Alerte

Alertes

À voir autour
Voir plus
Ouvrir
Fermer
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter

Oups... Il semblerait que Cirkwi n'ait pas l'autorisation d'utiliser votre position.

Présentation
Description
Carte
Points d'intérêt
Notes et avis
À voir autour

Circuit vélo - le pindu

Circuit vélo - le pindu
Circuit vélo - le pindu
Circuit vélo - le pindu
Circuit vélo - le pindu
Circuit vélo - le pindu
Circuit vélo - le pindu
Circuit vélo - le pindu
Circuit vélo - le pindu
Crédit : Ville de Braine-le-Comte

Description

Ce circuit vous emmène sur les traces du passé. Il démarre à l'avenue du Marouset, vous fait emprunter l'ancienne voie du tram jusqu'à l'arrêt Planois puis vous emmène à travers le bois pour rejoindre Fauquez et la chapelle de verre. Vous redesecendrez ensuite vers Ronquières avec son célèbre Plan incliné, son moulin, son église St Géry et son Ravel 106 qui vous conduira jusqu'Ecaussinnes et son moulin de Combreuil. Puis, vous remonterez vers Henripont avec sa Chapelle à Notre-Dame de Grâce et son église Saint Nicolas. Vous reprendrez la route pour faire la connaissance du Bonhomme de fer et après un dernier petit crochet sur Ecaussinnes et la Chapelle des 7 douleurs, vous reviendrez au point de départ par des chemins bucoliques.

Informations techniques

VTC
Difficulté
Difficile
Durée
2h30mn (1j)
Dist.
26 km
Afficher plus d'informations

Profil altimétrique

Point de départ

62 Chemin de Feluy , 7090   Braine-le-Comte
Lat : 50.6064Lng : 4.14392

Points d'intérêt

image du object

Moulin de Combreuil

Il existe depuis 1544 et est un des moulins les mieux conservés du Hainaut. On peut toujours voir, pratiquement en état de fonctionnement, un remarquable bief destiné à l'alimentation spécifique du moulin. Au 19ème siècle, une roue par-dessus en métal y fut installée. Le dispositif est toujours présent. Le moulin de Combreuil, ancien moulin de la Seigneurie d'Henripont, se situe sur le cours de la Sennette, à la hauteur du village d'Henripont. Un bief ou dérivation, se greffant sur la rivière à plusieurs centaines de mètres en amont du moulin, permet d'acheminer vers la roue de ce dernier une eau abondante et placée à une hauteur telle que la mise en action du moulin se trouve garantie de manière durable. Il se compose de plusieurs bâtiments qui lui donnent l'aspect d'une exploitation agricole : - Une grange - Des écuries - La cour est établie en bordure du bief d'alimentation et se trouve d'ailleurs en contrebas par rapport au niveau atteint par l'eau lorsque le bief est en fonction. - Le corps de logis est établi parallèlement au bief, sur le côté opposé de la cour. Construit sur un plan rectangulaire, le moulin est établi perpendicullairement par rapport au canal d'alimentation. C'est au pignon de cette construction que s'attache la roue à aubes et que l'on remarque l'ouverture destinée à une seconde roue qui se trouvait autrefois placée en aval de la première. Des assises de pierres calcaires forment la base du pignon du moulin. Une annexe est construite contre le moulin, du côté tourné vers l'aval. Le 27 avril 1990, le moulin fut classé comme monument (y compris la roue à eau et ses aménagements techniques) et ses environs comme site rural. Il tire son intérêt de la qualité de son implantation paysagère, du bon état de conservation de ses équipements techniques et de l'authenticité de son architecture largement marquée par le 19ème siècle. molenechos.org Gérard Bavay Brochure "Journées du Patrimoine 2000" - Moulins à eau de Braine-le-Comte (ville et villages) - Patrimoine ... au fil de l'eau

7 Rue de Combreuil 7190 Écaussinnes
- Office du Tourisme de Braine-le-Comte -
Consulter
image du object

Chapelle Notre-Dame de Grâce

Implantée au sommet d'une butte en forme de vaisseau solaire. Chacun s'accorde pour reconnaître l'ancienneté du site. Ce n'est pas un hasard car elle marque le sud par rapport à la Table de Pierre du Pindu. Une prolongation supplémentaire nous conduit à la Pierre qui tourne de Sautin. Les archives de la seigneurie du lieu en parlent en 1393, et on la mentionne sur des plans de 1690, 1691 et 1693, publiés dans l'Histoire Militaire des Flandres par Baurain. C'était à cette époque, un modeste lieu de prière, fort fréquenté. Elle était construite en pierre grisâtre, et la niche, tournée vers le midi, était fermée par un grillage en fer. Elle se trouvait au côté sud du sanctuaire actuel, et ombragée par un chêne. Il est mentionné que des soldats autrichiens renversèrent sa partie supérieure, vers la fin du 17ème siècle. Or, à ce moment, Charles de la Hamaide, seigneur d'Henripont, souffrait d'une inflammation de poitrine, qui était rebelle à tous les soins. Il eut recours à Marie et fut guéri. Par reconnaissance, le châtelain pieux voulut qu'un édifice plus digne de Notre-Dame de Grâce remplace l'ancien oratoire détruit. La construction de la chapelle actuelle fut terminée en 1701, comme le mentionne l'inscription gravée sur la pierre, au-dessus de la porte d'entrée. En 1773, elle fut à nouveau restaurée par le curé Du Fayt, secondé par le chevalier Brouwet, Seigneur d'Henripont. Le 1er juillet 1773, Mgr de Choiseul-Stanville, Archevêque de Cambrai, fit bénir cette chapelle. Le Saint Sacrifice y était pratiqué plusieurs fois par semaine. En 1785, tous les offices y eurent lieu, en raison de la reconstruction de l'église paroissiale. Pendant la Révolution françasie, l'Oratoire fut fermé, mais le culte de Notre-Dame de Grâce se réveilla par de nombreux pèlerinages dès 1880. En 1849, la partie inférieure de l'antique statue de la Vierge a dû être remplacéee pour cause de vétusté. Ce fut M. Steen, curé de Virginal qui emporta l'image chez lui, en vue de la restauration. Disons immédiatement que cette image de Notre-Dame de Grâce est d'un travail remarquable. Elle mesure 45cm de hauteur. La Vierge drapée d'un long manteau, porte l'Enfant-Jésus sur le bras gauche, et tient, de la main droite, le sceptre royal. Nouvelle restauration entre le 27/7/1870 et fin mai 1871. Monsieur Jean Arnould signala qu'une restauration eut lieu en 1921. Dès 1968, il fut urgent d'effectuer des travaux de toiture. Le monument est classé et une restauration des vitraux a eu lieu à l'occasion de journées du Patrimoine.

2 Chemin du Domaine de Combreuil 7090 Braine-le-Comte
- Office du Tourisme de Braine-le-Comte -
Consulter
image du object

Bonhomme de fer

Tous les promeneurs du coin le connaissent bien de vue, mais ne savent pour la plupart pas qui il est. On peut y lire l’inscription "station géodésique" qui donne un premier indice. La borne géodésique (amicalement surnommée le «Bonhomme de fer»), se trouve à la pointe Sud du bois au lieu dit "la Tête du bois" depuis 1890, époque des premiers relévés. Elle contribua, avec 85 autres points culminants (dont la Butte du Lion, à Waterloo, le Beffroi à Mons, etc), à établir, au XIXème siècle, la carte de la Belgique, à l’aide du principe de triangulation et sous la houlette de l'IGN, Institut Géographique National. A l’époque, certains points élevés du pays étaient choisis, comme des clochers d’église ou des châteaux d’eau . Lorsque les spécialistes de l’IGN n’avaient pas ce type de bâtiment à disposition, ils choisissaient des points naturellement élevés". Le principe était le suivant : On construisait sur la borne, une tour d’une trentaine de mètres qui permettait de voir les autres points élevés, comme le lion de Waterloo par exemple. C’est alors que par visées réciproques et trigonométrie, on est parvenu à établir un véritable maillage cartographique". Plus tard, elle servit encore à préciser les calculs de latitude - longitude, d'altitude, de la force de la pesanteur… Mis à l’index par les systèmes de calculs modernes, le Bonhomme de fer reste une trace de notre histoire et de l’ingéniosité de nos aïeux. On peut dire qu'il s'agit de l'ancêtre du GPS.

1 Chemin aux Loups 7190 Écaussinnes
- Office du Tourisme de Braine-le-Comte -
Consulter
image du object

Chapelle des 7 douleurs

A la croisée de deux chemins de campagne, entre deux tilleuls, oratoire en briques cimentées à chevet semi-circulaire, construit vers 1828. Entrée axiale rect. à montants monolithes, surmontée de deux pierres calcaires : l'une en forme de petit linteau en bâtière gravée de l'inscription latine MATER/ DOLOROSA/ ORA PRO / NOBIS, dont le graphisme suggèrerait qu'il provient d'une chapelle à niche plus ancienne, peut-être du XVIIème siècle: l'autre rect. interpellant en ces mots: CHRETIENS PASSANS / QUI QUE VOUS SOYEZ / VOYEZ ET CONTEMPLEZ / S'IL EST UNE DOULEUR / SEMBLABLE A LA / MIENNE, THRENCI (?) Pignon débordant, dont le départ des rampants est décoré d'un vase en calcaire et le sommet couronné d'une croix sculptée d'un Christ sur socles à volutes. A l'intéreur, subsistant d'une chapelle précédente dédiée à la Vierge, pierre épaisse portant l'inscription : MATER DOLOROSA / PLEURONS AVEC LA / MERE DE JESUS. CETTE / CHAPELLE FUT BATIE PAR / J.J.J. BOTTEMANNE / ET ASSISTANS L'AN 1756. Elle remplacerait un oratoire plus ancien daté de 1643. Au pied de la chapelle, gît un fragment de la corniche d'une borne-potale, peut-être celle dont la base gravée se trouve à l'intérieur. Pélérinage à Notre-Dame des 7 douleurs : le 3ème dimanche de septembre. A noter qu'elle se trouve dans le prolongement de la branche méridionale du sentier du Pendu. C'est le pendant lunaire de la chapelle de Chenu, solaire par rapport au site du Pendu. Sources : A. TRICOT, A propos de la Chapelle des 7 douleurs à Ecaussinnes d'Enghien, CCH mars 1956, n°1 page 12-16 A. JOUS, les cinq Quesneaux à Ecaussinnes d'Enghien dans le Val Vert, n° 87, 3ème trim. 1994 p 65-77. Le Patrimoine Monumental de la Belgique, Wallonie, Volume 21, Volume 23, page 212 balat.kikirpa.be/results.php?linkthrough=ba&linkval=chapelle notre-dame de sept douleurs[ecaussinnes-d'enghien]

9 Rue des Sept Douleurs 7190 Écaussinnes
- Office du Tourisme de Braine-le-Comte -
Consulter
image du object

Perche des Roumains

Illustration de la création mythique du monde, c’est aussi la forme de la quenouille des fileuses de laine roumaine (MOIRA est la divinité grecque du destin). D’après ce conte (ici une des versions grecques), au départ d’un chaos originel sortent D’abord la Terre et le monde souterrain (le Tartare) ainsi que l’Amour (Eros) Puis sortent la Nuit et les Enfers, le Jour et l’Air. De la Terre (Gaia) sort le Ciel (Ouranos) Grâce à l’action d’Eros, la Terre et le Ciel s’unissent et produisent les générations successives de dieux (Cronos – Saturne,… et ensuite Zeus – Jupiter,…) La base représente les 4 directions principales de l’espace (nord, sud, est, ouest), les 4 saisons avec les solstices et les équinoxes ainsi que les 4 éléments matériels (air, eau, feu, terre). Le 5ième élément, l’espace est représenté par la perche. Celle-ci est aussi arbre de Vie qui évoque la succession des générations. Proches de son sommet arrondi, 2 motifs sculptés évoquent des jumeaux, ici probablement IPHICLES et HERACLES (Hercule pour les Latins). Ce héros est célèbre, notamment pour ses travaux. IPHICLES est moins connu : c’est son frère aîné, mais mortel. Voir aussi : les cahiers de Science et Vie, n° 163 : Stephen P. Kershaw : The Greek Myths. Ed. Robinson. London. ISBN 978 1 84529 512 7 ; A. Moreau : Mythes Grecs. Ed Belles Lettres. Texte édité pour la Ville de Braine-le-Comte à l’occasion de la visite de nos jumelés roumains »

63 Chemin de Feluy 7090 Braine-le-Comte
- Office du Tourisme de Braine-le-Comte -
Consulter

Auteur de la donnée

Notes et avis

À voir autour
Voir plus
Ouvrir
Fermer
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Prudence !
Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾