L’une des principales conséquences de l’urbanisation de la rive gauche au lendemain de la Seconde guerre mondiale a été le recul inexorable des terres agricoles. Si les prairies de Sotteville-lès-Rouen ou de Grand-Quevilly ne sont plus aujourd’hui qu’un lointain souvenir, Oissel conserve plusieurs espaces agricoles : culture du blé et du maïs sur les hauteurs et herbages en contrebas. On aperçoit aussi les anciennes ballastières transformées en base de loisirs au hameau de Bédanne.