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Houplines, Nord, Nord-Pas-de-Calais

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Nichée dans le charmant département du Nord, la petite ville de Houplines vous séduira par son atmosphère chaleureuse et conviviale. À seulement quelques kilomètres de Lille et de la frontière belge, Houplines est un joyau caché de la région Hauts-de-France. Découvrez un patrimoine historique riche avec des monuments comme l'église Saint-Martin, un chef-d’œuvre d'architecture gothique. Les amateur...Voir plus

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Pont Ballot
1.1 km

Pont Ballot

LES RAIDS DU PONT BALLOT Cependant les hostilités continuaient et le secteur du front d’Houplines fut le théâtre de plusieurs raids au cours de la guerre, effectués dans le but de tester, de fatiguer ou de démoraliser l’adversaire. Le 28 janvier 1917, à 17 heures 40, trois groupes d’assaut, formés des 37ème, 38ème, 39ème, et 40ème bataillons d’infanterie, et la 10ème brigade, 3ème division de l’armée australienne, attendaient dans la tranchée de première ligne s’étendant au nord du Pont Ballot. En face d’eux, à quelques 200 ou 300 mètres, les tranchées allemandes qu’ils avaient à faire, ayant subi un entraînement intensif dans le plus grand secret à l’école professionnelle d’Armentières et sur les tranchées creusées pour l’usage entre Steenwerck et Erquinghem-Lys. A 18 heures, sous la protection d’un barrage d’artillerie, les trois groupes, constitués de 7 officiers et 224 hommes, s’élancèrent vers la tranchée ennemie. Le groupe du nord, conduit par le lieutenant Peters, ne réussit pas à franchir les barbelés restés intacts et il échoua. Le groupe du sud, conduit par le lieutenant Parker, fut également arrêté dans a progression par une deuxième ligne de barbelés intacte. Quant au groupe principal du centre, placé sous la conduite des lieutenants Grondana, Fleiter, Suter et Barclay, il parvint à investir les trois lignes allemandes et à détruire onze abris fortifiés avec des bombes au phosphore. Il fit aussi un prisonnier. A 18 heures 35, une fusée rouge donna le signal de retraite, une retraite qui s’effectua sous les tirs des mitrailleuses. Les groupes eurent 15 tués, qui furent inhumés au cimetière Bonjean d’Armentières, et 40 blessés. Le lieutenant Harold Parker, grièvement blessé, fut fait prisonnier et décéda le 30 janvier. Il repose au cimetière de la rue Pétillon à Fleurbaix. Le 27 février 1917, un second raid fut organisé au même endroit du Pont Ballot. Il fut effectué par les 37éme et 38éme bataillons australiens, soit 20 officiers et 804 hommes placés sous le commandement du colonel Davis. Ce raid fit 17 prisonniers allemands et les pertes s’élevèrent à 16 tués et 45 blessés du côté australien, alors que les pertes allemandes furent évaluées à 200 tués.

Rue Brune 59116 HOUPLINES
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Pont Ballot
1.2 km

Pont Ballot

LES RAIDS DU PONT BALLOT Cependant les hostilités continuaient et le secteur du front d’Houplines fut le théâtre de plusieurs raids au cours de la guerre, effectués dans le but de tester, de fatiguer ou de démoraliser l’adversaire. Le 28 janvier 1917, à 17 heures 40, trois groupes d’assaut, formés des 37ème, 38ème, 39ème, et 40ème bataillons d’infanterie, et la 10ème brigade, 3ème division de l’armée australienne, attendaient dans la tranchée de première ligne s’étendant au nord du Pont Ballot. En face d’eux, à quelques 200 ou 300 mètres, les tranchées allemandes qu’ils avaient à faire, ayant subi un entraînement intensif dans le plus grand secret à l’école professionnelle d’Armentières et sur les tranchées creusées pour l’usage entre Steenwerck et Erquinghem-Lys. A 18 heures, sous la protection d’un barrage d’artillerie, les trois groupes, constitués de 7 officiers et 224 hommes, s’élancèrent vers la tranchée ennemie. Le groupe du nord, conduit par le lieutenant Peters, ne réussit pas à franchir les barbelés restés intacts et il échoua. Le groupe du sud, conduit par le lieutenant Parker, fut également arrêté dans a progression par une deuxième ligne de barbelés intacte. Quant au groupe principal du centre, placé sous la conduite des lieutenants Grondana, Fleiter, Suter et Barclay, il parvint à investir les trois lignes allemandes et à détruire onze abris fortifiés avec des bombes au phosphore. Il fit aussi un prisonnier. A 18 heures 35, une fusée rouge donna le signal de retraite, une retraite qui s’effectua sous les tirs des mitrailleuses. Les groupes eurent 15 tués, qui furent inhumés au cimetière Bonjean d’Armentières, et 40 blessés. Le lieutenant Harold Parker, grièvement blessé, fut fait prisonnier et décéda le 30 janvier. Il repose au cimetière de la rue Pétillon à Fleurbaix. Le 27 février 1917, un second raid fut organisé au même endroit du Pont Ballot. Il fut effectué par les 37éme et 38éme bataillons australiens, soit 20 officiers et 804 hommes placés sous le commandement du colonel Davis. Ce raid fit 17 prisonniers allemands et les pertes s’élevèrent à 16 tués et 45 blessés du côté australien, alors que les pertes allemandes furent évaluées à 200 tués.

91 Rue Brune 59116 Houplines
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Lieux de passage : ville frontalière
1.2 km

Lieux de passage : ville frontalière

Armentières devient française en 1668, après avoir été espagnole pendant près d’un siècle et demi. Le conflit espagnol, commencé en 1635, ne s’achève qu’avec le traité d’Utrecht en 1713, au terme d’un affrontement de 78 ans. Armentières devient alors ville frontalière avec la Flandre occidentale, ce qui la mettra aussi gravement en péril durant la Première Guerre mondiale, de par la proximité de la ligne de front. Elle possède alors plusieurs postes de douane placés sur un périmètre restreint, afin de décourager des fraudeurs de plus en plus nombreux : le pont de l’Attargette, la frontière du cimetière, la passerelle de la Dérivation, le canal de la Lys frontalière, le poste principal à la limite du Bizet belge.Les frontières sont très bien gardées. Les patrouilles de douane, composées de trois douaniers dont un gradé, sont toutes équipées d’un chien dressé, d’un lit de camp, d’un pistolet et parfois d’un fusil. Les douaniers surveillent un périmètre de frontière et dressent des embuscades de jour comme de nuit pour arrêter les contrebandiers et les fraudeurs.Outre la frontière belge au nord-est, Armentières est cernée par la Lys à l’ouest et la voie ferrée au sud, vivant ainsi au cœur d’un véritable écrin, qui limite fatalement son urbanisation nécessairement dense. Aussi de multiples lieux de passages, inférieurs ou ponts, offrent des points de vue toujours particuliers sur la ville.  Une ville frontalière :La frontière entre la France et la Belgique, qu’elle soit terrestre ou rivière, reste un lieu particulier d’Armentières, un lieu de rencontre entre deux territoires différents, un lieu de passage aussi. Cette ligne frontalière est perceptible à travers l’arrêt marqué de l’urbanisation française par les champs belges, offrant alors aux citadins armentiérois la proximité de la campagne. La sensation de passage entre deux pays, entre deux cultures, se vit exactement au bout de l’avenue Léon Blum lorsque le Bizet français devient Bizet belge, de par la nature des commerces, des enseignes, du rapport des constructions à la rue, du traitement de l’espace public. Lieu de couture de territoires différents, cette frontière, bien plus facilement praticable aujourd’hui qu’autrefois, invite à la promenade, ne serait-ce que pour ressentir cette impression de passage. 

Rue du Cimetière 7783 COMINES-WARNETON
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20/Lieux de passage : ville frontalière
1.3 km

20/Lieux de passage : ville frontalière

Armentières devient française en 1668, après avoir été espagnole pendant près d’un siècle et demi. Le conflit espagnol, commencé en 1635, ne s’achève qu’avec le traité d’Utrecht en 1713, au terme d’un affrontement de 78 ans. Armentières devient alors ville frontalière avec la Flandre occidentale, ce qui la mettra aussi gravement en péril durant la Première Guerre mondiale, de par la proximité de la ligne de front. Elle possède alors plusieurs postes de douane placés sur un périmètre restreint, afin de décourager des fraudeurs de plus en plus nombreux : le pont de l’Attargette, la frontière du cimetière, la passerelle de la Dérivation, le canal de la Lys frontalière, le poste principal à la limite du Bizet belge. Les frontières sont très bien gardées. Les patrouilles de douane, composées de trois douaniers dont un gradé, sont toutes équipées d’un chien dressé, d’un lit de camp, d’un pistolet et parfois d’un fusil. Les douaniers surveillent un périmètre de frontière et dressent des embuscades de jour comme de nuit pour arrêter les contrebandiers et les fraudeurs. Outre la frontière belge au nord-est, Armentières est cernée par la Lys à l’ouest et la voie ferrée au sud, vivant ainsi au cœur d’un véritable écrin, qui limite fatalement son urbanisation nécessairement dense. Aussi de multiples lieux de passages, inférieurs ou ponts, offrent des points de vue toujours particuliers sur la ville. Une ville frontalière La frontière entre la France et la Belgique, qu’elle soit terrestre ou rivière, reste un lieu particulier d’Armentières, un lieu de rencontre entre deux territoires différents, un lieu de passage aussi. Cette ligne frontalière est perceptible à travers l’arrêt marqué de l’urbanisation française par les champs belges, offrant alors aux citadins armentiérois la proximité de la campagne. La sensation de passage entre deux pays, entre deux cultures, se vit exactement au bout de l’avenue Léon Blum lorsque le Bizet français devient Bizet belge, de par la nature des commerces, des enseignes, du rapport des constructions à la rue, du traitement de l’espace public. Lieu de couture de territoires différents, cette frontière, bien plus facilement praticable aujourd’hui qu’autrefois, invite à la promenade, ne serait-ce que pour ressentir cette impression de passage.

41 Rue du Cimetière 7783 Comines-Warneton
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Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾