Dès la fin de la Seconde guerre mondiale, les autorités françaises décident de jalonner la route empruntée par l’armée Américaine pour libérer de pays, des plages normandes du débarquement jusqu’à Bastogne en Belgique, par des bornes commémoratives en ciment. Si la voie de la Liberté ainsi matérialisée ne passe pas par la Seine-Maritime, la commune d’Oissel possède pourtant depuis 1984, quatre exemplaires originaux de ces monuments.