De tous temps, Bruyères se préoccupa de son système d’eau potable et de son lavoir. En 1774, un compte-rendu précis en donnait cette image : ‘‘Ce lavoir étant unique pour toute la ville, il a fallu permettre qu’on lave et lessive les fontaines, de ce fait, il arrive très souvent qu’il n’y en ait pas une seule dont l’eau soit propre pour abreuver les bestiaux. De plus, la fureur des lessiveuses de battre sur leurs linges, en plein milieu de la nuit, occasionne un bruit très désagréable et contraire à la tranquillité publique.’’