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Bienvenue à Chièvres, Hainaut, Hainaut, où une multitude d'activités fascinantes vous attendent. Commencez votre exploration par le Parc Communal de Chièvres, idéal pour une promenade paisible et des pique-niques en famille. Pour les passionnés d'histoire, le Musée de la Base Aérienne de Chièvres offre une immersion dans le patrimoine militaire local. Les amateurs de nature peuvent se lancer sur l...Voir plus

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B&B La Récré de Bauffe
4.1 km

B&B La Récré de Bauffe

Un petit-déjeuner local, composé de produits de qualité, est proposé pour bien commencer la journée. Sur réservation, une table d’hôtes simple et conviviale peut être servie en soirée, idéale après une journée bien remplie.Installé dans un bâtiment datant du milieu du 19ᵉ siècle, doté d’une façade classée, cet établissement était une école communale pour garçons jusqu’aux années 80, d’où son nom, La Récré de Bauffe.Les vélos et motos bénéficient d’un parking sécurisé, avec un préau ou un garage pour les protéger.Les familles sont les bienvenues. Un lit de voyage pour bébé, une chaise haute, un matelas à langer et un micro-ondes sont à disposition pour réchauffer biberons ou repas. Pour les jeunes enfants, un lit évolutif est disponible, tandis qu’une mezzanine avec 2 couchages peut accueillir les adolescents.La grande terrasse de 70 m² permet de profiter des beaux jours, et la pièce commune est idéale pour se détendre autour d’un jeu de société, d’un livre ou pour préparer les visites du lendemain. La région regorge de curiosités et d’activités à découvrir.La chambre, décorée sur le thème de l’école avec un focus sur la géographie, dispose d’une salle de bain privée, d’un WC séparé, d’une télévision et d’un accès Wi-Fi gratuit. Des boissons chaudes (café, thé) et de l’eau sont également disponibles.Ce lieu offre calme et tranquillité au cœur de la campagne, parfait pour un séjour ressourçant.Pour les entreprises ayant des activités dans la région, des remises spéciales peuvent être proposées pour les séjours de lundi à vendredi (minimum de 2 nuits).

9 Rue Delmotte 7870 Lens
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La chapelle Saint-Jean-Baptiste
601 m

La chapelle Saint-Jean-Baptiste

Isolée au sud de la ville, dans un site de pâturages, la chapelle Saint-Jean-Baptiste est également appelée chapelle des Hospitaliers. Située au bout d’une allée de jeunes tilleuls, elle est l’un des plus anciens édifices religieux de la région. Cet harmonieux oratoire de style roman a en effet été érigé vers 1160-1170 à l’initiative d’Ève de Chièvres, fille du seigneur local. Il s’agissait d’une faveur faite à l’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem, qui deviendra par la suite l’Ordre de Malte. Fondé dans le sillage de la première croisade à la fin du 11e siècle, cet ordre est d’abord hospitalier mais tend à se militariser dans le courant du 12e siècle. Le don financier destiné à fonder cette chapelle relève toutefois d’une époque où l’ordre mettait encore l’accent sur le caractère caritatif de ses activités. Dans la seconde moitié du 12e siècle, les nobles de nos régions sont très attentifs au sort de Jérusalem et encouragent la fondation sur leurs terres de maisons et chapelles qui pourraient servir de relais logistique aux chevaliers combattant en terre sainte. L’édifice est une spacieuse bâtisse construite en moellons de calcaire. Il est composé d’une nef unique et terminé par un chœur aux proportions presque identiques. L’intérieur se présente ainsi sous la forme de deux salles rectangulaires, plus longues que larges. Cette disposition indique que l’édifice servait à abriter les hôtes et les malades (la nef), tout en comportant un espace liturgique (le chœur). Classement comme monument le 1er juin 1945  

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La tour de Gavre
760 m

La tour de Gavre

Citée dès 830, Chièvres abrite quelques années plus tard un atelier monétaire sous le règne de Charles le Chauve, petit-fils de Charlemagne et empereur d’Occident en 875. Au même moment, la localité devient le siège d’un comté seigneurial. Après la naissance des principautés d’Ancien Régime, Chièvres intègre le comté de Hainaut dont elle devient une des douze pairies en 1076. À partir du 12e siècle, les seigneurs de la ville décident d’ériger des fortifications. Un donjon, aujourd’hui disparu, se trouvait à la pointe du relief, non loin d’ici. Dès avant 1186, le bourg castral est complété par des murs renforcés par deux tours carrées qui se dressaient en bordure de la place actuelle. Aucuns vestiges de cet ensemble castral et de son enceinte ne sont parvenus jusqu’à nous. Les vestiges de l’enceinte suivante, datant du 14e siècle, ont par contre profondément marqué le paysage urbain. D’autres travaux de protection ont ensuite été entrepris en 1436. De cette dernière campagne subsiste notamment la tour de Gavre. Construite en pierre et brique, elle constitue le témoin le plus marquant mais aussi le mieux conservé du passé défensif de la cité. Elle offre un plan en fer à cheval et se révèle plus petite et moins épaisse que la plupart des tours défensives du comté de Hainaut existant à cette époque. Le rez-de-chaussée, comme les caves, est voûté et chauffé par une cheminée. Il est pourvu de trois archères-canonnières en forme de croix. Classement comme monument le 12 novembre 1954  

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Le château d’Egmont
768 m

Le château d’Egmont

Le château des comtes d’Egmont était le lieu de résidence à Chièvres de cette famille noble d’Ancien Régime. C’est au 15e siècle que le pouvoir seigneurial se déplace sur la Grand-Place, alors située à la limite des fortifications de la ville. La bâtisse a été édifiée vers 1560 pour Charles de Croÿ, seigneur de Chièvres, haut dignitaire du comté de Hainaut et proche des rois d’Espagne. Cette construction seigneuriale occupe le centre d’un des côtés de la place et affirme, non sans ostentation, la présence des Croÿ. Elle est assez représentative de l’architecture gothique hennuyère par le respect d’éléments traditionnels, tels que les fenêtres à croisée ou les pignons à gradins. On y trouve aussi des éléments plus modernes, empruntés au vocabulaire de la Renaissance, comme l’avancée en saillie au centre de la façade mais surtout la galerie de circulation qui caractérise les châteaux et maisons de plaisance de l’époque. Décorée de quatre colonnettes de style gothique, celle-ci est visible à l’arrière du monument et permettait de rejoindre l’annexe perpendiculaire située à gauche, érigée à la même époque. L’annexe de droite a, quant à elle, été ajoutée en 1700. Les seigneurs de Chièvres étaient, depuis le Moyen Âge, pairs du comté de Hainaut. En 1440, la puissante famille de Croÿ acquiert celle-ci avant de la transmettre à l’Époque moderne aux comtes d’Egmont. L’hôtel seigneurial prend alors sa dénomination actuelle. Classement comme monument le 31 décembre 1945  

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La chapelle de la Ladrerie
1.8 km

La chapelle de la Ladrerie

La ladrerie maladrerie ou encore léproserie de Chièvres se situe tout naturellement à l’écart du centre historique. Cette implantation caractéristique du Moyen Âge permettait aux hospices et hôpitaux d’accueillir les voyageurs, les pèlerins, mais surtout les pauvres et les malades, en dehors des limites du bourg. Cette ladrerie doit son existence à Ève de Chièvres, fille de Widon de Chièvres, seigneur des lieux et pair du comté de Hainaut. La fondation de cet ensemble remonte aux années 1170-1180. Elle témoigne du développement de l’agglomération et de la volonté du clan seigneurial de doter la ville d’établissements pieux. Ève est, en effet, à l’origine également de la fondation de la chapelle Saint-Jean-Baptiste. Typique de ce genre d’établissement de bienfaisance et de soins, la ladrerie relève aujourd’hui du centre public d’action sociale, héritier des établissements de charité d’antan. Dans son état actuel, l’ensemble se compose encore d’un lieu de culte et d’une ferme. La chapelle, seul élément classé, se compose d’une nef unique rectangulaire sur laquelle vient se greffer un chœur à chevet pentagonal. Le bâtiment le plus ancien est la nef de style roman, contemporaine de la fondation de l’hospice au 12e siècle. Le chœur est quelque peu postérieur et a été érigé vers 1200. À l’intérieur se retrouve toute la sobriété de l’architecture romane. Il s’agit d’un des plus beaux bâtiments de cette époque conservés en Belgique. Classement comme monument le 30 juin 1953  

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La basilique Notre-Dame
1.9 km

La basilique Notre-Dame

Ce spacieux édifice de style classique a été érigé entre 1777 et 1780 sur les plans de l’architecte Jean-François Demarbaix. La présence d’une imposante église dans ce village est liée à l’installation dès 1081 à cet endroit d’une statue de Notre-Dame, suite à la vision miraculeuse du seigneur Hector de Tongre. Après cet événement mystique, une chapelle y est érigée et devient le centre d’un pèlerinage réputé. Le premier édifice en dur, de style roman, est construit en 1138. En 1224, une église gothique prend la place de cet ensemble primitif et connaît, par la suite, diverses phases d’agrandissement. En 1774, la décision est prise de démolir cette église afin d’en ériger une nouvelle. En 1951, ce sanctuaire a été élevé au rang de basilique mineure par le pape Pie XII. Notre-Dame de Tongre est invoquée contre toutes les sortes d’épidémies, les maux du corps et de l’esprit ou encore le succès dans les études. La superbe façade restaurée allie la pierre bleue et la brique enduite. Au-dessus de l’entrée se trouve un bas-relief sculpté en 1912 par Pierre Peeters, représentant l’apparition miraculeuse de 1081. À l’arrière de l’édifice se trouve une haute tour de cinq niveaux. L’intérieur a conservé un très riche mobilier : stalles, lambris, confessionnaux et chaire de vérité réalisés entre 1864 et 1911 par les sculpteurs anversois Henri et Pierre Peeters. De grands personnages ont côtoyé ces lieux de pèlerinage : Louis XIV, Marie-Thérèse d’Autriche ou encore la reine des Belges Marie-Henriette. Classement comme monument le 30 mars 1990  

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Les vestiges du rempart sud de la ville
2.2 km

Les vestiges du rempart sud de la ville

La ville de Chièvres constitue tout au long du Moyen Âge une importante seigneurie du comté de Hainaut dont elle devient en 1076 une des douze pairies. À partir du 12e siècle, elle est dotée par les seigneurs successifs d’éléments défensifs importants et de plusieurs institutions religieuses. En 1194, une importante charte-loi lui est accordée ; elle donne une série de libertés et franchises aux bourgeois de la ville. Au 14e siècle, le comte Aubert Ier de Bavière inclut Chièvres dans sa politique de développement des petits centres urbains et, à partir de 1365, le comte Guillaume III octroie une série de privilèges et d’incitants économiques. La dernière phase de cette grande entreprise de fortifications s’achève en 1410. Aucun témoin du premier ensemble castral et de son enceinte n’est parvenu jusqu’à nous. Les vestiges des fortifications du 14e siècle ont par contre profondément marqué le visage de Chièvres. Un vaste fossé et des levées de terre de 5 m de hauteur entouraient la ville et étaient doublés d’une puissante muraille. D’autres travaux sont lancés en 1436, parmi lesquels l’édification de la tour de Gavre. De part et d’autre de celle-ci se trouvent encore d’importantes sections de remparts. On en trouve d’autres sections entre l’école moyenne et la rue Saint-Jean, à l’arrière de la rue de la Chapelle. Les levées de terre et l’emplacement des anciennes douves sont ici encore bien visibles. Classement comme site le 3 avril 1987  

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Le moulin dit "de la Passe Tout Outre"
3.5 km

Le moulin dit "de la Passe Tout Outre"

Cet ancien moulin à grains a été construit sur la Dendre orientale en 1763, comme l’indique le millésime présent sur le linteau de la porte du logis. Sis au cœur d’un site verdoyant, il se place au centre d’un complexe comprenant également des étables et une grange. L’ensemble de bâtiments a été érigé en moellons de grès.  La façade avant du logis aligne trois fenêtres et a conservé des parties d’un moulin plus ancien. En effet, une porte basse de l’ancien atelier est dotée d’un arc surbaissé à clé portant la date de 1514, ce qui atteste la présence lointaine d’un établissement hydraulique à cet endroit. Les anciennes étables ont été remaniées, au contraire de la grange en long, desservie par des portes charretières. L’ensemble est accessible par un beau pont en pierre à trois arches remontant au 18e siècle. L’une de ces arches est complétée d’un socle en escalier, séparant deux vannes, qui permettaient de régler le niveau de la rivière. En aval, sur la Dendre, subsistent encore trois vannes du mécanisme du moulin ayant conservé leurs crémaillères, indispensables pour les manœuvrer. La roue, aujourd’hui disparue, se trouvait contre la petite annexe récente élevée en pierre de taille ; elle fut remplacée par des turbines au 19e siècle. Le site se trouve quelque peu en aval de la confluence de la Dendre orientale avec le petit ruisseau d’Enghien, ce qui en fait une zone favorable à l’établissement d’un moulin à barrage. Classement comme monument et comme site le 24 mars 1978

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Les fours à chaux des carrières Rivière
3.6 km

Les fours à chaux des carrières Rivière

L’ancienne brasserie Rivière est liée à l’exploitation de la pierre à Maffle par la société Rivière frères au 19e siècle. Occupant plusieurs centaines d’ouvriers à l’époque, cette société est restée active jusque dans les années 1960. La maison Pierre Rivière et ses fours à chaux, situés au-delà de la Dendre, sont les seuls vestiges architecturaux des carrières exploitées par la famille. La maison a été érigée au milieu du 19e siècle en style néoclassique, en briques et en calcaire. À l’arrière, une importante butte envahie par la végétation abrite deux anciens fours à chaux et les vestiges de quelques autres. Le plus petit four pourrait être celui dont la construction a été autorisée en 1826, à moins qu’il ne remonte à la fin du 18e siècle ! On y voit une chaudière circulaire en briques percée de quatre trous de défournement et d’une galerie de circulation voûtée. Le second four, plus spacieux, a été construit vers 1885 avec les mêmes matériaux et selon le même dispositif mais est cette fois percé de huit trous de défournement. Dans ces fours était produite de la chaux, matériau à la base de divers mortiers, obtenue par calcination de la pierre calcaire à plus de mille degrés. Étudiés et classés, ces fours à chaux constituent de nos jours un des plus importants sites d’archéologie industrielle de Wallonie. Classement comme monument et comme site le 12 août 1988

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L’église Saint-Martin
3.7 km

L’église Saint-Martin

L’église Saint-Martin est une construction gothique des XIVe et XVIe siècles. L’édifice est ensuite reconstruit entre 1504 et 1543 par le bailli de Chièvres, Jean Delmont. À cette époque la tour est surélevée et cantonnée de tourelles d’angles et la nef est reprise en sous-œuvre en gothique hainuyer. L’église connaîtra ensuite diverses campagnes de restauration à partir de 1872 jusqu’à la Seconde Guerre mondiale. Construite en moellons locaux et en pierre de Tournai, elle est composée d’une tour occidentale, se prolonge d’une nef à trois travées et collatéraux et s’achève par un chœur à chapelles. La tour s’élève sur quatre niveaux. La façade est ouverte d’un portail en arc brisé typique de l’architecture hainuyère de la fin du Moyen Âge et du début du XVIe siècle (pour les bases prismatiques et les moulurations). Le premier étage est percé d’une grande baie à remplage. Le second étage est quant à lui percé d’ouïe. La tour est  flanquée au sud-est d’une tourelle d’escalier. La nef est caractérisée par de grandes arcades brisées supportées par des colonnes typiques de l’architecture gothique hainuyère. Les bas-côtés sont voûtés d’arcs en ogives (XVIe et XVIIe siècles). Le transept se cantonne à un approfondissement des bas-côtés. Notons que ces derniers sont couverts de toitures en bâtières perpendiculaire à la couverture de la nef. Il s’agit ici d’un des exemples les plus anciens en Hainaut de ce type particulier de couvrement que l’on retrouve notamment dans le gothique brabançon des XVe et XVIe siècles. Le chœur à trois pans est couvert de voûtes d’ogives. Il est flanqué de chapelles ou bas-côtés et annexés au sud et au nord de sacristies. Remarquons l’aigle-lutrin gothique (1403), le Christ de pitié en pierre blanche (1500) et les fonts baptismaux. Classement : 09-11-1949  

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Aux Trois Ruelles
7.7 km

Aux Trois Ruelles

Dans cette maison du XVIIe siècle, pas de retour au passé mais une expérience «hors du temps». Il y a trois décennies, le chef y a fait ses premiers pas. Une vingtaine d’années plus tard, l’occasion s’est présentée de redonner à vie à l’endroit. A deux, en famille ou en groupe, pour un moment de tranquillité ou pour une occasion festive, l’équipe des Trois ruelles reçoit chaque week-end et les jours de fête autour d’une cuisine authentique et chaleureuse qui célèbre les produits des fermes voisines, avec parfois un clin d’œil à des voyages lointains. Le circuit court est à l'honneur. Les élevages alentour produisent de magnifiques légumes, élèvent des viandes dont on goûte la différence. Même la moutarde et le miel proviennent du village d'à-côté. Les poissons et fruits de mer sont sélectionnés selon un label de pêche durable. Aux Trois Ruelles, tout est préparé maison, jusqu'à la mayonnaise. Quelques succès de la carte: le filet Holstein maturé 40 jours, l'agneau de Frison, le lapin à la bière de Silly et les Saint-Jacques aux poireaux. Chaque mois, des suggestions saisonnières sont proposées en plus de la carte. Côté cave, une sélection variée et accessible (15-45 €) ainsi que des bouteilles choisies en collaboration avec Terroirs et Découvertes : des vins authentiques provenant de vignerons soucieux d’une qualité environnementale très élevée. A 6 km de Pairi Daiza. Moitié prix pour les enfants!

1 Rue des Trois Ruelles 7870 Lens
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Gîte des Prés : Maison du Pré
3.3 km

Gîte des Prés : Maison du Pré

Les Gites du Pré sont des gites de 5 à 9 personnes idéalement situés à Brugelette, à proximité du parc animalier Pairi Daiza. En pleine la campagne, ils offrent un espace de quiétude très confortable avec une terrasse et un jardin très agréable pour un séjour en famille ou entre amis. Le gîte Bambou convient pour maximum 6 personnes et propose 1 chambre avec lit double, 1 chambre avec 2 lits simples, 1 canapé-lit convertible, 1 salle de bain, cuisine, salon, salle à manger. Le gîte Savane s’adresse à 5 personnes maximum avec 1 chambre lit double, 1 chambre lit double + lit simple, 1 salle de bain, cuisine, salon et salle à manger. Le gîte le coin perdu est aménagé pour 5 personnes maximum avec 1 chambre lit double, 1 chambre lit double + lit simple, 1 salle de bain, cuisine, salon, salle à manger. La Maison du pré a été conçu pour 9 personnes maximum avec 3 chambres lits doubles, 1 chambre avec 2 lits simple et 1 chambre avec lit superposé, salon, salle à manger, cuisine, salle de bain. Enfin, le gîte de l'ours est un hébergement pour maximum 6 personnes avec 1 chambre lit double, 1 chambre 2 lits simples, 1 canapé-lit convertible, 1 salle de bain, cuisine, salon et salle à manger. Les gites ont une terrasse et un jardin en commun avec vue sur les champs.  La cuisine est entièrement équipée. Les gites disposent aussi d’une télévision à écran plat, d’un parking privé et d’une connexion Wi-Fi gratuite.

5 Chemin de Wisbecq 7940 Brugelette
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Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾