Les circuits
Activités
Lieux d'intérêts
Où manger
Où dormir

Découvrez Sainte-marie-kerque, une perle du Pas-de-Calais

Vous-êtes en charge de la destination ?
Nichée dans le charmant département du Pas-de-Calais, Sainte-marie-kerque est une destination incontournable pour les amateurs de nature et d'histoire. À proximité de cette paisible ville, vous découvrirez les richesses du Nord-Pas-de-Calais à travers des paysages enchanteurs et une histoire fascinante. Commencez votre visite par une balade à vélo ou une randonnée le long du canal de l'Aa, où vous...Voir plus

Se balader autour de Sainte-marie-kerque

Voir plus de propositions
Découvrez les circuits de Sainte-marie-kerque.
Voir plus de propositions
Sur les pas du Gros Chêne
6.6 km

Sur les pas du Gros Chêne

Au départ de la Place de la Mairie, d’église en chapelle, de château en clairière, suivez le sentier qui vous mènera au « Gros Chêne », l’arbre emblématique du village. Soyez attentif, du haut de son grand âge il aura peut-être quelques secrets à vous confier... 1 Face au panneau de départ, prenez la rue à droite opposé à l’église Saint-Martin (A). À l’intersection des deux routes départementales, prenez à droite « direction Polincove ». Laissez sur votre gauche la D 226 E et empruntez la petite rue en face. Continuez tout droit sur une cinquantaine de mètres, au croisement poursuivez et prenez à gauche le sentier de terre. 2 Devant la chapelle Leclerc (B), prenez le chemin à droite. Au bout de celui-ci, prenez la rue à gauche et longez le Château de la Baronne de Draëck (C). 3 Prendre la rue à droite, contournez le pré verger, au croisement prendre en face le chemin de terre. Prendre la route départementale 226 à gauche et au lieu-dit la Grasse Payelle tourner à droite rue Notre Dame. 4 Continuez la rue Notre Dame, passez devant la statue de Notre Dame, puis la ferme des autruches, passez 2 croisements, poursuivez toujours tout droit et prendre à gauche le chemin de terre, l’emprunter jusqu’au bout et prendre la rue à droite. 5 Poursuivez jusqu’à la chapelle de la Bézuède (D) prendre la rue à gauche jusqu’au calvaire et au croisement des 4 rues prendre la rue la plus à gauche, la poursuivre jusqu’au bout et tournez à gauche, longez l’autoroute prendre le pont qui la traverse. 6 Prendre à gauche longer le bois et au croisement prendre à gauche la rue qui descend, faites une halte pour admirer le gros chêne (E), poursuivre ensuite la rue sur 1km250, laisser la rue à gauche puis le rue à droite poursuivez sur le chemin de terre. 7 Au croisement des chemins, prendre à gauche puis empruntez le pont qui traverse l’autoroute, poursuivez à droite, au croisement prendre à gauche et poursuivre le chemin qui longe le bois de Cocove. 8 A l’intersection, prendre à droite la route départementale, resserrez-vous bien sur le bascôté, longer ensuite le parc du château de Cocove (F). 9 Au croisement, prendre la rue à gauche (faites bien attention en traversant la route !) la rue se prolonge en sentier de terre. Au croisement des chemins, poursuivre tout droit, passez devant la ferme puis dirigez-vous à droite vers les serres, tournez à gauche remonter la route jusque 250m. 10 Prendre le chemin à droite, longer les parcelles cultivées, puis le bois, au croisement des sentiers, tourner à droite et longer jusqu’au croisement des sentiers de terre. Prendre à gauche puis au prochain croisement prendre le sentier de droite, puis au croisement tournez à gauche. (à droite pour la zutkerquoise) (voir 12) 11 Au croisement prendre la rue à droite, au croisement prendre à gauche la route départementale, et remonter jusqu’au centre du village.

4 h
14 km
Facile
84 Place la Place 62370 Zutkerque
Consulter

Que faire à Sainte-marie-kerque

Voir plus de propositions
Choisissez parmi une variété d'activités à Sainte-marie-kerque et réservez vos préférées.
Voir plus de propositions

Que visiter à Sainte-marie-kerque

Voir plus de propositions
Apprenez l'histoire de Sainte-marie-kerque à travers ses musées.
Voir plus de propositions
Église Saint-Martin
4.3 km

Église Saint-Martin

Le clocher fut reconstruit dès 1791 ce qui révèle la piété des habitants . Il est crénelé. On retrouve ce type de clocher à Polincove et Sainte-Marie-Kerque. L’église est reconstruite en 1806. La nef et le chœur sont en briques et moellons tandis que les deux chapelles latérales construites vers 1864 sont faites uniquement de briques blanches. En 1821, la famille Bomart obtint l’autorisation de construire un calvaire adossé au clocher. Louis Joseph Bomart était maire de la commune en 1806. C’est lui qui dirigea la reconstruction de l’église et du presbytère. Eléments Remarquables La chaire en bois sculpté date du XIXème. Elle comporte 4 panneaux représentant les 4 évangélistes : St Matthieu (tête d'homme), St Jean (l'aigle), St Marc (tête de lion), St Luc (bœuf). Les fonds baptismaux sont en marbre de Belgique, le couvercle est en bronze. L’autel est en bois sculpté. De chaque côté se trouvent les statues de Saint Pierre et de Saint Paul. Les vitraux ont été réalisés par des verriers de Tournai. Deux sont dédiés à St Martin. Les autres dans le chœur ont pour thème St Michel terrassant le dragon, l’agonie de Jésus et jardin des Oliviers et la descente de la croix. Dans la nef, ils représentent les apparitions du Sacré Cœur à Marguerite Marie, Ste Jeanne d’Arc et le baptême de Clovis, l’Annonciation, la Nativité et la Résurrection. Un peu d'histoire ... Le lieu est habité par les Morins avant l’époque romaine puis traversé par des voies romaines qui allaient vers Boulogne. Un château fort y aurait été construit au IVe siècle et en 858 une église a été érigée à 800 m de ce château. A l’époque, cette terre de Ruminghem portait des vignobles. Elle dépendait de l’abbaye de Saint Bertin. En 1218, le curé de Ruminghem se noya en rentrant par l’Aa de la fête de Saint Bertin qu’il avait largement arrosé. Peu avant son bain malheureux, il se moquait des Audomarois dit la chronique de l’époque. Pendant le siège de Saint Omer, en 1638, le comte Piccolimini y établit son quartier général. Le 2 août 1639, le maréchal de la Meilleray s’empara du château de Ruminghem et le rasa. En 1789, Ruminghem relevait du présidial de Bailleul. L’église fut vendue à des démolisseurs (Caron, Gorillot et Bézard) qui revendirent les matériaux. C’est en 1806 que les 877 habitants de Ruminghem retrouvent leur église. Saint-Martin Saint-Martin est un soldat romain. Un jour, celui-ci, donna à Amiens la moitié de son manteau à un mendiant. Jésus ne resta pas insensible à cet acte de générosité puisqu’il apparut la nuit suivante auprès du futur saint, vêtu du manteau en question. Ce fut le commencement d’une grande carrière ecclésiastique, basée sur le schéma classique apparition-vocation-béatification. Saint-Martin, devenu par la suite évêque de Tours, joua un rôle important dans l’évangélisation de la Gaule, et plusieurs milliers d’églises portent aujourd’hui son nom en France.

62370 RUMINGHEM
Consulter
Église St Martin
4.6 km

Église St Martin

Membre du réseau "Églises Ouvertes" Située au cœur de l’ancien comté de Guînes, Audruicq fait partie des communes nouvelles, érigées par les comtes de Guînes à partir du XIIe siècle suite à l’expansion démographique du territoire. À l’origine, Audruicq s’organisait autour d’une église construite vers 1150 sur la place actuelle du marché et dédiée à Saint-Blaise (saint patron des tailleurs de pierre), ainsi que d’un château-fort (aujourd’hui devenu la mairie). Baudouin II, comte de Guînes de 1169 à 1205, développe l’ensemble pour en faire une place-forte qu’il entoure de fossés, les fameuses wateringues (ouvrage de drainage) que l’on retrouve également à Nortkerque. Un peu plus loin dans la commune, il fait également construire une chapelle dédiée à Saint-Nicolas et qui deviendra au XVIIIe siècle, l’église Saint-Martin que l’on connaît aujourd’hui. En effet, la première église Saint-Blaise, devenue une église fortifiée au XIIIe siècle, disparaît au milieu du XVIIe siècle au profit de la chapelle qui s’agrandit pour devenir cette église à trois nefs (hallekerque), typique de l’architecture religieuse du territoire. En 1703, une flèche vient s’ajouter à l’édifice ainsi qu’une tour octogonale en 1772 permettant d’accéder au clocher. Durant la Révolution française, l’église n’est pas vendue ni détruite, mais sert d’entrepôt pour y fabriquer du salpêtre. Aujourd’hui, l’église en briques blondes de sable dispose d’un mobilier XVIIIe siècle : chaire en bois sculpté, autel latéral sud sur lequel on retrouve une peinture du martyre de saint Blaise ou encore orgue provenant de l’église audomaroise de Sainte-Marguerite. Dans le chœur de l’église, le maître-autel et le retable XIXe se confondent avec les vitraux qui représentent saint Patrick et saint Georges et qui ont été offerts par les soldats anglais en 1919, Audruicq abritait un camp britannique pendant la Première Guerre mondiale. Porte d’entrée de la Côte d’Opale, la région Audruicq Oye-Plage offre une campagne authentique. Le long des watergangs, au détour d’une Sécherie de chicorée, ou au cœur de la Réserve Naturelle du Platier d’Oye, partez en balade et offrez-vous un moment de détente et de découverte au cœur d’un terroir chaleureux.

210 Rue de l'Église 62370 Audruicq
Consulter
Église Saint-Martin
4.6 km

Église Saint-Martin

Située au cœur de l’ancien comté de Guînes, Audruicq fait partie des communes nouvelles, érigées par les comtes de Guînes à partir du XIIe siècle suite à l’expansion démographique du territoire. À l’origine, Audruicq s’organisait autour d’une église construite vers 1150 sur la place actuelle du marché et dédiée à Saint-Blaise (saint patron des tailleurs de pierre), ainsi que d’un château-fort (aujourd’hui devenu la mairie). Baudouin II, comte de Guînes de 1169 à 1205, développe l’ensemble pour en faire une place-forte qu’il entoure de fossés, les fameuses wateringues (ouvrage de drainage) que l’on retrouve également à Nortkerque. Un peu plus loin dans la commune, il fait également construire une chapelle dédiée à Saint-Nicolas et qui deviendra au XVIIIe siècle, l’église Saint-Martin que l’on connaît aujourd’hui. En effet, la première église Saint-Blaise, devenue une église fortifiée au XIIIe siècle, disparaît au milieu du XVIIe siècle au profit de la chapelle qui s’agrandit pour devenir cette église à trois nefs (hallekerque), typique de l’architecture religieuse du territoire. En 1703, une flèche vient s’ajouter à l’édifice ainsi qu’une tour octogonale en 1772 permettant d’accéder au clocher. Durant la Révolution française, l’église n’est pas vendue ni détruite, mais sert d’entrepôt pour y fabriquer du salpêtre. Aujourd’hui, l’église en briques blondes de sable dispose d’un mobilier XVIIIe siècle : chaire en bois sculpté, autel latéral sud sur lequel on retrouve une peinture du martyre de saint Blaise ou encore orgue provenant de l’église audomaroise de Sainte-Marguerite. Dans le chœur de l’église, le maître-autel et le retable XIXe se confondent avec les vitraux qui représentent saint Patrick et saint Georges et qui ont été offerts par les soldats anglais en 1919, Audruicq abritait un camp britannique pendant la Première Guerre mondiale. Porte d’entrée de la Côte d’Opale, la région Audruicq Oye-Plage offre une campagne authentique. Le long des watergangs, au détour d’une Sécherie de chicorée, ou au cœur de la Réserve Naturelle du Platier d’Oye, partez en balade et offrez-vous un moment de détente et de découverte au cœur d’un terroir chaleureux.

62370 AUDRUICQ
Consulter
Église Saint-Joseph
5.3 km

Église Saint-Joseph

L’église St Joseph a été construite en 1862, sous le Second Empire, par la famille Delattre Bernet sur un champ lui appartenant. Cette construction s’inscrit dans un contexte de création de nouvelles paroisses en Calaisis entre 1820 et 1881. La famille Delattre Bernet était celle de Monseigneur Evrard, évêque de Meaux, natif de la commune. Eléments Remarquables L’autel, le chemin de croix, les statues, datent de 1862. Le vitrail principal a été brisé par la tempête du 25 janvier 1990. Il a été reproduit à l’original par Luc-Benoît Brouard en 1996. Monseigneur Evrard Monseigneur Evrard est né à Muncq-Nieurlet le 8 mai 1889 dans une famille d’agriculteurs. Il entre au séminaire St Sulpice en 1905. Il reçoit les ordres mineurs en 1908, est nommé sous-diacre en 1912 puis entre comme professeur au Grand Séminaire d’Arras en 1914. Durant la guerre 14-18 il part comme brancardier-aumônier, il sera fait prisonnier en 1916 en secourant des soldats et obtient la croix de guerre et la médaille militaire pour son courage. En 1919, il reprend ses fonctions de professeur et économe au Grand Séminaire d’Arras. En 1929, il est nommé curé de Bruay-en-Artois. En juin 1933, il devient archiprêtre de Calais, doyen de l’église Notre Dame. Ses qualités d’homme d’église attirent sur lui l’attention du Saint-Siège qui le nomme Evêque de Meaux en février 1937. Il se montre plus pasteur qu’administrateur. Il se montre en avance sur son temps dans sa façon d’approcher les gens. Il tombe malade ce qui l’oblige à démissionner en 1942 après un long repos maladie. On lui donne alors le titre d’Evêque de Dionysopolis. Une fois guéri, il réintègre le diocèse d’Arras comme « missionnaire», il a l’ambition de prêcher dans chacune des paroisses du Pas-de-Calais. Il s’installe en maison de retraite en 1954 à St Omer il meurt en 1974 à l’âge de 85 ans. Les funérailles ont lieu à la cathédrale de Saint-Omer le 3 octobre, l’homélie est prononcée par Mgr Huyghes, évêque d’Arras. Il est inhumé à Calais au cimetière sud et transféré en 2012 à Notre Dame de Calais. L’église St Joseph a été construite par la famille de Mgr Evrard. Les armes de Meaux ainsi que les effigies de St Augustin, de Saint-Marcel et du Pape sont repris dans le corbin (haut). La famille de Mgr Evrard a légué sa crosse dorée à l’église après sa mort. Cette crosse est toujours exposée dans l’église. Un peu d'histoire ... On trouve les premières traces du village en 1145, il s’appelle alors NIWERLEDE puis en 1460, on l’appelle MONCQUIEWERLET. On le retrouve en 1720 avec le nom de MUNCQ-NIEURLET : des moines sont passés par là et une rivière a été creusée MUNCQ (moines) NIEURLET (nouvelle rivière). Il n’y a pas trace d’église avant le XIXème siècle. Chapelle Notre-Dame des Bois Cette chapelle a été construite en 1863, sur un terre-plein encadré d’arbres, à l’orée du bois de Recques, sur un site très cher à Mgr Evrard. Ses 60 ans de sacerdoce, en 1972, ont été célébrés en cette chapelle. A l’intérieur, on trouve de nombreux témoignages de piété populaire, datant essentiellement des années 1950. Cette chapelle est construite en briques. La façade est remarquable avec son jeu de briques, souligné par une peinture blanche, où se détache un « ave maria ». La toiture est sommée d’un petit clocher. Saint-Joseph Joseph était artisan charpentier, il est fiancé à Marie lorsque celle-ci se retrouve enceinte par l’action du Saint- Esprit. Il épouse quand même Marie et devient le père nourricier de Jésus. Il est représenté comme un homme juste qui a accepté d’accueillir Marie et son enfant en toute connaissance de cause. On pense qu’il est décédé avant l’entrée de Jésus dans la vie publique.

62890 MUNCQ-NIEURLET
Consulter
Église St Omer
5.6 km

Église St Omer

La construction de l’église St Omer a commencée en 1882. Elle a été livrée au culte le 27 octobre 1889 et léguée à la commune par Mlle Flore Degrez, par testament datant du 28 décembre 1882. L’église St Omer est une réplique de l’église du Rosaire de Lourdes. L’église est orientée Est/Ouest, le chœur étant à l’Est. Le sol de l’église est carrelé en carreaux de Lazéoles. Avec la disposition de la voûte en bras de croix se trouve deux sacristies assez vastes ainsi que deux grandes tribunes. On y accède par des escaliers en pierre. Les portes donnant sur l’extérieur sont en chêne. Une troisième tribune se trouve au-dessus du portail, on y accède également par un escalier en pierre qui conduit par la suite aux cloches. Eléments Remarquables L’ensemble du mobilier est en pierre blanche. Le Maître Autel est construit en pierre fine. Il comprend le tombeau, un double gradin, un retable composé de deux bas-reliefs représentant deux scènes de la vie de St Omer. En haut de l’autel se trouve la statue du Saint ainsi qu’un tabernacle avec une porte en bronze. Le chemin de croix est en terre cuite blanche naturelle encadré en pierre comme les autels. Il est disposé dans les refends (murs porteurs) séparant les petites nefs par deux stations adossées. La cérémonie religieuse de la bénédiction du chemin de croix a eu lieu le 29 juin 1890. La girouette de l’ancienne église se trouve au sommet du clocher de l’église de Saint-Omer-Capelle. La chaire est en pierre fine comme les autels. Les marches sont en tonnerre de façon à faire corps avec l’avant-dernier pilier. Le dosseret en pierre est garni de bois. On y trouve également un abat voix en pierre avec une ornementation centrale et un clocheton. Les petits autels sont placés sous les arcades latérales. Ils sont construits en pierres fines et comprennent chacun un marchepied, un tombeau, deux gradins, un tabernacle et un retable avec une niche centrale et une statue. Un peu d'histoire ... Un acte de donation de la comtesse Ide de Boulogne mentionne le village en février 1140. L’église était alors rattachée à l’abbaye Notre Dame de la Capelle. Elle fut détruite à plusieurs reprises. Celle qui fut reconstruite en 1715 avait deux nefs. Elle se trouvait à l’emplacement du cimetière actuel. La tour tomba le 1er janvier 1793. Elle fut restaurée en 1816. Cette ancienne église a été vendue pour être démolie en 1890. Dans le même temps, la nouvelle église voyait le jour.

62162 VIEILLE-EGLISE
Consulter
Eglise St Martin
6.7 km

Eglise St Martin

L’église St Martin est de style néo-gothique. Les matériaux utilisés sont des briques et des moellons de calcaire. Sur la face sud de la tour est indiqué 1892, date de l’une des réfections du clocher. Cette tour massive est la partie de l’église la plus ancienne. Elle a été terminée en 1555. Le reste de l’église a été détruit pendant la Révolution de 1789: les meubles et les matériaux ont été revendus. La tour est surmontée d’un clocher en bois couvert d’ardoises. Il abrite deux cloches de 1715 et 1770. Le portique sculpté a été édifié en 1807. On retrouve 10 contreforts sur l’élévation Nord et Sud de l’édifice. l le chevet de l’église est élevé en briques. Eléments Remarquables La chaire est en bois taillé vernis. Elle provient de l’église du St Sépulcre de Saint-Omer, et date du XVIIIème siècle. Elle est classée au titre d’objet à l’inventaire des Monuments Historiques depuis 1978. Le portail d’entrée en arc de plein-cintre est encadré par une architecture qui nous rappelle celle des temples grecs. Nous retrouvons en effet de part et d’autre de la porte d’entrée un pilastre d’ordre ionique et le tout surmonté d’une corniche denticulée, ainsi que d’un fronton triangulaire. Outre les décorations végétales, ce fronton présente les inscriptions « IHS », correspondant au monogramme du Christ. Ces éléments nous permettent d’identifier le type d’architecture de la tour-porche de l’église comme étant de style Renaissance. Le chœur, construit dans le même style architectural que la nef, présente le maître autel lui aussi de style gothique; un haut relief de St Martin y est encastré. Devant lui, on retrouve le nouvel autel en calcaire créé en 1970 suite aux réformes du Concile Vatican II qui dicte aux prêtres de célébrer la messe face aux paroissiens et d’abandonner le latin. Le chemin de croix est en céramique. Il a été fabriqué à l’abbaye St Paul de Wisques et acheté par l’abbé Diéval On retrouve un autel à chaque extrémité des bas-côtés : l’autel de la Vierge et l’autel du Sacré Cœur. Comme celui du chœur, ils sont en bois richement sculptés et rappellent l’architecture gothique. L’église abrite trois tableaux : un représentant la rencontre de St Paul avec le Christ ressuscité à Damas, un représentant l’Assomption de la Vierge et le dernier montrant le Christ en croix. Un peu d'histoire ... Un château ancien, celui de Montoire, est à l’origine de la paroisse. En 1173, le comte de Guînes, Baudouin II, fonde une chapelle. Les terres sont asséchées par les moines de Licques et de Saint Bertin. L’église est pillée en 1595 par les Français. L’église initiale qui était en croix latine fut démolie lors de la Révolution Française. Seule la tour qui se trouvait dans l’axe du transept fut respectée. La tour-porche achevée en 1555 est la partie la plus ancienne de l’église de Zutkerque qui faisait alors partie du diocèse de Thérouanne. Il semblerait qu’à cette époque, le chœur était établi en ce lieu, c'est-à-dire tourné vers l’Est, comme dans la plupart des églises. Le reste de l’édifice fût pillé puis détruit lors de la Révolution Française de 1789. L’église fût reconstruite entre 1806 et 1813, et connut de nombreuses restaurations. A l’entrée de l’église, sur la gauche, on trouve une reproduction de la grotte de Lourdes. Saint-Martin Saint-Martin est un soldat romain. Un jour, celui-ci, donna à Amiens la moitié de son manteau à un mendiant. Jésus ne resta pas insensible à cet acte de générosité puisqu’il apparut la nuit suivante auprès du futur saint, vêtu du manteau en question. Ce fut le commencement d’une grande carrière ecclésiastique, basée sur le schéma classique apparition-vocation-béatification. Saint-Martin, devenu par la suite évêque de Tours, joua un rôle important dans l’évangélisation de la Gaule, et plusieurs milliers d’églises portent aujourd’hui son nom en France.

62370 ZUTKERQUE
Consulter

Où manger à Sainte-marie-kerque

Voir plus de propositions
La cuisine de Sainte-marie-kerque est à découvrir absolument.
Voir plus de propositions

Où dormir à Sainte-marie-kerque

Voir plus de propositions
Réservez votre séjour dans l'un des hébergements de Sainte-marie-kerque.
Voir plus de propositions
Prudence !
Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾