La petite-pierre, Bas-Rhin, Alsace

En plein coeur du Parc naturel régional des Vosges du Nord, ce circuit familial traverse de belles forêts. Il jalonne ensuite les premiers paysages ouverts du plateau lorrain à Petersbach et Lohr, avec ses villages prospères au XIXe siècle grâce à l’exploitation de plusieurs carrières de grès et d’une agriculture prédominante. Suivre le balisage VTT orné d'un 0 bleu.

Cette boucle plutôt roulante permet de traverser des villages aux alentours de La Petite Pierre et d’apercevoir des rochers de grès atypiques ! Au départ de la base VTT de La Petite Pierre (Office de tourisme), vous découvrirez le terroir et la richesse des paysages des Vosges du Nord. Vous pourrez aussi vous arrêter découvrir les ruines du Meisenbacher Schloessel entre Erckarstwiller et Sparsbach. L'itinéraire passe également par le rocher de Zittersheim et son joli point de vue. Des équipements sont disponibles à tous et gratuitement à la base VTT durant la saison haute : pompe, kit de nettoyage, clés, jet d'eau, parking abrité, casiers avec prises de recharge pour VAE.

Cette traversée de La Petite-Pierre à Dossenheim-sur-Zinsel vous permettra de passer à proximité de lieux étranges et inhabituels, notamment les Maisons des Rochers de Graufthal, mais également d’un chêne pluricentenaire et de rochers de grès originaux.

Partez à la découverte de La Petite Pierre ! Laissez-vous guider par un circuit qui vous dévoilera les richesses de la commune : son château, les fresques de son église, l'architecture typique de ses maisons et un cadre naturel éblouissant !

Balade sur les hauteurs de La Petite Pierre, qui vous fera découvrir les insectes peuplant les Vosges du Nord au travers de panneaux ponctuant la promenade. Le parcours vous emmènera sur la colline de l'Altenbourg, en passant par le Jardin des Poètes.

Découvrez les traditions de Noël en Alsace et la vieille ville de La Petite Pierre au rythme des histoires des habitants. De quoi passer un beau moment en famille. Circuit audio en téléchargement gratuit sur cirkwi.com ou via l'application Hanau - La Petite Pierre (disponible gratuitement sur les stores).

Itinéraire certifié "Leading Quality Trails - Best of Europe". Les exceptionnelles Maisons dans les Rochers de Graufthal se découvrent peu après La Petite-Pierre. Restaurées et aménagées, ces habitations pittoresques invitent les visiteurs à se plonger dans la vie de leurs occupants au 18ème siècle. Le Jardin Botanique de Saverne, ainsi que la Roseraie proposent aux randonneurs de se prendre du temps afin de découvrir de nombreuses plantes et fleurs. Enfin, la journée se termine à Saverne, au Château des Rohan, aussi appelé le petit Versailles alsacien.

Ce circuit forestier et familial vous emmènera autour de La Petite Pierre et dans la vallée d'Imsthal. Possibilité de prolonger le circuit avec une halte gourmande à l'auberge d'Imsthal!

Une boucle agréable permettant de découvrir un des étangs du secteur de La Petite Pierre. Suivre le balisage VTT orné du circuit 3 bleu clair.

Plongez dans un océan vert au coeur du Parc naturel régional des Vosges du Nord. Une belle randonnée autour de la cité fortifiée de La Petite Pierre à la découverte des impressionnants rochers de grès qui ponctuent le parcours et de magnifiques panoramas !

Découvrez le quartier de la Petite France à bord de votre vélo calèche de façon ludique ! Votre pilote-guide vous dévoilera les secrets de ce quartier, classé au patrimoine mondial de l’UNESCO ! Le vélo-calèche est un moyen original de découvrir les incontournables de Strasbourg en 30 minutes ! Votre pilote pédalera et vous guidera sur les différents sites incontournables du quartier « la Petite France ». Confortablement assis dans le vélo-calèche, vous commencerez votre tour par la visite du quartier de « la Petite France » situé au cœur de la vieille ville.  Admirez les maisons à colombages typiques, bâties à fleur d’eau. Laissez-vous envouter par le charme pittoresque de ce quartier classé au patrimoine Mondiale de l’Unesco ! Rejoignez ensuite le célèbre barrage de Vauban pour profiter d’une superbe vue panoramique sur la ville. Découvrez les anciennes fortifications de Strasbourg formées par les 3 tours des Ponts couverts ! Votre pilote vous mènera ensuite vers le centre « Aubette », un centre commercial, classé monument historique, très apprécié des strasbourgeois. Vous serez enchantés par sa façade néoclassique qui domine la célèbre Place Kléber.     Optez pour ce circuit ludique et panoramique alliant découvertes et amusement !

Il reste peu de témoignages du passage de Vauban à La Petite Pierre, alors observez attentivement ce qui se trouve autour de vous... Avant de partir à la découverte de ces anciennes fortifications, quelques mots sur l’histoire militaire de l’Alsace… Dès le Moyen Age, l’Alsace appartient au Saint Empire romain germanique. Quand éclate la guerre de Trente ans en 1618, les troupes de Louis XIII pénètrent en Alsace afin d’étendre le territoire français vers l’Est. Elles sont de passage à La Petite Pierre en juillet 1632. Les violents affrontements prennent fin en 1648 avec le traité de Westphalie. L’une des conséquences majeure de la guerre de Trente ans est l’annexion de l’Alsace au Royaume de France, qui se complète sous Louis XIV. Sous son règne, la guerre franco-néerlandaise (1672-1679) fait à nouveau de l’Alsace une terre de combats, mais elle demeure française. Près de deux siècles plus tard, Napoléon III déclare la guerre à la Prusse en juillet 1870. Suite à la capitulation du roi et à l’armistice signé à Versailles le 18 janvier 1871, l’Allemagne récupère l’Alsace. Elle reste allemande jusqu’à la première Guerre Mondiale. Avec le traité de Versailles signé en 1919, l’Alsace devient à nouveau officiellement française.

Tournez le dos à l’Office de Tourisme et suivez sur votre gauche le fléchage de la circulaire du Baerenberg, en montant vers le jardin des poètes, pour atteindre les hauteurs de La Petite Pierre. Perché à près de 400 m, la colline de l’Altenbourg vous dévoile les origines de cette commune des Vosges du Nord… La Petite Pierre a toujours été une terre frontière. A l’époque romaine, elle constitue la limite entre deux tribus guerrières : les Triboques du côté de l’Alsace et les Médiomatriques du côté de la Moselle. Au Moyen Age, elle sépare la Sarre et l’Alsace. Aujourd’hui encore, elle marque la limite entre la plaine d’Alsace et le plateau lorrain. Dès l’Antiquité, La Petite Pierre est aussi un carrefour économique et politique majeur en raison de sa situation géographique au sommet d’un col. Deux axes s’y croisent : la Route du Sel, qui permet l’approvisionnement de l’or blanc en Alsace ; et la Via Bassoniaca, une voie antique qui relie Metz à Brumath. Aux VIIIe et IXe siècles les évêques de Metz empruntaient la route du Sel pour se rendre dans les grandes abbayes de la région : celles de Marmoutier et de Neuviller, près de Saverne. C’est à l’un de ces évêques, Drogo, fils naturel de Charlemagne, que La Petite Pierre doit son premier essor. Il aurait construit au IXe siècle sur le sommet de l’Altenbourg, le premier château de La Petite Pierre. De par sa position stratégique sur la crête des montagnes, la ville a longtemps exercé un contrôle sur la traversée des Vosges. Ainsi, très tôt des fortifications ont vu le jour pour défendre ce lieu ô combien convoité. C’est également à l’Altenbourg que nous trouvons l’origine du nom de La Petite Pierre où une borne milliaire était placée. Ces bornes routières permettaient de marquer les distances sur le tracé des principales voies de circulation. Il existait deux types de pierres-bornes : les grandes pierres ou lata patra, distantes de dix lieux (ce qui fait un peu plus de 22km) et les petites pierres ou parva petra, situées à mi-chemin. Parva petra ? En français ça donne…Petite pierre ! Et ses habitants qui sont-ils à votre avis ? Les Parva pétriciens !

Le château de La Petite Pierre, situé à l’extrémité de l’éperon rocheux, a conditionné le développement de la ville féodale. Le Staedtel, c’est-à-dire la vieille ville construite sur le rocher à l’avant du château, mesure 250 mètres de long et 80 mètres de large. Parcourez la rue du Château en restant bien attentifs...au fil des maisons, l'histoire du Staedtel se dévoile par des détails discrets gravés dans le grès. Les ornements sculptés dans le grès des Vosges, témoignent des savoir-faire des corporations de métiers. Approchez-vous de ces maisons et repérez les emblèmes de métiers : Au 7 rue du Château, une maison datée de 1800 nous dévoile sur le linteau de sa porte l’emblème des boulangers : un bretzel. Dans la façade au 13 rue du Château, remarquez une tête de lion figée dans la pierre ; elle pourrait provenir du château, lorsque des pierres ont été réutilisées pour construire les maisons. Considérée comme symbole magique, la tête de lion est censée éloigner les mauvais esprits. Ce symbole se retrouve aussi sur la façade d’une maison de 1752 située au 11 rue du Château. Au 18 rue du Château, des outils sont taillés dans le grès du linteau : serait-ce l’emblème des tailleurs de pierre ou du forgeron ? Marguerite et Elise évoquent les divers corps de métier présents autrefois à La Petite Pierre :

Marguerite et Élise, habitantes du Staedtel et amies de toujours, étaient à l'école à La Petite Pierre au milieu du XXe siècle. C'est dans la bonne humeur qu'elles nous font partager leurs souvenirs de jeunes écolières :

Max habitait le village de La Petite Pierre. Un matin, il entra dans la forêt et se cacha derrière un arbre. Depuis longtemps, il voulait voir à quoi ressemblaient les ogres de Grosbourg pour en sculpter sur ses Springerle. Il avait oublié que ces derniers n'ont pas besoin de leurs yeux pour dénicher les petits enfants... L'ogresse Grabette ayant besoin d'un bon petit enfant pour sa potée de choux, le renifla et le ramena chez elle. Son mari, Brog le trouva trop maigrichon. Max fut donc donné à leur fils Gustave qui le trouvait parfaitement à son goût. Le petit garçon n'ayant pas l'intention de se laisser croquer, il inventa les Bredele, petits gâteaux sucrés et citronnés pour les uns, chocolatés pour d'autres ou encore aux épices ou au miel. Les Bredele plurent tellement à cette famille ogre que Max en profita pour partir, en chemin il distribuait ces Bredele aux ogres qu'il rencontrait tout en imaginant les Springerle qu'il allait sculpter de retour chez lui. Depuis ce jour, en hiver, les habitants de La Petite Pierre traverse la forêt avec un panier bien garni en Bredele, car un ogre n'attaque jamais si on lui chatouille le nez avec des Bredele ! Écoutez Adeline de Schoenbourg vous parler de ces fameux bredele (piste audio disponible sur l'application ou le site)

C’était la nuit de Noël, une nuit calme et magique…Les enfants avaient accroché leurs chaussettes à la cheminée avant d’aller sagement se coucher. Soudain, un bruit de clochettes réveilla l’un des enfants qui fila vers la fenêtre pour voir ce qui l’avait réveillé. C’est alors que dans le ciel étoilé d’hiver il aperçu un traineau et huit rennes dirigés par un petit personnage enjoué : c’était le Père Noël, il le savait ! Volants pareils à des oiseaux, les rennes étaient vivement encouragés par le chant du Père Noël : « Allez Tornade !, Allez Danseur ! Allez, Furie et Fringuant ! En avant Comète et Cupidon ! Allez Eclair et Tonnerre ! Tout droit vers ce porche, tout droit vers ce mur ! Au galop au galop mes amis ! Au triple galop ! ». Le traineau rempli de cadeaux poursuivi sa route à grande vitesse comme porté par le vent. Peu après, l’enfant entendit des bruits de sabot sur le toit de sa maison et à peine avait-il refermé la fenêtre qu’il se retrouva face au Père Noël qui sortait de la cheminée. Son habit de fourrure, ses bottes et son bonnet, étaient un peu salis par la cendre et la suie. Il portait sur son épaule un sac plein de jouets, sans dire un mot il rempli les bas puis salua l’enfant avant de disparaître dans la cheminée. Avant de s’envoler au loin, il cria : « Joyeux Noël à tous et à tous une bonne nuit ! ».

Suite à l’annexion de l’Alsace à la France après la guerre de Trente Ans, Louis XIV arrive à La Petite Pierre avec ses troupes. La garnison s’installe dans la ville fortifiée où le roi ordonne la construction d’une chapelle pour ses soldats catholiques. L’église que vous apercevez au bout de la rue existe déjà mais elle est, à cette époque, dédiée au culte protestant. Ainsi, la Chapelle Saint-Louis voit le jour en 1683. A peine 50 ans plus tard, la dernière messe est célébrée en 1737, le nombre de fidèles catholiques étant insuffisant pour maintenir ce lieu de culte. La chapelle devient alors tour à tour tombeau des officiers catholiques, arsenal et local de stockage. Depuis 1979, elle abrite le Musée du Sceau Alsacien. On y découvre l'histoire de l'Alsace, à travers près de 2000 sceaux et documents originaux, ainsi que des centaines de fac-similés et des reproductions d'écus. Un sceau est une marque d’autorité ou de propriété authentifiant un acte public ou privé. Le mot « sceau » désigne à la fois l’instrument, c’est-à-dire la matrice qui sert à l’impression et également l’empreinte que laisse cet instrument. A l’Antiquité, la majorité des gens ne sachant ni lire ni écrire, le sceau servait de signature. Le musée aborde également le thème de l’héraldique. L’héraldique est une science qui a pour objet l'étude des armoiries qui sont des emblèmes propres à une famille ou à une communauté. Attention le Musée du Sceau ainsi que le Musée des Arts et Traditions Populaires sont tous deux fermés actuellement

Après avoir aidé le Père Noël à braver la tempête qui sévissait sur le Pôle Nord Rudolph était bien las et avait attrapé froid en arrivant dans nos contrées. Mais avec un renne malade, il était impossible pour le Père Noël de poursuivre sa route… Cette année, le Père Noël était inquiet, le convoi avait pris du retard. Le travail était loin d’être achevé… Heureusement, le petit renne au nez rouge avait un cousin dans le Pays des Lumières : Flamboyant. Il savait que ce dernier serait prêt à prendre la relève afin d’aider le Père Noël à finir sa tournée. Flamboyant était surpris par la visite de son cousin Rudolph et de rencontrer le père Noël en vrai. La situation critique lui avait été révélée. Bien entendu Flamboyant souhaitait aider le Père Noël et qui mieux que Flamboyant, qui règne en maître sur cette vaste étendue, pourrait les seconder durant cette période difficile ? La magie de Noël allait une fois de plus pouvoir opérer et les enfants ne seraient pas oubliés… Cette nuit-là, c’était grâce à Flamboyant, un cerf du Pays de La Petite Pierre que le père Noël avait pu finir son travail ! Alors, désormais, en forêt… si vous voulez le rencontrer… ne faites aucun bruit et restez bien sur les sentiers… et peut-être même qu’il sera accompagné de Christkindel… mais ceci est aussi une autre histoire. Jean-Jacques partage avec vous ses souvenirs de Noël à La Petite Pierre (piste audio disponible sur l'application ou le site)

Le problème de l’approvisionnement en eau est récurrent dans les Vosges du Nord car les châteaux sont construits en hauteur, sur des pitons rocheux pour des raisons stratégiques et défensives. Or, l’eau était nécessaire à la vie du château, surtout en cas de siège. Ainsi, pour en obtenir une réserve, on récupérait l’eau de pluie que l’on filtrait et que l’on stockait dans des citernes. Plusieurs sources existaient sur les hauteurs de l’Altenbourg. Afin d’acheminer l’eau jusqu’à la cour du château, une canalisation en bois puis en fonte fut installée. Au XVIe siècle, deux citernes complémentaires sont creusées sous la vieille ville. Les travaux démarrent dès 1505, et s’achèvent sous le comte de La Petite Pierre, Georges-Jean de Veldenz, vers 1570-1571. Deux accès permettent d’atteindre les citernes, par le bas, si l’on emprunte le sentier des remparts et par le haut, depuis la vieille ville. L’eau étant une denrée précieuse, il fallait la protéger. Ainsi, les citernes pouvaient être barricadées en cas d’attaque et défendues de l’extérieur par un bastion avec plateforme d’artillerie d’où les soldats pouvaient tirer. N’hésitez pas à les découvrir, avant l’entrée, sur votre gauche vous pouvez allumer les lumières ! Avancez et découvrez la citerne sud de 6 m de diamètre creusée entièrement dans le grès. Elle se situe à près de 15 m sous la ville ! Plus connue sous le nom de lac souterrain, remarquez les deux galeries qui l’enserrent. Droit devant vous, une troisième galerie débouche sur la citerne nord, plus petite mais d’une profondeur de plus de 25 m ! Cette réserve pouvait contenir jusqu’à 25 000 litres d’eau. L’eau de suintement et d’infiltration qui parcourt les parois de grès, alimente ce système en permanence et en fait une véritable source. En sortant, si vous avancez le long des remparts, vous découvrirez un escalier qui mène à la Vieille ville. Couvert à l’origine, cet escalier construit en 1781 permettait de relier la ville et les citernes. Découvrez les citernes autrement en écoutant le témoignage de ce parva-pétricien qui y passait du temps étant enfant :

Vous trouverez à La Petite Pierre 5 Hôtels, un centre de vacances, un camping et une dizaine de restaurants, un choix varié pour tous les goûts et tous les budgets

Après le passage sous la voie ferrée nous accédons à la forêt où, depuis le chemin on peut distinguer sur le côté gauche d’anciens champs en terrasse aménagés au XVIIIe siècle et replantés d’épicéas au cours du XXe siècle. Dans un cadre harmonieux, la villa Lalique se détache à la lisière sud de l’espace boisé. Cette grande maison de style néo-alsacien a été construite par René Lalique en même temps que l’usine en 1922. Entourée d’un grand parc, elle accueillait la famille Lalique et ses hôtes lors de leurs séjours à WINGEN. Accolée au bâtiment principal, une annexe servait de logement à un couple chargé de l’entretien et de la sécurité de la propriété. L’ensemble bâti est aujourd’hui un hôtel restaurant de charme. Vous souhaitez en savoir plus sur Marc Lalique, le fils de René Lalique? Alors écoutez cet ancien mouliste qui l'a bien connu :

Restaurant au cadre rustique proposant un plat du jour la semaine et tartes flambées le week-end.

Le Château Hochberg, initialement nommé Château Teutsch, du nom de la famille qui le fit construire, se dresse sur le site de la Verrerie du Hochberg qui ferma ses portes en 1868 et dont Victor et Edouard Teutsch furent les derniers propriétaires. Ils firent bâtir cette majestueuse demeure entre 1863 et 1866. En accord avec le style Napoléon III, le Château Hochberg, arbore d’imposantes façades agrémentées de bandeaux en grès rose, de grandes fenêtres et de beaux balcons en fer forgé. Pendant de nombreuses années, la Verrerie du Hochberg fut le haut lieu des activités professionnelles mais aussi de la vie quotidienne de la famille Teutsch, et plus particulièrement d’Edouard Teutsch. Cette maison de maître, intimement liée aux traditions et savoir-faire verriers à l’origine de la Maison Lalique, s’offre une renaissance en devenant, depuis le 12 août 2016, un hôtel quatre étoiles et un bistrot moderne à la cuisine raffinée et accessible proposant une carte construite autour de produits locaux de saison.

A proximité du pèlerinage de Bonne Fontaine, table de tradition, spécialités régionales, structure adaptée pour groupe, menus de saison avec produits du terroir. Carte des vins diverse et fournie Alsace- Lorraine. Spécialités : recettes alsaciennes et lorraines, gibiers de bois environnants, truite de notre vivier. Découverte des whiskies du Monde. Fermé les dimanche soirs et les WE de janvier et février et du 17/02 au 12/03 et du 24/12 au 26/12.

Vous trouverez à La Petite Pierre 5 Hôtels, un centre de vacances, un camping et une dizaine de restaurants, un choix varié pour tous les goûts et tous les budgets

Si vous souhaitez vous ressourcer à l’air pur et au calme, posez vos valises sur l’aire naturelle d’Hinsbourg ! L’idée de ce lieu est née au début des années 1980 dans l’esprit du maire de l’époque, M. Buchy Charles. L’emplacement choisi pour réaliser cette aire fut la place « sans souci », nommée ainsi par les anciens du village. Après l’aménagement et le nettoyage du site, un bloc sanitaire et un barbecue couvert ont été construits. L’aire naturelle d’Hinsbourg a été inaugurée le 20 juin 1984, en même temps que le dépôt d’incendie par : M. Adrien Zeller, M. P. Richert et M. R. Deininger, conseillers généraux, le docteur Westphal, M. F. Letzelter président de L’ATSL et M. Charles Buchy maire de Hinsbourg. Au fil des ans, l’aire s’est vue dotée de nouveaux équipements : un terrain de pétanque, un terrain de volley, une aire de jeux, un deuxième bloc sanitaire, des tables, des balançoires, un chalet pour la réception, etc. Située à l’extérieur du village et jouissant d’une très belle vue sur la vallée de l’Eichel et des forêts avoisinantes, l’aire naturelle d’Hinsbourg ouvre ses portes d’avril à octobre. Elle est gérée par l’ATSL (Association Tourisme Sports et Loisirs), association très active au sein de la commune. Admirez le paysage tout en écoutant ces habitants vous parler de la Place Sans-Soucis :

Après le passage sous la voie ferrée nous accédons à la forêt où, depuis le chemin on peut distinguer sur le côté gauche d’anciens champs en terrasse aménagés au XVIIIe siècle et replantés d’épicéas au cours du XXe siècle. Dans un cadre harmonieux, la villa Lalique se détache à la lisière sud de l’espace boisé. Cette grande maison de style néo-alsacien a été construite par René Lalique en même temps que l’usine en 1922. Entourée d’un grand parc, elle accueillait la famille Lalique et ses hôtes lors de leurs séjours à WINGEN. Accolée au bâtiment principal, une annexe servait de logement à un couple chargé de l’entretien et de la sécurité de la propriété. L’ensemble bâti est aujourd’hui un hôtel restaurant de charme. Vous souhaitez en savoir plus sur Marc Lalique, le fils de René Lalique? Alors écoutez cet ancien mouliste qui l'a bien connu :

Le Château Hochberg, initialement nommé Château Teutsch, du nom de la famille qui le fit construire, se dresse sur le site de la Verrerie du Hochberg qui ferma ses portes en 1868 et dont Victor et Edouard Teutsch furent les derniers propriétaires. Ils firent bâtir cette majestueuse demeure entre 1863 et 1866. En accord avec le style Napoléon III, le Château Hochberg, arbore d’imposantes façades agrémentées de bandeaux en grès rose, de grandes fenêtres et de beaux balcons en fer forgé. Pendant de nombreuses années, la Verrerie du Hochberg fut le haut lieu des activités professionnelles mais aussi de la vie quotidienne de la famille Teutsch, et plus particulièrement d’Edouard Teutsch. Cette maison de maître, intimement liée aux traditions et savoir-faire verriers à l’origine de la Maison Lalique, s’offre une renaissance en devenant, depuis le 12 août 2016, un hôtel quatre étoiles et un bistrot moderne à la cuisine raffinée et accessible proposant une carte construite autour de produits locaux de saison.

Chambre dans une maison individuelle, à l'étage à côté de la salle de bain. La maison se trouve sur un terrain de 40 ares dans un écrin de verdure, au calme, à proximité du Parc naturel Régional des Vosges du Nord, en périphérie d'un village de 300 habitants, sur un circuit pédestre balisé. Petit déjeuner offert. Réservations de préférence au moins 24h à l'avance.

Situé à quelques kilomètres du Parc Naturel Régional des Vosges du Nord et du Plan Incliné, ce gîte est idéal pour faire de belles sorties. Phalsbourg à 5km, Sarrebourg, Saverne et La Petite-Pierre à 15km, Dabo à 25km. Idéal en été comme en hiver, car il se situe à équidistance des grandes villes et leurs marchés de Noël.

Bienvenue dans l'appartement Petite Vallée ! Notre gîte est un appartement de 35m² aux portes du Parc Naturel des Vosges du Nord pouvant accueillir 2 personnes. Idéal pour un instant découverte et cocooning ! Venez vous ressourcer à 2 dans un cadre champêtre, loin du tumulte de la ville. Valérie et Yannick sauront vous accueillir avec discrétion.

Hôtel-restaurant en pleine forêt, construit en 1935, tenu par la même famille depuis 3 générations. Promenades vivifiantes, table de tradition, piscine, sauna, hammam, balnéothérapie, massages, salle à sel (nouveauté automne 2023), salles de réunion. 34 chambres modernes dont 2 adaptées aux personnes à mobilité réduite. Ouvert 7 jours sur 7 (sauf les dimanches soir et les WE de janvier et février. Congés annuels : du 17 février au 12 mars et du 24 au 26 décembre)