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Description
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Parcours historique de Forges-les-Eaux

Parcours historique de Forges-les-Eaux
Crédit : OTFLE

Description

Forges-les-Eaux est un lieu privilégié de villégiature depuis le 16ème s.
Partez à la découverte d'un parcours composé de 20 lieux matérialisés par des totems. Forges-les-Eaux n'aura plus de secret pour vous !
Des visites guidées sont proposées en été, renseignements Office de Tourisme.

Informations techniques

Ce circuit a été mis à jour le : 08/07/2021
2.5 km
2 h
max. 168 m
min. 134 m
44 m
Style : En ville
Public : Accessible avec landeau/poussette
Thématique : Historique

Profil altimétrique

Point de départ

Avenue des Sources , 76440 Forges-les-Eaux
Lat : 49.6081Lng : 1.53187

Points d'intérêt

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1- Casino

Le premier casino fut édifié au début du XIXème siècle. En 1872 il fut rasé pour construire un nouvel établissement aux gouts architecturaux de l’époque. Ce superbe édifice fut détruit par un incendie en 1896. Celui d’aujourd’hui a été inauguré en 1902 1903, réaménagé dans les années 1950 quand il est devenu la propriété de Jacques Hébertot. C’est à lui qu’on doit cette belle façade d’inspiration antique. Aujourd’hui le Casino appartient au groupe Partouche et fait partie des 15 premiers casinos de France, réputé pour ses machines à sous et ses jeux traditionnels.

7 Rue Cyprien Riden 76440 Forges-les-Eaux
- Office de Tourisme de Forges-les-Eaux -
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2,3,4 - Parc Thermal

A l’origine, la partie basse du village était recouverte de marécages. Apres assèchement, c’est en 1573 que les eaux ferrugineuses de Forges-en-Bray furent découvertes par Nicolas de Moy, seigneur de Veraines et de Riberpré. On s’empressa alors de creuser un bassin pour mieux recueillir ces eaux. Très vite l’attrait de ces sources dont on disait qu'elles soignaient l'anémie et l'infertilité grâce à leur teneur en fer, attirera les buveurs d’eau bien au-delà de la bourgade normande. C’est en 1633 que le Roi de France Louis XIII, la Reine Anne d’Autriche et le Cardinal Richelieu décidèrent, sur les conseils de leur médecin, de profiter des bienfaits de cette « fontaine de Jouvence ». L'objectif du séjour était de permettre au Roi et à la Reine de profiter des bienfaits des eaux et de donner ainsi un héritier au Royaume de France. Cette cure fut couronnée de succès, le miracle finit par se produire avec la naissance du futur Louis XIV quelque temps après. La réputation de de la ville n’était plus à faire, ainsi naquit Forges-les-Eaux ! Les sources baptisées Reinette, Royale, Cardinal. Le 1er établissement thermal de la ville apparait assez tard par rapport à d’autres stations. En effet jusqu’alors, la station fonctionnait avec une simple buvette, sorte de bassin en plein air divisé en 3 compartiments. Les eaux étaient réputées être bénéfiques en absorption uniquement. Le premier établissement vit le jour vers les années 1840. Il fut détruit en 1872 et un bâtiment plus moderne, offrant des prestations de qualité, fut réaménagé. Occupé et saccagé pendant la Seconde Guerre Mondiale, il est rasé à la libération. A l’initiative de Jacques Hébertot, propriétaire du Casino dans les années 50, un kiosque est construit, très vite surnommé la soucoupe volante ! C’est autour de cette rotonde que les curistes venaient boire les eaux jusqu’à la fin de la station thermale dans les années 1980. Villa Richelieu, Pavillon Suisse Pavillon suisse construit à l’origine à Paris à l’occasion de l’exposition Universelle de 1867. Il faisait partie d’un mini village, vitrine du savoir-faire de l’architecture helvétique. A la fin de l’exposition, les bâtiments furent démontés et les villas offertes à plusieurs villes. Ainsi Forges se vit offrir l’un de ses pavillons en vue d’y recevoir l’impératrice Eugénie, épouse de Napoléon III, lors d’une cure. Ironie de l’histoire, la proximité de la statue du Cardinal Richelieu fit qu’on lui donna rapidement, le nom de Villa Richelieu ! Statue Cardinal Richelieu Cette sculpture en bronze représentant le Cardinal Richelieu, est l’œuvre du sculpteur Hippolyte Lefèvre. Prêtée à la ville de Forges-les-Eaux, elle appartient à la Sorbonne. Elle évoque ainsi le séjour du Cardinal de Richelieu dans notre ville en 1633 lors du séjour royal de Louis XIII et Anne d’Autriche.

128 Avenue des Sources 76440 Forges-les-Eaux
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5- Architecture Villégiature

Au XIXème siècle la bourgeoisie s'adonne à la villégiature qu'elle soit balnéaire, thermale ou hivernale. Ces déplacements sont dans un premier temps motivés par des raisons de santé. Progressivement, la villégiature devient ce qu'elle est aujourd'hui, un séjour pour se divertir et se reposer. Si dans un premier temps, la bourgeoisie fréquente les hôtels, elle préfère rapidement les maisons individuelles originales et stylées. La révolution industrielle rend abordable de nouveaux matériaux : briques, ardoise, zinc, métal, verrière… Les belles villas autour du casino ont été construites entre 1896 et début du XXème siècle. Ce sont les plus anciennes de la ville, réalisées initialement dans un but de recevoir les curistes.

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6 - Porte de Gisors

La Porte de Gisors provient de l'ancien couvent des Carmélites de Gisors fondé en 1631 par François Sablet, ministre de Louis XIII. Transformé en théâtre municipal à la Révolution, il est détruit en partie pendant la Seconde Guerre Mondiale. Dans les années 1950, Jacques Hébertot, alors propriétaire du Casino de Forges, acheta le seul vestige encore intact pour l'ériger près du Casino et recréer un décor historique dans la ville.

110 Avenue des Sources 76440 Forges-les-Eaux
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7 - Hôtel Continental

L’Hôtel Continental, le plus ancien de la ville, fut construit à la Belle Epoque, en plein renouveau de la Station Thermale. C'était l'un des bâtiments les plus modernes lors de sa construction : eau chaude et électricité au gaz à tous les étages. Durant la 1er Guerre Mondiale, cet hôtel et le Grand Hôtel du Parc situé à proximité, furent réquisitionnés pour être transformés en hôpitaux militaires. 210 soldats de l'Empire Britannique et de France finiront leurs jours à Forges, d’où la présence d’un cimetière militaire. Pendant la Seconde Guerre Mondiale et l'occupation allemande, ces hôtels furent occupés par l’armée allemande (Kommandantur).

110 Avenue des Sources 76440 Forges-les-Eaux
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8 - Les Montalent et Porte de la piscine

Buste élevé en souvenir du compositeur de musique Raoul de Montalent né à Rouen en 1856 et mort à Forges-les-Eaux en 1939. C’est une œuvre du sculpteur Carillon. L’hydravion est à l’honneur de son fils, Olivier, aviateur, qui trouva la mort le 24 août 1913 avec son mécanicien Métivier à Rouen dans la course Paris-Deauville sur un hydravion biplan Breguet U1. Leur avion fut soudainement pris par une bourrasque et fit une chute de 250 mètres. Les deux hommes furent éjectés de l'appareil. Le corps de Montalent s’écrase sur une péniche près de l'île Lacroix, alors que celui de Métivier s’écrase sur le quai, à quelques mètres du bateau. La façade qui s’élève dans le parc de la piscine proviendrait d’un ancien pavillon de chasse qui aurait appartenu à Madame de Maintenon. Elle fut ramenée dans les années 1950 par Jacques Hebertot pour recréer un décor historique dans la ville.

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9 - Les Trois Sources

Développé entre deux petites rivières L’Andelle à l’est et la Chevrette à l’ouest, couvrant environ 75 ha, le Bois de l’Epinay offre une grande diversité de milieux naturels. Son histoire est récente puisque les boisements les plus âgés, installés sur d’anciens herbages, remontent à plus de 150 ans. Les essences forestières et les types de peuplements y sont très variés : futaie de hêtres, taillis de bouleaux, futaie de mélèzes et de pins... Certaines parties du bois présentent une forte dégradation due à la surexploitation pour alimenter les manufactures de faïenceries et les briqueteries au XIXème siècle. C’est dans les années 1980 que la commune de Forges-les-Eaux a souhaité mettre en valeur cet espace. Les lacs sont ainsi aménagés sur d’anciennes tourbières. La statue des Trois Sources est une œuvre de l’artiste Jean Marc de Pas, réalisée à l’occasion du passage à l’an 2000. Elle symbolise les trois sources ferrugineuses de la ville : Reinette, Royale et Cardinale.

1 Avenue Olivier de Montalent 76440 Forges-les-Eaux
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10 - Forges et sa faïences

C'est en 1797 que l'activité commença avec l'installation de Georges Wood, faïencier Anglais. La présence du bois, de l'eau et surtout des argiles du Pays de Bray permirent le développement des manufactures et contribuèrent au développement économique de la commune. La ville comptera jusqu'à 5 faïenceries qui employèrent au plus fort de la production jusqu'à 200 personnes. On y fabriqua une faïence essentiellement utilitaire : faïence fine, plus haut de gamme destinée à une clientèle aisée et faïence épaisse (faïence stannifère) dite cul noir en raison du manganèse qui recouvrait le dos des objets, destinée à une clientèle plus modeste. L'activité prit fin en 1890 et la plupart des faïenceries furent détruites pour laisser place à de nouvelles constructions. Une superbe collection, exposée dans la salle des Mariages de l'Hôtel de Ville de Forges-les-Eaux, peut se visiter toute l'année sur rendez-vous auprès de l'Office de Tourisme.

- Office de Tourisme de Forges-les-Eaux -
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11 - Le Couvent des Capucins

Le couvent des Capucins fut aménagé en 1630 grâce au don du Duc de Longueville. Une communauté de moines Capucins s'y installa définitivement. Ils sont ainsi nommés du capuce ou capuchon dont ils couvrent leur tête. En 1631, la communauté s'enrichit d'une chapelle. En dépit de ses fonctions ecclésiastiques, le Couvent des Capucins joua un grand rôle dans la vie de la station thermale. Jusqu'à la Révolution française, c'était le lieu de rendez-vous des curistes (appelés "buveurs d'eau" à l'époque). Au-delà de la prière, on venait s'y promener dans les jardins aménagés à cet effet, converser, jouer et danser!! La plus belle et plus grande salle était le lieu de réunions des buveurs d'eau de passage dans la station thermale. Le jeu prit une place de plus en plus prépondérante. Cette époque s'acheva avec les tourments révolutionnaires. Le site fut vendu comme bien national, servi de caserne de gendarmerie. En 1826, la comtesse de Caulaincourt, veuve du général de Caulaincourt, diplomate français de la Révolution et du 1er Empire, rachetât ce qui subsistait. Elle y réalisa des aménagements en vue d'y installer un établissement religieux pour les jeunes gens: l’Ecole des Frères.

19 Avenue des Sources 76440 Forges-les-Eaux
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12 - La Maison Beaufils

C'est au n°11 de la rue des Fontaines, aujourd'hui Avenue des Sources, que Gustave Flaubert séjourna avec sa mère pendant la Révolution de 1848, chez leurs amis Beaufils, notable de la ville. Cette maison existe toujours, au fond de cette allée pavée de grès. La campagne de Forges, certains monuments de la ville et personnages locaux semblent avoir inspiré l’écrivain dans l’écriture de Madame Bovary, dont l’écriture commença en 1851 et le roman publié en 1856.

9 Avenue des Sources 76440 Forges-les-Eaux
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13 - L'église Saint Eloi

L'église de Forges-les-Eaux, dédiée à Saint Eloi patron des Forgerons, a été achevée en 1878, quelques mois après le décès de l'Abbé Feret qui en fut à l'initiative. C'est la 3ème église à avoir été construite: la 1ere située sur la Place Brevière actuelle, saccagée à la Révolution fut démolie en 1824 (église Saint Nicolas du XIIème). La seconde (située juste devant l'église actuelle) érigée à moindre coût, comprenait de nombreuses malfaçons. Quant au tout premier édifice religieux, il semble avoir été construit sur les bases d'un temple gallo-romain situé à proximité de la Halle au Beurre (vestiges dans les fondations d'une maison près de l'actuelle Halle au Beurre). La Place du Général de Gaulle, anciennement Place Verte, porte ce nom en souvenir du passage du Général de Gaulle le 7 octobre 1944 lors de son voyage en Normandie. La ville de Forges-les-Eaux a été libérée le 31 aout 1944 par les Canadiens. Le monument aux morts a été érigé en 1921.

1 Place de Gaulle 76440 Forges-les-Eaux
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14 - Halle au beurre

La Halle au beurre, qui abrite une partie du marché le jeudi matin, a été aménagée après la Seconde Guerre Mondiale avec les vestiges de la Halle située à l’origine Place Brévière. Elle y fut démontée en 1946. La Halle et la poste, à proximité, ont été aménagées à l’emplacement d’une ancienne maison bourgeoise qui abrita l’ancien hôtel de ville jusqu’au début des années 1930 avant que ce dernier ne s’installe place Brevière.

35 Place de Gaulle 76440 Forges-les-Eaux
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15 - Rue de la République

Appelée Grande Rue jusqu'en 1902, on y remarque de belles façades restaurées à colombages datant du XVIIIème. Trois matériaux sont essentiellement utilisés à cette époque pour la construction des habitations : le grès pour protéger la bâtisse de l'humidité du sol, le bois pour le colombage et l'argile pour la fabrication des briques. La dernière briqueterie (située à l'emplacement de l'Espace de Forges) a fermé ses portes aux lendemains de la Seconde Guerre Mondiale, la cheminée détruite dans les années 1980. En 1826, la Comtesse de Caulaincourt dont la famille possédait un château au Thil Riberpré, y acheta une maison pour y dispenser l'instruction des jeunes filles. Cela deviendra l'Ecole du Sacré Cœur.

9 Rue de la République 76440 Forges-les-Eaux
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16 - Rue de l'Abbé Féret

Longtemps appelée Rue de l'Eglise, la Rue de l'Abbé Féret débouche sur l'église Saint Eloi construite à l'initiative de l'Abbé Féret et achevée en 1878. De l'église Saint Nicolas datant du XIIème siècle et démolie en 1824, il subsisterait un pilier accolé à l'immeuble contemporain. Au n°9 de la rue, on découvre une belle bâtisse du XVIIème en brique, colombage et grès, matériaux typiques de la région. Il s'agirait de l'ancien presbytère.

9 Rue Abbé Ferret 76440 Forges-les-Eaux
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17 - Rue du bout de l'Enfer

A l’époque de l’industrie du fer, la rue conduisait aux forges. C’est à cause des forges rougeoyantes que la rue fut appelée « bout de l’Enfer ». L’activité métallurgique contribua à la renommée du village de « Forges en Bray », tel qu’il était nommé à l’origine. Très importante jusqu’au XVème siècle, elle perdura cependant jusqu’au XIXème siècle mais dans de moindre importance. Le percement de la Rue de Neufchâtel en 1848 fit disparaitre les dernières forges du quartier, assez insalubre jusqu’alors. Ainsi le fer et l’eau sont les deux éléments qui contribuèrent au développement du village et lui donnèrent son nom «Forges-les-Eaux ». « Ferro et aqua » n’est-ce pas la devise de notre ville telle qu’elle est apposée au fronton de l’Hôtel de Ville.

5 Place du Marché aux Poissons 76440 Forges-les-Eaux
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18 - Rue des Fées

On y trouve la maison dite du Père Uger, ou naquit le graveur Louis Henri Brévière en 1797. Une plaque commémorative matérialise la maison. Une légende raconte qu'il y a fort longtemps cette rue menait à des bois mystérieux peuplés de fées. Au cours d'une fête l'une d'elle invita un certain Uger à danser. Pour le remercier, elle lui offrit une bouteille de cidre. Celle-ci ne serait jamais vide tant qu'il garderait le secret. Uger finit par révéler le secret et la divine bouteille resta vide pour toujours!

20 Place Brevière 76440 Forges-les-Eaux
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19 - Place Bérvière

La Place porte le nom de Louis Henri Brévière, graveur de grande notoriété, né à Forges-les-Eaux (rue des Fées) en 1797, décédé en 1869 à Hyères. Il obtient le titre de graveur de l'imprimerie Nationale et plusieurs de ses travaux figurèrent dans les expositions universelles de Paris et Londres. La place est rebaptisée Place Brévière suite à l'inauguration d'un buste en octobre 1873 et à l'institution d'une fête en son honneur. La Fête Brévière se déroule ainsi chaque année le 1er week-end d'octobre. Le buste original fut fondu par l'armée Allemande en 1942. En 1993, grâce à la générosité d'une Famille forgionne, un nouveau buste (œuvre du sculpteur Roger Bésus) fut réalisé. L'Hôtel de Ville a été inauguré en 1934. Il occupe l'emplacement de la Maison Le Vaillant ou séjournèrent le Roi Louis XIII, La Reine Anne d'Autriche et le Cardinal Richelieu lors de leur venue en cure en 1633. La partie centrale de la bâtisse fut reconstruite au XIXème siècle par un descendant de Le Vaillant, Le Baron Jules Thiéssé (Conseiller Général et Député). La Façade blanche est un placage apposé lors de l’installation de la mairie dans ce bâtiment.

4 Place Brevière 76440 Forges-les-Eaux
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20 - Parc Mondory

Le parc de l'Hôtel de ville, appelé aussi Parc Mondory, abrite deux pavillons : l’Oratoire d'Anne d'Autriche et le Corps de Garde. La bâtisse originelle, en grès ferrugineux, brique et colombages datait du XVIIème siècle. Elle était située à l'emplacement de l'actuel Hôtel de ville. Propriété de Le Vaillant, Maître verrier, c'était l'une des plus belles maisons du bourg. Grâce à sa grandeur, son emplacement, elle fut choisie pour accueillir le Roi de France Louis XIII et la Reine Anne d'Autriche lors de leur cure en 1633. Pendant ce séjour royal, la noblesse locale et la Députation du Parlement de Rouen se présentèrent au Roi. Les loisirs occupèrent une place importante : chasses, théâtre... On fit venir de Paris le célèbre Mondory et sa troupe. Il présenta trois pièces : Mélite, Clitandre et la Veuve signées de Pierre Corneille. Ce dernier en profita pour se signaler à l'attention du Cardinal et obtenir ainsi sa protection. En souvenir de cet épisode, le parc de l'Hôtel de Ville porte le nom de Parc Mondory.

1 Rue Albert Bochet 76440 Forges-les-Eaux
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