Découvrez Salins-les-bains avec le domaine des Gabelous

Cette seconde étape de l’Échappée Jurassienne à VTT est sans doute la plus difficile tant physiquement que techniquement. Elle suit la partie nord du Vignoble du Jura à travers le fameux Revermont en reliant Salins-les-Bains à Poligny en passant par Arbois. Trois sites incontournables du Jura. De quoi en avoir plein les yeux, plein la tête et plein les jambes ! Place aux choses sérieuses avec une succession de 5 montées raides depuis le bas des coteaux jusqu’en haut du plateau soit environ 200 m de dénivelé positif à chaque fois. Et également 5 descentes tout aussi raides. Le tout en alternant les chemins blancs et les sentiers techniques parfois en single ! Le départ depuis Salins-les-Bains va donner le ton de cette étape avec une première belle ascension jusqu’au fort Saint-André avec une vue magnifique sur la ville en contrebas.Il faudra enchaîner deux autres montées et descentes, dont celle de Pretin, avant de rejoindre la capitale des Vins du Jura, la ville d’Arbois. Centre névralgique du Vignoble Jurassien, on ne compte plus le nombre de vignerons présent dans la ville. Et qui dit Vin dit forcément bonnes tables et belles adresses pour profiter de la ville, de sa rivière : la Cuisance, de son architecture en pierre jaune, de sa Collégiale, de sa maison de Louis Pasteur et de son musée de la Vigne et du Vin.Mais l’étape est loin d’être terminé, il faut repartie en direction de l’emblématique reculée des Planches-Près-Arbois de ses nombreux belvédères et de sa fameuse cascade de tuf ! Il faudra reprendre des forces pour remonter jusqu’au cirque du Fer-à-cheval pour emprunter le sentier qui rejoint le village de Pupillin, réputé pour ses vins rouges. La descente sur Poligny, capitale du Comté, célèbre fromage jurassien, sera la bienvenue pour clôturer cette folle journée. Profitez-en pour vous reposer et prendre du bon temps et quelques forces avec une dégustation à la Maison du Comté !

Cette randonnée vous mènera de la cité thermale de Salins-les-Bains, qui abrite la Grande Saline inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO, au sommet du Mont Poupet (850 m) d'où vous bénéficierez d'une vue imprenable sur le relief jurassien. Louis Pasteur y réalisa des expériences sur la « génération spontanée ». Quitter la place des Vieilles-Salines à gauche et emprunter l'allée J.-Marcou jusqu'à la place des Alliés. Traverser la rue principale, prendre la rue Charles-David (GR®59), la rue Charles-Magnin à gauche et la rue des Chambenoz (nombreux bâtis anciens). Au poteau "Chemin de la Plaine", prendre en face le chemin goudronné de la Plaine en direction de "Mont Servant". Il devient herbeux et, après la ferme de Tout-Vent, sentier. Emprunter la D 492 à droite puis le chemin empierré (ancienne voie romaine) à droite. Au poteau "Mont Servant", continuer en direction de "Champs des Souliers" sur 250 m puis tourner à gauche au poteau "la Grange David" Au poteau "Grange David" suivre la direction de "MONT POUPET CÔTE BELON" Traverser la D 492 pour emprunter le chemin qui gravit le mont Poupet et atteindre le parking. Poursuivre par la route sur quelques mètres (à droite, monument relatant les expériences de Louis Pasteur). Au poteau "MONT POUPET CÔTE BELON" suivre le sentier à gauche qui mène à la croix du Poupet et au poteau "Chemin de la Croix" (table d'orientation, vue sur Salins, la vallée et les monts du Jura). Au poteau "Chemin de la Croix", continuer par la route qui s'élève sur 1 km en direction de "Cote Guillaume" (aire de jeux, hêtres tors) jusqu'au parking. Au poteau "Cote Guillaume" poursuivre en direction de "La Corne" par la route qui mène aux sites (prudence !) d'envol des parapentes (vue sur le Jura des collines). Au poteau "La Corne", descendre par le sentier qui dévale la pente en lacets en direction de "SAINT THIEBAUD". Poursuivre par le chemin empierré puis par le chemin de desserte à gauche. Prendre la route à droite et, à la croix, la route à gauche. Elle traverse Saint-Thiébaud le-Bas. Au poteau "SAINT THIEBAUD", prendre la direction de "Champs de Noeud" emprunter la route des Chamoz à droite sur 500 m puis le chemin à droite. Continuer par la route étroite des Chamoz, passez le poteau "Champs de Noeud" en direction de "Les Chamoz" Au poteau "Les Chamoz", s'engager sur la voie verte (ancienne voie ferrée Mouchard - Salins) qui mène à Salins. Au poteau "Les Roussets", longer la caserne des pompiers à gauche et poursuivre par la route sur 500 m. Passer entre le gymnase et les cités HLM. Au grand carrefour (ancienne gare), continuer vers le centre-ville et rejoindre les anciennes salines.

À pied, à VTT ou à cheval le chemin des Gabelous vous emmène de Salins les Bains à Arc et Senans dans le Doubs. En le parcourant vous découvrirez Champagne-sur-Loue, Port-Lesney, Rennes-sur-Loue, La-Chapelle-sur-Furieuse, Onay et partirez à la découverte d'une terre marquée par sept millénaires d'histoire avec le sel. Un pays fabuleux où se construisent des salines, travaillent des sauniers et s'illustrent des contrebandiers Le sentier des Gabelous suit approximativement le tracé historique du saumoduc, double conduite de bois qui permettait à la Saline Royale d'Arc et Senans de recevoir la saumure extraite depuis la Saline de Salins les Bains, aujourd'hui toutes deux classées au patrimoine mondial de l'UNESCO. L'or blanc, convoité par les contrebandiers, était protégé par les Gabelous, les gendarmes du sel, d'où le nom du sentier est tiré ! Le sentier des gabelous retrace sur près de 30 km cette histoire particulière, en 15 étapes à travers 15 panneaux explicatifs et équipés de QR-codes. Les panneaux d'interprétation explicatif sont également accessibles, en divers point, en voiture. Vous longerez la Loue et la Furieuse par le bâtiment des Graduations, Champagne-sur-Loue, Port-Lesney, Rennes-sur-Loue et Chapelle-sur-Furieuse.

Ce long parcours égrène les curiosités, depuis le fort Saint-André construit par Vauban à Pretin, célèbre pour son académie des Ânes, en passant par les villages d'Ivory et de Chilly-sur-Salins, constitués d'imposantes fermes comtoises. À La Grange-Sauvaget, un tilleul de plus de 500 ans dispense une ombre généreuse, tandis que la fin du circuit réserve une superbe vue sur la vallée de la cité thermale de Salins-les-Bains.Suivre le balisage n°4 rouge Depuis la place Aubarède à Salins-les-Bains, traverser le pont sur la rivière « la Furieuse » et rouler 100 m avant de monter à droite la rue du Dieu-de-pitié. Au croisement, prendre à droite la D271 et poursuivre en face pour arriver au fort Saint-André. Suivre sur la gauche le GR 59 puis continuer sur la route à gauche jusqu'à Pretin. A la mairie, monter à gauche le chemin du Versou. En haut, prendre à droite. A l'intersection, tourner à gauche puis prendre un chemin (une sommière : ancien chemin emprunté par les chevaux et bêtes de somme pour sortir le bois, les bêtes tuées...) à droite jusqu'à la D94. Prendre cette route à gauche puis tourner tout de suite à droite. Au Château Farlatin, tourner à droite. A la route, prendre face à soi puis entrer dans le bois à droite. A la petite route, tourner à droite puis à gauche pour arriver sur le GR59 qui longe la roche du Feu. Quitter le GR59 et continuer tout droit. Traverser La Châtelaine et tourner à droite vers le belvédère du Fer à Cheval. A la route, tourner à gauche sur 100 m et encore à gauche sur la D248 pour revenir à La Châtelaine. Dans la rue principale, tourner à droite puis à gauche. Continuer sur le chemin (ancienne sommière) de Maison-Clos. A la sortie du bois, prendre à gauche jusqu'à Chilly-sur-Salins. Devant l'église, tourner à gauche, traverser la D107 et tourner encore à gauche pour rejoindre la route. Tourner 2 fois à droite et traverser Ivory. Passer l'église et prendre à gauche en direction du tilleul de La Grange-Sauvaget. Continuer tour droit jusqu'à la Vierge (hors circuit) puis descendre en face jusqu'à Cavaroz. Prendre la route à droite jusqu'au croisement. Continuer à droite vers Salins-les-Bains.

Une promenade qui offre de belles vues sur la plaine, la vallée de Salins-les-Bains et le mont Poupet… et qui permet d’emprunter un tronçon de la voie verte des Salines. Au poteau « Marnoz – Mairie », prendre la direction de « La Vache ». Tourner à droite, puis gravir le sentier à gauche et parvenir à « Côte Château ». Longer la haie plein sud pour trouver à 250 m « La Croix » de Pretin (chapelle, vestige du château ; vue sur la vallée de Pretin). Revenir sur ses pas (2). À « Côte Château », suivre le sentier en balcon. Passer « Les Allumelles », puis devant le site de départ de parapente (vue sur le mont Poupet culminant à 850 m). Continuer plein est, descendre dans le pré, couper la route à « Grange Salgret » et remonter en face vers le fort Saint-André. Au poteau « Acrobatic Park », emprunter la route sur 300 m jusqu’à la porte du « fort St André » en longeant les remparts. Revenir sur ses pas (4). Descendre par la route sur 250 m (belvédère sur la ville de Salins à gauche), puis dévaler à gauche le sentier empierré et pentu. Il mène au « Pont du Paradis ». Suivre la rue des Barres à gauche le long de la Furieuse puis la rue Gambetta. Au poteau « monument aux morts », continuer en direction « Faubourg Saint Pierre » en suivant la contre-allée de la D 472. Après le pont, partir à droite. Au poteau « Les Roussets », emprunter la voie verte (ancienne voie PLM Mouchard-Salins). Elle domine la rivière, passe dans un tunnel puis sur un viaduc (sous lequel passait le « saumoduc » amenant la saumure extraite à Salins jusqu’à Arc-et-Senans). À la fin de la voie verte (« Voie des Salines – Marnoz »), tourner deux fois à gauche. À « Barges », prendre le chemin à droite, la D 105 à droite et le chemin du Crêt-de-l’Aille à droite. À « Marnoz », suivre la D 271 à gauche, la D 105 à droite et la rue des Caves à gauche pour revenir au point de départ. HISTOIRE Le fort Saint-André La présence de sel et la topographie de cette vallée donnent à Salins-les- Bains un intérêt stratégique depuis le Moyen Âge. Dès le XIIIe siècle, on construit des défenses sur les plateaux : c’est la naissance des châteaux de Belin et de Bracon. Sur le plateau de Saint-André, ce sera une simple tour. Au XVIIe siècle, Vauban élabore des projets pour Salins. La tour Saint-André est remplacée par un fort accueillant 500 soldats. En 1923, la ville cède le fort Saint-André à la Société des Eaux Minérales qui exploite les thermes. Un projet d'hôtel luxueux relié à la vallée par un funiculaire est vite abandonné. Aujourd’hui, le fort Saint-André, transformé en hébergement, accueille régulièrement des mariages.

Cette balade facile invite le promeneur à flâner entre deux villages voisins, Marnoz et Aiglepierre, sur la route Pasteur. Cette randonnée, en deux petites boucles, entraîne le promeneur à la découverte du village de Marnoz, une petite commune de quelque 400 âmes, mais qui a tout d’une grande tant elle se développe. Autrefois dénommé « Marnol », le village tient son nom de la marne qui forme son sous-sol. Des personnalités sont originaires de Marnoz et en particulier Louis Pasteur, dont la maman était installée au village comme vigneronne. Le buste, inauguré par François Mitterrand lorsqu’il était président de la République, en témoigne. L’intérêt de s’y promener est d’embrasser du regard les montagnes et vallées qui l’entourent. La deuxième boucle passe par le village voisin d’Aiglepierre, où Pasteur fut scolarisé de 1825 à 1827. C’est un endroit où cohabitent agriculteurs, viticulteurs et artisans, et dont le château (XVIIe siècle) et l’église Saint-Antoine (ancienne chapelle castrale) méritent qu’on s’y attarde. 

Le circuit part de la fontaine de Pagnoz, village situé entre la plaine jurassienne et le premier plateau. Il monte par un sentier boisé » jusqu’aux vestiges du château de Vaulgrenant. Un belvédère à 360 degrés vous y attend. Vous traverserez ensuite le hameau de Vaulgrenant, puis le cœur de l’anticlinal de Pagnoz, zone agricole d’élevage. L’itinéraire passe près d’une zone de dolines.Il redescend jusqu’à Pagnoz dans les buis et les résineux du bois de Bagney. Arrivée au village près de la chapelle de Pagnoz qui abrite un retable du 16ème siècle.Prenez le temps de visiter le lavoir avant de retrouver votre point de départ. En chemin…Le château de Vaulgrenant, cité dès le XIIIème siècle fut le centre d’une vaste baronnie. Il fut démantelé sur ordre de Louis XIV en 1674 comme la plupart des forteresses comtoises.A 466 mètres d’altitude, il domine la plaine du Val d’Amour et dévoile en un beau panorama, la plaine de Dole et du Val d’Amour, la forêt de Chaux, l’arrivée de la Loue en Val d’Amour, le massif du Poupet, la trouée de Salins et ses 2 forts, la reculée de Pretin et l’ouverture sur le pays arboisien.Sa situation particulière permettait de surveiller la route dite « du bois et du sel » venant de Salins et passant par Pagnoz pour se diriger vers Dole et la vallée de la Saône.On dit que la Vouivre descend du château chaque nuit pour boire à la fontaine du village.L’enceinte du château mesure 80 mètres de long et 35 mètres sur sa plus grande largeur.Le logis était séparé de la Haute Cour par une porte dont on peut voir les traves des gonds.Les piliers d’une galerie voutée ont été mis à jour. Ce passage couvert en forme de « L », ouvrait sur une cour intérieure. Le bâtiment au centre de la cour dont le mur est évasé en partie basse, abritait un escalier et servait d’accès au logis. L’écurie était voutée. Des corbeaux et départs de claveaux sont encore en place sur les murs.La cave ou « cellier » était comblée aux 2/3. Dans les déblais, on a retrouvé de nombreux os et fragments de tuiles dont certaines étaient vernissées. A proximité on peut remarquer le conduit de la citerne.La légende parle des lavandières qui battaient leur ligne dans les souterrainsLes amis de VaulgrenantCréée en 2001, l’association des Amis de Vaulgrenant regroupe les personnes intéressées par la sauvegarde du site de Vaulgrenant et sa mise en valeur. Ses membres se retrouvent régulièrement et effectuent des travaux de restauration du site et des recherches en histoire et archéologie.Elle organise un chantier international de jeunes bénévoles en partenariat avec l’Adaval.Pour plus d’information : vaulgrenant@valdamour.com La fontaineL’eau de la fontaine provient d’une source captée en contrebas d’Aiglepierre. Suivre direction « Plenessu ». Plaine dessusJusqu’aux années soixante, « Plenessu » était une zone de vignes et de champs. On y remarque quelques traces de cette époque : en particulier, sur le replat à droite du chemin, les murs d’une cabane de vignerons.A l’automne, des grappes de raisins sont suspendues aux branches des arbres qui servent de support aux pieds de vignes abandonnés il y a 50 ans. Zone naturelleA partir de ce point, vous entrez dans une Zone Naturelle d’Intérêt Ecologique Floristique et Faunistique (ZNIEFF). Sur le sommet de la crête à votre droite, cette zone de « rocailles et coteaux secs de Pagnoz » abrite une flore de pelouse sèche. On note la présence d’espèces bénéficiant d’une protection régionale absolue PlenessuPrendre la direction « Croissement des vestiges ». Le sentier quitte le GR 59 A. Croisement des vestigesPrendre la direction « VESTIGES DE VAULGRENANT ». Château de VaulgrenantRetourner au « Croisement des vestiges », puis prendre la direction « Vaulgrenant ». Le hameauLe hameau de Vaulgrenant constituait la basse-cour du château. Des maisons et jardins en terrasse s’appuyaient sur le flanc de la colline jusqu’à l’enceinte du château.A gauche, dans le champ en contrebas, remarquez les traces du fossé qui protégeait le château. Derrière la mare, découvrez une table de lecture sur les reptiles et les orvets.Prendre la direction « Sur la carrière ». L’anticlinal de PagnozDu point 8 au point 9, l’itinéraire emprunte le sommet de la voûte d’un vaste bombement vers le haut des couches de terrain : c’est « l’anticlinal de Pagnoz ». Le schéma permet d’expliquer l’organisation des terrains (de droite à gauche), responsable du paysage :- à droite, le cœur de l’anticlinal est fait de terrains marneux permettant la présence de prairies (couches de terrain orange),- puis le flanc de l’anticlinal, fait de couches calcaires n’autorise qu’un couvert forestier (couches jaunes),- la combe latérale s’est creusée dans les calcaires marneux tendres (couches bleu soutenu),- la résistance à l’érosion des calcaires coralliens (bleu clair) a permis l’édification d’un « crêt » sur lequel est bâti le château de Vaulgrenant. La forêt de BagneySur la gauche, à quelques centaines de mètres, vous laissez un lieu-dit : « le trou du maquis » rendez-vous des résistants pendant la dernière guerre. Il s’agit d’une belle doline due à la dissolution des calcaires et érodant la voûte fracturée de bombardement de l’anticlinal de Pagnoz.Le sentier entre dans le bois de Bagney. En descendant, vous traversez une forêt de « l’étage collinéen », couverte de résineux, et d’espèces calcicoles : buis et chênaie-charmaie.Vers la sortie du bois, avant de traverser une pelouse de communal, remarquez la présence de cèdres.Prendre la direction « PAGNOZ – FONTAINE ». La chapelleElle a été bâtie comme chapelle castrale au début du XVIIIème siècle. Le retable en cuir repoussé, date du XVIème siècle, est classé parmi les Monuments Historiques.Prendre la route à gauche jusqu’à la sortie du village pour découvrir le lavoir sur votre droite. Le lavoirSa construction date de 1862.Elle est due à Jean François Barbet né à Pagnoz, élève du père de Victor Considérant.Revenir sur ses pas et rejoindre le point de départ.

Entre Géraise et Saizenay, partez découvrir deux fantastiques belvédères puis l’entrée du gouffre de Gadeau. Place de la Mairie, à « Géraise », suivre la rue de Sainte-Anne direction « Les Bois Brûlés » puis « Champ de la Sausse ». A "Champ de la Sausse", continuer à gauche sur le chemin caillouteux vers le bois. Au « Bois de la Chênaie », entrer dans la forêt par le chemin de terre qui mène à la « Grange de Vaux » (> statue de saint Christophe). Suivre à droite (nord-est) le chemin d’accès au fond de la combe sur 1,5 km. Avant l’orée du bois, au parking à gauche, obliquer à angle aigu sur le chemin de terre qui grimpe en forte pente (> montée raide ; sentier glissant !). Il dessert les belvédères des Platières puis de Lachaussée et mène au poteau « Bois Montrichard ». Continuer à gauche et monter direction « Grottes de Vaux ». Poursuivre direction « Lachaussée ». La piste forestière parcourt la combe. À « Lachaussée », emprunter la route gravillonnée à gauche vers "Bovard". A "Bovard" prendre à droite la D 262 sur 600m, dépasser l'abri forestier et prendre à droite le sentier qui descend en forêt pour rejoindre Les Mariages (poteau). Emprunter la route goudronnée à gauche jusqu'au carrefour avec la D262, la longer sur 100m et suivre le balisage qui coupe la D262 pour rejoindre SAIZENAY. Après la mairie, prendre la rue à gauche et, par la rue de la Roche, rejoindre le poteau « Les Tilles ». Gravir le chemin naturel à gauche. Il conduit à « La Chapelle de Clucy ». Continuer par la route sur 250 m. Au poteau « Chaux sur Clucy », prendre le chemin à gauche (direction « Champ de la Sausse »). Après 1 km, il vire à droite. Emprunter la route à gauche sur 600 m ( > ne pas s’approcher de la mare : danger !) et, à la corne du bois, la route à droite. Elle devient un chemin caillouteux. Poursuivre par la route à droite sur 300 m. Dans le virage serré à droite, s’engager sur le chemin à gauche. Il s’élève à flanc et ramène à « Champ de la Sausse ». À gauche, regagner Geraise.

Ce sentier vous met à la place d’un géologue pour reconnaître le sous-sol du Bois de Vallum. Cette fiche vous guidera à la découverte des différentes roches calcaires qui en constituent le sous-sol, et de leur rôle dans l’organisation de notre paysage. Les outils du géologue dont vous aurez besoin : Un marteau pour casser la roche. Attention, toujours prélever de la roche « en place », et non un bloc présent au sol qui peut venir d’ailleurs.Une loupe (grossissement 10X) pour observer en détail une cassure fraîche de la roche, pour reconnaître sa texture et la présence ou non de fossiles. L’échantillon de roche doit être humidifié pour que les détails soient bien visibles : le géologue a pour habitude de lécher la roche !Quelques notions à connaître pour comprendre la géologie du Bois de VallumLe village de Mouchard est situé à la limite entre la Bresse où affleurent des cailloutis déposés au Pliocène, et le Jura au sous-sol constitué de roches d’âge Jurassique. Ces deux domaines sont séparés par une faille que l’on rencontre à la sortie ouest de Mouchard. L’ensemble du parcours est situé en domaine jurassien, donc dans un environnement de calcaires et de marnes qui sont des roches sédimentaires. Une roche sédimentaire étant à l’origine un dépôt sur un fond marin durci par une diagénèse, une même couche (marneuse ou calcaire) a le même âge sur toute son étendue : c’est le principe de superposition, valable à petite échelle uniquement. Les calcaires crème fossilifères du Rauracien que vous rencontrerez sont obligatoirement issus d’une sédimentation réalisée autour de -156 millions d’années.Par ailleurs, lorsque deux couches se superposent, le même principe de superposition veut que la plus haute soit la plus récente. Ainsi, les marnes jaunâtres du Séquanien (autour de -150 millions d’années) étant sur les calcaires du Rauracien, elles sont issues d’une sédimentation plus récente.                      Ces roches sont formées de sédiments qui se sont déposés horizontalement. Si elles sont aujourd’hui plissées et faillées, elles l’ont été lors de la surrection du Jura durant l’orogénèse alpine.GlossaireJurassique : seconde période de l’ère secondaire. Les calcaires du Jurassique sont des roches sédimentaires constituées de dépôts qui se sont produits entre -200 et -150 millions d’années dans une mer chaude et peu profonde. Le Jurassique est sous-divisé en plusieurs périodes (Malm, Dogger, Lias), elles-mêmes divisées en différents niveaux que dans le Jura on nomme Argovien, Rauracien (-160 à -155 millions d’années), Séquanien (-155 à -150 millions d’années) …Pliocène : fin de l’ère tertiaire (-5.3 à 2.6 millions d’années). Cette période couvre une partie de l’orogenèse alpine, entraînant une érosion intense des reliefs en formation. Cette période a produit des sédiments grossiers (appelés molasses, constituées de sable, graviers et galets) qui se sont déposés dans des dépressions d’avant chaîne comme la Bresse alors occupée d’un lac.Orogénèse : processus conduisant à la formation de reliefs.Diagénèse : ensemble de processus qui affectent un dépôt sédimentaire pour le transformer progressivement en roche.Anticlinal : pli à courbure convexe vers le haut.Synclinal : pli à courbure convexe vers le bas.Doline : dépression circulaire à la surface des plateaux calcaires, creusée par dissolution en surface ou marquant la présence d’un réseau kartique de profondeur dont le plafond s’est localement effondré. Départ de Mouchard, place de l’église. Suivre la direction « Le Chaumois ». Des murets soutiennent les talus, aucune roche n’est visible dans la tranchée de voie ferrée dont les versants présentent une pente douce, autant d’indices sur la nature du sous-sol : des marnes, roches tendres qui s’altèrent rapidement et sont rarement visibles à l’affleurement. C’est souvent indirectement que le géologue identifie la nature du sous-sol. Dans la montée, les cailloux ont été apportés pour empierrer le chemin, mais les plus curieux peuvent repérer les quelques gros blocs qui sont des bancs de roche en place, et identifier à la loupe les calcaires micritiques du Séquanien. Il s’agit de bancs de roches intercalés dans les marnes. En haut de la montée, la texture de la roche change avec l’apparition de calcaires roux à débris de fossiles. Le panorama visible lors de la montée dans les vignes permet d’observer la transition entre la forêt de Mouchard et le début du domaine Jurassien. Le changement de morphologie voit l’apparition de reliefs plus marqués occupés par des pâtures et des vignes. Bifurcation à gauche sur une ligne forestière qui monte en direction du nord. A cet endroit une faille sépare les marnes des calcaires. Depuis l’entrée du bois, les affleurements de calcaire d’âge Argovien, puis Rauracien, se multiplient. Les dolines situées de part et d’autre du sentier le confinement, le sous-sol est désormais calcaire. Au sommet de la ligne forestière, le sentier contourne une vaste doline par la gauche. Examinez en détail les calcaires situés à droite du sentier. Ils sont dits saccharoïdes car leur texture ressemble à du sucre. Il s’agit de massifs de coraux fossilisés d’il y a 150 millions d’années appelés polypiers. Vous aurez encore plusieurs occasions de croiser ces massifs de polypiers jusqu’au belvédère Edgar Faure. Le chemin est sinueux et contourne des dolines. La faille qui sépare les marnes (Séquanien) des calcaires (Rauracien) est à votre gauche. Après avoir zigzagué entre deux nouvelles dolines, vous croisez cette faille et les marnes, ce qui explique le changement de morphologie du sous-sol et l’apparition de terrains plus humides. Suivre la direction « BELVEDERE EDGAR FAURE » à droite. Vous retrouverez les calcaires, avec apparition de lapiaz, où vous pouvez observer quelques belles roches percées. Attention pour observer les calcaires, à épargner les affleurements remarquables (lapiaz et roche percée). Le belvédère, à environ 100 m sur la droite, offre l’opportunité de comprendre la disposition et la structure des différentes strates de roche, par la lecture du paysage. Essayez de voir la faille qui traverse la colline de Port Lesney devant vous, interrompant les marnes qu’occupent les vignes de Port Lesney. Les différentes strates de roches en face de vous se prolongeant de l’autre côté de la Loue, vous pouvez imaginer la structure du relief sous vos pieds. Suivre ensuite la direction « Carrefour du Buis ». Peu avant le carrefour, la végétation change et la forêt laisse place à des buis. Le sous-sol change également, les calcaires crème qui alternaient avec des massifs de polypiers laissent place pour un temps à des calcaires crème avec des taches roses dépourvus de fossiles (Argovien). Suivre la direction « MOUCHARD ». Avant de sortir du Bois, on retrouve les calcaires micritiques du début de la promenade. Les marnes ne sont pas loin. Effectivement, le milieu s’ouvre, avec des pentes douces caractéristiques, occupées par des verges, dont le Verger du Val d’Amour. Ce verger conservatoire se trouve sur la commune de Port Lesney. Il est à la fois un laboratoire avec sa pépinière d’environ 50 arbrisseaux, et un lieu de travail et d’exposition avec environ 120 arbres. Le but initial est la sauvegarde de variétés anciennes d’arbres à pépins et noyaux, la Franche-Comté étant très riche en ce domaine. Le verger du Val d’Amour est aussi un atelier permanent où particuliers et adhérents de l’association « Les Croqueurs de Pommes » peuvent s’initier à la taille et à la greffe. Regagner le point de départ par le village.

Au cœur des Monts Jura avec de nombreux équipements pour agrémenter votre séjour ! La Résidence Les Berlicants, labellisée "Valeurs Parc naturel régional", propose des appartements modernes et confortables pouvant accueillir de deux à onze personnes, entièrement équipés. Au centre du village de Mijoux, aux alentours immédiats se trouvent des sentiers de randonnée à travers les forêts et les alpages, des pistes de ski alpin et nordique en hiver, et des activités à sensation sur le site de la Faucille comme la tyrolienne géante, la luge sur rails et bien plus encore. Au centre de Mijoux, authentique village jurassien à la frontière de l’Ain et du Jura, les sites de Lélex et la station des Rousses sont rapidement accessible et permettent de varier les plaisirs !

Un second domaine de ski de la station classée Monts Jura, au pied des plus hauts sommets du Jura , offrant l’un des plus beaux panoramas d’Europe sur la Chaîne des Alpes et le Mont Blanc. C’est le site idéal pour faire ses premiers « pas »… à ski et pour progresser à son rythme et en toute sécurité sur les pentes douces et soigneusement entretenues qui s’écoulent depuis le sommet du Mont Rond (1596 m). Le domaine skiable se situe à proximité de la Réserve Naturelle Nationale de la Haute Chaine du Jura. Il convient de respecter la réglementation en vigueur.: 15 km de pistes de ski alpin, 580 m de dénivelé et l’un des plus beaux panoramas d’Europe. 1000-1550 m - 15 km de pistes - 12 pistes dont 2 vertes, 6 bleues, 3 rouges et 1 noire - 6 remontées mécaniques dont 1 télécombi alliant sièges et cabines pour les piétons et randonneurs, 1 télésiège et 4 téleskis.

Le télécombi est un téléporté composé de sièges et de cabines. Depuis le Col de la Faucille, le Télécombi du Mont Rond vous aide à accéder aux crêtes de la Haute Chaîne du Jura ; elle vous hisse de 1323 à 1543m d'altitude. Arrivé là-haut, le randonneur n'est plus qu'à 30mn de marche pour accéder au Grand Mont Rond (1596m), et 2h pour le Colomby de Gex (1689m). Deux pistes bleues pour la descente en VTT sont également aménagées et balisées depuis l'arrivée du Télécombi. En hiver, il permet aux adeptes de la raquette d'atteindre les sommets plus facilement et de profiter des crêtes. Le télécombi se situe à proximité de la Réserve Naturelle Nationale de la Haute Chaine du Jura où une réglementation spécifique s'applique. Nous vous remercions de la respecter. Pour plus d'informations, nous vous invitons à consulter le site internet de la Réserve Naturelle.

Monts Jura offre l'altitude idéale pour randonner entre 900 et 1723 m d'altitude. Des sentiers balisés et entretenus vous attendent. Depuis Lélex, la télécabine La Catheline aide à accéder aux crêtes de la Haute Chaîne du Jura ; elle vous hisse de 900 m à 1450m d'altitude. Arrivé là-haut, le randonneur n'est plus qu'à 1h30 de marche pour accéder au Crêt de la Neige (1723m), point culminant du Jura. En saison d'été, à Lélex et à Crozet, les deux télécabines sont également équipées pour la pratique du VTT de descente. Elles permettent aux vététistes de remonter facilement et rapidement afin de mieux profiter de la descente sur les 2 versants de la montagne ! Sur chacun des versants, deux pistes techniques (1 piste rouge et 1 piste noire) sont aménagées et balisées pour les sportifs aguerris. En hiver, elle permet aux adeptes de la raquette d'atteindre les sommets plus facilement et de profiter des crêtes. La télécabine de La Catheline se situe à proximité de la Réserve Naturelle Nationale de la Haute Chaine du Jura où une réglementation spécifique s'applique. Nous vous remercions de la respecter. Pour plus d'informations, nous vous invitons à consulter le site internet de la Réserve Naturelle.

Un des domaines de ski de la station classée Monts Jura, au pied des plus hauts sommets du Jura, offrant l’un des plus beaux panoramas d’Europe sur la Chaîne des Alpes et le Mont Blanc. C’est le site phare de Monts Jura, dédié au « grand ski ». C’est ici que se développent les pistes les plus longues et les plus grands dénivelés (800 mètres) de tout le massif du Jura. Grâce à ses nombreuses remontées mécaniques, ses pistes très variées, ses «spots» de poudreuse et ses 140 enneigeurs, Lélex-Crozet attire tous les skieurs, quelque soit leur niveau. Quant aux snowboarders et aux free-riders, ils trouvent, ici, un terrain d’expression sans limites. Côté Crozet, les kitesurfeurs peuvent accéder aux sommets pour pratiquer leur activité. Le domaine skiable se situe à proximité de la Réserve Naturelle Nationale de la Haute Chaine du Jura. Il convient de respecter la réglementation en vigueur. 900m-1680 m - 20 km de pistes - 21 pistes dont 7 vertes, 6 bleues, 6 rouges et 2 noires - 10 remontées mécaniques dont 2 télécabines, 1 télécombi 1 télécombi alliant sièges et cabines, 1 télésièges, 5 téleskis, 1 télécorde - 33 hectares de neige de culture.

Pour une escapade en couple, c'est la résidence idéale pour vous détendre, au calme, en amoureux. Situées au cœur d'une magnifique maison jurassienne, les chambres bénéficient d'une exposition sud-est, offrant ainsi une vue ensoleillée et sereine. Idéales pour les couples en quête d'intimité et de moments uniques, elles disposent d'un espace détente privatif avec sauna et balnéothérapie pour une relaxation complète. Cet établissement est réservé exclusivement aux adultes.

Valérie et Marie-Flore vous accueillent chaleureusement dans leur gîte convivial, idéal pour un séjour agréable et détendu. Séjournez dans une bâtisse du 19ème siècle, située en station de ski et au cœur de la grande traversée du Jura, offrant de nombreuses activités de plein air, été comme hiver. Que ce soit pour une nuit ou un séjour prolongé, seul ou entre amis, vous profiterez d’un cadre naturel exceptionnel. Chaque soir, Valérie vous propose un menu auberge fait de produits locaux et de spécialités d'ailleurs, avec entrée, plat, fromage et dessert, sur réservation avant 12h.

Depuis 1820, cet hôtel vous accueille dans un cadre idyllique, sur le port. Ambiance calme et bucolique dans ces appartements de charme, où la décoration se veut à la fois raffinée et cosy. L'Etablissement, cossu, est réputé pour son accueil et son cadre chaleureux. Avec sa vieille enseigne, ses murs de pierre et son toit débordant, il est au plus près du port de la cité médiévale d'Yvoire aux rues animées mais sans voiture. La commune est classée parmi les plus beaux villages de France. Au milieu des pierres et des fleurs, l'hôtel se reflète dans le Léman et s’avance par le biais d'une grande terrasse très appréciée des gastronomes en toutes saisons.

Plus qu'un hôtel-restaurant, voici un lieu convivial enchâssé dans le rempart qui ferme la cité médiévale d'Yvoire construite autour de son château en 1306. On y appréciera sa terrasse et son café sans chichi. Espace sauna, hammam, jacuzzi. Adresse de charme et de caractère, Le Vieux Logis est un hôtel restaurant niché au sein des remparts du village médiéval d’Yvoire. L’architecture, typique et historique, est le témoignage de ce passé si présent. Le restaurant du Vieux Logis dévoile son petit café, véritable lieu de réflexion et de partage. Cet espace permet à chacun d’échanger librement, de philosopher et de débattre sur des sujets d’actualité.

Le restaurant de la Villa Cécile met à l’honneur les produits locaux et de saison en circuit court, garantie de qualité gustative et de fraîcheur. Le Chef Yann Le Fevre propose une cuisine savoureuse et créative dans un cadre idyllique. Maison de caractère sur les rives du Lac Léman, la Villa Cécile bénéficie d’une situation privilégiée, d’un cadre idyllique et d’une cuisine distinguée à apprécier lors d’une escale gourmande, d’un séjour, ou encore à l'occasion d'une soirée-étape, d'un repas d'affaires, d'un séminaire ou d'une réception.

Les nouveaux espaces de la Grande Saline dont le Musée du Sel sont ouverts au public depuis le printemps 2009. Au-delà de la restauration du bâtiment historique, de nouveaux espaces d’exposition ont été aménagés. Servi par une mise en scène taillée sur mesure, l'ensemble permet de restituer l'ampleur du site à l'époque florissante de "l'or blanc". Depuis juin 2009, les Salines de Salins-les-Bains ont rejoint la Saline royale d'Arc-et-Senans sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco. Tél : 03 84 73 10 92 Site web : www.salinesdesalins.com Ouvert tous les jours de 10h00 à 12h00 et de 14h00 à 17h30. Temps de visite : 1h. Tarif : à partir de 4 €

La ville possède une histoire glorieuse due à un passé industriel florissant de production du sel, appelé « l'or blanc ». À partir du XIXe siècle, elle étend son activité industrielle grâce au développement de plâtrières, de scieries, et surtout de faïenceries. Elle s'engage dans le tertiaire avec la création d’un établissement thermal. La seconde moitié du XXe siècle voit la disparition progressive de ces industries : la plâtrière ferme en 1958, la saline en 1962 et les faïenceries en 1995. Depuis, la ville compte un peu moins de 3 000 habitants, et fonde sa difficile reconversion économique sur les services, en particulier à travers trois secteurs : la santé, le thermalisme et le tourisme. Ce dernier s'appuie notamment sur la restauration et la valorisation d’un patrimoine historique riche et prestigieux marqué par l'inscription de la Grande saline de Salins-les-Bains sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco le 27 juin 2009, en extension de la Saline royale d'Arc-et-Senans.

Le mont Poupet est une montagne s'élevant à 851 m d’altitude. Il est situé sur le territoire des communes de Saint-Thiébaud, Salins-les-Bains et Ivrey. Le sommet se trouve au lieu-dit le Signal, sur la commune de Saint-Thiébaud. Le mont domine la vallée de la Furieuse dont il offre un beau panorama. Le mont Blanc y est bien visible par temps clair. D'autres points de vue intéressants existent, donnant notamment sur la plaine doloise. Une croix et une table d'orientation ornent la face sud du mont.

Le mont Poupet est une montagne s'élevant à 851 m d’altitude. Il est situé sur le territoire des communes de Saint-Thiébaud, Salins-les-Bains et Ivrey. Le sommet se trouve au lieu-dit le Signal, sur la commune de Saint-Thiébaud. Il domine la vallée de la Furieuse dont il offre un beau panorama. Le mont Blanc y est bien visible par temps clair. D'autres points de vue intéressants existent, donnant notamment sur la plaine doloise. Une croix et une table d'orientation ornent la face sud du mont.

Au pied du Mont Poupet légendaire, une surprenante et mystérieuse curiosité géologique se cache au plus profond d’une forêt entre la petite cité de caractère de Salins-les-Bains et le charmant village de Myon. Le ruisseau le Conche a creusé un canyon appelé « Gour » qui donne naissance à une cascade qui tombe de 17 mètres dans un petit cirque rocheux et profond.

Le « Gour de Conche » est une cascade sur le ruisseau du même nom, qui tombe de 17 m dans un petit cirque rocheux. C’est au pied de la cascade, dans le Gour, que Gustave Courbet l’a peint, en 1864. Son tableau est en dépôt au musée d’Ornans, en attendant de retrouver le Musée des Beaux-Arts de Besançon, rénové. La Roche Tuffière est une curiosité géologique, située dans un écrin de verdure, à 100 m au sud du pont qui surplombe le Gour de Conche. Issu d’un boyau rocheux d’une dizaine de mètres, un petit ruisseau d’une eau très chargée en calcaire forme un dépôt : il en résulte un belle formation de tuf, en forme de cône.

Les habitants sont surnommés «les éssairis» ce qui signifie «assoiffés» (car ils économisaient l’eau). De petits seigneurs locaux ont dû édifier une maison fortifiée à By ; les portails existaient encore à la fin du XIXe siècle, il en reste une tour carrée recouverte de laves. On peut découvrir trois superbes retables en stuc du XVIIIe siècle dans l’église entièrement rénovée. Site exceptionnel surplombant la vallée de la Loue et la forêt de Chaux.

Arbois est une ville aux multiples références : Capitale des Vins du Jura, 1er vignoble à obtenir l’AOC en France, Petite Cité Comtoise de Caractère, Site Remarquable du Goût, fief de Louis Pasteur… Richesse patrimoniale : église Saint-Just, maisons vigneronnes, Tour Gloriette, Pont des Capucins, Château Pécauld, Maison de Louis Pasteur, Musée de la Vigne et du Vin, Musée – Maison d’Art Sarret de Grozon…

Le Musée de la Vigne et du Vin du Jura, situé au rez-de-chaussée du Château Pécauld, comporte deux parties : une en extérieur, avec un décor de vignes reconstituées ainsi que des vitrines de présentation, et une partie intérieure illustrant les travaux de la vigne, l'histoire sociale et économique des vignerons ainsi que la vinification des vins du Jura (Ploussard, Trousseau, Chardonnay, Vin de paille, Macvin, Vin Jaune)... Tél : 03 84 66 40 45 Site web : www.juramusees.fr/ Ouvert tous les jours de 10h00 à 12h00 et de 14h00 à 18h00 sauf le mardi. Temps de visite : 1h

Construit de 1875 à 1880, il enjambe le canyon du Petit Lison entre Sainte-Anne et Crouzet-Migette avec une vue très impressionnante sur la vallée. Il fait l’objet d’une légende célèbre : pour édifier une passerelle sur le ravin qui domine le torrent de près de 25 m, l’entrepreneur Babet fut en proie à de graves difficultés techniques. Chaque nuit, elle s’écroulait, mais le Diable qui guettait lui acheta son âme et consolida l’édifice, réclamant en plus l’âme de la première personne de passage sur le pont. Ce fut le curé du village qui, élevant son ciboire, chassa le Diable au fond du ravin le faisant disparaître à tout jamais. Ce qui explique la tête de diable sculptée sur la clef de voûte.

Les Repaires c'est aussi un bar et un restaurant ! Au menu : poulet croûte forestière, jambon à l'os sauce vin jaune, pavé de truite de Bonnevaux et la fameuse omelette aux morilles.... ou des assiettes froides de produits locaux. Le resto des Repaires vous accueille pour manger ou boire un verre en terrasse ou au chaud près de la cheminée !

De loin, la renommée de chez Marle, c'est l'incontournable croûte forestière et morilles. Une auberge familiale qu'il faut aller chercher : un cadre unique, une maison en pierre, une salle spacieuse, un jardin à l'ancienne. Une cuisine généreuse, déclinée de produits de la région : pâtisserie, champignons, poissons et charcuteries peuvent être emportés lors de votre séjour ou pour un anniversaire.

Venez découvrir la cuisine traditionnelle franc-comtoise dans cette auberge de terroir où les mets sont confectionnés à base de produits frais et régionaux. Un accueil chaleureux et convivial vous sera réservé lorsque vous franchirez les portes de ce restaurant atypique et paisible où il fait bon se ressourcer que ce soit en famille ou entre amis.

Un accueil chaleureux dans un cadre champêtre à 10 km d'Arc-et-Senans et 6 km de Quingey. Une cuisine traditionnelle, des produits du terroir servis avec générosité, bienvenue au restaurant du Val.

Damien et son équipe en cuisine raviront vos papilles. Amoureux des terroirs, il s'attelle à vous offrir une cuisine généreuse et variée. Il valorise les terroirs français en privilégiant des produits locaux. Venez goûter à nos pizzas cuites au feu de bois, ou des burgers maison et laissez-vous voyager sur notre terrasse ombragée et pourquoi ne pas faire une petite partie de pétanque pour finir en beauté ?

Entouré par la Loue et la nature, l’hôtel – restaurant La Truite de la Loue est un lieu intemporel et culte dans le paysage du Doubs (Bourgogne-Franche-Comté, 25). Davy Ruffin et sa compagne Sabrina vous accueillent dans leur univers avec beaucoup de bienveillance et d’écoute. Ils vous proposent de découvrir leur passion en venant vous reposer dans leur établissement profiter d’un repas franc-comtois mêlant les produits du terroir et le respect des traditions.

Dans notre charmant petit village, venez déguster notre spécialité : la friture de truite fraîche, dans un cadre convivial et chaleureux. À la belle saison, vous pourrez profiter en toute quiétude d'une belle terrasse ombragée. Nous vous accueillons pour vos repas de groupes. Dégustez nos grenouilles fraîches en saison.

Situé entre les vallées de la Loue et du Lison, le restaurant vous propose ses spécialités régionales : croûte aux morilles, morbiflette, truite meunière ou au Vin Jaune, friture de perche, hamburger maison, pintade fermière au vin jaune, fondue au fromage...

Dans une ambiance conviviale et dans un cadre en pleine nature, venez déguster des produits frais issus du circuit court et des spécialités de la région : burger comtois avec saucisse de Morteau, boîte chaude cuisinée avec des vins du Jura, bar à fondue... On aime : le cadre "nature", la convivialité, la terrasse "les pieds dans l'herbe" et les concerts organisés en été.

Restaurant de spécialités régionales. Soirées à thème, organisation de réceptions et repas de groupes : fêtes de famille et séminaires.

Entre Pontarlier et Besançon, située en plein cœur de la Haute Vallée du Lison, cette aire de stationnement de 6 places vous permettra de découvrir notre charmant village. Ici vous pourrez vous détendre et profiter de la source du Lison à proximité immédiate et d'un sentier Courbet, une via ferrata, la Taillanderie. Une aire de services est aussi présente au centre du village. Paiement à la Laiterie du Lizon

Beau manoir fin 19ème avec vue imprenable sur la montagne, grand jardin arboré. À la belle saison, petit-déjeuner copieux et varié en terrasse. Nous servons en priorité des produits locaux. À proximité, un large choix d'activités sportives et culturelles : source du Lison, via ferrata, salines, Ornans. 2 nuits minimum. Repas du soir sur réservation.

Dans un écrin de nature, partez à pied vers la Source, la Taillanderie ou la Via Ferrata. Le lieu est un ancien monastère construit sur un parc d'un hectare arboré offrant des espaces de détente ombragés. Cadre sobre et literie confort. La nourriture est végétarienne, prioritairement en bio, locale. Chambres avec ou sans sanitaires.

À la lisière du bois de Myon, dans le «Doubs» Jura, une maison délicieusement champêtre où Camille, Berthe, Irènée et Yvonne vous ouvrent leur porte. Nos 5 chambres spacieuses avec vue sur la campagne environnante sont toutes équipées de toilettes et salle de bain. Vous y croiserez probablement quelques artistes locaux. Entre cour et jardin, profitez des espaces extérieurs pour vous détendre. Le soir la table d’hôtes est proposée avec produits BIO, sélectionnés chez nos producteurs locaux.

L'aire de services est située en face de la Mairie de Nans-sous-Sainte-Anne. Non surveillée, elle permet la vidange des eaux usées et le remplissage d'eau propre. Les clefs du local abritant le robinet d'eau et le tuyau de nettoyage sont disponibles à la Laiterie du Lizon située à côté de l'aire. Le paiement du service se fait à la Laiterie.

Mitoyen à l'auberge principale des Repaires , le Refuge est un logement pouvant accueillir jusqu'à 12 personnes. Équipé d'une cuisine et d'une grande salle à manger, il permet une autonomie totale des petits groupes sportifs ou amoureux de la nature !

Situés au pied de la via ferrata au centre du joli village de Nans-sous-Sainte-Anne, Les Repaires sont également au départ de nombreux circuits de randonnée. Location à la chambre en pension ou demi-pension et en gestion libre suivant la saison , toute l'équipe des Repaires vous accueille simplement et chaleureusement pour un séjour sportif ou un weekend de farniente en pleine nature !

Douceur de vivre, calme et volupté ... c'est ce que vous trouverez à l'Ombre du Château. Le matin, un généreux petit déjeuner composé de produits régionaux est servi sur la grande table conviviale de la salle à manger. En été, un jardin ombragé avec le chant des oiseaux en fond sonore vous attend tandis que le grand feu de cheminée vous réchauffera l'hiver, blottis dans de moelleux canapés.

Notre hôtel vous propose des chambres calmes et personnalisées, rénovées tout confort. Nous vous accueillons pour un séjour de découverte de la région. Notre hôtel vous propose des chambres calmes et personnalisées, rénovées tout confort. Nous vous accueillons pour un séjour de découverte de la région ou à l'occasion d'un anniversaire, en famille ou avec des amis. Situé dans un petit village au coeur de la vallée du Lison, avec vue sur l'église et le jardin.