Camping Azur et Merveilles: Breil-sur-Roya, Alpes-Maritimes

Ce circuit facile en majeure partie sur piste ou sur route goudronnée invite à à un petit tour dans l’olivaie breilloise, la plus vaste des Alpes-Maritimes. Il vous permettra de découvrir au passage quelques édifices romans parmi les plus anciens du 06. Véritable pays de l’olivier, Breil comptait au début du XXe siècle quelque 450 hectares de culture et 6 moulins pour une production totale de 3 600 hectolitres d’huile d’olive. La commune possède aujourd’hui certainement encore l’une des plus belles plantations du département. Cet itinéraire dans le vallon de la Lavina permet également de découvrir au passage quelques monuments d’art roman parmi les plus anciens des Alpes-Maritimes comme le clocher Saint-Jean, Notre-Dame-du-Mont ou la chapelle de la Madone-des-Grâces. ITINERAIRE : De Breil-sur-Roya (290 m), à partir du bureau de tourisme place Biancheri, franchir le lac par le premier petit pont, le pont Charabot, faisant face à l’église, et s’élever pour passer sous le pont du chemin de fer (b.7). Bifurquer immédiatement à droite pour effectuer une petite montée et continuer tout droit pour rejoindre la chapelle Saint- Antoine, non loin du clocher Saint-Jean. Juste après la chapelle, prendre la petite route située la plus à gauche et s’élever jusqu’à Notre-Dame-du-Mont (400 m) via la balise 8a. Continuer dans l’olivaie et, après un lacet, par un tracé alternant petites montées et descentes, rejoindre la route du col de Brouis (RD 2204) qu’on emprunte à gauche. Pédaler sur cette route pendant environ 2 km pour atteindre le lieu-dit “pont de la Pinéa” (556 m - b.131). Descendre alors à gauche, par la piste de Pinéa-Morgella (b.132) et rejoindre la chapelle de la Madone-des-Grâces (490 m - b.126). Continuer sur cet itinéraire vers le lac et le village de Breil-sur-Roya par la petite route desservant le quar tier de la Lavina (b.120).

Randonnée accessible à tous, assez raide mais à l'ombre à la montée et au soleil à la descente. Splendide vue panoramique depuis la Tour de la Cruella. Possibilité de pique-niquer sur place, puis de revenir par le même chemin (plus court), ou par le sud. De la mairie, remonter le boulevard Rouvier vers le Pont Supérieur. Au bout du boulevard Rouvier, prendre à droite la rue Ciappera jusqu’au parking situé sur la gauche. Au fond du parking, prendre le GR52A qui monte vers la Cruella. Pour redescendre, emprunter le « Chemin des Irlandais » et arriver à la Porte de Gênes et la Chapelle Saint Antoine l’Ermite.

Très beau et long circuit : vous montez par la petite route en rive droite du versant nord de la Maglia, puis par les lacets de la piste du Bois Noir jusqu'aux limites du parc du Mercantour. Le col d'Agnon contourné, vous redescendez versant sud. Depuis la place Biancheri devant l'office de tourisme, traverser le lac aux Cygnes sur le pont Charabot. Montez tout droit sous le petit tunnel de la voie ferrée. Passé le tunnel, montez à droite. Vous passerez la chapelle Saint-Antoine de Padoue à votre gauche. Vous pouvez prendre à votre gauche la route de Ciaus, ou continuer à prendre la suivante, la petite route de la Madone du Mont. Pause à la si jolie chapelle entourée d'oliviers. Continuez à monter jusqu'à rejoindre la RD 2204. Tournez à gauche, et vous prendrez la petite route de la Maglia très rapidement à votre droite. Vous ne la quitterez plus. Arrêts souhaités de temps à autre pour contempler les gorges qu'elle surplombe. Vous passerez un petit tunnel, ainsi que la balise de randonnée sur votre gauche pour le vallon de Morghé n°100. Continuez toujours. Passez le parking et la balise n°145 qui indique à droite la descente pour le canyon de la Maglia. A la balise 101, vous quitterez le goudront pour prendre à votre gauche la large piste du Bois noir. Vous laisserez à votre droite la piste de Conffrey à la balise 103, et continuer à monter sur la même piste. Vous rejoignez les limites du parc national du Mercantour, balise 140. La piste continue vers l'est, en longeant les limites du Parc. A la balise 135 sur votre gauche un sentier rejoint le col d'Agnon (1074 m), que la piste contourne. Vous entamez alors la longue descente versant sud par Campé. Vues imprenables et plongeantes sur les montagnes de la Haute-Roya, Saorge et Breil tout en bas : n'hésitez pas à vous arrêter ! Vous passerez à côté d'une bergerie, et peu après d'une citerne DFCI à votre gauche. Vous descendez toujours en lacets par le "chemin du col d'Agnon" dans le "quartier Bourgemo", où vous rejoignez de belles oliveraies. Vous prendrez à GAUCHE le chemin de Bourgemo pour passer par le "quartier Granile", qui vous fait éviter la route, et vous offrira encore la vision de magnifiques échappées sur le village de Saorge. Après quelques lacets, vous rejoindrez le début de la petite route de la Maglia, et vous pourrez rejoindre plus rapidement votre point de départ en descendant directement par la petite route de Burdanche qui descend raide à droite au début de la route de Notre-Dame-du-Mont.

Belle randonnée sportive sans difficultés particulières si ce n'est le fort dénivelé. Description de la randonnée Départ du parking situé sous le pont à la sortie de Breil en direction de Tende. (D/A) Remonter sur la route, tourner à droite et traverser le pont. A la sortie du pont, prendre le premier sentier sur la gauche et continuer jusqu'à la jonction avec une piste. (1) Poursuivre orientation (Est) et traverser la piste à deux reprises. Effectuer de nombreux lacets jusqu'à la jonction avec le GR®52A. (2) Prendre à gauche (Nord-Est) le GR®52A (balisage Rouge et Blanc). Monter régulièrement dans la forêt et obliquer progressivement à l'Est. (3) Quitter le GR®52A qui fait un virage à gauche et remonter à droite (Est) vers Zouayné en sous-bois le long d'un torrent profond souvent à sec. On s'élève toujours en lacets en forêt. (4) A un croisement, virer à droite (Sud) et demeurer à flanc. Monter ensuite en écharpe (Sud-Ouest) au Collet d'Aïné. (5) Au replat, virer à gauche à angle aigu (Est-Nord-Est) sur la crête en direction du sommet de l'Arpette bien en vue. Passer sous le sommet, versant Sud. (6) A la balise 109, partir Nord-Ouest vers le sommet de l'Arpette que l'on atteint sans difficulté au sein d'une végétation clairsemée. (7) Le retour se fait par le même itinéraire. Pas de point d'eau. A la Balise 109, lieu propice à une halte ombragée ou à un pique-nique. Nous vous conseillons aussi d'emporter avec vous les cartes IGN papier au 1:25000 de cette randonnée. IGN: 3741ET, 3841OT. Soyez toujours prudent et prévoyant lors d'une randonnée.Nous ne pourrons pas être tenus responsables en cas d'accident ou de désagrément quelconque survenu sur ce circuit.

Magnifique randonnée sportive avec une vue imprenable sur la vallée de la Roya ou vous apercevrez les principaux sommets du Mercantour... De l'office de tourisme, remonter le village jusqu'au pont supérieur (b.5). Continuer à plat et longer la Roya (b.9), monter en lacets jusqu'à la balise 10, continuer sur le GR52 et croiser bientôt le vallon de Zouayné (b.108). Remonter celui-ci, très encaissé et obscur. Dans un lacet, quitter le vallon par la droite pour aboutir au collet d'Aïné par une traversée boisée. Le sentier suit la crête, puis traverse des barres rocheuses et passe en versant sud (b.109). Rejoindre le sommet de l'Arpette en quelques minutes (relais TV). Pause panorama sur les sommets. Retour à la balise 109, suivre le sentier qui suit la crête et rejoindre une piste qui vient d'Italie. Laisser cette piste sur la gauche, continuer à suivre la crête, attention le sentier n'est pas toujours apparent. Se projeter vers le mamelon sommet Tête d'Alpe. A la Tête d'Alpe, magnifique point de vue sur l'Arpette et aussi sur la distance parcourue. Cheminer toujours sur la crête, dépasser la balise 438 et parvenir à une intersection. Le sentier abandonne maintenant la crête. Passer sous la Cime de Crémo, amorcer la descente vers le Pas du Sausson et atteindre une intersection. Prendre le sentier sur la droite en direction de la Roche du Tron, vous apercevrez le hameau de Libre à 75m plus bas. Entreprendre la longue descente jusqu'à la balise 417 et atteindre le cœur du hameau de Libre. Continuer jusqu'au lieu dit Bourgogni (balise 415 puis 416) et suivre le sentier valléen jusqu'à la balise 106 'Rougna). Suivre le sentier de la Carleva qui descend jusqu'à la balise 105. Plus que quelques mètres et vous voilà de retour à Breil-sur-Roya.

Itinéraire sportif et raide, idéal pour se dépenser et exercer vos mollets ! Magnifiques vues lorsque vous rejoindrez le GR52A qui vous ramènera en direction du village de Breil, puis large panorama à couper le souffle depuis la tour de la Cruella. Penser à prendre de l'eau ! Départ depuis la place Biancheri devant l'office de tourisme, à 284 m d'altitude pour monter à la tour de guet la Cruella d'époque médiévale qui domine tout le bassin de Breil, à 535 m d'altitude. Remonter la Roya en rive gauche, et prendre le sentier en direction du vallon de Zouainé et de Saorge à la balise 6 : il part juste avant le pont Supérieur et longe la Roya. Le suivre jusqu'à la balise 9. A la jonction avec la piste, la prendre à droite et monter. Passer un lacet, et prendre à droite un sentier, signalé par un panneau en bois : "Itinéraire pédestre". Il s'élève en lacets raides jusqu'à rejoindre le GR52A à la balise 10. Vous le prendrez à votre droite dans le sens de la descente vers le village de Breil. Vous quitterez le GR pour monter sur la gauche et rejoindre la tour de la Cruella en quelques lacets. Vues époustouflantes et parfois vertigineuses sur la portion de GR, puis depuis la tour de la Cruella. Pause aérienne obligatoire. Depuis la tour partir plein sud sur l'adret du vallon suivant, par le sentier des Irlandais balisé en jaune dans les restanques plantées d'oliviers. Vous rejoindrez le sentier valléen que vous remonterez sur votre droite en dominant la Roya. Vous arriverez à l'entrée sud du vieux village de Breil, passerez sous la porte de Gênes, et à l'ombre de la jolie chapelle Saint-Antoine l'Ermite, et dans la partie la plus ancienne du village, place Rousse, pour revenir à votre point de départ soit par la rue Pasteur et la rue Sainte-Catherine, soit en longeant la Roya.

Jolie balade facile et familiale à proximité du village historique avec une belle vue sur les toits et les montagnes. De la mairie, remonter le boulevard Rouvier vers le Pont Supérieur. Au bout du boulevard Rouvier, prendre à droite la rue Ciappera . Vous pouvez aussi rejoindre la rue Ciapera en montant tout droit depuis la place Brancion par le cours d'Abanca qui traverse la rue Pasteur, puis la rue de Turin, et la montée des Bugadières. Vers le bout de la rue, prendre l'escalier bétonné à gauche indiqué "Castel du Crotté" qui rejoint l'ancien muletier dallé qui rejoint la ligne de crête en quelques lacets. Pour redescendre, emprunter le sentier qui descend dans les ruelles du village versant sud.

Randonnée pédestre au départ de Breil sur Roya dans le vallon de la Carleva - Départ du pont inférieur, prendre à gauche du barrage hydroélectrique - Passer à côté du lavoir de la place Rousse et longer le mur des fortifications jusque la balise 3 - Continuer jusqu'à la chapelle Saint Antoine Ermite et passer sous la porte de Gênes jusqu'à un oratoire (balise 105) - Prendre à gauche le sentier sinueux qui s'élève à travers d'étroites terrasses d'oliviers à l'abandon - Arrivée aux maisons de Vésaire - Après les vestiges de l'ancienne carrière, on arrive au coeur du bassin supérieur de la Carléva (890 m) - Arriver à la balise 107 amorcer la plongée vers la vallée de la Roya par un sentier raide puis par l'admirable chemin pavé de Rougna (balise 104) -On regagne Breil-sur-Roya via le vieux pont sur la Carleva.

Belle randonnée au départ de Breil par le GR510 jusqu'à Sospel en passant par Piène Haute. Puis emprunter le GR52 jusqu'à Menton. Attention la partie Sospel-Menton est très difficile et s'adresse à un public averti. Breil sur Roya - Piène Haute par le GR510 Durée : 5h Dénivelé : + 590m - 279m Le début du sentier se situe à l'entrée Sud de la ville, sur la gauche, juste avant le pont sur la Roya (balise1). Continuer jusqu'à la balise 2, suivre le sentier en passant par le Camp Saorgin et arriver à la balise 118. A cet embranchement continuer à suivre le GR510 par le lieu dit Bancao. Arriver à la balise 117. Le sentier change complètement de direction pour remonter vers le Nord-Nord-Ouest en passant par Viravourgio et parcourir les profondeurs du vallon du Riou alors que le but à atteindre près du hameau de Piène Haute se profile au Sud à 1,5km à vol d’oiseau. Une piste remplace bientôt le sentier. Après la traversée du hameau de Mattegna, le chemin rencontre un oratoire et atteint un col dominé par la chapelle de la Madone. Continuer jusqu'au hameau de Piène Haute. Piène Haute – Sospel par le GR510 Durée : 3h Départ de Piène haute par la D 193 vers l'ouest puis descendre par un chemin caillouteux via le GR 510 (balise 440). Après la chapelle Saint Jérôme, le sentier se rétrécit en longeant des oliveraies. Quitter les terres cultivées et dévaler en restant vaguement en crête; rejoindre la D93 (balises 441 et 442) à une trentaine de mètres de la Frontière italienne (possibilité de faire une halte au café restaurant de San Michele), Suivre la route sur 300 m et emprunter un raidillon descendant qui évite un lacet.   Encore 100 m de goudron, puis prendre sur la droite (balise 443) un sentier qui chemine en corniche au dessus de la Bévéra et qui est équipé en sentier botanique par la ville de Sospel. On atteint bientôt le pont de Caï sur lequel passe la voie ferrée Nice-Cuneo. S’engager sous le pont, traverser le vallon de Basséra et remonter à l’autre extrémité du Pont de Caï. Du pont emprunter un chemin de terre qui monte à droite et rejoindre la D93 que l’on emprunte jusqu’au pont sur le ruisseau de Nieya où l’on s’engage dans un sentier ombragé qui évite une large courbe de la route. Ce sentier se dirige ensuite vers la ferme de Saint Gervais dont il traverse les bâtiments en s’élargissant. Il continu sous la forme d’un chemin de terre carossable qui se rêvet de goudron à l’approche de la D 2204. Emprunter cette voie jusqu’à Sospel. Sospel - Menton Durée : 7h Dénivelé : +1150 -1480 De Sospel (350 m - b.105), prendre l’ancienne route du col de Castillon (D.2566). Traverser la voie de chemin de fer et juste après le premier lacet, prendre la petite route de Fontan à gauche (b.106).Continuer sur la en piste avant de prendre à droite le GR (b.106a). Dans la première épingle à droite, suivre le départ d’une piste pour rejoindre le sentier qui grimpe (b.107) avant de sortir sur la croupe (fontaine - b.107a). Rejoignez le col du Razet (1 032 m - b.90) par une montée en sous-bois ; continuer sur le GR52, pour gagner Colla Bassa (1 108 m - b.95) et prendre à droite la piste qui descend en direction du sud. Bifurquer plus bas sur la droite sur un sentier (GR) pour atteindre le lieu-dit Mourga (b.95c). Continuer jusqu'à une piste (b.406) qu’il faudra suivre à droite en descente pour reprendre le sentier qui part sur la gauche ( b.407). Dernière montée (b.408) jusqu’aux grands pins qui marquent le passage du col du Berceau (1 090 m - b.12a). La descente en versant sud est raide, caillouteuse et technique. La pente s’adoucit arrivée en forêt (716 m), carrefour d’itinéraires (b.410) où il faut continuer en direction du Plan du Lion en laissant à droite le GR51. Au bout du plateau (b.412), prendre le sentier (GR52) jusqu'à une piste quartier de St-Paul (446 m - b.413). Continuer par la piste en face puis par le chemin à gauche qui descend à flanc (balises 424 et 423) jusqu’aux portes de Menton. Longer à droite l’autoroute, puis passer dessous jusqu'aux balises 422 et 421 la continuer pour arriver au boulevard de Garavan (b.420).

Bel itinéraire en balcon au pays des oliviers, au-dessus des de la Roya jusqu'à Piène Haute 20 mètres après le pont inférieur de la Roya, à droite, prendre le GR (B2). Dans la montée, quitter le GR et prendre à gauche "Piène-Haute direct" : charmante descente dans les pins, genévriers et arbousiers...Après un ruisseau, une ascension à l'ombre des pins aboutit à Piène Haute (aperçu sur la crête en chemin). L'arrivée (610 m) offre un point de vue exceptionnel sur la mer et les montagnes !Le retour se fait par le même itinéraire. Une variante reliant Piène Haute à Sospel peut être envisagée avec un retour à Breil en train. Attention prévoir 5 heures pour le trajet aller et se renseigner pour le retour en train.

Les grandes dimensions de cette élégante gare permettent d’héberger le personnel nécessaire à l’exploitation d’une ligne dont les circulations sont partagées entre la SNCF et la compagnie Trenitalia.

Ce clocher aux ouvertures géminées, très caractéristiques du premier art roman, est le seul vestige qui subsiste de l'antique prieuré Sanctis Johannes. Il ne se visite pas mais est visible depuis la route. La chapelle et les annexes ont été détruites en 1707 par l'armée du Prince Eugène battant en retraite après leur défaite devant Toulon. Philippe de Beauchamp indique « clocher du début du XIIème siècle, vestige d’une église bénédictine encore utilisée en 1667, détruite en 1707 par les Impériaux, situé dans un joli site » La chapelle est détruite en 1707 selon Charles Botton A donné son nom au quartier Saint Jean Incorporation de tegulae dans le clocher Dans le quartier ont été trouvées des tombes antiques

Découvrez la tour de Cruella, édifiée par les comtes de Vintimille, dominant la Roya. Elle tirait son nom des éperviers, "cruella", nichant dans la roche. En 1258, trois de leurs descendants cèdent cette Turris Cruellam à Charles de Provence. Ce nom de "Turris Cruellam " figure dans la charte de 1258 par laquelle le Comte de Provence devient maître de Breil. Pendant des siècles, dominant tous les accès menant à Breil-sur-Roya, elle est la gardienne de la cité. En 1940, les éclaireurs-skieurs alpins qui s'y sont retranchés stoppent la progression des troupes italiennes qui tentent de prendre la ville et ses installations ferroviaires. Entièrement restaurée par des bénévoles breillois et irlandais, la tour a aujourd'hui retrouvé sa beauté d'antan. Un circuit de randonnée est proposé pour s'y rendre. Arrivé à la tour une table d'orientation vous fait découvrir un magnifique panoramique, d'où l'on aperçoit Piène Haute et Saorge.

Les découvertes archéologiques prouvent que le site de Breil sur Roya est habité dès l'époque néolithique.

Datant du Moyen-âge, avec la muraille qui y abouti, elle est le dernier vestige des remparts qui ceinturaient l'antique cité et des trois portes par lesquelles on y pénétrait. Jusqu'à 1814 elle fermait le chemin venant de Libre la Génoise..

Chapelle située au bout du village au pied des restanques d'oliviers. Ouverte ponctuellement lors des célébrations spécifiques. Possibilité de la voir de l'extérieur toute l'année. Couverte d'un toit de lauzes, cette chapelle est relevée au XVIIème siècle par le médecin Horace Cottalorda. Au centre du retable, une toile représentant la Vierge et Jesus entre Saint Antoine et Saint Eloi surmonte l'autel. Cette chapelle est le siège de la confrérie de Saint-Antoine. L'association "Soucétà Briiencà" l'entretien et y célèbre chaque année une messe. A la fin de l'office les participants se réunissent autour d'un repas partagé avec les spécialités culinaires breilloises. Bâtie à quelques mètres de la Porte de Gênes, la chapelle permettait aux voyageurs de faire leurs dévotions avant de franchir les remparts.

Accès par le sentier des Crottés qui surplombe les toits du village. Ces petits abris voûtés, typiques d la région, sont postérieurs à la restauration sarde, lorsque la République de Gênes est rattachées au royaume de Savoie-Sardaigne. Plus aucun danger ne menaçant son flanc sud, le souverain abandonne le château fort d' Ar Casté qui sert alors de carrière de pierres aux gens du pays. Certains construisent ces Crottés pour en faire des abris dans lesquels ils entreposent pendant la nuit des claies sur lesquelles ils font sécher figues et prunes.

Implantée sur un très beau site de l’olivaie breilloise, la chapelle intègre des absides romanes, des portails gothiques et un clocher baroque autour de ses trois nefs romanes à décors baroques. Les combles hébergent l'été des chauves-souris, protégées par le programme Natura 2000, et le Parc national du Mercantour. La Madone du Mont a un plan basilical avec une nef centrale et deux collatéraux. Trois absides en cul de four prolongent les trois nefs. La charpente de la nef principale est portée par des murs élevés au dessus des arcades qui la séparent des collatéraux. Cette nef est éclairée par des baies latérales en partie haute. Les collatéraux, plus bas, sont couverts de charpentes en « appentis ». Ils sont éclairés par des oculus en haut de chaque façade. Le clocher latéral reconstruit au début du XVIIe siècle, est pour partie implanté dans l’absidiole sud qui reste partiellement lisible à l’intérieur. Un porche voûté en plein cintre a été construit à l’ouest de la nef centrale au début du XVIIe siècle. Il a été surélevé par la création d’un petit logement vers 1830. Une citerne maçonnée de la même époque le jouxte au nord. Un parvis semi elliptique se trouve à l’avant du portail latéral, au nord du bâtiment.

Accessible à pied, 20 mn environ en rive gauche le long de la Roya : marche facile dans un bel environnement depuis la mairie par la chapelle St-Antoine l'Ermite et la porte de Gênes, balises n°1 puis 3. Passer l'oratoire, tout droit jusqu'au joli pont. Attention, à l'oratoire, balise n° 105, ne pas s'engager vers le haut sur la droite : 5h de marche pour faire la boucle du vallon ! Rejoindre le cours d'eau sous le pont soit avant : en prenant appui sur une pierre dans le mur de soutènement ; soit après le pont, par une sente raide dans les buissons qui montre des passages fréquents. Descendre prudemment jusqu'au point d'eau sous le pont. Vous pouvez aussi descendre le petit torrent vers l'aval où vous trouverez d'autres vasques ravissantes un peu plus grandes. Rivière de 5,5 km, vallon très sauvage à l'eau limpide. Affluent de la Roya, ce cours d'eau est propice aux sports d'eau vive tel que le canyoning.

Implantée le long de l’ancienne route du sel savoyarde, la chapelle Notre-Dame des Grâces se trouve à mi-chemin entre le village et le col de Brouis. Alors qu'une épidémie de peste ravage Breil-sur Roya, les habitants vont implorer la Vierge au sanctuaire de Rocaforte de Mondovi. Ils s'engagent, si la peste cesse, à élever une chapelle sur le chemin par où le fléau est arrivé. Leur vœu exaucé, ils construisent cette chapelle également appelé Notre Dame des Neiges, et y scellent une plaque indiquant : "Comm. communitas Brelii, tempore pestis 1631, augt. votum feisset, quod intercessione, ss Marie Virginis, arque Rosalie et Roch, libera fuit", "La communauté de Breil au moment de la peste de 1631 avait fait le 5 août vœu, du fait que, par l'intercession de la Très sainte Vierge Marie, de sainte Rosalie et de saint Roch, elle fut libérée". Plusieurs ex-voto et une paire de béquilles témoignet des voeux exaucés.

Les grandes dimensions de cette élégante gare permettent d’héberger le personnel nécessaire à l’exploitation d’une ligne dont les circulations sont partagées entre la SNCF et la compagnie Trenitalia.

Petite chapelle située près du clocher Saint-Jean. Elle a été construite après la destruction, au début du XVIIIe siècle, du prieuré bénédictin dont le clocher Saint-Jean faisait partie, Récemment rénovée grâce au financement de la Soucéta brîïenca. Restaurée en 1922. Avec dédicace à l’intérieur du nartex : HOC SACELLUM A PATRIBUS DIVO ANTONIO CURA RESTAURATUM FUIT ANNO MCMXXII Elle a été déplacée de son site initial suite à la construction des emprises de la gare.

Ce clocher aux ouvertures géminées, très caractéristiques du premier art roman, est le seul vestige qui subsiste de l'antique prieuré Sanctis Johannes. Il ne se visite pas mais est visible depuis la route. La chapelle et les annexes ont été détruites en 1707 par l'armée du Prince Eugène battant en retraite après leur défaite devant Toulon. Philippe de Beauchamp indique « clocher du début du XIIème siècle, vestige d’une église bénédictine encore utilisée en 1667, détruite en 1707 par les Impériaux, situé dans un joli site » La chapelle est détruite en 1707 selon Charles Botton A donné son nom au quartier Saint Jean Incorporation de tegulae dans le clocher Dans le quartier ont été trouvées des tombes antiques

Exposition de vieilles mécaniques (locomotives SNCF historiques à vapeur et électrique, tramway, voitures anciennes...). Présentation de l'histoire de la ligne SNCF du Col de Tende "Train des Merveilles", avec notamment une grande maquette sur la ligne. Depuis plusieurs années, les membres bénévoles de l'association de l’Écomusée de Breil sur Roya rassemblent des pièces rares sur l'histoire des transports dans notre région. Les locomotives, voitures de trains, autorails, trolley et tramways anciens sont présentés en plein air et sous hangar, à proximité immédiate de la gare, des voies et d’un passage à niveau. Les collections d’objets et maquettes sont présentées à l’intérieur des anciennes voitures réaménagées à cet effet.

Découvrez la tour de Cruella, édifiée par les comtes de Vintimille, dominant la Roya. Elle tirait son nom des éperviers, "cruella", nichant dans la roche. En 1258, trois de leurs descendants cèdent cette Turris Cruellam à Charles de Provence. Ce nom de "Turris Cruellam " figure dans la charte de 1258 par laquelle le Comte de Provence devient maître de Breil. Pendant des siècles, dominant tous les accès menant à Breil-sur-Roya, elle est la gardienne de la cité. En 1940, les éclaireurs-skieurs alpins qui s'y sont retranchés stoppent la progression des troupes italiennes qui tentent de prendre la ville et ses installations ferroviaires. Entièrement restaurée par des bénévoles breillois et irlandais, la tour a aujourd'hui retrouvé sa beauté d'antan. Un circuit de randonnée est proposé pour s'y rendre. Arrivé à la tour une table d'orientation vous fait découvrir un magnifique panoramique, d'où l'on aperçoit Piène Haute et Saorge.

Les découvertes archéologiques prouvent que le site de Breil sur Roya est habité dès l'époque néolithique.

Datant du Moyen-âge, avec la muraille qui y abouti, elle est le dernier vestige des remparts qui ceinturaient l'antique cité et des trois portes par lesquelles on y pénétrait. Jusqu'à 1814 elle fermait le chemin venant de Libre la Génoise..

Chapelle située au bout du village au pied des restanques d'oliviers. Ouverte ponctuellement lors des célébrations spécifiques. Possibilité de la voir de l'extérieur toute l'année. Couverte d'un toit de lauzes, cette chapelle est relevée au XVIIème siècle par le médecin Horace Cottalorda. Au centre du retable, une toile représentant la Vierge et Jesus entre Saint Antoine et Saint Eloi surmonte l'autel. Cette chapelle est le siège de la confrérie de Saint-Antoine. L'association "Soucétà Briiencà" l'entretien et y célèbre chaque année une messe. A la fin de l'office les participants se réunissent autour d'un repas partagé avec les spécialités culinaires breilloises. Bâtie à quelques mètres de la Porte de Gênes, la chapelle permettait aux voyageurs de faire leurs dévotions avant de franchir les remparts.

Retenue d'eau artificielle qui donne tout son charme au village, où les canards et les magnifiques cygnes profitent de cet espace. Ce lac est un petit paradis pour les pêcheurs et les kayakistes. Lors des chaudes soirées d'été vous pourrez observer les chauves-souris qui survolent le lac en se nourrissant de moustiques et de moucherons.

Accès par le sentier des Crottés qui surplombe les toits du village. Ces petits abris voûtés, typiques d la région, sont postérieurs à la restauration sarde, lorsque la République de Gênes est rattachées au royaume de Savoie-Sardaigne. Plus aucun danger ne menaçant son flanc sud, le souverain abandonne le château fort d' Ar Casté qui sert alors de carrière de pierres aux gens du pays. Certains construisent ces Crottés pour en faire des abris dans lesquels ils entreposent pendant la nuit des claies sur lesquelles ils font sécher figues et prunes.

Restau/bistro/épicerie accueillant au coeur du village historique de Saorge. Cuisine traditionnelle qui sait être créative, faite avec soin, avec autant que possible des ingrédients locaux et/ou bio, en circuit court. Comme son nom l'indique, cet établissement, qui était auparavant la boulangerie du village, est aujourd'hui un bistrot épicerie. On vient s'y restaurer de plats inventifs, fins... et bien faits, et acheter si nécessaire les produits de base de la cuisine régionale. C'est un endroit sympathique au centre du village, dont on perçoit l'ambiance chaleureuse et qui dispose d'une petite terrasse.

Restaurant à la cuisine de saison et aux produits frais.

Immergée dans la montagne, le restaurant suit le rythme des saisons et s'adapte aux productions du jardin potager. Nos spécialité faits maison: ravioli, barbajuan, gratin d'aubergines, beignets de fleurs de courge, méchoui et cochon de lait à la broche. Idéal pour groupes et événements. Transport en 4x4. Vos repas avec une vue imprenable de la côte mentonnaise! Cuisine traditionnelle et régionale pour tous, raviolis et barbajuans faits maison. Depuis bientôt 30 ans, la famille BOVIS vous accueille à la Ferme St Bernard et propose des repas et l'hébergement en camping dans une atmosphère conviviale et authentique. La Ferme St Bernard est située sur les hauteurs de Castellar, village médiéval des Alpes Maritimes, à proximité du GR 52 et du Col St Bernard, la Ferme vous propose des formules pour groupes et événements.

Chez Pipo est connu des niçois comme un des meilleurs restaurants de socca depuis sa création. Les niçois viennent y déguster la socca de génération en génération et perpétuent ainsi une tradition qui dure depuis près de 100 ans. La socca est une galette à base de farine de pois chiche, dorée au four, à la fois moelleuse et croustillante qui se déguste bien chaude et se mange avec les doigts en ajoutant simplement un peu de poivre ! À Nice, nous avons le soleil, la mer et la socca ! Tel pourrait être le triptyque qui résume l’art de vivre local. La notoriété de cette enseigne a dépassé les frontières de la ville ou du département et c’est ainsi que des voyageurs du monde entier viennent découvrir ici à Nice un plat traditionnel qui suscite bien des curiosités.

Référencé par les gîtes ruraux de France, à proximité du GR 52 et du Col St Bernard, la Ferme vous propose une aire de camping naturelle pour les tentes et un dortoir dotés de lits individuels. Restauration sur réservation.

Sur la Côte d’Azur, à 500 m du village côtier de Castellar (altitude 380 m), trois chambres d’hôtes spacieuses vous ouvrent leurs portes toute l’année. Nos chambres, toutes climatisées, offrent une literie confortable et une salle de bain privée dans un cadre différent pour chacune. Un accès indépendant vous garantit la plus grande tranquillité. Vous serez conquis par les petits déjeuners servis sous la tonnelle les jours d’été en tables individuelles ou dans la salle à manger commune en période d’hiver. Vous profiterez de la piscine et de l’ombre des figuiers pour combler vos moments de détente.

Camping classé en Aire Naturelle à 8 km de la mer, 15 km de l'Italie, 15 km de Monaco. Au calme, semi ombragé, à 100m du village. idéal randonnées, cadre agréable entre mer et montagne. Superette, bar et restaurants dans le village. Activités à proximité : escalade, randonnée, VTT. Possibilité d'accès aux camping cars de avril à fin juin et de septembre au 15 octobre. Pas de camping-car entre juillet et août. Longeur camping car max 6 m

L’Auberge de Jeunesse de Nice "Les Camélias", belle villa traditionnelle située en plein cœur de la ville, est proche de la promenade des anglais et des plages. A l’intérieur, la magnifique fresque réalisée par un peintre Niçois rend le lieu chaleureux et accueillant. C’est un bel endroit pour des séjours en bord de mer, dans le sud de la France, sur la côte d’Azur. Services : Bar, cuisine indépendante, laverie, bagagerie, espace détente. A noter : il n'y a pas de local fermé spécifique pour le stockage des vélos, néanmois ils peuvent être rangés dans une cour intérieure, avec cadenas et veilleur de nuit. La Fédération Unie des Auberges de Jeunesse - FUAJ, association Loi 1901, est le réseau historique des Auberges de Jeunesse en France. Maillon du réseau Hostelling International (4 000 Auberges de Jeunesse HI réparties dans 81 pays), elle compte plus de 100 Auberges de Jeunesse en France. La FUAJ et Hostelling International portent des valeurs fortes que sont l’éco-citoyenneté responsable, le respect des différences culturelles et agissent en faveur d’une culture de la paix. Réservation en France : www.hifrance.org Réservation à l'étranger : www.hihostels.com Réservation groupe : https://groups.hihostels.com/ En savoir plus sur la FUAJ : www.fuaj.org

L’Auberge de Jeunesse de Nice "Les Camélias", belle villa traditionnelle située en plein cœur de la ville, est proche de la promenade des anglais et des plages. A l’intérieur, la magnifique fresque réalisée par un peintre Niçois rend le lieu chaleureux et accueillant. C’est un bel endroit pour des séjours en bord de mer, dans le sud de la France, sur la côte d’Azur. Services : Bar, cuisine indépendante, laverie, bagagerie, espace détente. A noter : il n'y a pas de local fermé spécifique pour le stockage des vélos, néanmois ils peuvent être rangés dans une cour intérieure, avec cadenas et veilleur de nuit. La Fédération Unie des Auberges de Jeunesse - FUAJ, association Loi 1901, est le réseau historique des Auberges de Jeunesse en France. Maillon du réseau Hostelling International (4 000 Auberges de Jeunesse HI réparties dans 81 pays), elle compte plus de 100 Auberges de Jeunesse en France. La FUAJ et Hostelling International portent des valeurs fortes que sont l’éco-citoyenneté responsable, le respect des différences culturelles et agissent en faveur d’une culture de la paix. Réservation en France : www.hifrance.org Réservation à l'étranger : www.hihostels.com Réservation groupe : https://groups.hihostels.com/ En savoir plus sur la FUAJ : www.fuaj.org

L'hôtel Villa Victorine est situé dans un quartier tranquille et accueillant de Nice, distant de 5 minutes de la mer, de ses plages et de la fameuse "Promenade des Anglais". Il a été entièrement rénové au printemps 2013. L'aéroport et la gare de St. Augustin se trouvent à 10 minutes de l'hôtel.

L'hôtel Villa Victorine est situé dans un quartier tranquille et accueillant de Nice, distant de 5 minutes de la mer, de ses plages et de la fameuse "Promenade des Anglais". Il a été entièrement rénové au printemps 2013. L'aéroport et la gare de St. Augustin se trouvent à 10 minutes de l'hôtel.

Retrouvez tous les services essentiels à l'accueil des clients itinérants dans notre hébergement !

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