Explorez CAMPING LA GARE DES AMIS à Saint-fortunat-sur-eyrieux

Entre gorges étroites, tunnels et viaducs, votre voyage à vélo sur Dolce Via roule ici dans les traces du passé. Sur votre route, les anciens moulins et ateliers de tisserands de soie témoignent de la richesse de la vallée qui accueillait, jadis, de nombreux travailleurs. Les points de vue sur l'Eyrieux se multiplient et permettent de belles pauses contemplatives. En contrebas de la voie verte, les eaux tranquilles de la rivière invitent à la halte. Pont-de-Chervil est un lieu idéal pour un moment rafraîchissant à mi-chemin de l'étape. On s'immisce de plus en plus dans les gorges de l'Eyrieux, au coeur d'un environnement qui étincelle de vert et d'orange à l'automne, car ici le châtaignier est roi.

Partez à la découverte de la montagne Ardéchoise ! Vous passerez par de petites routes de montagnes d’où vous aurez de très beaux panoramas.

La Voulte-sur-Rhône est le point de départ de l'itinéraire Dolce Via. Vous quittez ViaRhôna pour pénétrer à vélo dans la vallée de l'Eyrieux à la poursuite des anciennes locomotives. Votre aventure dans les traces de l'ancienne voie ferrée débute au milieu des vergers de pêchers où vous entamez une spectaculaire et douce remontée de la vallée pour rejoindre Les Ollières-sur-Eyrieux. Ajoutez la vue sur la vallée, sa rivière, ses villages perchés sur l'autre versant et votre balade devient, dès les premiers coups de pédales, un enchantement. Et le voyage ne fait que commencer... Parcours balisé "Dolce Via", l'itinéraire aménagé sur une ancienne voie ferrée alterne sur des voies vertes aux revêtements de type gore (sable de granite) ou bitumeux bien roulant et de routes à faible trafic. Le dénivelé est infime (1%). Les beaux garde-corps d'acier Corten (aspect rouillé), non seulement esthétiques mais particulièrement bienvenus pour parer à tout risque de chute le long de nombreux à-pics de la voie rappellent le passé ferroviaire de l'itinéraire. Attention à la traversée prudente de la départementale 120 en arrivant à Les Ollières-sur-Eyrieux avant de rejoindre la gare.

De l’impétuosité du grand fleuve à la sagesse de ses bras, cet itinéraire au fil de l’eau vous permettra de découvrir une faune riche en sons et en couleurs. Du parking « Via Rhôna –Barrage Mobile » (90 m), prendre la Via Rhôna au sud sur 100 m. Au carrefour, après le pont, continuer par la route qui longe le canal du Rhône, la « Via Rhôna », jusqu’à l’intersection en bordure de la Drôme. Se diriger à droite et gagner la confluence Drôme-Rhône (en face, de l’autre côté du fleuve, les montagnes des Cévennes ardéchoises ; vue au nord sur La Voulte et son château ainsi que sur le barrage mobile aménagé pour lâcher les eaux du Rhône dans la plaine, en période de crue).  À droite, accès aux roselières. Revenir à l’intersection. Continuer par le large chemin empierré en bordure de la Drôme. Laisser à droite la Via Rhôna qui franchit le pont, dépasser la barrière et poursuivre vers l’est jusqu’au carrefour. Prendre le chemin empierré de droite en direction de la passe à poissons. Franchir la barrière et arriver à la passe (poteau directionnel « La Passe à Poissons – 96 m »). Revenir au carrefour. Poursuivre par le large chemin plein nord. Suivre le chemin (route) de Voulte à gauche. Dépasser Maison-Alibert puis Pommier et retrouver le carrefour de l’aller. Franchir le pont et retrouver le parking du départ.

De l’impétuosité du grand fleuve à la sagesse de ses bras, cet itinéraire au fil de l’eau vous permettra de découvrir une faune riche en sons et en couleurs.

De l’impétuosité du grand fleuve à la sagesse de ses bras, cet itinéraire au fil de l’eau vous permettra de découvrir une faune riche en sons et en couleurs.

ViaRhôna, de Le Pouzin / Cruas à Châteauneuf du Rhône / Viviers. Vous filez au sud en direction de Cruas. ViaRhôna prend alors un fort accent patrimonial. Saisissant contraste entre patrimoine architectural avec l'abbatiale de Cruas et le patrimoine industriel de ses cimenteries, le lien se trouve peut-être avec la toute nouvelle passerelle himalayenne de Rochemaure construite sur les piles du Vieux Pont.

Entre rivière, lac et réserve naturelle, cette balade est faite pour les amoureux de la nature et pour tous ceux qui souhaitent découvrir les richesses de l'écosystème de la Drôme.

Un tracé sans prétention mais qui présente une belle qualité de sentiers. Profitez de la vue sur la réserve naturelle des Ramières depuis la crête du Mont Roti.

Le petit Moulin, vous accueille dans une vieille ferme de caractère, avec un grand parc, vous propose ses trois chambres, disponibles uniquement en semaine, du lundi soir au samedi matin.

Ambiance familiale pour cet établissement, tout proche de la sortie 15 de l'A7 et à la jonction de l'autoroute A49 vers Grenoble. Au cœur de la zone d'activités sud de Valence, cet établissement dispose de 79 chambres, parfaitement insonorisées et climatisées. B&B Valence Sud propose des chambres familiales, un accès internet haut débit et de nombreuses chaines d'informations.

Ace Hôtel Valence est un hôtel neuf de 58 chambres, idéalement situé à la sortie Valence Sud. Nombreuses chambres familiales. Accueil 24/24, parking sécurisé gratuit, insonorisation optimisée.

Un véritable cocon pour des moments apaisants avec vue sur notre jardin, la prairie et le plateau du Coiron. Accès indépendants par une grande terrasse. Vous disposez d’une vaste pièce voûtée pour vos petit-déjeuners et repas. L'Attrape Rêve dispose de 3 belles chambres de 20 m2 chacune et aussi d'un dôme géodésique.

À 3 minutes du centre-ville, le Novotel vous accueille en famille ou en voyage d'affaires. Organisez vos réunions, détendez-vous dans le sauna, profitez de la salle de fitness et dégustez des spécialités régionales ! "Toute mon équipe à hâte de vous accueillir au Novotel Valence Sud où vous aurez le plaisir de découvrir nos chambres rénovées N'Room et vivre une expérience inoubliable dans notre restaurant Mathuzar où le "chill' est le maître mot!" RISSONS Francois , Direction de l'hôtel Le Novotel Valence Sud vous souhaite la bienvenue dans son établissement de 106 chambres entièrement repensées et rénovées dans le style N Room. Pour vos réunions, nous disposons de 6 salles de réunion d'une superficie de 240 m² (modulables jusqu'à 190m²). Dédié à la détente, notre hôtel à Valence vous séduira par sa piscine extérieure, sa terrasse ombragée en bordure de rivière, son espace sauna et sa salle fitness. En famille, vous apprécierez les jeux d'intérieur destinés aux enfants. Brunch à volonté chaque dimanche. Situé à 2 km du centre et de l'A7, notre hôtel à Valence jouit d'un emplacement idéal pour vous faire découvrir à la fois les sites de la porte du Midi et les lieux d'intérêt alentour. Vous pourrez ainsi flâner au parc Jouvet, admirer la facade de la maison des Têtes et profiter de l'ambiance de la marina avant de vous détendre au Centre aqualudique à 3min de l'hôtel. Après Valence, vous pourrez emprunter les routes touristiques de la Drôme et l'Ardèche et explorer les vignobles des côtes du Rhône. Proche de la sortie N°15 de l'A7, le Novotel Valence Sud vous accueille 24h/24h. Venez profitez de sa terrasse ombragée au bord de l'Epervière en déjeunant dans notre restaurant Mathuzar.

Luxe, calme, volupté… mais il faut ajouter l’esprit, contemporain, chic, impertinent parfois. Le confort absolu et… le style. Ici, on n’est pas chez soi mais à l’hôtel et l’on vient donc chercher des espaces qui ne ressemblent pas à ceux dans lesquels on vit par ailleurs, des espaces différents qui sont un voyage, un décentrement, une invitation.

Un emplacement idéal, un très grand parking clos, une belle terrasse pour les petits déjeuners, un lobby moderne et convivial, des chambres confortables, un wifi gratuit et performant, et surtout un accueil chaleureux. A deux pas, vous bénéficiez des cinémas, théâtres, du Parc Jouvet, du Musée des Beaux Arts et du Musée du Patrimoine Arménien.... Si vous le désirez, vos hôtes seront les guides de choix de vos sorties.

Lieu culturel dédié au spectacle vivant et qui accueille une grande variété de propositions: théâtre, musiques classiques et actuelles, jeune public, comédie et danse. Le Théâtre de la Ville est emblématique du style dit "à l'italienne" et est l'un des fleurons du patrimoine valentinois. Au 19e siècle, la ville de Valence est une ville de garnison qui accueille des milliers de militaires dans ses casernes. La présence d’une école d’artillerie attire de nombreux jeunes sous-officiers et officiers, parfois avec leur famille. La municipalité regrette de ne posséder aucune salle de spectacles digne de cette élite militaire. C’est alors qu’on décide la construction d’un théâtre. Le 31 mars 1824, la Ville accepte la demande d’un groupe de citoyens, réunis en une société d’actionnaires désireux de construire un théâtre à leurs frais sur un terrain de 17 m de large sur 50 m de long. Après dix ans de travaux, le bâtiment, conçu par l’architecte de la Ville Étienne Javelas, mais modifié deux fois, sort de terre. Il n’est pas terminé lorsqu’il accueille en 1835 ses premières représentations. L’inauguration officielle a lieu le 3 juin 1837. Les travaux de 1886 transforment la salle et la dotent d’un nouveau décor. Les loges sont ornementées de cariatides et atlantes. Petits salons particuliers, l’un réservé au maire et l’autre au préfet, ils isolent la « bonne compagnie » du commun des mortels, tout en l’exposant au regard des spectateurs. Le plafond à coupole, traité en trompe-l’œil d’architecture et vases de fleurs se découpant sur un ciel bleu aux nuées roses, cite les quatre genres, tous présents dans la programmation du théâtre : drame, comédie, opéra et vaudeville. Un esprit populaire avec lequel renoue aujourd’hui la saison culturelle proposée par la Ville de Valence.

Au fil des quelque 200 représentations données chaque saison dans ses trois salles et une soixantaine de lieux décentralisés, plus de 40.000 spectateurs font de La Comédie de Valence, Centre dramatique national Drôme-Ardèche, un lieu vif et partagé. Marc Lainé, auteur, metteur en scène et scénographe, a pris en janvier 2020 la direction de La Comédie de Valence, Centre dramatique national Drôme-Ardèche avec pour ambition d’en faire un des lieux majeurs de la création transdisciplinaire au service de l’art dramatique. Un lieu de création transdisciplinaire Développer un lieu de création transdisciplinaire, c’est multiplier les entrées possibles vers le théâtre qu’elles soient littéraires, cinématographiques, musicales, plasticiennes… C’est vouloir surprendre le public, déjouer ses présupposés, lui faire redécouvrir le formidable outil de compréhension du monde et de soi que le théâtre peut représenter. C’est l’inviter à se réapproprier l’art et la culture, grâce aussi à la dimension participative également au cœur du projet. Un Ensemble artistique d'horizons complémentaires Marc Lainé s’appuie sur un Ensemble artistique d’horizons et d’esthétiques complémentaires, constitué de metteur·euse·s en scène (Guillaume Cayet, Silvia Costa, Tünde Deak, Sarah Delaby-Rochette, Lorraine de Sagazan, Cyril Teste) dont La Comédie produit ou coproduit les œuvres et d’artistes de toutes les disciplines (Alice Diop, Penda Diouf, Marie-Sophie Ferdane, Alice Zeniter, Bertrand Belin, Éric Minh Cuong Castaing, Stephan Zimmerli, Neo Neo), étroitement associés à la vie du théâtre. Une compagnie régionale associée De 2020 à 2024, une compagnie régionale était associée à La Comédie chaque saison. Désormais, les compagnies régionales seront associées sur un mandat en intégrant l’Ensemble d’artistes pluridisciplinaires. Ainsi, Guillaume Cayet et Sarah Delaby-Rochette, tou·te·s deux metteur·euse·s en scène de la région Auvergne-Rhône-Alpes rejoignent l’Ensemble artistique de La Comédie. Made in La Comédie et partenariats Les artistes de l’Ensemble artistique contribuent au développement des nouveaux dispositifs imaginés pour La Comédie de Valence, intitulés Made in La Comédie: les O.V.N.I. (Objets valentinois non identifiés) qui sont des projets de création participatifs in situ, dont la réalisation peut se traduire dans toutes les formes artistiques (roman graphique, film, radiophonie, spectacle…); les projets développés pour et avec tous les publics du territoire, avec notamment le renouvellement de la Comédie itinérante; les dispositifs de recherche: les A.R.T. (Ateliers de recherche transdisciplinaire) à destination de metteur·euse·s en scène souhaitant explorer un croisement disciplinaire particulier ainsi que les Studios d'écriture nomades pour des auteur·rice·s dramatiques souhaitant éprouver leur texte au plateau au cours du processus d’écriture, sous le regard des artistes de l’Ensemble. Le Théâtromaton, qui est une structure mobile d'ateliers, comme un micro-théâtre ambulant. Cette attention particulière portée par le CDN à son territoire d’implantation se caractérise aussi par la volonté de tisser des partenariats avec l’ensemble de ses acteurs culturels. La première saison, marquée par les travaux de La Comédie pour en améliorer l’accessibilité, permet de commencer à penser des projets en commun ou en lien avec certain·e·s d’entre eux·elles. Historique: 1997-2000 La Comédie de Valence est créée en 1997 par l’acteur et metteur en scène Philippe Delaigue. En janvier 2001 le metteur en scène Christophe Perton est nommé co-directeur, permettant ainsi à la Comédie d’accéder au statut de Centre dramatique national, et associant le département de l’Ardèche en tant que territoire. 2001-2009 Leur premier mandat signe la création de la Comédie itinérante, réseau de diffusion sur les territoires de Drôme et d’Ardèche, et la mise en place d’une troupe permanente, active de 2001 à 2009. Ils mettent en œuvre une politique artistique tournée vers l’Europe, l’écriture contemporaine et les commandes. Christophe Perton est nommé seul directeur en 2006. Il amplifie son projet, et fait rayonner La Comédie avec la diffusion de ses créations au niveau national et international. 2010-2019 De 2010 à 2019, La Comédie est dirigée par le comédien et metteur en scène Richard Brunel. Il s'entoure d'un collectif d’artistes engagés dans des créations et porteurs de projet, poursuit le déploiement de la Comédie itinérante avec une soixantaine de lieux décentralisés, développe les actions d'éducation artistique et donne une grande visibilité aux créations et productions du CDN en tournée en France et en Europe.

La partie aménagée de Saint-fortunat-sur-Eyrieux au pont de Chervil : Sur cette partie de l’ancienne voie ferrée, les communes ont réalisé des travaux de mise en sécurité des ouvrages (garde-corps), de mise en place de portails pour interdire le transit des véhicules, d’aménagement du sol. L’itinéraire n’est pas balisé, mais sa faible pente et son tracé facilitent la visualisation du parcours. La voie vous invite à découvrir les paysages de la vallée de l’Eyrieux : vergers, terrasses, et arbres divers passant des chênes, aux châtaigners et aux mélèzes, au fur et à mesure que l’on s’élève. Les ouvrages d’art, ponts et tunnels, donnent toute la dimension du travail de l’homme au XIXe siècle, nécessaire à l’amélioration des conditions d’existence. Tout le long du parcours, on trouve de nombreux témoignages de l’architecture et de l’activité de cette vallée : maisons de granit accrochées aux flancs des montagnes, anciens moulinages, usines, …

La "petite capitale" de la vallée de l'Eyrieux, très vivante, très peuplée l'été de par la facilité d'accès aux activités d'eaux vives, vous accueille à mi parcours de votre randonnée. D'ici vous pourrez changer de modes de déplacement pour vous orienter vers du canoé, kayak, randonnée aquatique, parcours aventure au dessus de l'eau, location VTT etc. C'est aussi à partir de cette commune que s'effectue la location de Quattrocycles (rosalies modernes et légéres). De 2 à 7 places, de 1/2 h à la 1/2 journée, en couple, en famille, entre amis ou en groupe, promenez vous le long de la rivière Eyrieux dans un cadre naturel magnifique. Le train à vapeur du 19eme siècle, a désenclavé cette vallée car industriels et paysans affluèrent avec leurs marchandises dans les nombreuses gares qui jalonnaient le parcours. Ce secteur de l'Ardèche vivait à cette époque encore, au rythme de la sériciculture. Les filatures battaient leur plein, embauchant femmes et enfants. Le train acheminait les bobines de fil de soie vers Lyon (les canuts) mais aussi les nombreux fruits cultivés le long de l'Eyrieux, dont la fameuse chataigne. En pédalant, à partir des Ollières et jusqu'au Cheylard, on remonte ainsi le temps, en empruntant de nombreux ouvrages d'art et en admirant les anciennes filatures toujours bien présentes dans le paysage (notamment celle des Ollières et sa grande cheminée).

Château (XIVè-XVIIè siècle). Style Renaissance incendié à la fin de la seconde guerre mondiale.Chapelle des Princes classée Monument historique (XVIIè siècle).Visites guidées proposées : Bourg castral et château Commencée au XIV ème siècle par la famille Bermond d'Anduze, la construction s'achèvera au XVII ème sous Anne de Lévis. Sous Napoléon, il deviendra un dépôt de mendicité. Au XIX ème racheté par la Compagnie Terrenoire, La Voulte, Besseges, le château accueillera le siège des fonderies. Traversant les siècles sans trop de dommages, un incendie à la fin de la seconde guerre mondiale lui volera les derniers vestiges de sa splendeur. Château de la voulte Dominée par son château, la vieille ville épouse le rocher par les calades et les ruelles empierrées. Neuf cents ans nous contemplent, neuf cents ans d’histoire imprégnée, gravée sur le rocher. La demeure des Ventadour, reste là, belle et fière dans ses ruines de pierres. Gardienne de la cité, sa noble prestance est chère aux cœurs des Voultains. Son histoire s’est construite autour des familles De Clérieu et de Fay, des Bermond D’Anduze, des Levis de Ventadour. En ces temps lointains, sur le haut du rocher, à l’emplacement de l’église, s’élevait un fortin composé de deux tours appelé pour cette raison « La Bistoure ». Des remparts entouraient la vieille cité, dont quelques vestiges subsistent encore. Plusieurs portes fermaient la ville. Des rues en escaliers, étroites et pentues aux noms anciens, existent toujours dans la vieille cité et autour des remparts. Quelques passages voûtés, de vieilles maisons aux fenêtres à meneaux et aux portes sculptées témoignent de ce passé prodigieux. Une légende prétend que du château partirait un souterrain traversant le fleuve. Rien ne le prouve aujourd’hui. Mais, il existait jadis des passages souterrains, qui aboutissaient près de la place de l’église. A l’époque, les fermiers venaient abriter leurs récoltes dans les vastes salles en sous-sol du château, peut-être pour les protéger des pillards ou des prédateurs. Chaque soir les portes des remparts étaient fermées et gardées par une petite garnison. Le château, incendié en août 1944, date du XVI siècle, connaît sa plus grande gloire sous Gilbert III et Anne de Ventadour. L’ensemble est puissant et harmonieux, et reflète l’histoire des familles et d’un art de vivre. Louis XIII, de passage, a peut-être séjourné en ces murs. La fidélité que les habitants montrent pour ce roi, lors de la révolte du Vivarais en 1629, leur donne divers privilèges. Au cours des siècles, le château subit de nombreuses transformations. L’incendie de 44 qui le ravage a violemment ébranlé les murs, détruit les toitures. La couverture de la bâtisse dans ses heures de gloire, était en tuiles vernissées de cinq couleurs : noire, jaune, verte, rouge et blanche. En 1598, Anne Lévis de Ventadour, le fait restaurer et embellir, confiant ce travail à des artisans de la ville, mais aussi à des ouvriers venant de la région parisienne et d’Allemagne. La bâtisse est aujourd’hui composée de trois corps de bâtiment de différentes époques, de différents courants. Dans l’enceinte du château, le visiteur peut admirer la partie la plus ancienne, la cour intérieure délimitée par des arcades portant une multitude de différents motifs sculptés sur ses voussoirs ainsi que des écussons sur les clés de voûte. Un escalier donnait accès à une grande galerie où se tiennent à plusieurs reprises les Etats Généraux du Vivarais. A gauche dans la cour, le grand escalier d’honneur surplombé de fenêtres à meneaux, visibles sur la façade, des écussons, peut-être vestiges maçonniques ou signatures de compagnons. Cet escalier conduit à la terrasse qui domine la ville, point de vue unique sur le vieux village qui s’étend aux pieds des visiteurs, et au-delà du fleuve, la vallée du Rhône, les montagnes du Diois et les Préalpes. En redescendant dans la cour, une visite à la Chapelle des Princes, classée monument historique, s’impose. Cette chapelle de style gothique a été construite par Bermond D’Anduze. Elle communiquait autrefois avec l’église paroissiale. Construite en 1487, elle ne fut décorée qu’en 1606. La partie supérieure de la chapelle reste dans

Château (XIVè-XVIIè siècle). Style Renaissance incendié à la fin de la seconde guerre mondiale.Chapelle des Princes classée Monument historique (XVIIè siècle).Visites guidées proposées : Bourg castral et château. Le château, incendié en août 1944, date du XVI siècle, connaît sa plus grande gloire sous Gilbert III et Anne de Ventadour. L’ensemble est puissant et harmonieux, et reflète l’histoire des familles et d’un art de vivre. Louis XIII, de passage, a peut-être séjourné en ces murs. La fidélité que les habitants montrent pour ce roi, lors de la révolte du Vivarais en 1629, leur donne divers privilèges. Au cours des siècles, le château subit de nombreuses transformations. L’incendie de 44 qui le ravage a violemment ébranlé les murs, détruit les toitures. La couverture de la bâtisse dans ses heures de gloire, était en tuiles vernissées de cinq couleurs : noir, jaune, verte, rouge et blanche. En 1598, Anne Lévis de Ventadour, le fait restaurer et embellir, confiant ce travail à des artisans de la ville, mais aussi à des ouvriers venant de la région parisienne et d’Allemagne.

La réserve naturelle de faune sauvage de Printegarde (île) est un site privilégié pour les amoureux de la nature. Sur cet axe de migration d'oiseaux, la balade vous propose de découvrir: grèbes huppés, colverts, castors.14 km possible VTT. poussettes OK. Situé entre les départements de l'Ardèche et de la Drôme, Sur cet axe de migration de nombreux oiseaux, la balade vous propose de faire le tour de l'île tout en découvrant la faune sauvage: grèbes huppés, colverts, milan noirs... mais aussi castors, ragondins...

Accroché au flanc d’un éperon rocheux, le vieux village de Beauchastel veille la rencontre du Rhône et de l’Eyrieux. S’étageant sous le donjon, il était comme tant de bourgs médiévaux protégé par une enceinte qui le mettait à l’abri de tout danger. L’ancienne porte des remparts existe toujours. Plusieurs maisons à caractère médiéval ou plus tardives, parées de schiste de la montagne et de galets de rivière apparaissent au gré des promenades dans les ruelles et passages. Tombé à l'abandon, le vieux village de Beauchastel revit depuis 1973 grâce au travail de l'association " Enfants et Amis de Beauchastel ". L'agglomération plus récente se trouve au confluent de la rivière Eyrieux et du Rhône. La Grand'rue, l'ancienne route royale, remontait la vallée de l'Eyrieux, à distance respectable de l'impétueuse rivière. Au début du XXe siècle, c'est le quartier commerçant du village. Le nombre et la diversité des commerces et ateliers d'artisans révèle l'importance de Beauchastel : 800 personnes vivaient ici en 1901 ! le village était également le lieu de quatre foires par an, autant d'occasions pour toute la région de faire commerce. Le théâtre : Jusqu'en 1980, se trouvait en ces lieux le cimetière catholique. Aujourd'hui, ce cadre remarquable sert de scène à tous les artistes qui se produisent tout au long de la saison estivale : concerts, théâtre … Le donjon : La première mention de Bellum Castellum, " beau château ", date de 1179. Les ruines aujourd'hui isolées du donjon de plan carré dominent le vieux village. Le bâtiment qui peut être daté du XIIe siècle, ne présente pas d'ouverture visible. Il ne reste rien de l'enceinte ou des autres bâtiments qui devaient accompagner cette tour : au tout début du XVIIe siècle, le château est déjà décrit comme ruiné. Un sculpteur d'art brut : De 1905 à 1944, Alphonse Gurlhie a habité à Beauchastel. Pratiquant une expression populaire atypique, ce personnage hors du commun a fait un jardin exposant ces "totems" où figure un bestiaire coloré qui préfigure l'art brut.

Petit hameau typiquement ardéchois avec ses terrasses et ses maisons en pierres. Son emplacement permet de profiter d'un beau point de vue sur le Volcan de Chirouse et les vallées environnantes.

L'ancien volcan des Chirouses, a connu deux périodes de volcanisme (préatomagmatique puis stronbolienne). Aujourd'hui il reste les coulées basaltiques, avec le pierrier qui s'étend sur 9 km de long. L'érosion a mis à jour le sommet des Chirouses, avec des grandes "orgues basaltiques". C'est un des  géosites du Géopark classé par l'UNESCO.

Le Pont de Chervil, comme les murs de l'ancien chemin de fer départemental, sont des modèles de travaux de génie rural au début du vingtième siècle. La rivière a ici façonné une vallée profonde dont les pentes ont été ciselées de murettes et terrasses par des générations d'agriculteurs, créant ainsi toute la spécificité du lieu. L'environnement autour de du pont de Chervil est constitué de pentes et de 'serres' que l'homme a dû domestiquer. Le paysage est donc marqué par l'empreinte des générations passées : les paysans rudes au labeur ont édifié des murettes sur toutes les pentes pour retenir la terre permettant de nourrir leurs familles ; ils ont planté le châtaignier appelé 'arbre à pain' qui a été une des richesses de la région, et les mûriers qui ont permis l'élevage du ver à soie et le développement des moulinages.

La partie aménagée de Saint-fortunat-sur-Eyrieux au pont de Chervil : Sur cette partie de l’ancienne voie ferrée, les communes ont réalisé des travaux de mise en sécurité des ouvrages (garde-corps), de mise en place de portails pour interdire le transit des véhicules, d’aménagement du sol. L’itinéraire n’est pas balisé, mais sa faible pente et son tracé facilitent la visualisation du parcours. La voie vous invite à découvrir les paysages de la vallée de l’Eyrieux : vergers, terrasses, et arbres divers passant des chênes, aux châtaigners et aux mélèzes, au fur et à mesure que l’on s’élève. Les ouvrages d’art, ponts et tunnels, donnent toute la dimension du travail de l’homme au XIXe siècle, nécessaire à l’amélioration des conditions d’existence. Tout le long du parcours, on trouve de nombreux témoignages de l’architecture et de l’activité de cette vallée : maisons de granit accrochées aux flancs des montagnes, anciens moulinages, usines, …

En arrivant sur St Sauveur de Montagut, l'Eyrieux se contorsionne en plusieurs méandres. Les abords de la voie s'ébouriffent de chênes verts, de buis, d'acacias épineux, et s'étagent en terrasses. La balade se poursuit en douceur, elle ravira les familles car plusieurs haltes sont possibles en chemin. N'oubliez pas de déguster l'une des meilleures glaces artisanales d'Ardèche en vous arrêtant à St Sauveur de Montagut (juste le pont sur l'Eyrieux à traverser pour changer de rive); ou partez en randonnée directement sur un des 7 sentiers de l'eau aménagés dans la vallée de l'Eyrieux.. à chacun son plaisir !

Le Pont de Chervil, comme les murs de l'ancien chemin de fer départemental, sont des modèles de travaux de génie rural au début du vingtième siècle. La rivière a ici façonné une vallée profonde dont les pentes ont été ciselées de murettes et terrasses par des générations d'agriculteurs, créant ainsi toute la spécificité du lieu. L'environnement autour de du pont de Chervil est constitué de pentes et de 'serres' que l'homme a dû domestiquer. Le paysage est donc marqué par l'empreinte des générations passées : les paysans rudes au labeur ont édifié des murettes sur toutes les pentes pour retenir la terre permettant de nourrir leurs familles ; ils ont planté le châtaignier appelé 'arbre à pain' qui a été une des richesses de la région, et les mûriers qui ont permis l'élevage du ver à soie et le développement des moulinages.

Situé entre Valence et Montélimar, le Logis de France propose 6 chambres tout confort et une terrase ombragée!

Situé entre Valence et Montélimar, le Logis de France propose 6 chambres tout confort et une terrase ombragée!

Il s’agit d’une cuisine locale et recherchée mettant en avant les producteurs travaillant de manière raisonnée. Bar et épicerie de produits locaux. Sur réservation. Depuis le 20 mai 2022, Sylvain Volle a posé ses valises dans les cuisines de la Table du Barrès. Après avoir fait ses armes dans les brigades d'Anne-Sophie Pic, à Valence, puis de Mathieu Viannay chez La Mère Brazier, à Lyon, et enfin au côté de Jean Sulpice, à l'Auberge du Père Bise, à Talloires (Haute-Savoie), il a décidé avec sa conjointe Margot de franchir le pas en se mettant pour la première fois à son compte. Le couple s'est d'ailleurs rencontré en 2017 dans l'établissement du chef doublement étoilé sur les rives du lac d'Annecy. Lui était sous-chef, elle assistante de maître d'hôtel. Fort de toutes ces expériences cumulées, Sylvain Volle résume ainsi ces huit années dans ces grandes maisons. ''J'ai appris à travailler chez la cheffe Pic, j'ai revu mes classiques chez la Mère Brazier et j'ai découvert la cuisine de la nature à Talloires. En fait, c'est avec Mathieu Viannay et à l'auberge du Père Bise que j'ai réellement pris la mesure du métier."

Mag et son équipe vous accueillent dans un esprit familial et authentique pour vous proposer des plats traditionnels régionaux hauts en couleurs "fait maison" qui vous font ainsi découvrir les nombreuses spécialités de notre merveilleuse Ardèche. Au rythme du calendrier et des saisons, nous vous suggérons de nouveaux mets et des soirées animées à thèmes. Ambiance conviviale assurée pour les petits comme pour les grands! Bar disponible toute la journée. Notre carte pour les groupes : www.restaurant-chez-mag.com/groupes/les-menus-groupes/ Possibilité de réserver un panier pique-nique 100% local : sandwich à la baguette ardéchoise (jambon cru IGP Ardèche ou Picodon AOP et miel), eau minérale gazeuse (bouteille recyclable), fruit de saison d'Ardèche et muffin "maison" à la châtaigne. Réservation : moins de 10 personnes : 24h à l'avance / plus de 10 personnes : 48h à l'avance / au-delà de 30 personnes : 1 semaine à l'avance Vaisselle biodégradable ou recyclable

Le Restaurant de Simondon propose une cuisine bistronomique, maison, raffinée et inventive, basée sur le goût des produits et le plaisir des saveurs. Travail soigné pour vous assurer dégustation mets et vins, dans un cadre convivial et accueillant. Vieilles pierres et cadre nature, la grande terrasse vous permet de profiter de Simondon avec une vue magnifique sur la vallée du Rhône et le Vercors. Dépaysement 100% garanti.

Maud, Olivier et Frédéric vous accueillent dans un cadre verdoyant et adapté aux familles (aire de jeux enfants extérieure et salon de jeux). Côté cuisine, vous dégusterez des plats originaux et familiaux réalisés à base de produits régionaux de saison. Entre vignes et châtaigniers sur les hauts de la vallée préservée du Coiron, se cache une demeure de caractère, une halte gourmande et exceptionnelle de quiétude champêtre. Dans un cadre de fleurs et de verdure, goûtez sans réserve l'intimité des lieux . Le chef vous propose une cuisine familiale et généreuse. Au fil des saisons, les produits régionaux sont mis à l'honneur avec un vrai désir de développer les "circuits courts". Profitez à la belle saison de notre salle avec vue panoramique sur la vallée pour passer un agréable moment. La chaleur de notre grande cheminée vous fera oublier les rigueurs hivernales.

La partie aménagée de Saint-fortunat-sur-Eyrieux au pont de Chervil : Sur cette partie de l’ancienne voie ferrée, les communes ont réalisé des travaux de mise en sécurité des ouvrages (garde-corps), de mise en place de portails pour interdire le transit des véhicules, d’aménagement du sol. L’itinéraire n’est pas balisé, mais sa faible pente et son tracé facilitent la visualisation du parcours. La voie vous invite à découvrir les paysages de la vallée de l’Eyrieux : vergers, terrasses, et arbres divers passant des chênes, aux châtaigners et aux mélèzes, au fur et à mesure que l’on s’élève. Les ouvrages d’art, ponts et tunnels, donnent toute la dimension du travail de l’homme au XIXe siècle, nécessaire à l’amélioration des conditions d’existence. Tout le long du parcours, on trouve de nombreux témoignages de l’architecture et de l’activité de cette vallée : maisons de granit accrochées aux flancs des montagnes, anciens moulinages, usines, …

La "petite capitale" de la vallée de l'Eyrieux, très vivante, très peuplée l'été de par la facilité d'accès aux activités d'eaux vives, vous accueille à mi parcours de votre randonnée. D'ici vous pourrez changer de modes de déplacement pour vous orienter vers du canoé, kayak, randonnée aquatique, parcours aventure au dessus de l'eau, location VTT etc. C'est aussi à partir de cette commune que s'effectue la location de Quattrocycles (rosalies modernes et légéres). De 2 à 7 places, de 1/2 h à la 1/2 journée, en couple, en famille, entre amis ou en groupe, promenez vous le long de la rivière Eyrieux dans un cadre naturel magnifique. Le train à vapeur du 19eme siècle, a désenclavé cette vallée car industriels et paysans affluèrent avec leurs marchandises dans les nombreuses gares qui jalonnaient le parcours. Ce secteur de l'Ardèche vivait à cette époque encore, au rythme de la sériciculture. Les filatures battaient leur plein, embauchant femmes et enfants. Le train acheminait les bobines de fil de soie vers Lyon (les canuts) mais aussi les nombreux fruits cultivés le long de l'Eyrieux, dont la fameuse chataigne. En pédalant, à partir des Ollières et jusqu'au Cheylard, on remonte ainsi le temps, en empruntant de nombreux ouvrages d'art et en admirant les anciennes filatures toujours bien présentes dans le paysage (notamment celle des Ollières et sa grande cheminée).

En arrivant sur St Sauveur de Montagut, l'Eyrieux se contorsionne en plusieurs méandres. Les abords de la voie s'ébouriffent de chênes verts, de buis, d'acacias épineux, et s'étagent en terrasses. La balade se poursuit en douceur, elle ravira les familles car plusieurs haltes sont possibles en chemin. N'oubliez pas de déguster l'une des meilleures glaces artisanales d'Ardèche en vous arrêtant à St Sauveur de Montagut (juste le pont sur l'Eyrieux à traverser pour changer de rive); ou partez en randonnée directement sur un des 7 sentiers de l'eau aménagés dans la vallée de l'Eyrieux.. à chacun son plaisir !

Gîte de groupe dans un ancien moulinage, situé au coeur de la nature et à proximité des sentiers de randonnée de Vernoux-en-Vivarais. Possibilité de camping rural.