Moeuvres, Nord, Nord-Pas-de-Calais

Aux abords de la vallée de la Sensée, ce parcours vous fera traverser étangs, canaux et marais. Roulez le long des champs et traversez des villages pour une balade en toute tranquillité au fil de l’eau.

Commune prospère au XIXe siècle, Bourlon compte alors plusieurs usines et châteaux, mais paie un lourd tribut à la Grande Guerre – la Bataille de Cambrai en 1917, puis l’offensive alliée de 1918 – et est complètement détruite. 1 À Bourlon, passer devant le Monument aux Morts et descendre la rue de Sains. 2 Tourner à droite rue de Marquion et poursuivre sur le chemin de Marquion. 3 Tourner à droite par le chemin de Sains-les-Marquion à Cambrai, passer sous le pont de l’ancienne voie de chemin de fer, jusque la croix Jean Coutant, traverser le chemin de Sauchy-Lestrée, puis la D16E, continuer jusqu’au Marais du Rieux. 4 Tourner à droite et suivre le chemin de Cambrai. 5 Prendre à gauche et longer l’ancienne voie de chemin de fer, puis obliquer à droite et poursuivre jusqu’au château d’eau de Fontaine-Notre-Dame. 6 Prendre à droite en direction du bois de Bourlon, traverser le bois (propriété privée, veuillez rester sur les chemins). 7 Tourner à gauche vers le cimetière du Commonwealth (Bourlon Wood Cemetery). 8 Suivre le chemin à gauche du cimetière et rejoindre le Monument du Maquis puis le Mémorial canadien. 9 Descendre l’avenue du Bois. 10 Prendre la 2ème rue à droite, puis à gauche la rue de l’église et rejoindre l’église puis la mairie.

L'offensive des 100 jours (août-novembre 1918). A partir d'août 1918, les alliés volent de victoire en victoire vers l'armistice : c'est l'offensive des 100 jours. Pour certains soldats britanniques, c'est un retour vers Mons, là-même où avait commencé pour eux la guerre.

Foulez la terre de Baralle, l’une des plus anciennes du Cambrésis, et découvrez après Buissy et par temps clair, les terrils du bassin minier. 1 À Baralle, prendre la direction de Marquion par la Grand’Rue. 2 Au premier carrefour, délaisser le chemin départemental ; tourner à droite en direction du marais. Traverser une zone marécageuse, bordée sur la gauche par une rivière. Suivre le chemin qui longe le marais, par le sud. 3 Tourner à droite et suivre un chemin jusqu’à un calvaire. 4 Prendre à droite et, au carrefour suivant, continuer tout droit en direction de Buissy ; traverser le village. 5 Tourner à droite, passer devant le calvaire, puis encore à droite, passer devant le château d’eau ; obliquer à gauche. Longer la propriété de l’ancienne abbaye jusqu’en haut d’une côte (on peut apercevoir les terrils du bassin minier par temps clair). 6 Tourner à droite, contourner toujours le clos de l’abbaye et rejoindre la place.

Cotoyez marais et étangs, ruisseaux et canal pour rentrer dans la légende et l’histoire locales. 1 À Baralle, prendre la direction de Marquion par la Grand’Rue. 2 Au premier carrefour, délaisser le chemin départemental ; tourner à droite en direction du marais. Traverser une zone marécageuse, bordée sur la gauche par une rivière. Suivre le chemin qui longe le marais, par le sud. 3 Tourner à droite et suivre un chemin jusqu’à un calvaire. 4 Prendre à gauche en direction du Canal du Nord. 5 Suivre le chemin de contre-halage du canal jusqu’au pont de Sains-lès-Marquion. 6 Rejoindre la D16, franchir le pont du canal, poursuivre à gauche sur la rive opposée, jusqu’à Marquion. 7 Emprunter sur la gauche la D939 sur 200 mètres. Après le pont du ruisseau, tourner à gauche et rejoindre le point de départ à Baralle.

Circuit ne présentant aucune difficulté à l’intérêt historique évident. Toutefois il est prudent de ne pas pratiquer ce circuit en période de chasse (calendrier disponible auprès de la mairie). Le parcours s’effectue sur des zones dénudées, sans couvert végétal : s’équiper en conséquence (coupe-vent, couvre-chef...) Balisage jaune

Ce sentier très bucolique vous baladera le long des berges du Canal du Nord, où vous pourrez profiter de la faune et de la flore. Qui peut se douter que ces lieux aujourd'hui si calmes, rythmés par le lent et tranquille cheminement des péniches au fil de l'eau, ont été jadis le théâtre de terribles combats. Entre nature, histoire et technique hydraulique, laissez- vous conter Havrincourt ...

Ce petit parcours vous emmène à la découverte du village d'Havrincourt, de son église, de son château et de son Mémorial britannique. A la sortie du village, apparaissent de superbes paysages de plaine où l'horizon finit par se confondre avec le ciel. Alors, comme un écolier insouciant faisant l'école buissonnière, laissez votre flânerie vous guider hors des sentiers battus.

Ce sentier vous emmène à la découverte de paysages variés, du centre du village d'Hermies, aux berges du Canal du Nord, en passant par la plaine cultivée, et le bois d'Havrincourt. Aujourd'hui les bannis et les processions ont déserté ces chemins mais parfois le murmure du vent semble encore porter les bruits de ces cortèges... Le nom de ce chemin rappelle qu'il y a quelques siècles les lépreux étaient « bannis », « mis au ban » de la société. Ils cheminaient sur des sentiers à l'extérieur des villages, pour éviter de propager la maladie. Les lépreux se regroupaient dans les maladreries comme celles d'Havrincourt, de Neuville, de Ruyaulcourt, de Bourlon ou de Graincourt. Ils ne pouvaient déambuler en ville sans autorisation. Ils devaient alors signaler leur présence par un bruit de crécelle.

Cette promenade vous emmène à la découverte des terres du sud de l'Artois, la plaine s'étend à perte de vue, parsemée de-ci de-là de quelques îlots d'habitations ou d’espaces boisés. Les champs cultivés témoignent de la vocation agricole de ce sol très fertile : endives, betteraves, maïs, blé, légumes, plantes fourragères.... Les Huguenots, protestants français, persécutés, fuyant vers des contrées plus tolérantes ont emprunté cette terre de passage et ont laissé leur nom à l'un de ces chemins, que vous allez parcourir. Le sentier des Huguenots a probablement été l'un des chemins empruntés par les Huguenots fuyant la France pour les Provinces Unies. Le terme Huguenot est l'ancienne appellation donnée pendant les guerres de religion aux protestants français d'obédience calviniste par opposition aux protestants d'obédience luthérienne. On parla ensuite de Religion Réformée. Le plus célèbre des huguenots est certainement Henri de Navarre futur Henri IV. Il a été forcé d'abjurer pour sauver sa vie lors du massacre de la Saint-Barthélemy (24 août 1572), et prétendre à la couronne de France en 1593 (« Paris vaut bien une messe ! »). Pendant son règne, il restaura la paix civile en France en signant l'édit de Nantes (13 avril 1598) et en donnant certaines places fortes aux protestants. En 1685, à l'occasion de la révocation de l'édit de Nantes par Louis XIV un très grand nombre de Huguenots français fuirent pour les Provinces Unies des Pays-Bas, la Suisse et la Prusse. Ceux qui restèrent en France furent persécutés jusqu'au milieu du XVIIIe siècle.

La lutte de la Première Guerre mondiale pour le terrain stratégique de Delville Wood, situé au cœur des champs de bataille de la Somme, a eu lieu entre le Commonwealth et les soldats allemands en juillet et septembre 1916. Pendant ce temps, un certain nombre de batailles féroces ont été livrées et même si les troupes du Commonwealth ont finalement gagné, il y a eu d'énormes pertes en vies humaines des deux côtés. Delville Wood Cemetery à Longueval commémore l'héroïsme de 5523 morts du Commonwealth, gisant en paix dans un mémorial conçu par l'architecte britannique Sir Herbert Baker juste après la guerre, avec un arc d'entrée surmonté d'une sculpture équestre en bronze d'Alfred Turner. Un pourcentage énorme des tombes du bois de Delville ne sont pas marquées car de nombreux morts y ont été enterrés après l'armistice de 1918.Juste de l'autre côté de la route se trouve le mémorial national de l'Afrique du Sud (Delville Wood), également construit par Sir Herbert Baker et en l'honneur des militaires sud-africains tués pendant la Première Guerre mondiale. Delville Wood comptait environ 10000 et leurs noms sont inscrits dans un livre commémoratif du Delville Wood Museum de forme hexagonale, construit pour saluer toutes les troupes sud-africaines décédées au combat à travers le monde.

Le musée de la carrière Wellington (Carrière Wellington) a ouvert en mars 2008 à Arras dans le nord de la France, à l'intérieur d'une carrière utilisée pendant la Première Guerre mondiale.Il commémore ceux qui ont construit les tunnels et, par la suite, ont combattu lors de la bataille d'Arras pendant la Première Guerre mondiale. Les tunnels d'Arras formaient un réseau complexe qui allait du centre-ville aux lignes de front allemandes et abritait plus de 20 000 soldats de l'Empire britannique et du Commonwealth. En fait, ce sont les soldats néo-zélandais qui ont donné à la carrière le nom de la ville du même nom dans leur pays d'origine.Bien qu'utilisés comme abris aériens pendant la Seconde Guerre mondiale, les tunnels sont restés essentiellement oubliés jusqu'à leur redécouverte en 1990. 350 mètres de galeries de la carrière, situés à environ 22 mètres sous terre, sont aujourd'hui accessibles. Le musée présente des artefacts historiques pour aider les visiteurs à comprendre le contexte de la bataille d'Arras, notamment pourquoi la stratégie militaire était si remarquable à l'époque et à quoi ressemblait la vie des soldats clandestins.

Inscription: Les participants peuvent s'inscrire en ligne pour 3€ sur le site www.arrasenlumieres.fr avant l'événement. Sur place, l'inscription coûtera 4€. But: Cet événement est organisé au profit de l'association "Les Clowns de l'Espoir", grâce à la collaboration de 5 associations de randonnée pédestre de l'Arrageois. Parcours: De 14h à 16h, les participants pourront choisir entre deux parcours, l'un de 6 km et l'autre de 10 km. Les départs sont libres. Contact : secretaire@arrasenlumieres.fr et Tél. 06 49 98 88 00 Collation: Une collation sera offerte de 16h à 19h pour les marcheurs. En résumé, la 7ème Ballade d'Arras en Lumière est une opportunité conviviale de marcher pour une cause, de profiter de la beauté d'Arras en décembre et de partager une collation, le tout au profit de l'association "Les Clowns de l'Espoir".

Au cœur des champs de bataille de la Somme de la Première Guerre mondiale se dresse le Château de Péronne, un château qui abrite aujourd'hui le Musée de la Grande Guerre, souvent appelé Historial de la Grande Guerre. Les expositions se concentrent uniquement sur la Première Guerre mondiale, ses origines, ses répercussions et ses conclusions, des premières années à la mortelle finale, replaçant la guerre dans un contexte social et soulignant la souffrance commune des combattants. Il présente également la guerre d'un point de vue civil, également mobilisé par l'effort de guerre dans cette région touchée. Le musée présente deux expositions permanentes; le premier, «Prisonniers de guerre», traite de tous les aspects de la captivité et présente la dure réalité de 500 000 Français, 160 000 Britanniques et 85 000 Allemands prisonniers de guerre. La deuxième exposition, «Les enfants pendant la Première Guerre mondiale», met en lumière la manière dont les enfants étaient soumis à la propagande et la propagande, comment les manuels scolaires s'attardaient au devoir patriotique pour inspirer les futurs soldats et infirmières, par exemple. L'Historial, qui a été imaginé dans le cadre du 70e anniversaire de la bataille de la Somme et a ouvert ses portes en 1992, conserve une collection de plus de 70 000 objets civils et militaires. La muséographie et l'architecture intérieure illustrent à la fois ce qu'était la vie des soldats au front et à la maison.

Pozières est un petit village de la France rurale qui a été le théâtre d'un affrontement de deux semaines pendant les batailles de la Somme de la Première Guerre mondiale.C'est là que, entre mars et avril 1918, la cinquième armée allemande a été chassée plus loin dans les champs de Somme par un très grand nombre de corps britanniques qui avaient pour mission de compromettre le bastion allemand voisin de Thiepval. Bien qu'elle ait impliqué techniquement l'Empire britannique, Pozières est vraiment une bataille australienne - car elle impliquait plus de 23000 corps et que le drapeau australien flotte au-dessus de plusieurs bâtiments en reconnaissance du sacrifice des ANZAC - même si le cimetière ne porte aucun nom australien. ; au lieu de cela, les soldats australiens tombés en France et dont les tombes ne sont pas connues sont commémorés au Mémorial national de Villers-Bretonneux.Il y a 2 758 militaires du Commonwealth enterrés ou commémorés au cimetière de Pozières. En tant que tel, le mémorial et le cimetière comprennent un magnifique bâtiment d'entrée avec des allées ouvertes à colonnade, laissant la place aux vestiges d'un blockhaus nommé "Gibraltar" qui était un point d'observation de trois mètres de haut. Il contient également le Tank Memorial, avec quatre modèles réduits de chars utilisés par les Britanniques entre 1916 et 1918 - la première armée à utiliser des chars.

Parmi les amateurs d'histoire, la ville historique française de Vimy, située juste au sud-ouest de Lille, est une destination d'excursion d'une journée populaire au départ de Paris. Ce site de bataille de la Première Guerre mondiale et son Mémorial national du Canada à Vimy rendent hommage aux plus de 10 000 soldats canadiens qui ont été tués et blessés lors de la bataille de la crête de Vimy en 1917.

Aussi connue sous le nom de Helen's Tower, l'Ulster Tower est un mémorial dédié aux Irlandais qui ont perdu la vie sur les champs de bataille de la Somme en France pendant la Première Guerre mondiale.Construite en 1921 grâce à des fonds collectés par souscription publique, l'Ulster Tower est une réplique exacte du célèbre Mémorial en pierre blanchi à la chaux de 21 mètres de haut sur le terrain d'entraînement de la 36e division à Belfast, où de nombreux soldats de la division d'Ulster se sont entraînés avant de se rendre en France afin d'attaquer un point fort allemand nommé Schwaben Redoubt, un peu plus au nord -à l'est de la tour de l'Ulster. Le site de la bataille était un triangle de tranchées de 500 à 600 mètres (460 à 550 mètres) de long et 200 mètres (180 mètres) de large; les hommes d'Ulster ont capturé la redoute le 1er juillet 1916, faisant environ 5 000 victimes.Conçu dans un style néo-gothique, le site commémoratif comporte une plaque commémorant les noms des hommes qui ont remporté la Croix de Victoria lors des batailles de la Somme. La tour d'Ulster contient une petite salle commémorative, avec des plaques commémoratives des régiments et des autorités publiques d'Irlande du Nord, ainsi qu'un livre du souvenir que les visiteurs doivent signer. Un centre d'accueil a ouvert à côté de la tour dans les années 1990, fournissant des informations perspicaces et contextuelles aux passionnés de la Première Guerre mondiale. L'inscription sur le mémorial se lit comme suit: "Ce mémorial est dédié aux hommes et aux femmes de l'Orange Institution Worldwide, qui à l'appel du roi et de la patrie, ont laissé tout ce qui leur était cher, ont enduré la dureté, ont affronté le danger et ont finalement disparu de la vue de l'homme par le chemin du devoir et du sacrifice de soi, abandonnant leur propre vie pour que d'autres puissent vivre en liberté. Que ceux qui viennent après veillent à ce que leurs noms ne soient pas oubliés. "

Ce site commémoratif commémore les 72 195 hommes britanniques et sud-africains «disparus au combat» qui sont morts dans la bataille de la Somme pendant la Première Guerre mondiale sans aucune tombe connue. Conçu par Sir Edwin Lutyens et construit entre 1928 et 1932, le site est toujours le plus grand mémorial de bataille britannique au monde. Thiepval sert également de mémorial de bataille anglo-français pour commémorer la nature conjointe de l'offensive de 1916; en effet, 13 divisions des forces du Commonwealth lancent une offensive sur une ligne du nord de Gommecourt contre l'armée allemande, appuyée par une attaque française au sud - une offensive qui dure plusieurs mois dans des conditions météorologiques de plus en plus difficiles.Les détails architecturaux du mémorial lui-même sont assez complexes; en forme d'arc commémoratif, Thiepval mesure 140 pieds de haut et comprend des arcs imbriqués de quatre tailles., tandis que les piliers de pierre portent les noms des hommes qui ont été perdus dans les batailles de la Somme. Plusieurs corps ont été découverts sur le champ de bataille et identifiés au fil des années depuis l'inauguration; ils ont ensuite été transférés dans un autre mémorial après avoir reçu des funérailles militaires complètes, le mémorial de Thiepval étant uniquement dédié aux soldats disparus ou non identifiés.

Souvent surnommé le Glory Crater, le cratère Lochnagar de 80 mètres de large et 30 mètres de profondeur a été créé par une détonation de mine exécutée par la 179th Tunneling Company Royal Engineers le premier jour de la désormais tristement célèbre bataille de la Somme à 7 h 28 précisément. am La mine elle-même se composait de 27 tonnes d'explosifs et a été placée par des mineurs gallois dans un tunnel secret entre les fronts anglais / français et allemand à La Boisselle. Les hommes devaient travailler de manière discrète mais très efficace, en utilisant des baïonnettes à poignées épissées pour le silence et en travaillant pieds nus sur un sol recouvert de sacs de sable. Le butin était passé main par main dans des sacs de sable et stocké le long du tunnel. Il serait éventuellement utilisé pour tasser la charge pendant la détonation. Les hommes ont creusé le passage à une vitesse d'environ 46 centimètres par jour, atteignant finalement 1017 pieds (310 mètres) de long, 2,5 pieds (0,75 mètre) de large et 4,5 pieds (1,4 mètre) de haut - à l'insu des troupes allemandes.Le cratère a été préservé en tant que mémorial depuis la fin de la guerre, avec un service spécial organisé à 7h28 le premier de chaque juillet, le coup d'envoi des commémorations annuelles de la bataille de la Somme. Les visiteurs doivent savoir que le cratère de Lochnagar est le seul cratère de l'époque de la guerre qui reste ouvert au public et que le cratère a été nommé d'après la rue Lochnagar, la tranchée d'où la galerie était à l'origine chassée.

Le mémorial terre-neuvien de Beaumont-Hamel a ouvert ses portes en juin 1925 en hommage aux membres du Royal Newfoundland Regiment qui ont servi aux côtés de l'armée britannique pendant la Première Guerre mondiale. C'est l'un des deux seuls sites historiques canadiens qui existent à l'extérieur du Canada (l'autre est en France , aussi).Les visiteurs entrent dans le mémorial par la porte principale et sont immédiatement accueillis par une grande pierre de dédicace avec une statue en bronze moulé et une citation gravée de John Oxenham. Le sombre rappel donne le ton à ce que beaucoup décrivent comme une expérience vraiment unique. Une grande pierre triangulaire rappelant l'insigne de la 29e Division reconnaît les hommes qui ont perdu la vie aux mains des Allemands et cinq statues de caribou marquent une place importante dans la bataille ou servent d'hommage aux soldats tombés au combat. Le parc commémoratif abrite également trois cimetières: Hawthorn Ridge, Hunter's et Y Ravine.

Le bilan humain de la bataille de Cambrai, au cours de laquelle plusieurs villages ont été détruits, s’avère effroyable : 45 000 victimes dans les rangs britanniques et autant dans les rangs Allemands. Parmi ces derniers, le poète Ewart Alan Mackintosh qui repose à l’Orival Wood Cemetery, du nom d’un bois voisin. Il écrit son célèbre poème « In Memoriam » en 1916 alors que, lieutenant au Seaforth Highlanders, il doit abandonner dans les lignes allemandes un de ses hommes blessé au cours d’un raid près d’Arras. Mackintosh tombe à 23 ans à Cantaing-sur-Escaut, le 21 novembre 1917, au deuxième jour de la bataille

Le Cambrai Tank 1917 renferme le célèbre tank "Deborah 51", l'un des 476 chars engagés lors de la Bataille de Cambrai.

Le Centre d'Interprétation Cambrai Tank 1917 est implanté à Flesquières, au cœur même des champs de bataille, là où le tank Deborah fut neutralisé par un canon allemand. Quatre de ses membres d'équipage reposent au Flesquières Hill British Cemetery, adossé au centre. En pénétrant dans la salle d'état-major, vous êtes au cœur de la bataille : photographies d'époque et cartes animées déclinent les différentes phases de l'offensive. Cette introduction vous donne les clés pour vous ramener en novembre 1917. Continuant votre immersion, à six mètres de profondeur, vous ferez connaissance avec DEBORAH, de sa carcasse à une visite virtuelle. Sur le béton laissé brut, telles les parois d'un blockhaus de la ligne Hindenburg, des objets ayant appartenu aux combattants font écho aux participants : tankistes, artilleurs, aviateurs, ingénieurs ou infirmiers, impliqué dans les combats. En fin de parcours, dans l'auditorium, un film de vingt minutes vous convie à poursuivre ce voyage au cœur de l'histoire, à travers le territoire du Cambrésis.

A Flesquières, le 20 novembre 1917 à 6h20, 476 chars britanniques se lancent à l’assaut de la ligne Hindenburg. Cette offensive, marquant le début de la bataille de Cambrai, a pour but de percer la ligne Hindenburg, réputée imprenable.Plus de 900 victimes de la guerre 1914-18 sont commémorées sur le site. Parmi eux, plus du tiers sont des soldats inconnus. Des monuments sont dédiés à cinq officiers et soldats du Royaume Uni et à deux néo-zélandais, connus ou supposés être enterrés parmi eux.  Situé à côté du Cambrai Tank 1917, dont la pièce centrale est Deborah char britannique de l’offensive, quatre de ses huit membres d’équipages y reposent en paix : George Foot, William Galway, Joseph Cheverton and Frederick William Tipping.

Le château, au centre du village, est une propriété privée appartenant depuis plus de 350 ans à la famille de Cardevacque d'Havrincourt dont la devise est « Mieux mourir que me ternir ». Il a été édifié vers 1880, à la place d'un ancien château brûlé durant la Révolution. Il a servi de siège d'état-major vers 1916, lors de l'occupation allemande. Malheureusement, se trouvant sur la ligne Hindenburg, il a été miné par les Allemands en 1917. La première pierre du château actuel fut posée le 23 juin 1928 ; il est une réplique du château poitevin de Saint Loup sur Thouet.

Ce monument est dédié à toutes les nations impliquées dans la Bataille de Cambrai. Le sol est pavé des contours du drapeau Britannique, l’Union Jack, où chacune de ses branches pointe vers les lieux stratégiques du champ de bataille.   Au centre, sont incrustés dans le sol en béton, les chenilles d’un char se dirigeant vers Cambrai ainsi que les pas des soldats. Ces cicatrices symbolisent la ligne Hindenburg, réputée imprenable, mais cependant franchie par les chars.  

A 20 minutes à l’est d’Arras, Saudemont est réputé pour sa nature au bord de l’eau et pour ses anges éponymes. Les “Anges de Saudemont”, des sculptures en bois polychromes du Moyen Âge, sont aujourd’hui conservés au Musée des Beaux-Arts d’Arras. Dans la chapelle du Christ, qui les abritaient, des copies ont été placées. Outre cette histoire, Saudemont abrite la seule église du territoire dont le clocher de type clunisien (XIIème siècle) a résisté aux affres de la Première Guerre mondiale. Il est classé aux Monuments Historiques depuis 1928.

Les Bois Durieux sont des boisements légués au Département par l’ancien conseiller général Monsieur Durieux. Les plantations ont été réalisées durant l'hiver 99-2000 par le Ministère de l’Agriculture et financées par l’État et l’Europe. Il y a en tout trois bois Durieux sur la communauté du Sud-Artois représentant 70 hectares de boisement. Celui de Bertincourt couvre 30ha. On y trouve une grande biodiversité du fait de la mixité d'essences d'arbres présentes. Ces boisements ont ainsi un rôle écologique très important puisqu'ils permettent le développement et la diversification de la biodiversité. Les arbres jouent un rôle considérable dans la lutte contre l’érosion et le réchauffement climatique. On y retrouve des fruitiers sauvages (pommiers, poiriers, châtaigniers, alisiers), des bois nobles (chênes, hêtres, noyers hybrides), des arbres à croissance rapide (peupliers, aulnes, bouleaux, érables), ainsi que des haies permettant à diverses espèces de se déplacer. De plus, la mutation de l’espace agricole en milieu forestier est en cours. Elle se constate par l’installation d’espèces nouvelles : champignons, fougères, ronces, petits insectes, araignées, écureuils, mustélidés, geais, etc.

L'eau est au cœur de Écourt-Saint-Quentin. La commune est littéralement cernée par les marais de Saudemont, du Becquerel, et du Grand Clair. Des circuits de randonnée pédestre et des sentiers vélo invitent les amoureux de la nature à un dépaysement ! Êtes-vous prêts à une déconnexion totale ? Le Patrimoine conserve les traces du riche passé d'Écourt comme ses belles fermes à porche et certaines curiosités comme la tombe mérovingienne exposée dans l'église fraîchement rénovée.

LE RILEY est un concept de steakhouse autour du vin et de la cuisson de la viande à la braise. Une belle aventure gustative qui allie respect de la bonne viande, finesse de la sélection des vins, l'exigence du service,la joie de vivre. (Cave de quelques 1000 bouteilles). Possibilité de réserver pour déjeuner ou diner en groupe. Salles climatisées, terrasse et parking gratuit. Parking autocars. Proximité sortie 14, autoroute A2 et sortie 8, autoroute A26.

Réservations groupes, goûter anniversaires enfants, location de salle.

Buffet, grillades, japonais et wok à volonté

Cuisine créative et inventive tout en passant également par la tradition, dans un cadre historique mêlant l'ancien et le moderne.Toute la cuisine est faite maison Une jolie carte de vins et de spiritueux, des suggestions et de temps à autre des viandes d'exceptions. Restaurant conçu dans une ancienne usine de production d'électricité pour les tramways de Cambrai. Mais aussi à proximité du port de Cantimpré.

Restaurant marocain.

Spécialités du terroir.

Évadez-vous dans un cadre bucolique et enchanteur à La Fontaine d'Inville. Cette demeure de charme vous accueille dans une atmosphère chaleureuse et authentique. Profitez de chambres personnalisées, d'un jardin paisible et d'une cuisine savoureuse.

Ne cherchez pas le château, il a disparu. Mais l'église voisine, avec ses jolies tourelles, donne aux lieux ce petit air d'ailleurs et de vacances qu'on cherche lors d'une escapade. L'ancienne étable du domaine a été transformée en un espace de bien-être avec jacuzzi et hammam. Les quatre chambres aux thèmes chic, voyage, industriel et romantique, complètent cette parenthèse de bien-être à la campagne. Ancien estaminet de 1925 transformé en chambres d'hôtes, la Ferme du Château vous promet un séjour reposant au coeur d'un petit village, niché en pleine campagne.

à deux pas de Cambrai, facile d’accès depuis les autoroutes A1, Paris-Lille, et A26, Troyes-Calais, cet hôtel de Cambrai, pratique et chaleureux, vous permettra de profiter pleinement de la ville des Bêtises et du Nord.

Terrain familiale à la campagne et verdoyant NOMBRE D'EMPLACEMENTS : 40

Notre gîte se situe dans un bâtiment annexe à quelques mètres de la maison, avec chauffage électrique et WI-FI. Chaque chambre a sa salle de bain et son WC, ainsi qu'un lit électrique en 1,80 m que l'on peut séparer en 2 lits de 0,90 m. Chaque chambre a son poste de TV, 2 fauteuils, 1 bureau avec 1 lampe, 2 tables de chevet, 2 lampes de chevet, 1 coiffeuse avec rangements, 1 petite penderie. Chaque salle de bain a sa douche, son lavabo, son miroir, son porte serviettes, son radiateur porte serviettes, La n°4 est équipée en plus d' 1 table pour poser le nécessaire de toilette, d'1 coffre, d'1 étagère avec des patères, d'un sèche cheveux. La n° 8 est équipée en plus d'un meuble de rangement, de patères, d'un tabouret, d'1 petit meuble pour ranger le papier toilette, d'1 sèche cheveux. La n°4 a son WC séparé avec 1 lave mains, un porte serviettes, 1 tablette, 1 glace. La n°8 a son WC dans la salle de bain derrière une cloison. Nous avons 2 cuisines l'une au rez de chaussé, l'autre à l'étage. Elles sont équipées d'1 réfri/congél, TV, micro ondes, aspirateur, bouilloire, cafetière, four, plaque de cuisson, grill pain ainsi que le nécessaire pour cuisiner et pour manger. Dans le grande cuisine 1 lave vaisselle et un lave linge en plus.

DESCRIPTIF DE LA CHAMBRE D'HÔTES N° 4 et 8 avec WI-FI Ces chambres (que nous pouvons adapter en gîte avec cuisines équipées)se situent dans un bâtiment annexe, a quelques mètres de la maison. Chaque chambre a sa salle de bain et son WC, ainsi qu'un lit électrique en 1,80 m que l'on peut séparer en 2 lits indépendants de 0,90 m. Les petits déjeuner sont servis dans ce même bâtiment ou dans l'habitation principale selon notre disponibilité, entre 7 h et 10 h. Vous n'aurez pas de problèmes de parking, la cour est suffisamment grande pour accueillir 7 véhicules.

DESCRIPTIF DE LA CHAMBRE D' HÔTES : avec WI-FI La chambre se trouve dans notre habitation, au 1er étage, accès directe par le couloir ou par la partie privative, selon le moment de la journée. Elle se compose d'une grande chambre avec un lit de 2 personnes en 1,40 m et d'une petite chambre avec un lit d'1 personne en 0,80 m. La salle de bain et le WC se trouvent sur le même palier 2 tables de nuit ainsi que 2 lampes de chevet, une coiffeuse,2 chaises, 1 armoire meublent cette chambre. La petite chambre attenante est équipée d'un fauteuil, d'1 poste TV, d'une ancienne machine à coudre (déco), d'une lampe de chevet posée sur une étagère d'angle. Vous n'aurez pas de problèmes de parking, la cour peut accueillir 7 véhicules. Le petit déjeuner est servi entre 7 h et 10 h.)

À la campagne, au cœur d'un petit village fleuri, cette maison pleine de charme abrite 3 chambres soigneusement décorées (non fumeur) avec sanitaires privés et TV. Wifi gratuit. Petit déjeuner gourmand : jus de fruits, croissants, confiture maison, yaourts. Parking dans cour fermée. Vous pourrez vous promener dans le très beau jardin fleuri, né de la passion des propriétaires, et ensuite profiter du calme des lieux, assis sur le banc au bord du miroir d'eau.