel Sandelin possède de très beaux témoignages. En dessous, se trouvait une vaste crypte.Le rôle politique de l’abbaye débute très tôt. Ainsi les carolingiens y font enfermer Childéric III, le dernier roi Mérovingien au milieu du 8ème siècle. Puis ils y placent leurs proches comme glossaire abbés . Après les invasions vikings, les comtes de Flandre s’emparent de l’abbaye. Plusieurs s’y feront enterrer. Tout au long de son histoire c’est à l’abbaye que logent les rois et princes de passage à Saint-Omer. Au 15e siècle, l’abbé Guillaume Fillastre, un proche des ducs de Bourgogne, fait construire un quartier des princes à cet effet. Philippe le Bon, François Ier ou Louis XIV y séjourneront. Guillaume était aussi le chancelier du glossaire ordre de la Toison d’Or , un ordre de chevalerie créé par Philippe le Bon. Deux chapitres, ou réunions, de l’ordre auront lieu à Saint-Bertin.

62500 SAINT-OMER
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Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾