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Découvertes autour de Bar-le-duc, Meuse, Lorraine - CAMPING XYZ

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La splendide région de Bar-le-duc, située dans la Meuse en Lorraine, regorge de trésors à découvrir en camping. Au-delà de la beauté naturelle, cette région offre une panoplie d'activités et d'attractions pour les visiteurs de tous âges. Profitez de promenades bucoliques le long des sentiers de randonnée qui parsèment les forêts environnantes. Explorez le patrimoine historique de Bar-le-Duc avec s...Voir plus

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La gare
195 m

La gare

Le premier train fait son entrée dans Bar-le-Duc le 29 mai 1851 au moment de la création d’une ligne reliant Paris à Strasbourg. Située à mi-parcours, la ville bénéficie du développement de l’activité économique qui lui est liée. À proximité du canal de la Marne au Rhin inauguré la même année, la gare joue un rôle central dans le développement urbain de la cité au XIXe siècle. Voulue par l’État en 1841, la ligne Paris-Strasbourg est construite par tranches successives. La partie comprise entre Vitry-le-François et Nancy fait l’objet de nombreuses tractations, toutes les villes souhaitant pouvoir être reliées à ce nouveau mode de transport. Mais le rôle actif des édiles barisiens (le Maréchal Oudinot et le député J.L. Gillon en tête) concrétise le passage du réseau ferré par le chef-lieu du département de la Meuse. La Compagnie du Chemin de Fer de l’Est est chargée d’exploiter ce réseau jusqu’en 1938, date de création de la Société Nationale des Chemins de Fer. Le bâtiment actuel n’est achevé qu’en 1853. Conçu par l’architecte Edmond Brazier, il est à l’image de ceux qui jalonnent l’ensemble de la ligne : larges ouvertures en plein cintre au rez de-chaussée, fronton orné d’une horloge, sobriété des ornements. Les deux petites ailes en retour construites ultérieurement par la compagnie permettent de doubler la surface du vestibule. La marquise, plus haute que le bâtiment, a été édifiée ultérieurement au-dessus des voies. Elle permet un meilleur accueil des voyageurs et de nombreux commerçants ambulants ou sédentaires y proposent alors journaux, nécessaires de toilette ou encore produits locaux (confitures de groseilles, madeleines). Créée dans la perspective de la rue qui porte désormais son nom, la gare de Bar-le-Duc devient un point de convergence dans le tissu urbain. Peu après sa construction à l’emplacement d’un ancien bras du canal de la Marne au Rhin, un réseau de rues est organisé en étoile autour d’une place. Le parvis est entouré de grilles métalliques aujourd’hui disparues devant lesquelles est inauguré en 1900 le monument commémoratif de la guerre de 1870. Celui érigé à la gloire du Président Raymond Poincaré le remplace depuis 1950. Le quartier s’anime de nouveaux commerces. La gare marchandise connaît son apogée au milieu du XXe siècle lorsqu’elle devient la première plateforme française de l’industrie fromagère.

place de la République 55000 BAR LE DUC
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Monument aux Morts
212 m

Monument aux Morts

Comme la plupart des communes de France, Bar-le-Duc érige au lendemain de la guerre un monument à la mémoire de ses enfants disparus durant le conflit. Elle fait appel pour cela au sculpteur Émile Peynot, professeur à l’École nationale supérieure des Beaux-Arts. Le monument est réalisé sur place, comme on le voit sur la photo, et inauguré en mars 1925. Il se présente sous la forme d’une pyramide tronquée, décorée de deux motifs principaux. En haut, une femme debout, drapée dans des vêtements de deuil, personnifie le Souvenir. Elle s’appuie sur un faisceau de lauriers destinés aux vainqueurs et tend une gerbe de fleurs à ceux qui ne sont pas revenus. En avant, sept combattants de tous âges et de toutes conditions symbolisent la Nation défendant le sol natal. L’un d’eux est déjà tombé. Les autres (un jeune appelé, un vieux territorial, un bourgeois, un ouvrier, un paysan…) sont prêts à passer à l’attaque. Le nom des victimes (35 civils et 591 militaires) n’est pas inscrit sur le monument lui-même mais sur une plaque imposante scellée sur un mur au premier étage de l’hôtel de ville. Le monument doit être démonté durant l’année 2016 pour être installé près de la gare SNCF. Un autre monument honore les morts du 94e Régiment d’Infanterie « La Garde », l’unité qui était, avant la guerre, en garnison à Bar-le-Duc. Il se dresse dans la cour de l’actuelle cité administrative, l’ancienne caserne de ce régiment.

Place de la République 55000 BAR LE DUC
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Maison Damain
343 m

Maison Damain

Seule demeure de la ville à présenter l’esthétique de l’Art Nouveau où architecture et décor forment un ensemble cohérent et harmonieux, cette maison fut construite par l’architecte barisien Jules Renard pour mettre en valeur l’activité du peintre-décorateur Léon Damain (1872-1947). Une plaque émaillée au dessus de la porte cochère latérale conserve le souvenir de cet artiste barisien issu d’une famille de peintres. Léon Damain est avant tout décorateur. Entre les XIXe et XXe siècles, son style évolue du néogothique vers l’Art Déco en passant par les lignes souples et fleuries de l’Art Nouveau. De sa formation à l’École Nationale des Arts Décoratifs de Paris, il retient le souci d’un décor très couvrant où architecture et ornements forment une œuvre d’art totale. À Bar-le-Duc, la préfecture, les églises Notre-Dame et Saint-Antoine, le château de Marbeaumont, où il collabore aussi avec l’architecte Renard, conservent encore quelques-uns de ses ensembles. La maison qu’il fait construire afin d’y installer un magasin et un lieu d’exposition se doit donc de montrer cette symbiose entre les arts. Non sans ostentation, elle est conçue autour d’un pavillon d’angle qui reprend les matériaux de l’architecture classique : pierre de Savonnières, tuiles plates en écaille. La superposition des baies autour d’un bandeau central et le recours à des chainages d’angle en pierre de taille sont également des références à l’art classique. Néanmoins, ce bâtiment s’en distingue par les formes souples et arrondies utilisées tant dans la taille de pierre que les matériaux du second œuvre. Les larges baies vitrées du second étage et du bow-window sur la cour marquent le souci de concilier la recherche de confort et celle d’une esthétique nouvelle. Les lignes « en coup de fouet » où courbes et doubles courbes s’enlacent et s’opposent sont notamment visibles sur le garde-corps du balcon, les impostes des fenêtres ou encore le mur de la cour et les lucarnes du toit. Le recours à une iconographie végétale (fleurs de tournesol) trahit également la forte influence de l’École de Nancy. Du décor intérieur d’origine ne subsistent que quelques éléments épars (cage d’escalier, cheminée, vitraux), la maison ayant été réquisitionnée et occupée pendant la Seconde Guerre mondiale.

57 rue André-Theuriet 55000 BAR LE DUC
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Synagogue
349 m

Synagogue

Édifiée en 1871-1872 par l’architecte Charles Demoget sur la rive droite de l’Ornain, la synagogue de Bar-le-Duc est représentative du style mauresque qui caractérise les synagogues de la seconde moitié du XIXe siècle, en particulier dans l’Est de a France. La présence d’une communauté juive est attestée à Bar-le-Duc dès le Haut Moyen Âge. Jusqu’au XIIe siècle, elle jouit d’une relative liberté dans l’exercice de sa profession, puis l’intolérance et la ghettoïsation éloignent les Juifs de la ville. Ce n’est qu’au début du XVIIIe siècle que sont à nouveau mentionnées des familles juives installées à Bar-le-Duc. Jusqu’en 1866, la communauté, moins importante qu’à Verdun où est établi le rabbinat de la Meuse, se réunit dans le local d’une maison particulière. Dans le but de conférer au culte davantage de dignité, un terrain sur le bord de l’Ornain est acquis en 1868 pour y ériger une synagogue, financée grâce aux souscriptions, la Ville de Bar-le-Duc et une aide de l’État. Comme souvent en Lorraine à la même période, le style « roman orientalisé » est choisi par l’architecte. À Bar-le-Duc, le décor mauresque se retrouve à la fois à l’extérieur et à l’intérieur du bâtiment : arcs outrepassés et tympans sculptés de rinceaux et d’entrelacs, décor peint sur les murs, les vitraux et le plafond en bois. Les symboles israélites (tables de la loi en amortissement du fronton, remplages des baies en forme d’étoile de David, inscriptions issues de la Genèse) sont liés à des pilastres corinthiens, écho de l’architecture Renaissance locale. À la veille de la Seconde Guerre Mondiale, la communauté juive de Bar-le-Duc comptait encore plus de vingt-cinq familles. La guerre, la déportation et la Shoah (dont le souvenir des victimes est rappelé par une plaque commémorative à l’intérieur de l’édifice) ont fait que la communauté est aujourd’hui trop petite pour maintenir une activité cultuelle régulière. Inscrite aux M.H. en 2013.

17 quai Carnot 55000 BAR LE DUC
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Château de Marbeaumont
350 m

Château de Marbeaumont

Témoin de l’architecture de la Belle Époque, qui puise son inspiration dans les styles anciens, le château de Marbeaumont reflète la réussite sociale et économique de son propriétaire, le banquier Paul Varin-Bernier. Pourtant, sous cet éclectisme se dissimulent des techniques de construction et des matériaux très novateurs au début du XXe siècle.Propriétaire de la banque installée depuis 1812 boulevard de la Rochelle, Paul Varin-Bernier commande en 1903 à l’architecte Jules Renard une demeure située en périphérie de la ville, à l’emplacement d’une villa construite pour son père, Gabriel Varin-Bernier, en 1866. Le luxe et la richesse sont parfaitement exprimés à travers le style historiciste choisi par l’architecte : se mêlent ainsi l’architecture en brique et pierre de l’époque Louis XIII, les hauts toits à la française de la Renaissance, des motifs décoratifs évoquant les rois de France, et l’architecture de métal et de verre ornée de motifs floraux de l’Art nouveau. Si la pierre d’Euville, la brique, l’ardoise et le zinc donnent une apparence traditionnelle au château, les techniques de construction mises en oeuvre sont extrêmement modernes pour l’époque. Ainsi, les dalles du sous-sol et du rez-de-chaussée sont en ciment armé, et la charpente, entièrement métallique, a été réalisée selon le procédé Eiffel par l’entreprise barisienne Dyckoff. Les Varin-Bernier disposaient également de tout le confort alors exigé par la haute bourgeoisie : ascenseur, téléphone, chauffage, eau froide et chaude et surtout électricité à tous les étages. La conception du parc à l’anglaise fut confiée à Philippe et Arbeaumont, paysagistes de Vitry-le-François, vers 1866-1869. Ses nombreuses allées ménagent des points de vue sur le château, dont l’aspect ostentatoire trouve un écho dans la richesse des couleurs et des formes des espèces rares présentes dans le parc (fau de Verzy, micocoulier, tulipier, arbre aux quarante écus…). Occupé par l’État-major allemand pendant la Seconde Guerre Mondiale, le château fut vendu à la Ville de Bar-le-Duc en 1946. Il abrite depuis 1996 la Médiathèque Jean-Jeukens, nom du maire à l’origine de cet achat.

74 rue de Saint-Mihiel 55000 BAR LE DUC
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La propriété Varin-Bernier
349 m

La propriété Varin-Bernier

La propriété des banquiers Varin-Bernier comprend l’actuel château de Marbeaumont, les communs (incendiés par les Allemands en 1944), la maison du concierge, la maison du jardinier et le parc magnifiquement arboré (avec pièce d’eau, jardin, potager et petit étang). En mai 1946, elle est vendue à la ville de Bar-le-Duc en présence du maire, Jean Jeukens. Le château et son parc forment une propriété indissociable. L’acte de vente indique : • l’interdiction de morceler la propriété de12,69 hectares ; le parc était déjà coupé par le chemin des Polkas (actuelle rue Jean-Bernard) qui le divisait en deux parties reliées par un passage souterrain ; • l’interdiction de vendre la propriété à des personnes qui n’auraient pas l’intention de l’utiliser dans l’intérêt général de la population barisienne ; • la préservation du caractère artistique de la propriété et affectation à des fins sociales...une partie sera réservée à un terrain de sport. Dans les années 1948-1950, la création du stade, la canalisation et la couverture partielle du Naveton, la création des différents terrains de sport, la construction des vestiaires et des tribunes entraînent l’assèchement de l’étang ainsi que la disparition d’un lavoir. De son ancienne destination, il reste, derrière les tribunes, le château d’eau, daté de 1897, qui alimentait en eau la première habitation du banquier, les communs et les écuries ; son fonctionnement était basé sur le principe du bélier hydraulique. À côté, la cascade du Naveton est la plus ancienne trace du moulin à grains de Marbot, propriété des chanoines de Saint-Maxe au XVe siècle, devenu ensuite filature de coton au XIXe siècle, vermicellerie, compasserie, distillerie et scierie à la fin du XIXe siècle. Le stade prend le nom de Jean Bernard (maire de Bar-le-Duc de 1970 à 1995) le 29 juin 2010. Visite des intérieurs aux heures d'ouverture de la médiathèque.

74 rue de Saint-Mihiel 55000 BAR LE DUC
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La gare du Varinot
399 m

La gare du Varinot

La gare du Varinot, appelée aussi gare du Meusien est construite en 1886, dans l’actuelle impasse Varinot. Ce bâtiment maintenant désaffecté sert de locaux administratifs. En 1883, Charles Varinot, entrepreneur de travaux publics, est concessionnaire de la ligne de chemin de fer à voie métrique de Bar-le-Duc à Vaubecourt et de Rembercourt à Clermont. À sa mort en 1891, ses héritiers créent la Compagnie Meusienne de Chemin de Fer dite « la Meusienne » qui comporte alors plusieurs lignes (203 km). La position de la gare meusienne, près de la voie ferrée Paris-Strasbourg, permet aux voyageurs de passer du réseau local au réseau national. Les locomotives dont « la Suzanne » tractaient des trains mixtes voyageurs‑marchandises et ce réseau à voie unique connait son apogée en 1914. Durant la première guerre mondiale, l’armée française prend en main l’exploitation du réseau et l’améliore. En juin 1916, le Varinot, appelé aussi le « petit Meusien », transporte 10000 tonnes de nourriture et 73500 hommes dont 27960 blessés. Début 1919, le réseau est rendu à ses propriétaires qui l’exploitent jusqu’en 1923.Le service des lignes s’arrête en 1938 et le matériel est enlevé par les Allemands durant la seconde guerre mondiale. L’impasse Varinot s’ouvre dans la rue de Saint-Mihiel, traversée par la voie ferrée nationale Paris-Strasbourg (écartement des rails standard : 1,435 m), gérée au départ, vers 1850, par la Compagnie des chemins de fer de l’Est. En 1904, le doublement des voies ferrées nécessite la suppression du passage à niveau qui permettait alors de traverser la voie et une passerelle pour piétons est aménagée. En 1958, la passerelle est déplacée vers le centre de la rue et surélevée pour permettre l’électrification du chemin de fer.

58 rue de Saint-Mihiel 55000 BAR LE DUC
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