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Celles, Hainaut, Hainaut : joyau caché à découvrir

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Située dans la bucolique région du Hainaut, Celles, Hainaut, Hainaut est une destination riche en découvertes pour les aventuriers et les amoureux de la nature. Commencez par une visite à l'Église Saint-Hadelin, un joyau d'architecture romane niché au cœur du village. Pour les amateurs de randonnée, les vastes forêts et les nombreuses pistes cyclables offrent des paysages à couper le souffle. Ne m...Voir plus

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Sur les traces de la légende de Liedericq
5.4 km

Sur les traces de la légende de Liedericq

Amoureux des dénivelés, passionnés des chemins escarpés… vous voilà au sommet du Pays des Collines. Une vue imprenable sur le Mont-de-l’Enclus, Tournai, le Mont-Saint-Aubert et la plaine de l’Escaut s’offre à votre regard. A cheval sur la Flandre et la Wallonie, vous emprunterez successivement routes, chemins de terre et sentiers forestiers qui vous mèneront sur la crête. Sur le parcours, n’hésitez pas à vous accorder une petite halte dans l’un des nombreux cafés-restaurants ou encore à la Maison des Randonneurs, où d’autres idées « rando » vous attendent. Envie de partir à l’aventure ?Balthazar le faucon et Millie l’écureuil vous invitent à découvrir le Mont de l’Enclus. Spécialement pour les familles, ce podcast vous dévoilera les secrets de ces paysages vallonnés et préservés et l’identité particulière de ce mont en Wallonie picarde, sur les traces de la légende de Liedericq. Vous pouvez accéder au podcast en cliquant ici. Ecouter le podcast. Vous voulez en savoir plus sur la Chaîne des Monts ?Cette chaîne de collines s'étend d'ouest en est, de Watten en France, à La Houppe en Wallonie picarde, en passant par Kemmel en Flandre. Elle culmine à moins de 200 mètres mais constitue un relief très marquant dans le paysage. Procurez-vous dès maintenant la carte de la Chaîne des Monts en famille et/ou le roadbook pour les cyclosportifs disponibles sur le Wapishop. Points-noeuds : DEPART 32-30-27-26-28-36-38-42-40-37-32 FIN

2 h
5.6 km
30 Enclus du Haut 7750 Orroir
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L’église Saint-Christophe
62 m

L’église Saint-Christophe

Située au centre d’une petite place, l’église paroissiale Saint-Christophe se compose d’une imposante tour occidentale gothique, principalement du XVe siècle bien qu’achevée en 1512, et d’un nouveau sanctuaire néogothique construit en 1906 sur les plans de l’architecte Constant Sonneville en remployant d’importants vestiges de l’édifice précédent. Apparentée à celle de l’église classée Saint-Antoine l’Ermite à Pottes, la haute tour en pierre de Tournai de grand appareil compte six niveaux accusés par des cordons-larmiers et raidis par des contreforts d’angle dégressifs. Sur un soubassement terminé par un chanfrein en doucine, elle s’ouvre au rez-de-chaussée d’un portail en arc brisé encadré d’un tore et d’une baguette à base prismatique. Il est surmonté d’une grande baie de même caractère au premier étage. Une petite baie carrée sous archivolte droite amortie éclaire le troisième niveau. Au-dessus des quatrième et cinquième niveaux aveugles, l’étage des cloches est percé d’ouïes hautes et étroites. À l’angle, une tourelle d’escalier semi-circulaire se termine par un petit comble à la base de la flèche. Sommant les contreforts, des encorbellements circulaires où posent quatre clochetons octogonaux ardoisés cantonnent une grande flèche de même forme. À l’intérieur, le rez-de-chaussée est couvert de voûtains de briques sur ogives en pierres profilées, reçues par des culots prismatiques. Édifiée en briques avec bandeaux de pierre, la nef centrale est flanquée de bas-côtés, d’un transept non saillant et d’un chœur plus bas à chevet plat, encadré de chapelles éclairées de fenêtres néogothiques groupées par deux ou par trois. Au nord, la partie inférieure du transept intègre le soubassement en moellons antérieur, de même qu’une porte en arc bombé sur jambages irréguliers. Au-delà, le bandeau ancien est également conservé au niveau des seuils, ainsi que les maçonneries en briques et leur soubassement appareillé. À l’intérieur, la nef centrale de trois travées est limitée par deux rangs de colonnes en pierre de Tournai, datant probablement du XVIIe siècle: bases octogonales, chapiteaux typiques du gothique hennuyer. La couverture est quant à elle néogothique en berceau lambrissé sur l’ensemble. Classement comme monument le 14 septembre 1934

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Le château du Grand Châtelet
2.3 km

Le château du Grand Châtelet

Le château dit du Grand Châtelet et la ferme qui l’accompagne s’implantent au milieu de Bacotterie, un modeste hameau-rue s’étirant au sud de Celles. On accède aux édifices, lovés dans une importante parcelle boisée, par une étroite drève pavée et flanquée de douves.  Auparavant, le complexe du XIXe siècle comptait une riche demeure néoclassique et ses deux ailes de dépendances ainsi qu’une ferme en U ponctuée d’une tour. Après des années d’abandon et plusieurs interventions malheureuses, le château est aujourd’hui déroché et complètement réaménagé tandis que la ferme, privée de sa fonction initiale et partiellement réaffectée, s’est vue amputée de sa grange et de ses dépendances. Le logis en double corps de deux niveaux, déploie de part et d’autre d’une travée centrale couronnée d’un fronton, trois travées éclairées d’ouvertures en arc fortement surbaissé et à encadrement légèrement saillant. Une bâtière d’ardoises artificielles à croupes et coyau couvre la bâtisse. De part et d’autre et en retour d’équerre, les dépendances sont rythmées d’arcades en anse de panier et coiffées de bâtières de tuiles bordées d’une frise de briques en encorbellement. Sur le côté, l’ancienne ferme du château, contemporaine de celui-ci se compose de deux longs volumes bas en briques sous bâtière de tuile à coyau et d’une tour colombier. Classement comme monument et comme site le 27 avril 1982

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La tour de l’église Saint-Antoine l’Ermite
4.3 km

La tour de l’église Saint-Antoine l’Ermite

Précédé d’une haute tour gothique du XVe siècle (1432), l’église paroissiale Saint-Antoine est un édifice en briques et pierre reconstruit par l’architecte Paul Clerbaux en 1912-1913, après l’incendie du sanctuaire précédent qui, hormis la tour, remontait au XVIIIe siècle. Cette belle tour carrée occidentale en pierre de Tournai de grand appareil a été restaurée en 1976-1977. Elle compte cinq niveaux légèrement dégressifs raidis par des contreforts d’angle et accusés par six cordons-larmiers. Au soubassement amorti en cavet faiblement creusé, les retours bordés d’un tore posent sur une base prismatique et font corps avec les piédroits moulurés du portail en arc brisé, sous archivolte amortie restaurée. Une petite niche trilobée sous archivolte, bien conservée, ponctue le sommet du portail. La baie du premier étage a été entièrement reconstruite dans le cadre de la restauration signalée plus haut. Une tourelle d’escalier semi-circulaire marque le flanc nord. Des ouïes hautes et étroites percent le dernier niveau. En toiture, la flèche octogonale est cantonnée de quatre clochetons ardoisés de même forme. À l’intérieur, le niveau inférieur de la tour est couvert d’une croisée d’ogives à nervures minces, avec clé annulaire assurant le passage des cloches. Elle s’ouvre vers la nef par un grand arc brisé à claveaux, plats et biseautés, refaits au-dessus des impostes. La nef, le transept non saillant et le chœur ont été rebâtis dans un style néogothique rappelant l’église Saint-Christophe de Celles. À l’intérieur, la nef centrale de deux travées est limitée par des colonnes soit enduites, soit en pierre bleue apparente, imitant les supports du gothique hennuyer. Un berceau lambrissé sous la bâtière se prolonge jusqu’au chevet. Des voûtes en bardeaux de même type couvrent les autres parties de l’église : collatéraux en appentis, bras du transept sous bâtières transversales, chœur à cinq pans. On notera enfin un intéressant ensemble de décoration intérieure néogothique dont les stalles fournissent le meilleur témoignage. Classement comme monument le 15 janvier 1936

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Le château-ferme de Pottes
4.4 km

Le château-ferme de Pottes

La seigneurie de Pottes-sur-l’Escaut est citée pour la première fois dans des documents en 1150. Elle est d’abord dans les mains des Lambersart et des Stavele, avant son passage aux Marnix au milieu du XVIe siècle. La seigneurie est qualifiée pour la première fois de baronnie au début du XVIIe siècle. C’est Jean de Marnix qui rebâtit le château de Pottes en 1624, ainsi qu’en atteste une note dans les registres de l’état civil. Le propriétaire fait apposer ses armes et celles de son épouse Marguerite de Haudion de part et d’autre du portail d’entrée vers la cour. Ces blasons sont aujourd’hui très endommagés. En 1680, la seigneurie passe entre les mains des Croix puis, en 1774, des Beaufort. La propriété appartient, semble-t-il, à la noblesse jusqu’en 1879. À mi-chemin entre Tournai et Audenarde, tout à côté de l’église paroissiale et d’un méandre de l’Escaut, la ferme de Pottes bénéficie d’un cadre rural bien préservé. Elle est encore largement entourée de fossés remplis d’eau et d’alignements de peupliers ainsi qu’à l’arrière, d’une vaste prairie. L’ensemble forme un quadrilatère principalement en briques et pierre blanche. La ferme est classée pour ce qui concerne les façades et toitures, auxquelles s’ajoutent l’escalier du corps de logis et les plafonds à poutres des pièces au premier étage. Le porche, placé en saillie au centre de l’aile nord, est d’un modèle relativement simple : un corps rectangulaire sous toiture de tuiles à croupes, bordée d’une frise de briques dentée sur denticules, ouvert par une porte charretière refaite dans sa partie supérieure, sous arc de briques surbaissé vers l’extérieur, sous poutre de bois vers la cour. Le logis, élevé sur deux niveaux, attire les regards d’emblée vers le flanc ouest par son autorité. Monté sur un soubassement saillant, ce bâtiment de type traditionnel est constitué de deux ailes disposées en L, formant un angle dans lequel se loge une tourelle d’escalier. Celle-ci a été légèrement raccourcie sous son pavillon d’ardoises, comme en témoigne une baie rectangulaire amputée, et est enclavée dans des constructions plus récentes ou profondément remaniées n’ayant qu’un intérêt secondaire. Au sein des dépendances agricoles, toujours exploitées, la partie la plus intéressante est le flanc sud, composé d’une longue aile d’étables construite sans doute en deux phases et ponctuée en son centre d’une tour élancée, ainsi que d’un bâtiment en retour à l’ouest. Celui-ci marque la transition entre la cour du logis et celle de la ferme. La longue aile sud se compose de deux bâtiments de hauteur différente sous bâtière de tuiles, toutefois unifiés vers la cour par un caractère spécifique : les façades sont scandées par des pilastres de briques à base moulurée et mince chapiteau en pierre locale. Le bâtiment le plus occidental de cette aile intègre une tour-colombier qui se place exactement dans l’axe du porche d’entrée et qui signale au loin l’ancien domaine seigneurial. Le bâtiment le plus oriental de ce flanc porte le millésime 1689 tracé en briques noires ; les fenêtres y sont dotées d’un encadrement en calcaire gris. Classement comme monument et comme site le 4 novembre 1976

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L’église Saint-Martin
4.9 km

L’église Saint-Martin

Entourée d’un petit square, l’église paroissiale Saint-Martin est un intéressant édifice hétérogène en briques, grès et pierre de Tournai. Elle se compose d’une succession de styles différents, dont une partie romane au centre, une importante partie gothique à l’est et une tour classique occidentale. Elle présente des structures anciennes en moellons ferrugineux et des parties plus récentes alliant la brique et la pierre calcaire. Du sanctuaire roman, remontant au XIe ou au début du XIIe siècle, subsiste un tronçon de nef unique. Dans le soubassement du chevet, trois pierres historiées pourraient provenir de l’édifice roman précédent. Vers la fin du XVIe siècle sont élevés le large transept et les nefs à toitures distinctes formant le chœur et les chapelles. Cet ensemble gothique est terminé par un triple chevet à pans coupés. La tour, épaulée de tourelles polygonales, date de 1775, époque où fut démolie l’ancienne tour placée sur la croisée du transept. Signalons plusieurs restaurations, une en 1878 sous la direction de l’architecte Bruyenne, une autre en 1923 sous la supervision l’architecte Clerbaux et la troisième de 1953 à 1957. De nouvelles colonnes à crochets furent placées à l’intérieur tandis que d’anciens éléments de colonnes furent déposés pour garnir l’enclos ceinturant le sanctuaire. À l’intérieur, enduit et peint, les nefs sont séparées par des colonnes en pierre bleue supportant des arcs brisés biseautés couverts d’enduit avec retours obliques à la jonction de la partie romane. Elles sont couvertes de berceaux lambrissés refaits, celui du centre se prolongeant au-dessus de la partie romane plus large. Au rez-de-chaussée de la tour, on trouve une voûte sur croisée de bandeaux stuqués à décoration florale. Classement comme monument le 21 décembre 1942

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