Explorez les trésors de Binche, Hainaut, Hainaut

Balisage : rouge Départ : Office du tourisme Hôtel de Ville. Face à l’Hôtel de Ville et son beffroi reconnu Patrimoine mondial de l’Unesco, descendez la petite rue à droite. Au carrefour, continuez droit devant vous. À droite, se trouve le Centre Administratif de la ville de Binche (anciennement l’hospice Saint-Pierre). Continuez en suivant la rue en pavés. À son terme, laissez la rue du Rempart Saint- Georges sur votre gauche et passez entre la dernière maison et la tour Saint- Georges dite « de la Sorcière » pour déboucher rue Saint-Georges à droite. Suivez le rempart jusqu’au parking, contournez celui-ci pour regagner face à vous le faubourg Saint-Paul. Vous pouvez admirer au passage « Les Caves Bette » - ancien refuge de l’Abbaye de Bonne-Espérance - ainsi que la statue du Pierrot, l’une des statues représentant les personnages folkloriques du Carnaval de Binche, reconnu comme patrimoine culturel immatériel de l’humanité par l’UNESCO en 2003. Prenez le faubourg Saint-Paul et longez les remparts. Vous apercevez bientôt sur votre gauche la brasserie La Binchoise, où vous pouvez déguster d’excellentes bières artisanales. Continuez de suivre les fortifications jusqu’à la 2ème tour, puis, sur votre gauche, montez la rue aux Mourdreux. Vous empruntez un parcours RAVeL. Continuez sur le RAVeL jusqu’à la bifurcation avec l’avenue Prince Baudouin que vous empruntez à main droite. Poursuivez sur environ 100 mètres et prenez la rue Frilée à main droite. Vous remarquez un point de vue sur la ville. Continuez droit devant vous et restez sur la route principale. À cet endroit, vous avez une vue sur la Collégiale Saint-Ursmer et le quartier du Pont Martine. En bas, continuez par la gauche et empruntez le sentier qui vous conduit à l’ancien moulin de Ma Campagne. Traversez la rue asphaltée et par le sentier devant vous, poursuivez votre balade. Vous débouchez sur une autre rue asphaltée. Vous descendez la 3ème sente jusqu’à son terme. Tournez à gauche, traversez la rue asphaltée et continuez votre itinéraire sur +/- 100 mètres. Vous découvrez au passage l’église Saint-Rémy. Empruntez le sentier à votre droite et, arrivé au ruisseau, poursuivez votre itinéraire par la droite jusqu’à la N90 (route de Mons). Sur votre droite, remontez la route de Mons sur 75m et traversez avec prudence. Entre les maisons portant les numéros 233 et 231, empruntez le sentier qui vous conduira au Musée Gallo- Romain à Waudrez, que vous pouvez visiter aux heures d’ouvertures. Par la droite, remontez l’ancienne chaussée romaine. Au carrefour, tournez à droite. Un panneau vous propose d’effectuer un petit détour jusqu’à la Ferme de la Princesse, réputée pour son foie gras et autres spécialités à base de canard. Ensuite par la 1ère rue à gauche, grimpez le Mont de la Justice. À son sommet, sur votre gauche, vous découvrez un magnifique panorama de la région : éoliennes d’Estinnes, ascenseurs de Strepy-Thieu, etc… Poursuivez votre itinéraire par la droite et face à l’entrée du cimetière vous remarquerez la chapelle ND des 7 douleurs. Vous descendez la rue du Four à Chaux et rejoignez la place du Centenaire que vous traversez. Au carrefour, descendez par la droite et longez les remparts jusqu’à la route nationale N90 que vous retraversez avec prudence (passage piétons à moins de 10 mètres) pour emprunter la rue des Boulevards. Vous remarquerez la statue du Tamboureur, un autre acteur du Carnaval de Binche. Longez à nouveau les remparts, remontez la côte par la gauche, rue Saint-Jacques. Au bout de celle-ci, vous arrivez à votre point de départ sur la Grand-Place.

Vodgoriacum, un nom aussi intriguant qu’inspirant. Ce terme désigne le village de Waudrez à l’époque romaine et représentait un passage obligatoire sur la chaussée romaine reliant Bavay à Cologne. Cette promenade, dite de Binche à Vodgoriacum, est un condensé d’Histoire, du passé et du présent de la ville de Binche, des éléments, qui aujourd’hui encore, en font sa renommée et sa popularité. Au départ de cette promenade de 6,4 km se trouvent l’hôtel de ville et son beffroi, reconnu Patrimoine mondial de l’Unesco. Vous longerez les remparts de ville, considérés comme parmi les mieux conservés d’Europe, découvrirez les tours et les caves Bette, mais également la Brasserie la Binchoise ou encore la Collégiale St-Ursmer. Sur votre route, le Musée Gallo-Romain de Waudrez vous accueillera avec enthousiasme aux heures d’ouvertures et deux points de vue (le Mont Sarah et le Mont de la Justice) offriront à vos yeux de splendides panoramas de la ville et de la région. Entre ville et nature, entre passé et présent, il n’y a qu’un pas.

Départ : Office du tourisme Hôtel de Ville (1) Face à l’Hôtel de Ville et son beffroi reconnu Patrimoine mondial de l’Unesco, descendez la petite rue à droite. Au carrefour, continuez droit devant vous. À droite, se trouve le Centre Administratif de la ville de Binche (anciennement l’hospice Saint-Pierre). Continuez en suivant la rue en pavés. À son terme, laissez la rue du Rempart Saint- Georges sur votre gauche et passez entre la dernière maison et la tour Saint- Georges dite « de la Sorcière » pour déboucher rue Saint-Georges à droite. Suivez le rempart jusqu’au parking, contournez celui-ci pour regagner face à vous le faubourg Saint-Paul. Vous pouvez admirer au passage « Les Caves Bette » (2) - ancien refuge de l’Abbaye de Bonne-Espérance - ainsi que la statue du Pierrot, l’une des statues représentant les personnages folkloriques du Carnaval de Binche, reconnu comme patrimoine culturel immatériel de l’humanité par l’UNESCO en 2003. Prenez le faubourg Saint-Paul et longez les remparts (3). Vous apercevez bientôt sur votre gauche la brasserie La Binchoise (4), où vous pouvez déguster d’excellentes bières artisanales. Continuez de suivre les fortifications jusqu’à la 2ème tour, puis, sur votre gauche, montez la rue aux Mourdreux. Vous empruntez un parcours RAVeL. Continuez sur le RAVeL jusqu’à la bifurcation avec l’avenue Prince Baudouin que vous empruntez à main droite. Poursuivez sur environ 100 mètres et prenez la rue Frilée à main droite. Vous remarquez un point de vue sur la ville. Continuez droit devant vous et restez sur la route principale. À cet endroit, vous avez une vue sur la Collégiale Saint-Ursmer et le quartier du Pont Martine (5). En bas, continuez par la gauche et empruntez le sentier qui vous conduit à l’ancien moulin de Ma Campagne. Traversez la rue asphaltée et par le sentier devant vous, poursuivez votre balade. Vous débouchez sur une autre rue asphaltée. Vous descendez la 3ème sente jusqu’à son terme. Tournez à gauche, traversez la rue asphaltée et continuez votre itinéraire sur +/- 100 mètres. Vous découvrez au passage l’église Saint-Rémy (6). Empruntez le sentier à votre droite et, arrivé au ruisseau, poursuivez votre itinéraire par la droite jusqu’à la N90 (route de Mons). Sur votre droite, remontez la route de Mons sur 75m et traversez avec prudence. Entre les maisons portant les numéros 233 et 231, empruntez le sentier qui vous conduira au Musée Gallo- Romain à Waudrez (7), que vous pouvez visiter aux heures d’ouvertures. Par la droite, remontez l’ancienne chaussée romaine. Au carrefour, tournez à droite. Un panneau vous propose d’effectuer un petit détour jusqu’à la Ferme de la Princesse (8), réputée pour son foie gras et autres spécialités à base de canard. Ensuite par la 1ère rue à gauche, grimpez le Mont de la Justice. À son sommet, sur votre gauche, vous découvrez un magnifique panorama de la région (9): éoliennes d’Estinnes, ascenseurs de Strepy-Thieu, etc... Poursuivez votre itinéraire par la droite et face à l’entrée du cimetière vous remarquerez la chapelle ND des 7 douleurs. Vous descendez la rue du Four à Chaux et rejoignez la place du Centenaire que vous traversez. Au carrefour, descendez par la droite et longez les remparts jusqu’à la route nationale N90 que vous retraversez avec prudence (passage piétons à moins de 10 mètres) pour emprunter la rue des Boulevards. Vous remarquerez la statue du Tamboureur, un autre acteur du Carnaval de Binche (10). Longez à nouveau les remparts, remontez la côte par la gauche, rue Saint-Jacques. Au bout de celle-ci, vous arrivez à votre point de départ sur la Grand-Place.

Le RAVeL qui vous mène vers la Sambre depuis Binche est particulièrement agréable. Dans un environnement paisible, vous évoluez à travers forêt et campagne. C’est en douceur que vous rejoignez Erquelinnes, en bord de Sambre. L’ancien bassin de radoub (cale sèche) que vous longez à vélo était occupé à la construction et à la réparation des péniches en bois. Depuis des siècles, les bateaux naviguent au gré des méandres de la rivière grâce aux nombreuses écluses qui la jalonnent. Vous suivez son cours en roulant sur l’itinéraire international EuroVelo 3, baptisé « Véloroute des Pèlerins » qui va de Norvège à Saint-Jacques de Compostelle. Les petites villes historiques de Lobbes et de Thuin forment une belle unité paysagère le long de la Sambre. Les deux cités emblématiques se font front grâce au jeu des méandres… À l’approche de Thuin, vous découvrez les remparts de la ville construite sur un éperon rocheux. Elle est dominée par son beffroi, inscrit sur la liste du Patrimoine mondial de l’UNESCO. C’est ici que cette étape apaisante se termine.

Au départ de la Grand Place de Binche, ville réputée pour son carnaval reconnu comme « chef d’œuvre du patrimoine oral et immatériel de l’humanité », vous vous dirigez vers le petit village rural et calme d’Estinnes-au-Val. Quelques kilomètres plus loin, au fil de l’eau, vous serez impressionné par l’ascenseur funiculaire de Strépy-Thieu et les ascenseurs hydrauliques de l’ancien canal, classés au patrimoine mondial de l’UNESCO. Sur le chemin du retour, ne manquez pas la visite de l’ancien site minier du Bois-du-Luc avant de rejoindre votre point de départ, Binche, par le RAVeL.

Le départ est donné dans la cité du Carnaval, Binche. Ne manquez pas la visite du Musée international du Carnaval et du Masque si vous voulez tout savoir sur les événements folkloriques qui animent la ville et les populations à travers le monde. Face au musée se dresse la Collégiale Saint-Ursmer. Ouvrez les yeux partout pour observer les remparts encore bien préservés, témoins de l’architecture médiévale du 12e siècle. Une halte s’impose à la Brasserie la Binchoise avant ou après votre balade pour y goûter des breuvages locaux. Cap sur Estinnes où vous longez l’impressionnant parc éolien. Il vous amène à côté du vignoble des Agaises, le plus grand producteur de vin de Belgique. C’est sur ces terres que poussent les raisins avec lesquels sont produits les cuvées de Ruffus. Vous retrouvez le centre de Binche à travers la campagne et de charmants petits villages. Cette balade ravira sans aucun doute les amateurs d’histoire et de produits du terroir.

Cette charmante randonnée de 45,9 km au cœur de la province du Hainaut vous fera traverser deux mondes différents. Après avoir commencé dans la ville carnavalesque de Binche, vous suivez l'ancienne ligne de tramway jusqu'à La Louvière. Ce sont deux villes au caractère, au patrimoine et à l'architecture totalement différents. Binche dégage une atmosphère médiévale tandis que La Louvière est une fille de la révolution industrielle. Cette région - connue sous le nom du "Centre" - respire la dure vie des mineurs et des ouvriers de l’industrie lourde. La plupart des sites industriels ont été démantelés et sont devenus des pièces rares d'archéologie industrielle. Des arbres poussent sur les anciens terrils (les collines créées de toutes pièces avec les déchets et rebuts de la mine). Les canaux offrent de nombreuses respirations et oasis vertes. Le parcours est légèrement vallonné, mais praticable par tous. Vous pédalez le long d'un certain nombre d'ascenseurs à bateaux. Vous montez et descendez donc à leur rythme. Le réseau cyclable Vhello n’attend que vous. Pour découvrir plus d’offres insolites rendez-vous sur visitwallonia.be/insolite

A l’aube du Moyen Age, un couvert forestier dense et continu couvre encore une bonne partie de notre territoire. On parle ici de la « forêt charbonnière » : c’est là que des hommes fabriquent le charbon de bois, combustible utilisé en particulier dans l’industrie métallurgique. Beaucoup de lieux de notre Wallonie ont gardé un toponyme où on retrouve « forge », témoignages de ces anciens usages. Sous l’impulsion dynamique des abbayes, le déboisement amorcé au néolithique s’accroît afin de mettre en culture ces sols limoneux fertiles. Les différentes pratiques d’essartage, d’étripage, de glandée,… font encore reculer la forêt. On plante des vergers et des haies, on creuse des étangs et des mares, on consacre les fonds de vallée à des prés de fauche, on pratique un élevage extensif sur les sols moins propices à l’agriculture. Ainsi se façonnent ces paysages de bocage où l’on trouve une grande diversité de milieux semi naturels. Cette situation va rester assez stable jusqu’au XVIIIème siècle. La forêt wallonne, menacée de disparition fera alors l’objet de mesures de préservation et de reboisement. Cet équilibre va être bouleversé quand l’ère industrielle mettra à la disposition de l’agriculture des moyens techniques et chimiques développés. Le remembrement des terres agricoles, en particulier, sous couvert de rationalité, va amener la disparition des haies, fossés, mares, etc. Leur biodiversité, leur rôle dans la protection des sols contre l’érosion apparaissent maintenant primordiaux et font l’objet de recensement et de protection au niveau européen. Cette promenade se déroule sur le plateau que les moines de l’abbaye de Bonne-Espérance ont défriché et voué à l’agriculture et surtout à l’élevage à partir du XIIème siècle. Même si des éléments importants du paysage d’autrefois ont disparu pour les raisons évoquées plus haut, son faciès général a peu évolué depuis la fin de l’Ancien Régime. L’abbaye de Bonne-Espérance : abbaye norbertine fondée vers 1125 par Odon, sur des terres données par un seigneur de Croix-lez- Rouveroy. La plupart des bâtiments qui font aujourd’hui la splendeur de l’abbaye datent du XVIIIème siècle, dont la nouvelle basilique. Les révolutionnaires chassent les chanoines en 1794, rapinent l’abbaye, confisquent et vendent ses biens. Lorsque les moines récupèrent les bâtiments qui ont heureusement échappé à la destruction, ils y installent un petit séminaire. L’abbaye abrite aujourd’hui un établissement d’enseignement primaire et secondaire.

Départ : Place de Trahegnies (D) Au départ de la place de Trahegnies, empruntez la rue de la Case. Tournez à gauche et rentrez dans le bois. 20m plus loin à droite, continuez votre parcours par le sentier qui contourne l’étang de la Case (1). À son extrémité, vous montez par la droite jusque la route asphaltée. Au bout de celle-ci, prenez à droite en délaissant toutes voies de gauche. À son terme, tournez à gauche et continuez votre montée. Le sentier se rétrécit tout en montant. Arrivé à la première rue habitée, dirigez- vous vers la sente qui relie la rue d’Anderlues que vous traversez. Poursuivez votre balade par le chemin empierré qui vous conduit face au Moulin Stoclet (2). Vous montez la rue du Moulin sur 150 m. Par la sente herbeuse à droite, vous arrivez sur le balcon d’où vous admirez une magnifique vue de Binche sur la région environnante . Arrivé sur la route asphaltée, vous descendez à droite sur +/- 150 m. Empruntez la ruelle sur votre gauche qui vous conduit à la rue des Trieux. Vous empruntez à nouveau une ruelle et découvrez un coin champêtre et reposant. Poursuivez votre promenade qui vous conduit sur la crête des partages des eaux entre les deux grands bassins fluviaux de Belgique, l’Escaut et la Meuse. Par la droite vous empruntez la rue des Boulois. Sur votre droite, vous remarquez « La croix des Occis » et sur votre gauche les 1er terrils du Pays Noir. Restant sur la route asphaltée, vous continuez droit devant vous en délaissant toutes voies de droite et de gauche durant 1km. Arrivé à la rue de Fontaine, empruntez le 1er sentier à votre droite qui longe l’école du Bois du Roy (admirez la vue panoramique devant vous). Au carrefour, faites un quart de tour à gauche. Au prochain croisement, prenez à gauche la rue José Blairon et descendez à droite la rue verte jusqu’en bas au croisement de la rue H. Trigallez. Tournez à droite, prenez tout de suite la première à droite et empruntez un petit sentier. Un itinéraire alternatif vous propose de découvrir, en fonction des heures d’ouverture, le centre d’initiation à la nature à l’environnement (3). Continuez le sentier et rejoignez votre point de départ par la ruelle.

Entrez dans l'univers fascinant des masques, voyagez à travers le monde des fêtes d'hiver et des carnavals. Découvrez les fonctions rituelles du masque dans les cinq continents, les fêtes masquées des régions rurales, les grands carnavals urbains d'Europe, les carnavals wallons et le célèbre carnaval de Binche. Vivez-le, comme si vous y étiez, grâce à un spectacle audiovisuel sur écran géant.

Situé aux confréries des entités de Saint-Vaast et Trivières, non loin du site minier du Bois-du-Luc, Patrimoine de l'UNESCO depuis le 1er juillet 2012, Le Castillon vous ouvre les portes de ses chambres d’hôtes ; venez découvrir, le temps d’une halte, ou d’un séjour un accueil chaleureux et familial.Les trois chambres d’hôtes évoquent l’Italie.Chaque chambre porte le nom d’une ville italienne « ROME », « FLORENCE » ou « BERGAME », et est décorée de photos évocatrices.La chambre "Rome"- 1 lit de 2 personnes et 1 lit d'1 personne- Salle de bain (Avec sèche-cheveux) comprenant un Jacuzzi pour 2 personnes- Salon privé - Bouilloire avec thé, café, cacao, mignonnettes chocolat (Belge)La chambre "Florence"- 1 lit de 2 personnes et 1 lit d'1 personne- Salle de bain (Avec sèche-cheveux) comprenant une baignoire- Bouilloire avec thé, café, cacao, mignonnettes chocolat (Belge)La chambre "Bergame"- 1 lit de 2 personnes- Salle de bain (Avec sèche-cheveux) comprenant une douche- Bouilloire avec thé, café, cacao, mignonnettes chocolat (Belge)Une mezzanine est commune aux trois chambres.Il y est installé un bureau avec connexion internet et quelques fauteuils : lieu de détente qui permet de se reposer, de lire, de surfer sur le net.Toutes les chambres ainsi que la mezzanine sont NON FUMEURS.Les animaux ne sont pas admis.

Situé aux confréries des entités de Saint-Vaast et Trivières, non loin du site minier du Bois-du-Luc, Patrimoine de l'UNESCO depuis le 1er juillet 2012, Le Castillon vous ouvre les portes de ses chambres d’hôtes ; venez découvrir, le temps d’une halte, ou d’un séjour un accueil chaleureux et familial.Les trois chambres d’hôtes évoquent l’Italie. Chaque chambre porte le nom d’une ville italienne « ROME », « FLORENCE » ou « BERGAME », et est décorée de photos évocatrices.La chambre "Rome"- 1 lit de 2 personnes et 1 lit d'1 personne- Salle de bain (Avec sèche-cheveux) comprenant un Jacuzzi pour 2 personnes- Salon privé - Bouilloire avec thé, café, cacao, mignonnettes chocolat (Belge)La chambre "Florence"- 1 lit de 2 personnes et 1 lit d'1 personne- Salle de bain (Avec sèche-cheveux) comprenant une baignoire- Bouilloire avec thé, café, cacao, mignonnettes chocolat (Belge)La chambre "Bergame"- 1 lit de 2 personnes- Salle de bain (Avec sèche-cheveux) comprenant une douche- Bouilloire avec thé, café, cacao, mignonnettes chocolat (Belge)Une mezzanine est commune aux trois chambres. Il y est installé un bureau avec connexion internet et quelques fauteuils : lieu de détente qui permet de se reposer, de lire, de surfer sur le net.Toutes les chambres ainsi que la mezzanine sont NON FUMEURS.Les animaux ne sont pas admis.

Situé aux confréries des entités de Saint-Vaast et Trivières, non loin du site minier du Bois-du-Luc, Patrimoine de l'UNESCO depuis le 1er juillet 2012, Le Castillon vous ouvre les portes de ses chambres d’hôtes ; venez découvrir, le temps d’une halte, ou d’un séjour un accueil chaleureux et familial.Les trois chambres d’hôtes évoquent l’Italie. Chaque chambre porte le nom d’une ville italienne « ROME », « FLORENCE » ou « BERGAME », et est décorée de photos évocatrices.La chambre "Rome"- 1 lit de 2 personnes et 1 lit d'1 personne- Salle de bain (Avec sèche-cheveux) comprenant un Jacuzzi pour 2 personnes- Salon privé - Bouilloire avec thé, café, cacao, mignonnettes chocolat (Belge)La chambre "Florence"- 1 lit de 2 personnes et 1 lit d'1 personne- Salle de bain (Avec sèche-cheveux) comprenant une baignoire- Bouilloire avec thé, café, cacao, mignonnettes chocolat (Belge)La chambre "Bergame"- 1 lit de 2 personnes- Salle de bain (Avec sèche-cheveux) comprenant une douche- Bouilloire avec thé, café, cacao, mignonnettes chocolat (Belge)Une mezzanine est commune aux trois chambres. Il y est installé un bureau avec connexion internet et quelques fauteuils : lieu de détente qui permet de se reposer, de lire, de surfer sur le net.Toutes les chambres ainsi que la mezzanine sont NON FUMEURS.Les animaux ne sont pas admis.

Situé au coeur de La Louvière, dans un vaste bâtiment contemporain, le Centre de la Gravure et de l’Image imprimée est un lieu multiple qui s’est donné comme premier objectif le rayonnement de l’expression graphique actuelle. Le Centre propose de nombreuses rétrospectives d’artistes internationaux. Le Centre organise également de multiples manifestations (expos, concours, rencontres…) visant à mieux connaître les divers aspects du monde de l’imprimé : de l’estampe au graphisme en passant par l’imagerie populaire, la bande dessinée, l’affiche, le livre d’artiste,…

Abrité dans l’ancien palais de Justice de La Louvière, le Musée est consacré au sculpteur d’origine roumaine Idel Ianchelevici (1909-1994). La collection permanente offre un parcours parmi une cinquantaine de pièces originales en marbre, bronze, pierre, plâtre et de nombreux dessins. Cet ensemble permet de découvrir une oeuvre sensible centrée sur la figure humaine. Le musée organise également des expositions temporaires autour d’une programmation variée centrées sur l’art contemporain s’accompagnant d’une offre éducative tout public. Parce que l’art et la culture sont accessibles à tous, le musée propose des visites adaptées aux publics fragilisés : malentendants, déficients visuels et mentaux, grâce à des parcours multisensoriels, animations en langue des signes et activités pédagogiques adaptées.

Inscrit en 1999 sur la liste des beffrois de Belgique et de France élus au patrimoine mondial de l'Unesco, celui de Binche est identifiable de loin grâce au bulbe baroque qui le coiffe. Riche d'un carillon dont certaines claches remontent au XVIe siècle, il fait partie intégrante de l'hôtel de ville édifié deux siècles plus tôt puis reconstruit en plusieurs étapes en style renaissance.

Le Centre de la Dentelle et des Métiers d’Art de Binche possède un lieu d'exposition, le Fuseau, où deux dentellières professionnelles pratiquent l’art de la dentelle en démonstration pour les visiteurs.

Le Beffroi de Binche, reconnu patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO, fait partie intégrante de l'hôtel de ville édifié au 14e siècle. Le monument fut reconstruit en style renaissance par l'architecte Du Broeucq après le sac de la ville par les armées françaises en 1554. Attention, l'intérieur du Beffroi n'est pas accessible. Visite guidée sur réservation à l'Office du Tourisme. Plus d'infos : walloniebelgiquetourisme.be/fr-be/content/beffroi-de-binche-patrimoine-mondial-de-lunesco

Ce vaste complexe qui fut aussi une maison de retraite abrite aujourd’hui les services administratifs de la ville de Binche. Il se compose de bâtiments datant des 18e et 19e siècles qui s’articulent autour d’une cour dont l’accès se fait par un portail classique du 18e siècle. À droite du portail se trouve une façade de type « tournaisien », caractérisée par une réduction de l’utilisation de la pierre dans l’ornementation des façades. La pierre de taille est reléguée aux soubassements, aux chaînages d’angles et aux baies. Le plus souvent, le reste de la maçonnerie de brique est recouvert d’un enduit, ce qui n’est toutefois pas le cas ici. À gauche du portail se trouve une ample façade du 19e siècle dont chaque travée est percée en son sommet d’un œil-de-bœuf ovale. La cour intérieure est bordée d’une série d’importants bâtiments et d’une bâtisse intégrant à l’arrière un noyau du 18e siècle. Classement comme monument le 13 octobre 1980  

Sur la Grand-Place, la fondation de l’hôtel de ville de Binche est liée au développement économique de la cité – siège de la halle aux viandes – et à l’émergence des libertés communales, dont le beffroi constitue un autre puissant symbole. À ce titre, celui-ci a été inscrit sur la Liste du patrimoine mondial comme les autres beffrois de France et de Belgique. Les trois arcades du rez-de-chaussée et la base du beffroi datent du XIVe siècle. Remanié par Jacques Du Broeucq au XVIe siècle, modifié par Laurent-Benoît Dewez (vers 1770) dans le style néoclassique, l’hôtel de ville recouvre son allure initiale à la fin du XIXe siècle. Le beffroi abrite également une horloge et un carillon du XVIe siècle. Monument classé (15-01-1936) Hôtel de Ville inscrit sur la liste du Patrimoine exceptionnel de Wallonie Beffroi inscrit sur la Liste du patrimoine mondial (1999)    

Entre la fin du 17e siècle et la première moitié du 18e siècle, le Hainaut est à plusieurs reprises victime d’attaques menées par les troupes du roi de France. Après un redressement économique intervient la reconstruction, grâce aux nouveaux profits engendrés par les marchands et bourgeois de la ville qui souhaitaient disposer d’une nouvelle demeure d’apparat. Le prestige du siècle de Louis XIV à travers l’Europe permet alors à de nouvelles influences stylistiques de parvenir dans nos régions. Une partie du Hainaut voit se développer un style architectural dit « montois », caractérisé par une réduction de l’utilisation de la pierre dans l’ornementation des façades. La pierre de taille est reléguée aux soubassements, aux chaînages d’angles et des baies. Le plus souvent, le reste de la maçonnerie de brique est recouvert d’un enduit. Cette maison est un bel exemple du style classique montois du 18e siècle et a été entièrement restaurée au début des années 2000. La façade à deux niveaux de trois travées avec porte centrale dont les briques ont reçu, suite à la récente réfection, un enduit de couleur sang de bœuf du plus bel effet. Une lucarne se trouve au centre de la toiture à la Mansart. La porte est dotée en son sommet d’un fronton triangulaire qui donne à cette maison particulière beaucoup de prestance. Classement comme monument le 16 octobre 1975

Entrez dans l'univers fascinant des masques, voyagez à travers le monde des fêtes d'hiver et des carnavals. Découvrez les fonctions rituelles du masque dans les cinq continents, les fêtes masquées des régions rurales, les grands carnavals urbains d'Europe, les carnavals wallons et le célèbre carnaval de Binche. Vivez-le, comme si vous y étiez, grâce à un spectacle audiovisuel sur écran géant.

Parcours à travers la section permanente « Masques aux cinq coins du monde », à l’occasion des Journées du Patrimoine - 10 et 11 septembre.   INTRODUCTION La fête masquée est souvent vue d’emblée comme populaire et exubérante, car elle donne  lieu à une libération des instincts qui sont, en temps normal, comprimés par les règles sociales.  A l’occasion de ces fêtes, l’ordre des choses est renversé pour un bref moment, et une exaltation forte s’exprime  en cris et en gestes, qui incitent à s’abandonner sans contrôle aux impulsions les plus irréfléchies. Souvent aussi, cette transgression est rituelle, car le chaos de la fête est reconstitution symbolique du chaos primitif, du cycle de la vie et de la mort, du cycle des saisons, le tout étant lié aux activités humaines diverses (travaux des champs, rapport aux animaux, étapes de la vie de l’individu). C’est pourquoi dans ces fêtes, le mythe, le sacré et donc tous les êtres supranaturels tels que les ancêtres, les esprits et les autres êtres divins se manifestent. Le monde du sacré apparaît, au contraire du profane, comme celui du dangereux ou du défendu : l’individu ne peut s’en approcher sans mettre en branle des forces dont il n’est pas le maître, mais qui sont cependant essentielles à son succès. On comprend que la fête, représentant un tel paroxysme de vie et tranchant si violemment avec les menus soucis de l’existence quotidienne, apparaisse à l’individu comme un autre monde, où il se sent soutenu et transformé par des forces qui le dépassent. Le but de ces manifestations peut être divers, mais on remarque généralement que les êtres supranaturels  fonctionnent comme intercesseurs,  guérisseurs, accompagnateurs, protecteurs envers les communautés humaines. Cette quasi-omniprésence du sacré et du surnaturel à travers les rites masqués explique l’intérêt de vous emmener dans un parcours qui mettra un accent sur cet aspect à travers les cinq continents.  

Cette exposition vous emportera vers l'extraordinaire terre de masques qu'est le Japon. Le parcours retracera, à travers les pièces exposées, l'histoire des traditions masquées japonaises, des danses rituelles aux matsuri (festivals), en passant par le théâtre Nō. Bienvenue dans un face-à-face avec les masques japonais, qui sont toujours chargés d'un sens sacré nous renvoyant à nous-mêmes et à notre humaine condition.

« Dans le cadre du 10ème anniversaire de la reconnaissance du Carnaval de Binche par l’UNESCO comme Patrimoine Culturel Immatériel de l’Humanité ». Le carnaval de Binche est un patrimoine vivant exceptionnel, un événement populaire, humain et social hors du commun. Cette manifestation folklorique complexe, issue d’une longue tradition orale, constitue un véritable rite qui donne le sentiment aux participants d’être uniques... mais pas seulement aux participants masqués ... Pour tous les Binchois, et selon l’expression consacrée, « il n’y a qu’un Binche au monde ». En effet, beaucoup plus qu’une simple kermesse annuelle, le carnaval dans la cité du Gille est toujours présent. Son caractère sacré se manifeste partout tant dans l’espace public que privé. Tout au long de l’année, dans l’intimité des foyers, chacun honore le « dieu Gille » à sa façon. Chaque famille donnera son temps, son argent et ses héritiers à cette tradition à laquelle la participation est quasi impérative et naturelle. « Faire le carnaval » pour les Binchois ne se résume pas à « faire le Gille » (c’est-à-dire s’habiller en Gille) ou à suivre un Gille et à rester dans son sillage ; c’est prendre part à une liturgie qui englobe toute la communauté. À Binche, on « est Gille », on « naît Gille » ou « femme de Gille » ; on trouve un sens à son identité et à son existence durant les Jours gras. Ainsi, par leur participation matérielle et immatérielle, tous perpétuent un rite, le protègent et préservent l’unité et l’identité de la communauté. En conséquence, la reconnaissance du carnaval de Binche par l’Unesco comme Patrimoine Culturel Immatériel de l’Humanité, le 7 novembre 2003, est ressentie comme une juste consécration de tous ceux qui perpétuent la tradition avec amour et dévouement : Gilles, artisans, tamboureurs, musiciens, femmes et mères de Gilles, etc. Merci à toutes et tous qui, tout au long des générations, donnent à cette ville une saveur unique et exceptionnelle ! En vous présentant les photographies d’Olivier Desart, Binchois et photographe au Musée international du Carnaval et du Masque depuis plus de 25 ans, nous espérons vous donner la possibilité de ressentir la passion collective pour ce patrimoine hors du commun. En effet, l’artiste a sillonné les pavés de Binche pendant plus d’un an pour essayer de représenter cette vie sociale bien singulière à l’ombre du Gille... ici, ce ne sont pas des photographies du carnaval mais bien des clichés pris dans le quotidien binchois. Ce sont des visages, des intérieurs, des bureaux... toute une atmosphère créée par la tradition et par les femmes et les hommes qui l’ont reçue en cadeau.   www.museedumasque.be/

oboulo.be/fr

A trois pas de "Mons", venez savourer leurs produits du terroir dans un cadre convivial et chaleureux. Vous pourrez prendre place dans cette élégante fermette moderne avec son coin cheminée et son bar. La salle est d'accès aisé et de plain-pied. Pensez à goûter leurs spécialités du terroir: suprême de pintade à la liqueur de rose, petits gris de Soloigne à la coriandre et coulis de tomate, etc.

bistrot-jules.be/accueil.html

Petit coin d'Italie…… à La LouvièreOriginaire de Naples, Aldo Santoro s'installe à La Louvière après avoir suivi des études d'hôtellerie en Italie, et des cours particuliers à Bologne et à Rimini. A son arrivé en Belgique Aldo a ouvert un restaurant à Charleroi, le "Cappuccino". Par la suite, Aldo à jeté l'ancre dans la cité des Loups et il y à commencé une carrière commerciale appréciable. L'Antica Roma, L'Antica Trattoria, la Dolce Vita, l'Hôtel Tristar, la Maison du Dessert, sont autant des réalisations que l'on doit à Aldo Santoro.A l'Antica Roma vous découvrirez les plaisir de l'Italie à travers ses spécialités de poissons et une carte de vins des plus typiques et ses pizzas au feu de bois.A l'Antica Trattoria, pâtes fraîches, viandes et poissons, vous ferons découvrir des régions de l'Italie, comme la Campania. Une belle façon de vous dépayser en ne quittant pas la cité des Loups.De son côté, l'hôtel Tristar vous reçoit dans ses 26 chambres et ses deux suites (tout confort). Il vous propose également une salle de fitness. Physical Gym, c'est 500 m² de salle, où l'on retrouve les appareils de remise en forme du dernier cri (Tecnogym, VPS, ...) le tout pris en charge par un moniteur agréé.La Dolce Vita, c'est le paradis des glaces, c'est tout naturellement que pour Aldo la crème glacée est devenue une véritable passion:« En Italie, nous sommes de grands mangeurs de glace. Je n'échappe pas à la règle. ». Sans cesse à la recherche de recettes nouvelles, ce n'est pas moins de 48 goûts différents qu'Aldo vous fera découvrir au gré de ses sorbets, glaces aux fruits et glaces traditionnelles, sans compter les diverses pâtisseries et gâteaux. Chaque glace que vous dégusterez est issue de produits naturels et confectionnée à l'ancienne. La Dolce Vita, ce n'est donc pas seulement le paradis des glaces ! Vous vous délecterez de succulentes pâtisseries et crêpes ou encore d'un vrai repas ainsi que de sensationnels cocktails !Mais la Dolce Vita n'est pas uniquement le paradis des glaces c'est aussi un restaurant, un cocktail bar, une glacerie, une pâtisserie, un tea-room et même service traiteur. De 09h à minuit(le week-end de 09h à 01h) vous pouvez également déjeuner, dîner et même souper. A ce sujet, vous avez le choix entre une restauration rapide et une cuisine gastronomique. En un mot, tout est prévu pour que vous passiez un bon moment dans un décor rappelant à merveille ce mythique film di cinéma transalpin et sachez que les cuisinez sont ouvertes, non stop, de 11h à la fermeture.Ce qui caractérise les produits qui vous sont servis à la Dolce Vita, c'est que tout est du "fait maison". Tout est préparé dans un "atelier" sis à la rue Conreur à La Louvière. Cet atelier a commencé par fournir la Dolce Vita, mais par la suite, et vue la qualité des produits, l'atelier à également commencé à pourvoir d'autres maisons en glaces et pâtisseries typiques venant de différentes régions d'Italie. Quant on propose un nouveau produit, c'est tout naturellement que la demande d'en trouver dans un magasin près de chez vous. Le besoin se faisant sentir, il à été décidé de pailler à ce petit "manque".C'est pourquoi depuis le 31 janvier 2009, le magasin "La Maison du Dessert" a ouvert ses portes à la rue Conreur à La Louvière. Vous y trouverez, non seulement des spécialités pâtisseries italiennes - préparés dans la plus grande des traditions des règles d'hygiène très bien respectés -, gâteaux de circonstances (baptêmes, communions, mariages, anniversaires et aussi des gâteaux glacés). En plus, tout est prévue de façon à ce que la marchandise soit la plus fraîche possible. Parole de gourmand, Maison du Dessert et passage obligé pour tous ceux qui aiment les Cannoli, les Cartocci, les bas au rhum, la Sfogliatella napoletana, l'Aragosta et bien d'autres. Les pâtes fraîches qui vous sont servies dans tous les établissements d'Aldo Santoro sont également préparés à la rue Conreur dans des installations séparés avec un soin tout particulier. La qualité ça compte!

"La cantine des italiens est un endroit paisible et agréable disposant d’une belle et grande terrasse et d’une grande salle intérieur . www.facebook.com/lalouviereeventcantinedesitaliens/

Cours de cuisine, cours d'art floral, traiteur et tables d'hôtes.Envie d'un cours de cuisine ou d'art floral, seul ou en groupe.C'est tous les week-end dans un espace contemporain où José et Michel vous proposent d'apprendre des techniques nouvellesAvec des amis ou entre collèguesCe concept s'adresse à tous les gourmets et gourmands, aux amateurs de saveurs et au curieux désirant découvrir l'univers de l'art culinaire.Nous vous accueillons pour vos réceptions privées autour de notre table d'hôtes.Cette formule vous propose un pack complet ! (géré par notre équipe de professionnels habituels et motivés !)Vous n’avez rien à faire.Seulement passer un agréable moment avec nous dans un cadre personnalisé et privé. 

Aménagé dans l’ancienne grange d’une ferme, la Grange de la Courte est un restaurant orienté vers une cuisine de terroir qui vous offre des produits de qualité issus de la ferme ou d’exploitations voisines. Chaque table se veut une table de ferme traditionnelle débordant d’assiettes goûteuses et destinées à vous faire passer des moments de joie. Des grillades, des ratas, des plats mijotés, des poissons, des desserts gourmands, etc. Terrasse plein sud, plaine de jeux pour les enfants et proximité avec les animaux de la ferme.

À Lobbes, en pleine nature et au calme, ce restaurant propose une cuisine française de type brasserie à un prix attractif. Le cadre est moderne avec une jolie vue sur les jardins et l'étang ainsi qu’une superbe terrasse suspendue de 52 places. Plats du jour, différents menus, business lunch, carte saisonnière, etc. Cela va par exemple du tartare de bœuf ultra-frais haché minute au pavé d’espadon grillé rehaussé d’huile aux herbes en passant par un plat de foie gras en entrée. La carte est renouvelée à chaque saison. Des formules adaptées à vos demandes : banquet, communion, mariage, anniversaire, etc.

De par leurs origines, Vincent et Ling confectionnent une cuisine raffinée et de qualité. Lieu de bien-être, ambiance conviviale et familiale, "Le Pré en Bulles" propose une cuisine novatrice mélangeant culture chinoise et produits locaux, issus principalement de leur ferme. Par beau temps, le cadre est très agréable et calme avec leur vaste terrasse ensoleillée, la vue sur la nature luxuriante et l'aire de jeux pour enfants. Pour un dépaysement total au bon air de la campagne.

Le café - restaurant A l'Cambuse vous offre une cuisine française et régionale. Tél : 065/58.65.12

www.ferme-de-clerfayt.be/

walloniebelgiquetourisme.be/fr-be/content/camping-de-la-sabliere-a-epinois