Découvrez Eyzin-pinet, Isère, Rhône-Alpes en explorateur

Cette boucle vous permettra d'apprécier les richesses naturelles des environs d'Eyzin-Pinet, en parcourant notamment ses coteaux riches en orchidées, mais aussi son patrimoine historique avec la tour de Pinet, vestiges d'un château du 12ème siècle. 1- Longer les terrains de tennis par un chemin qui monte au poteau "Le Salin". Prendre alors à droite et gagner le poteau "Chez David". 2- Tourner à gauche et continuer à gravir le coteau par une piste qui entre en forêt domaniale des Blaches. A l'intersection avec un chemin forestier, aller à droite et rejoindre la D538 au poteau "L'étang des Blaches". Virer à droite puis emprunter à gauche la route en direction de Montseveroux. 3- Emprunter tout de suite à gauche la large piste qui longe un étang (privé). Passer un premier poteau "les Blaches" et continuer tout droit. Au second poteau, prendre à gauche la direction de "Pinet". Après deux traversées de route, rejoindre le poteau "Tour de Pinet". > Variante permettant de réaliser une petite boucle (5,7 km, 1h45) : descendre au pied de la tour de Pinet et continuer jusqu'au hameau de Pinet. Emprunter une piste à gauche jusque "Le Salin". 4- Prendre à droite et rejoindre le poteau "Les crêtes". S'engager à gauche dans le chemin empierré qui descend le coteau et rejoint une route ; aller à droite jusqu'au bout de la rue et poursuivre sur un large chemin en sous-bois. Rester sur ce chemin à flanc de coteau qui borde la paisible combe de Vaux (Espace Naturel Sensible). Déboucher sur une piste partiellement goudronnée puis gagner un hameau. Poursuivre à droite sur la route et monter jusqu'au poteau "Le Paviot". 5- Se diriger vers Eyzin-Pinet. Descendre jusqu'à la D41 au poteau "Thibaud". Prendre à droite puis, tout de suite après un pont, emprunter à gauche une piste agricole qui rejoint le ruisseau de la Gère. Traverser à gué et continuer tout doit pour rejoindre le coteau que l'on monte pour rejoindre une route ; la suivre à gauche. 6- Après les habitations, emprunter le sentier sur les crêtes. Descendre ensuite sur une route qui traverse un hameau. Dans une impasse, prendre un large chemin herbeux sur la droite et atteindre le poteau "La Garde". 7- Suivre à gauche la direction d'Eyzin-Pinet. Après une traversée de route, poursuivre sur un large chemin empierré. Longer une peupleraie et traverser de nouveau la Gère. Rejoindre une route à flanc de coteau. 8- S'engager en face dans un sentier qui grimpe jusqu'à une route ; l'emprunter à droite jusqu'à une intersection. Poursuivre par la montée du Colas et dépasser les habitations avant de virer à gauche sur un chemin en prairie. Rejoindre une bâtisse isolée que l'on contourne par la droite afin de retrouver le poteau "Chez David". 2- Par l'itinéraire de l'aller, rejoindre le point de départ. Attention aux traversées des routes fréquentées. Respectez les cultures. A voir : la Tour de Pinet et la forêt domaniale des Blaches. A voir: une curiosité, vous passerez le long d’un mur d’art brut, créé dans les années 1980, par un chasseur de serpent.

Alternance de vallons verdoyants et de parties boisées, avec quelques beaux points de vue. A voir aussi, la halle et les restes d'un édifice religieux du 13ème siècle à St Georges. 1- Du carrefour au coeur de Moidieu-Détourbe (poteau "Moidieu"), se diriger vers le centre du village. Bifurquer de suite dans la ruelle montant à droite ; elle conduit au départ d'un large chemin, au pied d'une tourelle marquant l'angle d'une bâtisse. Le chemin monte à travers chmps (vue sur Moidieu et son prieuré) et rejoint une route sur le plateau ; la prendre à droite et gagner Cancelet. 2- Dans les maisons du hameau, s'engager à gauche dans un chemin ; il débouche sur une route (poteau "le Gabot") que l'on descend sur près d'1 km jusqu'à un embranchement 'poteau "Vernéa"). Poursuivre tout droit, passer le pont pour trouver un départ de chemin à droite (second poteau "Vernéa"). > Petite boucle (9,5 km, 3h) : continuer sur la route à gauche, puis emprunter la piste forestière, à droite après les petites maisons. Rejoindre la boucle principale au poteau "Bois communal". 3- S'engager à droite dans le chemin en direction du bois de Saint-Georges. Franchir un ruisseau et le longer sur la droite par un chemin en lisière de forêt. Traverser le bois du Louvat et rejoindre une route dans le prolongement du chemin. Aller tout droit aux croisement successifs. Peu après un virage, prendre à gauche vers les Grandes-Bruyères. A la bifurcation suivante, opter pour la voie de droite. Au carrefour suivant, continuer à monter (chemin des Crêtes). Passer deux habitations. 4- A la seconde habitation, tourner à gauche dans un chemin. Atteindre une piste forestière que l'on emprunte à droite. A la sortie du bois, rejoindre une route sur la gauche. Continuer sur environ 200 m. 5- S'engager à droite dans un chemin de terre entre deux clôtures. Il vire deux fois à fauche et atteint un embranchement (poteau "Le bois") ; prendre à gauche. A l'intersection avec une route, prendre à gauche, sur quelques mètres, puis descendre à Saint-Georges-d'Espéranche par une route à droite. Atteindre la place de la mairie (poteau "Saint-Georges d'Espéranche"). Emprunter la rue Marchande jusqu'à la place de la halle (16ème siècle). Continuer tout droit par une route qui descend brusquement. 6- A la fin de la descente, prendre un chemin sur la gauche qui traverse un ruisseau. Passer le long de deux petits étangs, en lisière de forêt, puis rejoindre une route. Descendre jusqu'à un croisement (poteau "le Baret"). 7- Prendre à gauche direction "Vilnin". Poursuivre sur une piste qui grimpe sur le coteau. En haut, s'engager à droite dans une piste agricole au niveau d'une ferme. Redescendre jusqu'à la route (poteau "Vilnin") ; l'emprunter à gauche pour monter au Servanin. Traverser le hameau et rester sur la route de Moidieu. A la bifurcation, rester sur la voie de gauche et atteindre un départ de chemin sur la gauche (poteau "Bois communal"). 8- Poursuivre tout droit sur la route, couper un carrefour (poteau "Le Meillou") et continuer jusqu'à l'intersection avec une piste agricole (poteau "Laveyssin"). 9- Suivre cette piste à gauche et parvenir, quelques mètres plus bas, à un croisement (poteau "Laveyssin Bas"). Prendre en face pour descendre à Moidieu. A la route départementale, prendre à gauche, traverser la Vésonne et retrouver le point de départ. A voir : Le village de Saint-Georges-d'Espéranche et la grange du Guilolet.

Cette grande boucle champêtre vous fera découvrir les environs de Saint-Sorlin-de-Vienne, du vallon verdoyant de la Suze à la forêt domaniale des Révolets, offrant des points de vue sur les Alpes.

Cette grande boucle champêtre vous fera découvrir les environs de Saint-Sorlin-de-Vienne, du vallon verdoyant de la Suze à la forêt domaniale des Révolets, offrant des points de vue sur les Alpes. 1- S'engager en direction du "Bois du Rejet" sur un sentier qui sort rapidement des bois pour rejoindre une route ; la prendre à gauche sur environ 300 m et trouver sur la droite, le refuge du bois de l'Eglise. 2- Poursuivre, à gauche du refuge, sur un chemin qui mène au carrefour du "Bois du Rejet". 3- Virer à gauche et, après deux traversées de route, parvenir au hameau de la Bourgeat. Prendre à droite, traverser le hameau et virer à gauche pour continuer la descente. 4- Dans un virage à droite, continuer tout droit sur la route des Molles ; elle débouche sur une piste qui descend au milieu des terres agricoles et traverse le ruisseau de la Suze. La piste vire à gauche et rejoint une route. Monter à droite pour rejoindre la D538 ; l'emprunter à gauche sur quelques mètres. 5- S'engager à droite sur un chemin herbeux jusqu'au carrefour de "Pin Rond". 6- Descendre par la route et traverser la D538. Continuer par la route qui rejoint la Suze. Après le pont, emprunter à droite le chemin de la Suze (environ 1,6 km) et monter jusqu'à la bifurcation "le Coin". 7- Tourner à gauche, chemin des Frênes, traverser la D167 et dépasser une ferme. Continuer sur le chemin de droite et rejoindre le hameau du Coin. S'engager sur la route qui vire à gauche et rejoint le poteau "la Cure". 8- Continuer sur la route principale en direction de Saint-Sorlin-de-Vienne. Sortir du hameau et rejoindre la D46 ; l'emprunter à gauche sur quelques mètres puis s'engager à gauche dans un chemin forestier. A la première intersection, virer à droite et retrouver la D46 ; descendre en face dans le vallon du Suzon. 9- Prendre un chemin sur la gauche qui entre dans les bois, traverse le Suzon et monte sur l'autre versant. A la sortie du bois, le chemin vire à gauche. Se diriger ensuite sur le chemin de droite, avant les premières habitations, qui monte en forêt domaniale des Révolets. 10- Aux "Révolets", suivre la piste forestière à gauche. Faire de même au carrefour suivant et rejointe la D46. Traverser pour s'engager sur la C10 et rejoindre le point de départ.

Itinéraire facile et agréable. Paysages de plaines, très champêtres avec des passages en sous-bois et quelques beaux points de vue. 1- Depuis la place de la Paix (poteau "Estrablin"), s'engager dans la rue du Dauphiné. Continuer jusqu'à l'embranchement avec la C 8 menant à Septème ; la prendre à gauche sur environ 200 m. 2- Tourner à droite dans le chemin des Paulières, d'abord goudronné, puis en terre, qui longe le coteau. Atteindre un embranchement (poteau "Combe Gelas"). 3- Continuer tout droit sur la piste au pied du coteau. Au bout, virer à droite dans le hameau du Julien. Franchir sur un petit pont le ruisseau de la Vésonne et atteindre une route perpendiculaire ; l'emprunter à gauche pour gagner Moidieu. Atteindre un carrefour au cœur du village (poteau "Moidieu-Détourbe"). 4- Emprunter la rue à gauche (route de Septème). Franchir une nouvelle fois la Vésonne. Au carrefour suivant, prendre à droite, puis dans le premier chemin à gauche, face à un hangar agricole. Le chemin goudronné, en terre, puis de nouveau goudronné, monte progressivement sur un petit plateau et atteint un groupe de maisons. 5- Poursuivre la montée par une voie d'accès à une habitation, et le chemin qui la contourne par la droite, puis évoluer à travers champs. Attendre une croisée de chemins (poteau "Laveyssin-Bas"). > Possibilité de redescendre le coteau jusque "Combe Gelas" par la piste de gauche puis de gagner le point de départ par l’itinéraire de l'aller (5,7 km, 1h30) 6- Poursuivre en face jusqu'à la route (poteau "Laveyssin") ; l'emprunter à gauche jusqu'à la D38. Traverser et suivre tout droit une piste forestière sur environ 150 m. 7- Tourner à droite dans un chemin forestier ; il vire à gauche, coupe une route et progresse dans le bois de Chapulay. Atteindre un embranchement ("poteau Chapulay"). 8- Continuer tout droit en suivant un petit sentier (bornes thématiques). Passer vers la ferme de Damary et continuer par une piste qui descend brusquement dans la combe des Vents et remonte par un sentier escarpé sur l'autre versant. Atteindre une intersection (poteau "Le Devey"). 9- Prendre à gauche. Passer sous une ligne haute tension et, par une piste agricole, rejoindre une route qui descend jusqu'à une route perpendiculaire ; aller à gauche jusqu'à un carrefour dans le hameau de Malatête (poteau "Malatête"). Poursuivre tout droit jusqu'à une patte d'oie au niveau d'une ferme. 10- Tourner à droite sur un large chemin de terre. A l'intersection suivante, aller à droite. Le chemin débouche dans le virage d'une route. Prendre à gauche et monter par la route qui se prolonge en chemin de terre jusqu'à un petit plateau. Au débouché sur la route, prendre à droite. A l'intersection suivante, prendre de nouveau à droite. Environ 1,3 km plus loin, dans la descente, parvenir au niveau d'un réservoir d'eau. 11- Prendre à gauche jusqu'au Bessay ; le traverser et continuer dans la plaine. A l'embranchement suivant, prendre à gauche et atteindre une intersection (poteau "Le Bessay"). Continuer tout droit. Rester sur cette route jusqu'à un stop à l'entrée du village d'Estrablin. Prendre à gauche et rejoindre le point de départ. Attention aux traversées de routes départementales, notamment la RD502 entre les n°4 et n°7. A voir : la maison forte d'Aiguebelle, l'hôtel de la Gabetière, l'église de Pont-Evêque et les vestiges de captage et aqueduc romain.

Distance : 30 km Durée : 6h Dénivelé : 544 m Suite à la traversée du village de Montseveroux, vous entrerez dans le bois de Taravas. Après un passage dans la plaine, vous rejoindrez le site médiéval de Revel-Tourdan. Un conseil : laissez-vous bercer par le bruit des sabots aux détours des petites rues étroites du bourg ancien de Revel et prenez le temps d'admirer l'église et les maisons traditionnelles de ce village. Poursuivez votre chemin vers Primarette pour arriver au coeur des Bonnevaux. Après quelques petits passages sur le goudron, vous pourrez apprécier le charme paisible de la forêt des Blaches.

Petite randonnée à travers les coteaux des Bonnevaux jusqu'au bord de la Sanne. points de vue sur la vallée de varèze. Distance : 6,6 km Durée : 2h Dénivelé : +159 m Niveau : Facile

Petite boucle sur les hauteurs de Savas qui vous offre de jolis points de vie sur le Piat et la plaine de Bournay A savoir : Savas et Mépin étaient autrefois 2 localités séparées. Elles devinrent chacune un village pour être réunies et n'en former qu'une.

Courte et ombragée, cette très jolie balade familiale vous fera découvrir le Bois Thomas, ses châtaigniers et sa lumière, avant d'entamer une descente avec vue panoramique sur Mépin et la plaine de Bournay. Départ à Mépin (église) Remonter en direction de "Crêt Moussey", puis prendre à droite "les Moilles Nord", puis "Mépin"

Laissez-vous surprendre par le charme et le caractère d’un pays résolument rhodanien : lumière, parfums, vignobles, vergers. De belles et tranquilles randonnées à quelques encablures de Lyon. Au départ de Jardin (parking vers la salle polyvalente), revenir sur Vienne par la D167. À Saint-Benoît, prendre immédiatement à gauche la D46a qui monte en direction de Châlon. Au sommet, poursuivre à gauche sur la D46, jusqu’au carrefour avec le C2, que l’on emprunte à droite en descendant vers les Côtes-d’Arey. À l’entrée du village, s’engager à gauche sur la D131a, puis la D131 vers Vernioz. Au croisement avec la D37, se diriger vers Assieu jusqu’au pont sur la Varèze, où l’on prend à gauche le chemin de Charinas. Peu après ce hameau, poursuivre à gauche vers Saint-Alban-de-Varèze. Dans le village, prendre la D37, à droite. À l’entrée du Gontard, monter à gauche vers Les Aliziers et la Ferme Carcel. Conserver la route de crête jusqu’à Bozancieu. Au château d’eau, tourner à gauche, et poursuivre sur le C1 (à l’opposé de Montseveroux). À 200 m, prendre la direction de La Coquillière et rejoindre la D167. Rentrer à Jardin par Saint-Sorlin-de-Vienne.

Jazz à Vienne vous donne rendez-vous pour la 44eme édition du festival en 2025 ! Chaque année, ce sont plus de 200 000 festivaliers qui viennent à la rencontre des 1 000 artistes se produisant sur 4 scènes dont la plus mythique : le Théâtre Antique ! Ce festival de renommée internationale met toutes les notes à l’honneur : gospel, blues, soul, funk, ethnique… Elles trouveront toutes une place particulière sur les scènes du festival car l’évènement se vit pleinement autant au Théâtre Antique que sur l’une des différentes scènes ! Le Théâtre Antique, édifié au 1er siècle, est le lieu emblématique de Jazz à Vienne. Son acoustique singulière mêlée à l’empreinte de l’histoire offre un cadre exceptionnel pour le public et les artistes de renommée internationale qui s’y produisent. Réel mélange entre modernité et ancien, métissage musical sincère, le festival riche de sa diversité se veut pluriel et ouvert à tous.

Cultures de plantes oléagineuses pour la production d'huiles végétales bio Elevage d'ânes pour la production de lait bio Fabrication directement à la ferme de savons et cosmétiques naturels à l'huile de cameline et au lait d'ânesse Présente au marché de Villette de Vienne chaque premier vendredi du mois (15h30 à 18h30) Point de vente du territoire : La ronde des fermes (157 Rte du Bessay, 38780 Estrablin) Graine de Lin (24 Rue Clémentine, 38200 Vienne) Les Façonnarts (99 Rue de Bourgogne, 38200 Vienne) Institut Candy (115 Rue des Marchands, 38200 Luzinay) Maison Colombier (523 Rte de Marennes, 38200 Villette-de-Vienne) Maison Gaillard (24 Rue Centrale, 69360 Communay / 47 place de la poste, 38200 Villette-de-Vienne / Pl. de la Mairie, 69780 Toussieu)

Vous serez charmés par cette demeure du XVIII° siècle et son parc remaniés au XIX° siècle par les célèbres architectes paysagistes Henri et Achille Duchêne qui ressuscitèrent les jardins à la française et furent les "jardiniers" des princes et des rois. Tout autour du Château, le parc est omniprésent. Henri et Achille Duchêne vont alléger le style officiel de leur époque, transformant le château en un grand théâtre de la vie sociale et mondaine. Que cela soit dans la galerie ou la salle à manger Renaissance, ils proposent des dessins des vitraux ou des grandes tentures évoquant le théâtre. Les dix hectares du parc sont couverts de jardins aux déclinaisons thématiques : jardin florentin, jardin à la française, jardin de l’ombrage, ruines de Pâris, grotte d'Aphrodite, mail... Aujourd'hui, le château et son parc, propriété du Marquis de Biliotti, est en cours de restauration et devraient retrouver, après un programme de grands travaux, son lustre de 1887, date à laquelle la grande Sarah Bernhardt s'émerveilla « d'une si exquise propriété. » Le château est inscrit partiellement : façades et toitures et, pour sa partie intérieure, le vestibule (escalier et rampe en fer forgé, hall, chapelle), la grande salle à manger, la salle du soubassement couverte de peintures murales ; les dépendances, façades et toitures dont la salle de bal, la galerie des musiciens, la charpente ouvragée, les jardins, le parc avec leurs éléments maçonnés, le système hydraulique et la clôture, ainsi que les parcelles sur lesquelles se trouve le domaine.

Vous pourrez admirer pleinement, au cœur d'une nature préservée, les richesses et la beauté de la faune et de la flore européennes. Parc paysager. Deux mille arbres et arbustes représentant plus de 70 espèces européennes agrémentent encore aujourd'hui ce vaste espace naturel qui, depuis 1991, propose au visiteur un parcours botanique mettant en valeur les formes, les couleurs et les propriétés médicinales de ces espèces. Alentour, un parc animalier abrite 150 "pensionnaires" dont l'approche habituellement difficile est ici facilitée.

Accessible dès 10 ans à condition de savoir nager, le téléski nautique est une activité de loisir encadrée. Sur le plan d’eau du Wam Park de Lyon Condrieu, il permet la pratique de plusieurs activités de glisse nautique. Plusieurs activités sont accessibles et ce du débutant au pratiquant confirmé : kneeboard, ski nautique, wakeboard, wake skate. Le départ se fait en douceur car la vitesse est adaptée à chaque niveau de pratique : vitesse réduite pour les débutants entre 12h et 13h en juillet et août, vitesse normale (30 km/h) et vitesse accélérée pour les passionnés. Après un briefing dispensé par les moniteurs qualifiés, vous pourrez rapidement appréhender le démarrage et effectuer vos premières glissades et découvrir les différentes activités proposées. Sensations garanties !

À seulement 40 minutes de Lyon, venez prendre l'air au Wam Park ! La base de loisirs vous permet de profiter d'une plage et d'une multitudes d'activités pour une journée de détente en famille ou entre amis ! Située entre Lyon et Valence, la base de loisirs Wam Park est nichée dans un cadre verdoyant surplombée par les célèbres coteaux viticoles AOC ! Parmi les activités proposées sur place : - Grand et petit téléski nautique - Watergames (jeux aquatiques gonflables) - Water jump (toboggans aquatiques) - Water Adventure (Pilotage d'un bateau) - Location de paddle Des activités terrestres sont également disponibles : - plage de sable (avec baignade surveillée de 14h à 18h en juillet et août) - mini-golf - park accrokids (parcours dans les arbres pour les petits) - Bar de plage et restauration rapide - Terrain de pétanque et de beach volley Bref, le paradis pour passer une journée en famille, entre détente et activités !

Ce site sacré apparaît dès l'an mil mais le chœur et la crypte classés Monument Historique du XII° siècle rappellent qu'il était gardien de reliques saintes et haut lieu de pèlerinage. La maison du prieur a conservé des fragments de peintures médiévales. L'ancien prieuré de Salaise-sur-Sanne est un monument bien protégé, en partie classé monument historique (le chœur et la crypte du XIIe). Ce prieuré des moines de Saint-Claude, dont l’origine remonte à l’époque carolingienne, constitue avec la maison du prieur attenante, un ensemble architectural magnifiquement restauré dans un environnement verdoyant et au calme. Ce monument, agrémenté d’un jardin, est reconnu comme un joyau du patrimoine salaisien, dans son écrin de verdure à proximité de la Sanne. Un lieu privilégié qui a aujourd’hui une vocation culturelle pour accueillir des concerts, expositions, visites guidées, conférences et autres animations. Programmation culturelle d’avril à octobre à découvrir sur le site internet de la ville de Salaise-sur-Sanne : www.mairie-salaise-sur-sanne.fr Service culturel de la Mairie : 04 74 29 00 80

Gîte au coeur d'une exploitation agricole spécialisée dans l'élevage de chèvres. Une adresse idéale pour apprécier la vie de la ferme ! Gîte à la ferme, pour 12 personnes (5 chambres) dans le Parc Naturel du Pilat, à environ 40 km au Sud de Lyon, près de Vienne, Givors et Condrieu. Sur place, les enfants et les plus grands pourront découvrir le métier d'agriculteur et d'éleveur de chèvres, assister à la traite et déguster les rigottes de Condrieu (A.O.P). Laurence et Mickaël vous réserveront le meilleur accueil. Le gîte est aménagé dans une maison en pierre typique de la région, sur 3 niveaux (ambiance campagne, poutres apparentes, habillage bois). Au rez-de-chaussée : vaste hall d'entrée, WC, grand séjour (espace salon avec cheminée décorative, espace repas), cuisine ouverte (four traditionnel). A u 1er étage : salle de bains (douche + baignoire), salle d'eau. 2ème WC, 4 chambres (1 chambre 1 lit 160 X 200 cm) (1 chambre 1 lit 140 X 190 cm) (1 chambre 2 lits de 90 cm) (1 chambre 3 lits de 90 cm, escaliers d'accès à une autre chambre triple au niveau supérieur). À l'étage supérieur, 1 vaste chambre avec 3 lits de 90 cm (escaliers d'accès à la chambre triple au niveau inférieur). Lit bébé sur demande. Deux appareils à raclette à disposition. Vue magnifique sur la campagne et la chaîne des Alpes certains jours, depuis les fenêtres du séjour, de la cuisine et des chambres à grand lit. A l'extérieur : cour paysagée, commune avec la ferme. Parking. Animaux domestiques refusés sauf chats. Possibilité d'accueil de chevaux (supplément, se renseigner auprès des propriétaires). Vous êtes sur une ferme en activité avec 150 chèvres. De ce fait, en été, les mouches sur place sont nombreuses et peuvent empêcher par exemple de prendre le repas du midi à l’extérieur. A l’intérieur, toutes les fenêtres sont équipées de moustiquaires pour votre confort.

En plein cœur du Pilat, très facile d'accès à proximité de Vienne et de Givors, ce gîte est idéal pour un regroupement ou une fête, dans une ambiance équestre. Il est aménagé sur un vaste terrain arboré, clos et très ombragé. A proximité immédiate la maison des propriétaires, vous trouverez sur place un local de vente de produits équestres. Au rez-de-chaussée du gîte : séjour/cuisine professionnelle et possibilité de louer en plus salle de réception. Étage avec accès plain-pied : 5 ch. (1 ch. accessible pers. handicapées 1 lit 2 pers., 1 lit superposé, salle d'eau, wc privés ds la chambre ; 1 ch. 4 lits 1 pers. ; 3 ch. 5 lits 1 pers. ; 1 dortoir 9 lits 1 pers. en bas flanc), 2 espaces sanitaires composés chacun de 3 douches, 2 wc, 5 lavabos. Ch. central.. La pièce de jour donne directement sur une terrasse ombragée avec salons de jardin en bois. Possibilité de couchages supplémentaires dans des petits chalets en bois. Au départ du gîte, vous aurez la possibilités de faire des balades ou de la randonnée.

Le gîte vous accueille dans une maison récente, complètement indépendante avec vaste terrain clos, en plein cœur du Parc Naturel Régional du Pilat. Au rez-de-chaussée : vaste pièce de vie avec coin cuisine et coin salon, 2 chambres avec lits simples (possibilité de convertir en lit double), salle de bains et wc séparé. Une buanderie et un garage sont également à disposition A l'étage, retrouvez 2 chambres supplémentaires (d'une capacité d'une et 3 personnes), une salle d'eau avec douche, lavabo et wc. Sur un vaste terrain clos, profitez d'une terrasse couverte avec salon de jardin et barbecue, abri couvert pour vélos. Idéal pour un week-end ou séjour en famille ou entre amis à proximité de Vienne, Condrieu ou Givors.

Tour de guet, la Tour de Pinet est le vestige solitaire du château fort du mandatement de Pinet.

Composée de deux secteurs : le Genévrier et Le Rôti, la Combe de Vaux a été classée « Espace Naturel Sensible » par le département de l’Isère en 2005. Le randonneur y trouvera des pelouses sèches qui sont considérées comme des espaces naturels fragiles où poussent des plantes herbacées préférant les sols pauvres . Elles constituent une particularité paysagère et sont le témoin d’un passé agricole. Ces prairies accueillent une flore particulièrement diversifiée. Ici, on pourra découvrir plus de 25 espèces d’orchidées. La Combe de Vaux abrite également une faune originale. On y trouve, entre autres, la pie-grièche écorcheur, le sonneur à ventre jaune ou de magnifiques papillons. L’association Nature vivante œuvre pour préserver la biodiversité et l’intérêt paysager du lieu. Elle y mène également de nombreuses actions pédagogiques. Au cours de votre randonnée, vous passerez le long d’un mur d’art brut, créé dans les années 1980, par un chasseur de serpent…

Au cœur du village, derrière l'église de style néo-roman conservant des éléments médiévaux (clocher, chœur orné d'une remarquable peinture murale représentant les 12 apôtres), sont adossés les bâtiments de l'ancien prieuré, mentionné depuis le XIe siècle. L'actuelle église, de style néo-roman, résulte de la reconstruction en 1900 de la nef et des bas-côtés ; de l'église médiévale subsistent un clocher ainsi qu'un chœur, orné de peintures murales du XIVe siècle protégées au titres des Monuments Historiques, et représentant les 12 Apôtres, ainsi que le clocher. Disposés à l'est, ils sont adossés aux bâtiments du prieuré, sans communication directe entre les deux édifices. Le prieuré, élevé sur 3 niveaux, est le résultat de plusieurs campagnes de construction qui restent à étudier. Des fenêtres à meneaux en molasse du XVe siècle sont encore bien conservées. Une observation sommaire permet d'identifier comme appartenant à un premier état, un bâtiment rectangulaire desservi par une tour octogonale abritant l'escalier en vis. On y accédait par la large porte surmonté d'un tableau portant sans doute les armoiries du prieur qui fit édifier le bâtiment (façade est) ; cette porte débouchait dans une cour ou sous une galerie donnant accès à la porte principale de l'escalier, comme le montrent les vestiges de croisées d'ogives. A l'intérieur, le bel escalier en vis permet de desservir les différents étages par des portes jumelées séparées par un pilier central, avec linteau en accolade. Depuis l'escalier, deux portes superposées donnaient sans doute accès à des latrines en encorbellement. L'édifice de l'ancien prieuré a obtenu le label "Patrimoine en Isère", récompensant la qualité patrimoniale d'un édifice d'intérêt départemental.

Cabane des chasseurs et aire de pique-nique. Départ de sentiers de randonnées. Sept des huit communes françaises portant le nom de Saint-Sorlin, une déformation de Saint-Saturnin, sont situées dans la région Rhône-Alpes. Le village de Saint-Sorlin est né à l’articulation de deux paysages contrastés : au nord un vaste versant cultivé descendant en pente douce vers le cours de la Suze (223m d’altitude), entaillé par des vallons boisés à l’allure de ravins, les Combes. Au sud, la pente, plus forte et entièrement boisée, à l’exception de quelques clairières, donne accès au plateau de Bonnevaux qui porte le point culminant de la commune (423m). Entre les deux, le village, carrefour ancien, s’est étalé tout au long de la D167. Dopée par la périurbanisation de Vienne à partir des années 1980, Saint-Sorlin-de-Vienne connaît aujourd’hui une croissance démographique modérée. Il a pourtant su préserver son cadre naturel, qui font le charme des chemins de randonnée qui sillonnent son territoire.

Autrefois, cette maison accueillait le "Café Reynaud", resté dans la mémoire de tous les habitants, grâce à sa patronne, "La Louise", personnage haut en couleurs. La société A-Fesco a réalisé sur le mur la devanture et la terrasse en trompe-l’œil. On y trouve des références à la "Quinquina Bruyère" ou aux "Bougies Viennoises", productions locales aujourd'hui disparues. Aqueduc, cascade double, fontaine, porteuses d'eau, bassin pour les enfants, lavandières, le thème de l'eau est omniprésent dans la fresque, car Estrablin est, depuis l'époque des aqueducs romains, le site de départ de nombreuses sources qui alimentent encore aujourd'hui toute une partie des communes qui l'entoure. Le trompe-l’œil intègre aussi la vitrine d'un magasin d'optique, dont le rideau de fer est peint pour se confondre avec la rivière.

Le parc et verger-conservatoire de Gémens regroupe une centaine de variétés de pommiers et de poiriers différents. Le verger-conservatoire de Gémens est un verger de 3000 m², planté il y a une vingtaine d'années au centre André Boucher, sur la commune d'Estrablin. L'association des Croqueurs de pommes, qui gère cet espace, défend la diversité variétale : une centaine de pommiers avec 35 variétés différentes par module de trois arbres. Les origines de ces pommiers se trouvent dans diverses régions françaises. Une trentaine de poiriers témoignent également de l'engouement local pour ce fruit. Parmi les variétés iséroises, on trouve par exemple, la "Double rose" ou la "Rainette de Saint-Savin". Encore plus locale, on retrouve la "Pomme Fer" créée dans la Combe de Vaux à Eyzin Pinet. Enfin, certaines variétés issues de semis de hasard sont récupérées chez des particuliers. Ce domaine composé d'un château et de son parc arboré à l'anglaise appartient à la mairie d'Estrablin et est parfois loué à des particuliers. Outre la conservation, l'association propose des visites pédagogiques aux différents stades végétatifs et des expositions de fruits.

Bordé par la Gère, le parc arboré à l'anglaise de 3 hectares et le château font de Gémens un lieu exceptionnel, ouvert lors d'événements ponctuels. Ce qui est aujourd'hui un lieu paisible et verdoyant était auparavant un site industriel. Fonderie au 18ème siècle, ce sont essentiellement des papeteries qui se succédèrent au 19ème siècle : papeterie Thibaudier (1834), Bonnefoux (1893), Paul (1933) et enfin Sibille (1937-1946). En effet, la force hydraulique de la Gère permit dès le Moyen-Age d'installer des fabriques. C'est cette même rivière qui par ses crues dévasta à plusieurs reprises les usines. La terrible inondation de l'automne 1946 mit fin à l'activité industrielle, emportant les docks de stockage et le pont d'accès. De ce passé industriel, il ne reste que la maison de maître, appelée "le château". Cette demeure a été construite en 1860 par André Bonnefoux. En juillet 1914, un incendie lui fait perdre un étage. C'est sur l'intervention de l'abbé Boucher, curé d'Estrablin, que le château est acquis par l'association culturelle et sociale de la région viennoise en 1954. Depuis 1990, il est la propriété de la commune d'Estrablin et sert de centre de loisirs.

Vestige du Château féodal de Montléans construit au 12ème siècle, la Tour de Montléans abrite les souvenirs du passé glorieux de la noblesse viennoise. Un lieu où la pierre se confond avec la verdoyante forêt. La Seigneurie a été occupée par différentes familles nobiliaires, notamment le Seigneur de Beauvoir-de-Marc au début de 14ème siècle et la Famille de Maugiron au 16ème siècle, qui deviendra en 1569 Comte de Montléans. Richelieu ordonna la destruction en Viennois de toutes les forteresses et châteaux, ainsi le Château de Montléans fut démoli en 1633, ne laissant que des ruines.

Le château manifeste la puissance des 24 familles qui en ont été propriétaires en 800 ans. Depuis plus de 250 ans dans la même famille, Septème ouvre ses portes aux petits et aux grands. On y découvre notamment la vie quotidienne au Moyen-Age. Le nom de Septème rappelle la présence à l’époque romaine d’une borne milliaire au septième mille sur la route reliant Vienne à l’Italie du Nord. Au sommet d’une colline subsistent les ruines du vieux château (10ème siècle). Au 13ème siècle, la maison de Savoie crée une puissante base d’opération contre le Dauphin et crée une impressionnante enceinte de plus d’1 km de remparts. Le château est aujourd'hui connu pour ses impressionnants remparts qui cernent un parc où évoluent des paons en liberté. Les pièces intérieures sont également dans un état de conservation exceptionnelle et permettent de s'imaginer la vie au Moyen-Age, grâce à de belles collections de mobilier et d'objets.

Ce site d'une superficie de 80 hectares classé Espace Naturel Sensible depuis 2004, comprend trois cours d’eau, des résurgences ainsi qu’une mosaïque de milieux humides. Il est géré par la commune de Pont-Evêque en association avec le Conseil Départemental de l’Isère et l’association Nature Vivante. Les résurgences et les prairies humides, (en déclin en France) et la biodiversité qui leur est associée, représentent l’intérêt du site. On peut ainsi trouver des espèces rares et protégées comme l’Agrion de Mercure, la Lamproie de Planer, le Martin pêcheur ou le Cuivré des Marais. Un milieu naturel lié à l’Homme : Ce n’est pas d’aujourd’hui que ces espaces sont utilisés par l’Homme. En effet, depuis des siècles, les prairies humides et cours d’eau du secteur sont façonnés selon les besoins des riverains Un milieu en transformation : Tout a commencé il y a fort longtemps, les Romains attirés par la présence de nombreuses prairies et l’eau abondante ont profité de ces ressources. A travers le temps, des seuils (barrages) et réseaux de canaux ont été aménagés et utilisés pour irriguer les prairies jusqu’à la deuxième moitié du XXème siècle. Ainsi, cette zone à vocation agricole a été longtemps la terre nourricière de Vienne. Mais étant une vaste zone humide elle est sujette aux inondations dont les célèbres Julins, phénomène naturel de remontée spectaculaire de la nappe phréatique. Pont-Évêque est également lié à l’industrie papetière. Dès 1578, un premier moulin à papier a été installé sur la Véga près de sa confluence avec la Gère. En 1850, Jean Cartallier crée une papeterie mécanique appelée Papeterie de Mornes située entre le moulin à grains et la fonderie. Elle sera, par la suite, rachetée et son activité sera petit à petit transformée. L’agriculture aussi s’est modifiée au fil des années. Dès le milieu du XXème, une nouvelle culture apparaît dans le paysage : la populiculture (culture des peupliers) qui prend de l'ampleur dès les années 1980 une surface importante du site. Et, depuis 50 ans, la mutation du monde agricole et la diminution du nombre d’exploitation ont modifié les pratiques sur le secteur. Les prairies ont petit à petit laissé place aux cultures de céréales avec l’arrivée récente du maïs et du tournesol. Cela s’est traduit par de profonds changements paysagers et écologiques. Une ville en développement : Autrefois village, Pont-Évêque s’est développé notamment depuis la création du District de Vienne (regroupement de 7 communes) au début des années 1960. Depuis, des bouleversements liés au développement de son industrie, une augmentation de sa démographie ont entraîné le développement des infrastructures et des habitations. Une évolution vers la protection du milieu naturel : Devenus périurbains, les milieux naturels du secteur sont soumis aux pressions humaines et sont sensibles aux pollutions. Les pollutions domestiques et industrielles qui en résultent, touchent la Gère très fortement dans les années 1970-80 puis s’étendent au Saint-Hilaire au début des années 1990. Progressivement, une prise de conscience des élus et de la population a conduit les entreprises et les habitations à fermer, être déplacées ou raccordées au système d’épuration. Des opérations de nettoyages sont également mises en place sur la Véga dès le début des années 90. D’autres actions sont également effectuées comme des opérations de protection et de re-végétalisation de berges de la Véga réalisées avec le Syndicat Hydraulique des 4 vallées. Ce dernier animera par la suite le contrat de rivière qui sera à l’origine de nombreuses actions comme la création de la passe à poisson de la Véga en 1996.

Un bistrot qui sait se plier en quatre pour vous dresser une belle table et bien remplir votre assiette.

Bar restaurant situé au village de Septeme, le Bistrot de la lise vous propose une cuisine traditionnelle, seulement les midis en semaine. bar restaurant dans un cadre ancien, atmosphère conviviale, salle de jeux (baby foot) terrasse exterieur couverte, terrain de pétanque, deux salles de restaurant climatisé.

Venez déguster une pizza et une cuisine traditionnelle aux accents du Sud. Le restaurant situé sur le parcours de la nationale 7 vous donne l'occasion de profiter d'un cadre atypique et d'une bonne cuisine. Pizzas à déguster sur place ou à emporter.

Restaurant traditionnel qui entre autres spécialités vous propose de déguster des cuisses de grenouilles.

Découvrez cette nouvelle adresse, au pied des vignobles de Côte-Rôtie ! Tenue par un couple de passionnés de la région et de ses vins, la boutique se transforme en bar à vins le vendredi soir ! Les Epicurieux c'est la possibilité de déjeuner au milieu d'une cave de plus de 500 références. Avec un sélection de vins au verre ou le choix d'une bouteille dans la cave (droit de bouchon à 8 €). Une carte avec 3 entrées, 3 plats fromage ou desserts changeant chaque semaine.

Philippe Girardon, Meilleur Ouvrier de France, sélectionne les meilleurs produits locaux, les herbes et fruits des jardins pour une cuisine proche de la nature, tout en raffinement. Le parc de 3 hectares du Domaine est un écrin pour ce manoir du 18ème. Le restaurant gastronomique se trouve au sein du Domaine de Clairefontaine, dans le cadre plein de charme de la Maison de Maître. Le restaurant étoilé (1 étoile Michelin) est un rendez-vous incontournable. Les produits y sont sélectionnés avec soin, et travaillés avec respect afin de mettre leur qualité en valeur. Philippe Girardon vous entraine à la découverte du terroir isérois. L'équipe du Domaine de Clairefontaine met également son savoir-faire à votre service avec son activité réception (mariage, réunions...).

Le bistrot de Serine vous propose une cuisine de terroir raffinée, à base de produits travaillés avec finesse. L'équilibre des saveurs est impeccablement respecté pour s’associer parfaitement à la jolie carte des vins régionaux. En été, profitez de la grande et belle terrasse avec vue sur les vignes. L'équipe est spécialisée dans les accords mets et vins et saura faire de votre repas une véritable expérience. Et si vous avez du temps devant vous, jetez un œil aux 700 références de vins sur le livre de cave ! Attenante au restaurant, découvrez la Vinothèque de Serine, où vous disposerez de conseils éclairés pour vos achats de bouteilles de vins.

Le bistrot de Serine vous propose un service de bars à vins qui met à l'honneur la production régionale et en particulier les AOC Côte-Rôtie, Condrieu et Saint-Joseph. Faîtes votre choix parmi 400 références sur notre livre de cave.

Perchée sur le coteau de Tupin-et-Semons, l’Auberge de la Source vous fait profiter d’une vue imprenable sur la vallée du Rhône et ses vignobles. Le chef vous fera découvrir sa cuisine alliant tradition et modernité, cuisine française et cuisine du monde. Une sélection de vins régionaux vous sera proposée à déguster dans la salle panoramique avec vue sur la vallée du Rhône ou depuis la terrasse, au calme, quand le temps le permet.

2 chambres d'hôtes situées en milieu naturel, à 10 km du centre urbain et historique viennois, accessibles par la D538, en direction de Cours et Buis et de Beaurepaire. Saint Sorlin de Vienne par le carrefour du Chamboud. 1 chambre de 12 m², "Dauphiné", orientée au nord, avec un couchage de 140, salle d'eau (lavabo, douche et toilette), fenêtre à l'est donnant sur l'entrée du Mas des Plantées en direction du Mont Blanc. 1 chambre de 11 m², "Bretagne", orientée au nord, avec un couchage de 140, salle d'eau (lavabo, douche et toilette), fenêtre à l'ouest donnant sur la piscine et le jardin, en direction du Mont Pilat. Non accessibles aux personnes à fort handicap (escaliers) ni à nos amies les bêtes. Pas de lit enfants.

L'hôtel La Gabetière vous accueille dans un charmant manoir du XVIe siècle, bordé d'un vaste parc. Dans ce cadre bucolique, vous pourrez vous laisser séduire par la poésie des vieilles pierres et profiter de la piscine aux beaux jours. L'hôtel dispose de 12 chambres coquettes toutes équipées d'une salle de bain et de WC, ainsi que de 2 appartements (un pour 4 personnes et l'autre pour 8 personnes). Les chambres sont aménagées avec beaucoup de goût, chacune différente, autour d'une thématique propre.

5 places de stationnement gratuites situées au belvédère du Grisard. Lieu de départ de sentiers de randonnée et accès à proximité à l'aire de pique-nique. Stationnement gratuit. Pas de service.