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Description
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Étapes
Points d'intérêt
Notes et avis
À voir autour

Itinérance au Pays du Roquefort

Château de Montaigut
Lavogne d'Hermilix
Roquefort depuis le combalou
Saint-Affrique
Paysage du Rougier
Crédit : Stelloweb

Description

Sensations fortes au royaume du Roquefort ! Sur cinq jours entre causse et rougiers, des espaces majestueux, des sentiers inattendus et un patrimoine médiéval de toute beauté s’ouvrent à vous.Au départ de St Affrique une rando de caractère à la découverte des terres parfois rudes du Causse jusqu’aux terres pleines de promesses et de couleurs du Rougier.Le temps et les hommes ont marqué de leur empreinte l’itinéraire : sentiers rocailleux, longues buissières  chemins creux bordés de murs en pierres sèches.Vous longerez la grande faille et les falaises du Combalou qui ont fait la renommée de Roquefort. Vous découvrirez les cirques de Tournemire et de St Paul des Fonts, la Tour du Viala du Pas de Jaux, le fort cistercien de St Jean d’Alcas, le sympathique village de St Félix dominant la vallée de la Sorgue, l’Abbaye de Sylvanès (joyaux de l’art Cistercien), et le fier château de Montaigut sur son éperon rocheux dominant le Rougier de Camarès.Descriptif réalisé par l'association des Cardabelles

Informations techniques

Ce circuit a été mis à jour le : 28/04/2024
87 km
120 h 2 mn
max. 823 m
min. 318 m

Profil altimétrique

Point de départ

Lat : 43.957545Lng : 2.881926

Étapes

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1

Ville de St-Affrique

Pourquoi Saint-Affrique avec deux F ?Au Vème siècle, les Wisigoths Ariens persécutaient les communautés catholiques et interdisaient l’accès aux églises. Africanus, évêque, fut chassé du Comminges.La légende raconte qu’Africanus aurait terminé son exil dans un hameau au bord de la Sorgues et qu’il en aurait profité pour évangéliser les habitants. Il y aurait aussi accompli de nombreux miracles (voir  les vitraux du Chœur de l’église Notre Dame de la Miséricorde).Le nom de cet évêque trouverait son origine dans la langue parlée par les Wisigoths et plus précisément dans la racine Affric ou Effric, signifiant « puissant et affreux ».Le nom de Saint-Affrique fut attesté en 942 dans le cartulaire (recueil des droits et des titres d’un monastère ou d’un évêché) de Vabres l’Abbaye. Une anecdote : Saint-Affrique n’a pas toujours conservé ce nom là. Pendant la Révolution Française on appela la ville Montagne sur Sorgues. En effet, à cette période il était de coutume de modifier les noms à consonance ecclésiastique.

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2

Le Pont Vieux de Saint-Affrique

Classé monument historique, il est reconnu comme l'un des plus beaux ponts médiévaux de France. Il existait déjà en 1368, il est attesté en 1408 grâce à une crue qui emporta l'arche rive gauche avec le moulin, reconstruite en plein cintre en 1418 (les arches d'origine sont en arcs brisés). Depuis le Pont n'a subi aucun réaménagement. La construction est tout à la fois hardie et légère. Une grand arche encadrée par deux plus petites, des piles minces, un profil en fort dos d'âne (pente de 14%). La grande arche atteint 21,40 m d'ouverture. Les piles, remarquablement minces, n'ont que 3,40 m d'épaisseur et sont terminée par des becs triangulaires effilés qui se poursuivent jusqu'au parapet pour former refuge.Conséquence  du classement du Pont Vieux comme monument historique, seuls les toits en tuiles romanes sont autorisés dans un rayon de 500 mètres autour de lui.

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3

Château des comtes de Caylus

Ce rocher servit d'appui à la construction du château des comtes de Caylus au XIème siècle, dont il ne reste aucune trace aujourd'hui.Au pied du Rocher, à l'intérieur de l'enceinte fortifiée, étaient regroupé les maisons des serviteurs du château, formant de l'est à l'ouest une rue traversante.Les habitants de Saint-Affrique s'étant plaints du seigneur de Caylus auprès de Raimond VII, le château fut détruit à la suite d'une rebellion en 1238 du comte de Caylus contre son suzerain Raymond VII, comte de Toulouse, marquis de Provence et de Gothie.Le mur d'enceinte a subsisté jusqu'au début du XIXème siècle : en 1808, le Conseil Municipal de Saint-Affrique le fit abattre pour empierrer la route de Tiergues, alors route impériale 99.Le rocher culmine à 519 mètres.

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4

Château de Laumière

Le château se situe à 3 km au sud est de Saint Rome, il a été reconstruit depuis la révolution. On trouve trace de l'ancien château en 1322, où il était habité par Raymond de Vanco de Banc d'Anglars, puis au XVe siècle où il était propriété de la maison d'Armagnac, il passa ensuite à la maison de Morlhon, au Vernhet de Grandval et au Sambucy de Sorgue. La seigneurie de Laumière fut cédée aux Vernet au XVIIIe siècle qui devinrent Vernhet de Laumière. Un général Vernhet de Laumière s'illustra en commandant l'artillerie de la garde impériale au Second Empire. Il mourut au Mexique au siège de Puebla en 1863. Au XIXe siècle, Maria de Sambucy l'apporta en dot au comte de Toulza.Il est aujourd'hui possible de le louer.

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5

Éboulis du Combalou

Les imposants chaos rocheux qui nous entourent proviennent des multiples et profonds mouvements qu’a subi le plateau du Combalou : glissements, éboulements, érosion…

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6

Jasse du Combalou

Une fois la saison de traite terminée, les brebis étaient montées et pouvaient être mises à l'abris dans la jasse ; elles ne redescandaient qu'aux premiers froids de l'automne.La jasse comportait  2 niveaux : le rez-de-chaussée était composé de 2 bergeries, dont une était voûtée, alors qu'au second niveau, une vaste grange permettait de stocker le foin.

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7

les oiseaux du cirque

Les falaises du cirque de Tournemire sont le terrain de nidification et de jeux pour de nombreux oiseaux, des plus expressifs aux plus discrets : Hirondelles des rochers, le Martinet à ventre blanc, le Crave à bec rouge, le Tichodrome échelette, les Chauves-souris(Grand Ronolophe), rapaces rupestres dont le Grand Duc d'Europe.

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8

Le cirque de Tournemire

Zone Natura 2000, le grand cirque est une des plus remarquables entailles de la bordure occidentale du Larzac. Les pentes inférieures correspondent aux seules marnes toarcienes qui se montrent un peu dégagées dans les ravinement SW, partout ailleurs elles sont masquées par des talus de pierrailles et par de gros éboulis. Plus haut les barres calcaires et dolomitiques dessinent l'encadrement du cirque présentant un relief ruiniforme.

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9

Lavogne

Depuis le Néolithique, l'Homme n'a su de cesse que d'améliorer les nombreuses mares et trous d'eau naturels qu'il trouvait sur le causse, à la faveur d'une petite dépression du terrain appelé sotch ou doline. Ces indispensables réserves d'eau servaient aussi bien de point d'breuvement pour le bétail que de lavoir, de vivier...mais leur fond argileux, plus ou moins imperméable, n'a jamais cessé de poser des problèmes d'étanchéité. Si en occitant, lavanha designe l'ensemble des mares, qu'elles soient naturelles ou aménagées, au parc, nous préférons réserver l'appellation lavogne, ou lavagne, aux marres empierrées ou artificielles, témoins de l'essor du pastoralisme au XIXème siècle. (texte PNR Grands Causses).

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10

Le cirque de Tournemire

Situé au sud-ouest du Causse du Larzac, le  cirque de Tournemire est une zone géologique remarquable, qui marque la limite entre les avants-causses et les grands causses. Il présente des corniches calcaires et des escarpements rocheux avec des grottes et cavités où y nichent des rapaces comme le hibou grand-duc, l'aigle royal.

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11

Tour du Viala-du-Pas-de-Jaux

Le territoire du Viala-du-Pas-de-Jaux a été donné aux Templiers en 1150 par le seigneur de Tournemire. Aux XIIème et XIIIème siècles, le Viala, comme on dit alors, n'est constitué que de quelques mas, c'est à dire d'exploitations agricoles.Lorsque les Hospitaliers prennent possession des biens du Temple après 1312, ils décident de créer en ce lieu un village et pour cela construisent les bâtiments d'une exploitation agricole qui sera gérée par les frères de l'ordre. Ils élèvent pour eux en 1315 le logis des chevaliers et construisent une église dédiée à Saint-Jean Baptiste, le Saint Patron des Hospitaliers. Jusqu'en 1430, les habitants du Viala-du-Pas-de-Jaux et de ses alentours, se réfugiaient à Sainte-Eulalie-de-Cernon lors des périodes de grande insécurité régnant sur le Larzac. Compte tenu de la distance relativement élevée, les habitants demandent l'autorisation au Grand Prieur de Saint Gilles, Bertrand d'Arpajon de construire une tour fortifiée pour pouvoir s'y réfugier eux et leurs biens. C'est la première fortification construite sur le plateau.Aujourd'hui la tour avec ses 30 mètres de haut est restaurée. Le rez-de-chaussée voûté, les cinq étages et le chemin de ronde à son sommet sont accessibles aux visiteurs, ainsi que le logis des hospitaliers datant du XIVème S.

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12

Lavogne de Font Rome

Cette lavogne dite de Font Rome, construite en 1910 près des puits citernes, se situe à la base sur un fond argileux étanche. Elle fut par la suite reprise en forme de cuvette bâtie en pierres jointoyées au ciment. Ce type offre l'avantage de former un passage qui résiste aux pieds des ovins, et la pente douce des abords limite le risque de glissement et de chute des animaux. Elle est alimentée avec de l'eau de pluie.Source: Association La Tour du Viala du Pas de Jaux

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13

La buissière

La "buissière" (double haie de buis bordant les chemins) permettait de protéger les troupeaux du vent, du soleil. Elle marque également, sur le causse, les chemins de circurlation humaine, témoins des voies de communication entre plateaux et vallées.

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14

Cirque de St-Paul des Fonts

Le Cirque de St-Paul des Fonts est un cirque naturel de forme semi-circulaire formé par l'érosion karstique.

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15

Espace botanique Hippolyte Coste

Etabli au rez-de-chaussée du presbytère accolé à l’église de Saint-Paul-des-Fonts, l’espace botanique est consacré à la vie et à l’œuvre du chanoine Hippolyte Coste qui partagea sa vie entre les devoirs de son ministère et sa passion pour la botanique.Ce rouergat d’origine paysanne modeste, que l’on a surnommé «le curé des fleurs», a su s’élever dans la cour des plus grands botanistes en réalisant notamment la remarquable et magistrale «Flore descriptive et illustrée de la France, de la Corse et des contrées limitrophes» (1901 – 1906) qui constitue son œuvre maîtresse, connue et reconnue encore de nos jours à l’échelle internationale européenne.Saint-Paul-des-Fonts, dans le souvenir du «curé des fleurs» ravivé par ce musée, devient ainsi une destination incontournable pour tous ceux qui désirent s’instruire et se ressourcer en découvrant les richesses botaniques sur les grands espaces fleuris du Larzac et l’Aveyron (texte de Christian Bernard).Ouvert de la mi-mars à octobre de 10h à 18h. Visite gratuite.

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16

Fort de Saint-Jean d'Alcas

Au XII°s., le hameau d’Olcas (devenu Alcas) dépend de l’abbaye cistercienne de Nonenque. En 1356, les premières préoccupations défensives apparaissent avec le début de la guerre de Cent ans : l’église est fortifiée pour servir de refuge à la population. Devenue insuffisante, les abbesses commanditent la construction d’un fort (1439 – 1445) incluant dans son périmètre, l’église fortifiée. Le fort est constitué d’une enceinte de 62,5 mètres sur 37, avec des tours circulaires dans chaque angle. La régularité de l’ensemble et le parfait état de conservation offrent une grande harmonie.

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17

Cazelle

La cazelle (caselle ou capitelle) est une construction en pierres sèches dans laquelle s'abritait le berger pour se protéger du soleil ou se mettre à l'abri du vent et de la pluie pendant qu'il surveillait le troupeau. Elle est souvent circulaire et voûtée à encorbellement sans charpente ni mortier et parfois incluse dans un muret de pierres délimitant l'enclos.

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18

Dolmen Mascourbe 1

Les dolmens de Mascourbe font partie du groupe des "Treilles". Ce nom vient de la grotte se trouvant proche de la ferme des Treilles, à Saint-Paul des Fonts, d'où sont issus ces "bâtisseurs" des Grands Causses, aussi caractérisés par leur travail du cuivre et leurs étonnantes trépanations (percement de la boîte crânienne). A Mascourbe, on compte au moins trois dolmens.Table cassée en 2 morceaux et dalle de chevet trapézoïdale.

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19

Dolmen Mascourbe 2

Les dolmens de Mascourbe font partie du groupe des "Treilles". Ce nom vient de la grotte se trouvant proche de la ferme des Treilles, à Saint-Paul des Fonts, d'où sont issus ces "bâtisseurs" des Grands Causses, aussi caractérisés par leur travail du cuivre et leurs étonnantes trépanations (percement de la boîte crânienne). A Mascourbe, on compte au moins trois dolmens.Il s'agit d'un dolmen simple avec table et piliers, pas de dalle de chevet.

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20

Ferme de Mascourbe

La ferme ou domaine de Mascourbe appartenait à la commanderie des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem de Saint-Félix de Sorgues. Mentionnée dès 1373, ses bâtiments  furent reconstruits vers 1583 à quelque distance du lieu primitif. Logis et bâtiments primitifs d'exploitation bien conservés sont organisés autour d'une vaste cour rectangulaire.

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21

Hameau médiéval de Saint-Caprazy

Paroisse et communauté attestées en 1026. Haut lieu de l'histoire de Saint-Félix. Gaubert de Saint-Caprazy vers 1150 devient le 1er commandeur de Saint-Felix de l'ordre des chevaliers de Saint-Jean-de-Saint-Félix  qui en gardera la propriété et la suzeraineté plus de 6 siècles.7 bâtiments :  : maison d'habitation, grange, bergerie, chapelle, etc.

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22

Abbaye de Sylvanès

L’Abbaye de Sylvanès, fondée en 1136, présente un magnifique ensemble architectural de l’Art roman. Restaurée et réhabilitée, l’Abbaye de Sylvanès est un haut lieu de la culture et de la spiritualité. Joyau de l’art cistercien, son abbatiale dotée d’une acoustique exceptionnelle, accueille en été un Festival International de Musique Sacrée et Musique du Monde.Classée Monument Historique en 1854, l’Abbaye cistercienne compte parmi les Grands Sites Occitanie et fait partie du réseau européen des Centres Culturels de Rencontre. L’Abbaye propose toute au long de l’année un riche programme d’activité (stages de chants, colloques..).

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23

Moulin à plâtre

Sur l'ensemble du Travers, des Gypsières - carrières de gypse - ont été découvertes dès le XVIIIe siècle par les habitants de Montégut. Le gypse se transforme en plâtre vers 150 degrés puis les blocs de plâtre cuits sont amenés au moulin pour y être réduit en poudre et servir pour la construction ou pour l'agriculture.

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24

Ecomusée de Montaigut

Le village de Montaigut est dominé par son château féodal bâti en 996, un des plus anciens duRouergue. Ses maisons et son église sont caractéristiques de l'architecture locale. Le village de Montaigut est un des rares villages où aucune construction nouvelle n'a été faite depuis plus de 100 ans. La commune a su préserver ce site exceptionnel avec la création d'un écomusée. La première phase a débuté par la valorisation de machines agricoles, la présentation d'une maison rurale en 1914.

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25

Château de Montaigut

Le château de Montaigut, après avoir été laissé pour ruine en 1920, a été racheté par l’Association des Amis du Château de Montaigut en 1968 afin de le restaurer. Vous découvrirez le résultat d’un travail impressionnant : environ 20 ans de gros œuvres, et 20 ans d’ameublement ! Un véritable retour dans le temps pour une immersion totale à l’époque du Moyen-âge.

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26

Croix del Pas

Grande croix métallique à la croisée des chemins permettant d'avoir une vue sur les deux versants du plateau de la Loubière, côté Sorgues et côté Rougiers.

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Points d'intérêt

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Le Pont Vieux de Saint-Affrique

Classé monument historique, il est reconnu comme l'un des plus beaux ponts médiévaux de France. Il existait déjà en 1368, il est attesté en 1408 grâce à une crue qui emporta l'arche rive gauche avec le moulin, reconstruite en plein cintre en 1418 (les arches d'origine sont en arcs brisés). Depuis le Pont n'a subi aucun réaménagement. La construction est tout à la fois hardie et légère. Une grand arche encadrée par deux plus petites, des piles minces, un profil en fort dos d'âne (pente de 14%). La grande arche atteint 21,40 m d'ouverture. Les piles, remarquablement minces, n'ont que 3,40 m d'épaisseur et sont terminée par des becs triangulaires effilés qui se poursuivent jusqu'au parapet pour former refuge.Conséquence  du classement du Pont Vieux comme monument historique, seuls les toits en tuiles romanes sont autorisés dans un rayon de 500 mètres autour de lui.

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Château des comtes de Caylus

Ce rocher servit d'appui à la construction du château des comtes de Caylus au XIème siècle, dont il ne reste aucune trace aujourd'hui.Au pied du Rocher, à l'intérieur de l'enceinte fortifiée, étaient regroupé les maisons des serviteurs du château, formant de l'est à l'ouest une rue traversante.Les habitants de Saint-Affrique s'étant plaints du seigneur de Caylus auprès de Raimond VII, le château fut détruit à la suite d'une rebellion en 1238 du comte de Caylus contre son suzerain Raymond VII, comte de Toulouse, marquis de Provence et de Gothie.Le mur d'enceinte a subsisté jusqu'au début du XIXème siècle : en 1808, le Conseil Municipal de Saint-Affrique le fit abattre pour empierrer la route de Tiergues, alors route impériale 99.Le rocher culmine à 519 mètres.

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Château de Laumière

Le château se situe à 3 km au sud est de Saint Rome, il a été reconstruit depuis la révolution. On trouve trace de l'ancien château en 1322, où il était habité par Raymond de Vanco de Banc d'Anglars, puis au XVe siècle où il était propriété de la maison d'Armagnac, il passa ensuite à la maison de Morlhon, au Vernhet de Grandval et au Sambucy de Sorgue. La seigneurie de Laumière fut cédée aux Vernet au XVIIIe siècle qui devinrent Vernhet de Laumière. Un général Vernhet de Laumière s'illustra en commandant l'artillerie de la garde impériale au Second Empire. Il mourut au Mexique au siège de Puebla en 1863. Au XIXe siècle, Maria de Sambucy l'apporta en dot au comte de Toulza.Il est aujourd'hui possible de le louer.

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Rocher et chapelle St Pierre

La chapelle Saint-Pierre du XIe siècle coiffe le rocher en éperon du même nom. C'était la chapelle du château qui ne fût jamais église paroissiale. Le château de la même époque était accolé à la face verticale (reste d'une tour). Les structures en bel appareil de moellons indique un petit édifice de qualité. Le choeur  en «cul de four» et surbaissé était limité par un arc en plein cintre précédé par un élargissement en «arc triomphal» vers la courte nef.

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Sotch de Balhol

La falaise qui nous surplombe est impressionnante par sa verticalité, par l’aspect lisse de sa roche et la solidité qui s’en dégage. C’est en fait la marque d’une faille (cassure) qui a engendré les énormes éboulis sous nos pieds. Le fond de ce vallon est appelé sotch (dénomination habituelle des dolines sur les causses).

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les oiseaux du cirque

Les falaises du cirque de Tournemire sont le terrain de nidification et de jeux pour de nombreux oiseaux, des plus expressifs aux plus discrets : Hirondelles des rochers, le Martinet à ventre blanc, le Crave à bec rouge, le Tichodrome échelette, les Chauves-souris(Grand Ronolophe), rapaces rupestres dont le Grand Duc d'Europe.

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Le cirque de Tournemire

Zone Natura 2000, le grand cirque est une des plus remarquables entailles de la bordure occidentale du Larzac. Les pentes inférieures correspondent aux seules marnes toarcienes qui se montrent un peu dégagées dans les ravinement SW, partout ailleurs elles sont masquées par des talus de pierrailles et par de gros éboulis. Plus haut les barres calcaires et dolomitiques dessinent l'encadrement du cirque présentant un relief ruiniforme.

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Lavogne

Depuis le Néolithique, l'Homme n'a su de cesse que d'améliorer les nombreuses mares et trous d'eau naturels qu'il trouvait sur le causse, à la faveur d'une petite dépression du terrain appelé sotch ou doline. Ces indispensables réserves d'eau servaient aussi bien de point d'breuvement pour le bétail que de lavoir, de vivier...mais leur fond argileux, plus ou moins imperméable, n'a jamais cessé de poser des problèmes d'étanchéité. Si en occitant, lavanha designe l'ensemble des mares, qu'elles soient naturelles ou aménagées, au parc, nous préférons réserver l'appellation lavogne, ou lavagne, aux marres empierrées ou artificielles, témoins de l'essor du pastoralisme au XIXème siècle. (texte PNR Grands Causses).

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Le cirque de Tournemire

Situé au sud-ouest du Causse du Larzac, le  cirque de Tournemire est une zone géologique remarquable, qui marque la limite entre les avants-causses et les grands causses. Il présente des corniches calcaires et des escarpements rocheux avec des grottes et cavités où y nichent des rapaces comme le hibou grand-duc, l'aigle royal.

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Tour du Viala-du-Pas-de-Jaux

Le territoire du Viala-du-Pas-de-Jaux a été donné aux Templiers en 1150 par le seigneur de Tournemire. Aux XIIème et XIIIème siècles, le Viala, comme on dit alors, n'est constitué que de quelques mas, c'est à dire d'exploitations agricoles.Lorsque les Hospitaliers prennent possession des biens du Temple après 1312, ils décident de créer en ce lieu un village et pour cela construisent les bâtiments d'une exploitation agricole qui sera gérée par les frères de l'ordre. Ils élèvent pour eux en 1315 le logis des chevaliers et construisent une église dédiée à Saint-Jean Baptiste, le Saint Patron des Hospitaliers. Jusqu'en 1430, les habitants du Viala-du-Pas-de-Jaux et de ses alentours, se réfugiaient à Sainte-Eulalie-de-Cernon lors des périodes de grande insécurité régnant sur le Larzac. Compte tenu de la distance relativement élevée, les habitants demandent l'autorisation au Grand Prieur de Saint Gilles, Bertrand d'Arpajon de construire une tour fortifiée pour pouvoir s'y réfugier eux et leurs biens. C'est la première fortification construite sur le plateau.Aujourd'hui la tour avec ses 30 mètres de haut est restaurée. Le rez-de-chaussée voûté, les cinq étages et le chemin de ronde à son sommet sont accessibles aux visiteurs, ainsi que le logis des hospitaliers datant du XIVème S.

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Lavogne de Font Rome

Cette lavogne dite de Font Rome, construite en 1910 près des puits citernes, se situe à la base sur un fond argileux étanche. Elle fut par la suite reprise en forme de cuvette bâtie en pierres jointoyées au ciment. Ce type offre l'avantage de former un passage qui résiste aux pieds des ovins, et la pente douce des abords limite le risque de glissement et de chute des animaux. Elle est alimentée avec de l'eau de pluie.Source: Association La Tour du Viala du Pas de Jaux

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La buissière

La "buissière" (double haie de buis bordant les chemins) permettait de protéger les troupeaux du vent, du soleil. Elle marque également, sur le causse, les chemins de circurlation humaine, témoins des voies de communication entre plateaux et vallées.

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Cirque de St-Paul des Fonts

Le Cirque de St-Paul des Fonts est un cirque naturel de forme semi-circulaire formé par l'érosion karstique.

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Espace botanique Hippolyte Coste

Etabli au rez-de-chaussée du presbytère accolé à l’église de Saint-Paul-des-Fonts, l’espace botanique est consacré à la vie et à l’œuvre du chanoine Hippolyte Coste qui partagea sa vie entre les devoirs de son ministère et sa passion pour la botanique.Ce rouergat d’origine paysanne modeste, que l’on a surnommé «le curé des fleurs», a su s’élever dans la cour des plus grands botanistes en réalisant notamment la remarquable et magistrale «Flore descriptive et illustrée de la France, de la Corse et des contrées limitrophes» (1901 – 1906) qui constitue son œuvre maîtresse, connue et reconnue encore de nos jours à l’échelle internationale européenne.Saint-Paul-des-Fonts, dans le souvenir du «curé des fleurs» ravivé par ce musée, devient ainsi une destination incontournable pour tous ceux qui désirent s’instruire et se ressourcer en découvrant les richesses botaniques sur les grands espaces fleuris du Larzac et l’Aveyron (texte de Christian Bernard).Ouvert de la mi-mars à octobre de 10h à 18h. Visite gratuite.

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Dolmen Mascourbe 1

Les dolmens de Mascourbe font partie du groupe des "Treilles". Ce nom vient de la grotte se trouvant proche de la ferme des Treilles, à Saint-Paul des Fonts, d'où sont issus ces "bâtisseurs" des Grands Causses, aussi caractérisés par leur travail du cuivre et leurs étonnantes trépanations (percement de la boîte crânienne). A Mascourbe, on compte au moins trois dolmens.Table cassée en 2 morceaux et dalle de chevet trapézoïdale.

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Ferme de Mascourbe

La ferme ou domaine de Mascourbe appartenait à la commanderie des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem de Saint-Félix de Sorgues. Mentionnée dès 1373, ses bâtiments  furent reconstruits vers 1583 à quelque distance du lieu primitif. Logis et bâtiments primitifs d'exploitation bien conservés sont organisés autour d'une vaste cour rectangulaire.

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Hameau médiéval de Saint-Caprazy

Paroisse et communauté attestées en 1026. Haut lieu de l'histoire de Saint-Félix. Gaubert de Saint-Caprazy vers 1150 devient le 1er commandeur de Saint-Felix de l'ordre des chevaliers de Saint-Jean-de-Saint-Félix  qui en gardera la propriété et la suzeraineté plus de 6 siècles.7 bâtiments :  : maison d'habitation, grange, bergerie, chapelle, etc.

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Moulin à plâtre

Sur l'ensemble du Travers, des Gypsières - carrières de gypse - ont été découvertes dès le XVIIIe siècle par les habitants de Montégut. Le gypse se transforme en plâtre vers 150 degrés puis les blocs de plâtre cuits sont amenés au moulin pour y être réduit en poudre et servir pour la construction ou pour l'agriculture.

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Ecomusée de Montaigut

Le village de Montaigut est dominé par son château féodal bâti en 996, un des plus anciens duRouergue. Ses maisons et son église sont caractéristiques de l'architecture locale. Le village de Montaigut est un des rares villages où aucune construction nouvelle n'a été faite depuis plus de 100 ans. La commune a su préserver ce site exceptionnel avec la création d'un écomusée. La première phase a débuté par la valorisation de machines agricoles, la présentation d'une maison rurale en 1914.

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Château de Montaigut

Le château de Montaigut, après avoir été laissé pour ruine en 1920, a été racheté par l’Association des Amis du Château de Montaigut en 1968 afin de le restaurer. Vous découvrirez le résultat d’un travail impressionnant : environ 20 ans de gros œuvres, et 20 ans d’ameublement ! Un véritable retour dans le temps pour une immersion totale à l’époque du Moyen-âge.

- Parc naturel régional des Grands Causses -
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Croix del Pas

Grande croix métallique à la croisée des chemins permettant d'avoir une vue sur les deux versants du plateau de la Loubière, côté Sorgues et côté Rougiers.

- Parc naturel régional des Grands Causses -
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Informations complémentaires

Transport en commun

Détail sur  : site internet de l'Office de Tourisme et sur Occitanie TransportsIl y a une gare routière à Saint-Affrique (ligne 202, 2016, 2018), et une gare sncf à Tournemire (train régional).

UNESCO Causses et Cévennes

Cet itinéraire est situé dans la zone cœur du Bien Causses et Cévennes, paysage culturel de l'agropastoralisme méditerranéen.

Parking conseillé

Place Leclerc ou place Foch à Saint-Affrique

Accès routier

Pour accéder à saint-Affrique, par la A75 , 46 ou 47 puis suivre la D999 en direction de Saint-Affrique / Albi. Arrivée à Saint-Affrique par la D999, depuis Millau, traverser la ville, la place Foch est juste après avoir traversé la Sorgues ; depuis Albi, se diriger vers le centre ville, la place Foch et après le jardin public.

Arrivée

Place Leclerc, Saint-Affrique

Ambiance

Par les falaises du Combalou et l’éperon rocheux du château de Montaigut, par le causse du Larzac et le cirque imprenable de Saint-Paul-des-Fonts, par la tour médiévale du Viala et l’abbaye de Sylvanès, par la vallée de la Sorgues et celle du Dourdou, par des chemins et des buissières, explorez un pays de caractère, berceau d’un fromage lui aussi de caractère !

Départ

Place Leclerc, Saint-Affrique

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Notes et avis

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