Découvrez Bapaume avec SARL LE GOURMET

Ce trajet marque la dernière étape de la Via Francigena dans le département du Pas-de-Calais avant de rejoindre le département de la Somme. A Bapaume, vous y verrez son beffroi ainsi que l'église Saint-Nicolas tous deux reconstruits après la Première Guerre mondiale. Sur ce tronçon se trouvent plusieurs cimetières militaires, marques de la Grande Guerre tels que le Beaulencourt British Cemetery, le Thilloy Road cemetery ou encore le Manchester Cemetery de Riencourt. A l'approche de Rocquigny, vous verrez le clocher d'une église à l'allure plutôt originale... L'église fut, elle-aussi, détruite durant la Première Guerre Mondiale et reconstuite en 1930. La traversée du pont de l'autoroute A2 marque la frontière entre le Pas-de-Calais et la Somme.

Empruntez la boucle des 4 chemins, un circuit marqué par l'Histoire. Au départ de Bapaume partez sur les traces de la Première Guerre mondiale. A voir aux environs : - Le Mémorial canadien à Courcelette - À Longueval dans la Somme : le monument national néo-zélandais et le mémorial sud-africain

Empruntez la boucle des 4 chemins, un circuit marqué par l'Histoire. Au départ de Bapaume partez sur les traces de la Première Guerre mondiale. A voir aux environs : - Le Mémorial canadien à Courcelette - À Longueval dans la Somme : le monument national néo-zélandais et le mémorial sud-africain

Ce circuit vous emmène à la découverte de Bapaume et du village de Ligny-Thilloy au gré de la ronde des tilleuls. Cette promenade mêle la découverte d'espaces naturels, de terres cultivées, du patrimoine de la Reconstruction, urbain et rural... et des personnages légendaires ou réels qui ont marqué ce territoire.

Ce sentier vous emmène à la découverte des lieux de batailles et des monuments qui commémorent les combats des 2 et 3 janvier 1871. Le 19 juillet 1870, la guerre franco-prussienne éclate. Elle oppose le Second Empire français au royaume de Prusse et aux autres États allemands, ses alliés. Elle se terminera le 29 janvier 1871 par une défaite française qui eut pour conséquences la chute du Second Empire français et de l'empereur Napoléon III, et la proclamation de la Troisième République, mais aussi la perte du territoire français de l'Alsace-Moselle.

Ce sentier vous présente en quelques kilomètres un condensé des grands évènements du XXe siècle. Eléments visibles de la Première Guerre mondiale, au gré des cimetières et mémoriaux britanniques, de la Seconde Guerre mondiale avec les vestiges d'un aérodrome, mais surtout les destins de 2 hommes au cours de ces deux conflits : le Lieutenant Commander Oswald Wainwright et le Général Aubert Frère. En plus de ce riche passé, Grévillers a su garder une âme rurale qui fait de ce petit coin, entre bois, prairies et champs cultivés le bonheur des promeneurs.

Plus qu'une simple balade, ce circuit de randonnée vous invite au Souvenir. « A debt of Honour » (une dette d'honneur), ces quelques mots suffisent à exprimer ce que les britanniques ressentent pour leurs soldats tombés sur ces champs de bataille lors de la Première Guerre mondiale. La Bataille de la Somme, dont la Butte de Warlencourt fut l'un des enjeux stratégiques, vit mourir côté Alliés environ 125 000 soldats, anglais, écossais, gallois, irlandais, canadiens, australiens, néo-zélandais, africains du Sud, indiens, terre-neuviens ... C'est à l'écrivain anglais Rudyard Kipling, qui a perdu son fils unique lors de cette guerre que l'on doit le choix , dans l'Ecclésiaste, de la formule de souvenir gravée sur toutes les dalles commémoratives « Their name liveth for evermore » que l'on peut traduire par « Que leur nom vive pour toujours »...

Achiet-le-Grand, Achiet-le-Petit et Bihucourt ...vous allez vous promener à l'orée de ces villages en empruntant quelques tronçons de leur pourchain. Un pourchain est le chemin qu'empruntaient jadis les vaches pour aller de la pâture à l'étable. Généralement, ces petits sentiers enherbés, ombragés, faisaient le tour du village en évitant le centre. Aujourd'hui ces sentiers font le bonheur des promeneurs en quête de quiétude.

Le sentier de l'Hirondelle vous emmène au travers des cimetières du Commonwealth à la découverte d'une région totalement dévastée en 1917. Les 4 villages que vous découvrirez grâce à ce parcours sont aussi des témoins de la Reconstruction et du style « Régions Libérées » que l'on a décliné ici au patrimoine rural. Les villages ont été complètement détruits, mais il ne faut pas oublier la remise en culture de ces terres bouleversées : trous d'obus, cratères, barbelés, sapes, obus non explosés, mines, tranchées ... 90 ans plus tard vous êtes sur des terres céréalières parmi les plus riches et plus productives de France !

Rocquigny,Villers-au-Flos et Barastre, trois villages, trois églises, trois clochers que vous distinguerez tout au long du parcours. Tels les phares guidant les marins, les clochers de nos églises sont illuminés (plaquette disponible à l'Office de Tourisme) et guident la nuit tombée les Sud-Artésiens vers leurs îlots de tranquillité.

Inscription: Les participants peuvent s'inscrire en ligne pour 3€ sur le site www.arrasenlumieres.fr avant l'événement. Sur place, l'inscription coûtera 4€. But: Cet événement est organisé au profit de l'association "Les Clowns de l'Espoir", grâce à la collaboration de 5 associations de randonnée pédestre de l'Arrageois. Parcours: De 14h à 16h, les participants pourront choisir entre deux parcours, l'un de 6 km et l'autre de 10 km. Les départs sont libres. Contact : secretaire@arrasenlumieres.fr et Tél. 06 49 98 88 00 Collation: Une collation sera offerte de 16h à 19h pour les marcheurs. En résumé, la 7ème Ballade d'Arras en Lumière est une opportunité conviviale de marcher pour une cause, de profiter de la beauté d'Arras en décembre et de partager une collation, le tout au profit de l'association "Les Clowns de l'Espoir".

La légende raconte que le Comte de Bonnevallet, châtelain de Villers au XIXe siècle qui avait quatre filles, souhaitait la naissance d'un garçon dans la famille. Il s'adressa au Ciel et fit la promesse de bâtir une grotte à l'identique de celle de Lourdes si son voeu était exhaussé. Il le fut et il tint parole. Il eut à l'esprit de construire une grotte qui rappelât celle de Massabielle. En 1882 les travaux commencèrent. On adossa l'édifice contre une butte de terre. Cet édifice était constitué de ciment et de pierres meulières, entouré d'églantiers et de plantes vertes. Dans le fond de la grotte coule sans interruption une petite fontaine. La grotte fut bénite solennellement en 1892. En 1898, 40 messes y étaient célébrées par semaine. Quant au garçon tant attendu, il mourut à l'adolescence. Ce lieu de pèlerinage est toujours fréquenté comme en témoignent les plaques de remerciements et ex-voto accrochés dans le souterrain. Chaque année, durant un week-end de la mi-juillet, des messes et une procession sont organisées jusqu'à la grotte. Source : Site de Villers-au-Flos et CCSA

Rocquigny, petite commune du sud du département, est principalement connue pour son église. Classée Monument Historique, cette incroyable église de style Art déco a failli disparaître … Saviez-vous que sa destruction a été votée 2 fois ? Heureusement, elle a bénéficié d’une incroyable restauration. Vous serez émerveillé par les rosaces en dalle de verre, œuvre de Jean Gaudin. Son clocher blanc en dentelle de béton de 50m de haut domine la campagne avoisinante. Le village est également un arrêt obligé de nombreux pèlerins qui sillonnent la Via Francigena depuis Canterbury jusque Rome.

Le village de Rocquigny (274 habitants) est situé au sud du département du Pas-de-Calais (canton de Bapaume), à proximité immédiate d’une des importantes lignes de front de la Grande Guerre : la ligne Hindenburg. Ce qui explique que la quasi-totalité des villages de ce territoire ont été totalement détruits notamment lors des grandes offensives de 1917. C’est ainsi que le village s’est retrouvé au cœur du vaste dispositif de la Reconstruction mis en œuvre dans les années 1920 par le ministère de la Reconstruction et le diocèse d’Arras. La reconstruction de l’église de Rocquigny a été décidée lors du conseil municipal du 7 février 1924. À la suite d’un concours organisé dans le cadre de la société coopérative de reconstruction des églises du diocèse d’Arras, c’est le projet de Jean-Louis Sourdeau qui fut retenu par le Conseil municipal (mars 1924). Le projet se porte sur une reconstruction très différente qui se démarque des traditionnelles reconstructions mises en œuvre alors dans les régions touchées par la Grande guerre. Sourdeau met toute l’audace de son projet dans le clocher dont il dénude toute la structure en la réduisant à un simple jeu géométrique. Il joue dans cette partie de l’édifice avec l’implantation à 45° qui dynamise l’ensemble, un peu à la manière des peintres et architectes du constructivisme. Il tempère toutefois cet élan par l’emploi de la brique pour tout le socle que forment la nef et le chœur de l’église. L’église est construite entre 1929 et 1930 et présente un plan assez traditionnel centré avec un clocher particulièrement présent et élevé. L’intérieur reste simple avec quatre murs diaphragmes qui soutiennent le plafond en béton armé. Une tribune est installée à chaque angle de la nef. Source : " L’église Notre-Dame de Rocquigny (Pas-de-Calais) : restauration, reconstruction ou abandon ? " Jacques Philippon - Philippe Merlier - Lionel Dubois

Erigé au coeur du Bois Delville, rebaptisé Devil's wood (Bois du Diable), le mémorial sud-africain de Longueval retrace et commémore l'implication de l'Afrique du Sud durant les Première et la Seconde guerre mondiales, mais aussi pendant la Guerre de Corée. Cette particularité en fait un lieu unique.Initialement édifié en 1926, le mémorial fait face au cimetière militaire dans lequel reposent 5 523 soldats dont 3 593 restent anonymes. Ces soldats combattirent pendant 6 jours et 6 nuits dans des conditions inconcevables. Le bois fut également consacré lors de cette inauguration en 1926.Le 11 novembre 1986, le musée ouvre ses portes et permet aux visiteurs d'en apprendre plus sur l'implication de l'Afrique du Sud dans les conflits majeurs du siècle dernier.

Le Mémorial national néo-zélandais a été érigé à l'endroit fixé comme objectif final la New Zealand Division lors de la première bataille de la Somme, qui s'est déroulée du 1er juillet au 18 novembre 1916. Une commémoration a lieu chaque année à Longueval à la période de l'Anzac Day. Le cimetière de Caterpillar Valley et ses 125 tombes néo-zélandaises se trouvent à proximité. Le mémorial dédié aux 1 205 hommes de la New Zealand Division qui périrent dans les Batailles de la Somme en 1916 et dont les corps n'ont jamais été retrouvés se situe à l'intérieur du cimetière.

Les Bois Durieux sont des boisements légués au Département par l’ancien conseiller général Monsieur Durieux. Les plantations ont été réalisées durant l'hiver 99-2000 par le Ministère de l’Agriculture et financées par l’État et l’Europe. Il y a en tout trois bois Durieux sur la communauté du Sud-Artois représentant 70 hectares de boisement. Celui de Bertincourt couvre 30ha. On y trouve une grande biodiversité du fait de la mixité d'essences d'arbres présentes. Ces boisements ont ainsi un rôle écologique très important puisqu'ils permettent le développement et la diversification de la biodiversité. Les arbres jouent un rôle considérable dans la lutte contre l’érosion et le réchauffement climatique. On y retrouve des fruitiers sauvages (pommiers, poiriers, châtaigniers, alisiers), des bois nobles (chênes, hêtres, noyers hybrides), des arbres à croissance rapide (peupliers, aulnes, bouleaux, érables), ainsi que des haies permettant à diverses espèces de se déplacer. De plus, la mutation de l’espace agricole en milieu forestier est en cours. Elle se constate par l’installation d’espèces nouvelles : champignons, fougères, ronces, petits insectes, araignées, écureuils, mustélidés, geais, etc.

Une église aux vitraux remarquables, une momie, des chapelles, un patrimoine Art Déco et naturel attractif : le village de Croisilles a beaucoup d’atouts. Particulièrement investis, ses habitants créent actuellement une Maison des habitants pour accueillir au mieux les futurs visiteurs.

rend hommage aux hommes de Sheffield, morts lors de la bataille de la Somme le 1er juillet 1916 et préserve les traces des trous d’obus et de mines. 4 petits cimetières encerclent le parc.

Une cuisine traditionnelle et raffinée : Notre chef passionné met à l'honneur une cuisine française traditionnelle de saison, élaborée exclusivement à partir de produits frais et de circuits courts. Laissez-vous tenter par nos spécialités régionales revisitées, des plats mijotés aux saveurs franches et généreuses. Notre carte évolue régulièrement, garantissant une expérience culinaire toujours renouvelée. Nous proposons également un menu du jour attractif pour vos déjeuners d'affaires ou repas rapides de qualité. Cadre chaleureux et service attentionné : Poussez les portes d'un établissement à l'ambiance chaleureuse et conviviale. Le décor élégant et soigné du Gourmet offre un cadre parfait pour toutes les occasions : un dîner romantique, un repas de famille, ou une réception professionnelle. Notre équipe vous réserve un accueil personnalisé et un service discret, veillant à ce que votre moment de détente soit synonyme de plaisir absolu. Découvrez Le Gourmet, une adresse de choix au cœur de Bapaume, où la tradition culinaire est magnifiée par une touche de modernité. Que vous soyez de passage sur l'autoroute A1 (Lille-Paris) ou en visite dans l'Artois historique, notre restaurant est l'endroit idéal pour une pause gastronomique mémorable.

Le restaurant présente dans un cadre lumineux et spacieux l'univers de création de notre chef dont le talent s'affirme autant dans les recettes traditionnelles que dans la cuisine gastronomique

Une ambiance sereine dans un cadre reposant pour des mets d'une grande finesse : L'auberge saura vous accueillir et vous faire découvrir des plats riches en couleurs, aux parfums pleins de surprises. La cuisine de type gastronomique ne manquera pas de sé

lundi 07:30–14:00 18:00–21:30 mardi 06:30–14:00 18:00–21:30 mercredi 06:30–14:00 18:00–21:30 jeudi 06:30–14:00 18:00–21:30 vendredi 06:30–14:00 samedi Fermé dimanche Fermé

Le restaurant MicMac, situé à Monchy-le-Preux, vous offre des plats traditionnels. Le chef vous offre un souvenir de votre enfance avec les plats de nos grands-mères.

Au coeur de l'artois, à proximité des sources de l'Authie; venez partager les plaisirs d'autrefois dans un cadre chaleureux et original, où vous pourrez à la fois déguster nos plats typiques régionaux, découvrir le musée de la vie rurale et approcher les chevaux boulonnais, ânes et autres animaux de la ferme.

Face à la gare TGV ; situé à quelques pas des rues piétonnes et du centre historique ainsi que des places d'Arras

Idéalement situé au coeur des champs de bataille de la Première guerre mondiale à Bapaume, vous serez accueilli dans une ambiance moderne et chaleureuse par Johanne et Denis. Pour vos petites et grandes faims, le restaurant situé au rez de chaussée vous comblera.

Un accueil chaleureux vous attend dans cette maison de 1920, située à proximité des champs de bataille de la Somme. Vous découvrirez des sites historiques et apprécierez les charmes de la campagne.  Le domaine est situé à Le Sars, entre Bapaume et Albert et à proximité de la butte de Warlencourt-Eaucourt, haut lieu de la Pemière Guerre mondiale.

Bienvenue aux Chambres d'Hôtes et Gite, la Cense des 6 Sens. La ferme est située à Beugny, dans les Hauts-de-France, dans le sud du Pas-de-Calais. Reconstruite aprés la Première Guerre mondiale, elle dipose d'écuries dans lesquelles ont été aménagées 5 chambres de 2 à 3 personnes, avec douche et toilettes privatives. Une chambre  au rez-de-chaussée, est accessible aux personnes à mobilité réduite. Le lieu est rustique, calme et agréable.   Vous aurez tout loisir de profiter d'une grande salle de 120 m2, avec un coin cuisine pour vous détendre. L'habitation et les dépendances jouxtent un espace naturel de plus de 9 ha. Le charme de la campagne aux portes de la ville.

Situées au coeur des champs de bataille de la Première Guerre mondiale, les chambres d'hôtes "Silent Picket" vous promettent un séjour confortable et familial où John et Jennie vous partageront leur passion et leur connaissance inépuisable sur la Bataille de la Somme.

Notre maison d'hôtes le Rouet date de 1830 et a été rénovée pour proposer 3 studios de 1 à 2 personnes et une chambre individuelle. Elle dispose d'un espace restauration pour y prendre petit-déjeuner ou repas (formule snack ou table d'hôtes) Au coeur d'un village calme entre Bapaume et Peronne Vous avez accès au jardin pour boire un verre au soleil

Plongez dans l'histoire au cœur de La Nicolinière. Cette ancienne demeure, chargée d'histoire, vous propose un séjour authentique et ressourçant. Située à proximité des champs de bataille, elle est le point de départ idéal pour découvrir les mémoires de la Grande Guerre. Vous serez séduit par le charme de cette maison et la tranquillité des lieux. La Nicolinière, une invitation au calme et à l'authenticité.

Ne cherchez pas le château, il a disparu. Mais l'église voisine, avec ses jolies tourelles, donne aux lieux ce petit air d'ailleurs et de vacances qu'on cherche lors d'une escapade. L'ancienne étable du domaine a été transformée en un espace de bien-être avec jacuzzi et hammam. Les quatre chambres aux thèmes chic, voyage, industriel et romantique, complètent cette parenthèse de bien-être à la campagne. Ancien estaminet de 1925 transformé en chambres d'hôtes, la Ferme du Château vous promet un séjour reposant au coeur d'un petit village, niché en pleine campagne.