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Découvrir Saint-julien-en-beauchene : nature et culture

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Bienvenue à Saint-julien-en-beauchene, un charmant village niché au cœur des Hautes-Alpes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Entouré de paysages à couper le souffle, ce lieu est une invitation permanente à l'exploration et à la détente. Que vous soyez amateur de nature, d'histoire ou de culture, Saint-julien-en-beauchene offre une multitude d'activités pour combler vos envies.

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N°9 (vert) - Les rives de l’Aiguebelle
4 km

N°9 (vert) - Les rives de l’Aiguebelle

Balade facile et ombragée le long des rives de l’Aiguebelle, agréable par forte chaleur. Départ : Parking en bord de route 500m en aval de Ruynet. Distance : 3.5 km D+: 60 m Difficulté : Très facile Ce site est particulièrement riche en orchidées au printemps. Descriptif : Départ : Départ depuis le parking matérialisé par le poteau « paysage du Büech » et un terre-plein en bord de route situé 500 m en aval du hameau de Ruynet. Emprunter la route à la descente sur 250m en direction du Forest. 1 : Prendre le sentier à droite en pénétrantdans une allée de buis en direction de la rivière. 2 : Après avoir franchi un petit pont de pierre qui enjambe la rivière, poursuivre le sentier sur la gauche en suivant le fil de l’eau. L’Aiguebelle est bordée d’arbres qui forment une ripisylve. Sur les bords du sentier, il est possible d’observer des orchidées sauvages telles que « l’orchis dactylorhiza » « la céphalanthère à feuilles étroites », « l’orchis bouc », « la Platanthera » ou encore « l’orchis pyramidale ». 3 : Après avoir longé la prairie, dépasser le pont et continuer tout droit sur le sentier en rive droite de l’Aiguebelle. Après 50 m à la patte d’oie, bifurquer à droite sur le sentier qui s’élève dans la forêt. 4 : Le sentier débouche sur une piste, la prendre à gauche. Continuer tout droit sur celle-ci en longeant le cours d’eau. 5 : 60 m après avoir traversé la rivière, s’engager à gauche sur le sentier qui grimpe raide sur 100 m et qui regagne le hameau de Vière. 6 : En arrivant dans le village, redescendre par un sentier à gauche en direction de la rivière au niveau de la première maison 3 : Après avoir traversé le pont, prendre à droite et suivre l’itinéraire emprunté à Route principale l’aller.

1 h
3.5 km
Très facile
Parking en bord de route 500m en aval du hameau de Ruynet. 05140 Montbrand
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N°12 (rouge/bleu) - Balade des chartreux
4 km

N°12 (rouge/bleu) - Balade des chartreux

Partez sur les traces des moines de la vallée de Durbon en vous rendant sur les vestiges de l’ancienne chartreuse. Départ: Parking au-dessus de l’ancienne chartreuse (barrière ONF ouverte du 30/04 au 15/09) Distance: 11.5 km D+: 536 m Difficulté : Facile Dans l’une des plus belles forêts de montagne du département, tendez l’oreille, vous aurez peut-être la chance d’entendre un pic ou une sittelle. Cet itinéraire essentiellement forestier est particulièrement agréable par temps chaud. Variante facile : Possibilité de réaliser une variante adaptée aux familles. Au point "1" prendre en direction du col de Guillotier. Descriptif : Départ 0 km | 1 261 m Du parking, remonter la piste jusqu’au panneau d’information et prendre le sentier qui coupe le virage pour rejoindre la piste un peu plus haut. Après 100 m, prendre à gauche le sentier ascendant. La hêtraie sapinière, traversée lors de la montée au col du Pendu, abrite le plus grand pic de France, le pic noir. 1 : 0,8 km | 1 387 m Arrivée au col du Pendu, redescendre sur 50 m et tourner à droite sur le sentier en traversée descendante. Cette forêt, située en ubac (face nord) est typique des forêts des Alpes du nord, on y trouve la combinaison hêtres et sapins blancs. *** Variante : la petite boucle se dirige à gauche en direction du col de Guillotier, reprendre le descriptif au point "4". 2 : 3,2 km | 1 289 m Au bas de la descente, franchir le torrent. Poursuivre la descente en passant sous le gîte ONF de Chabottes (lieu agréable pour un pique-nique). Descendre 600 m sur la route, jusqu’à la patte d’oie. Bifurquer à gauche sur la « piste forestière du col du Pendu ». 3 : 5,5 km | 1 272 m 1,3 km après avoir emprunté la route forestière, prendre à gauche un petit sentier qui s’engage en montée dans la forêt (balisage jaune). 4: 6,2 km | 1 387 m 50 m avant de retrouver le col du Pendu, se diriger à droite en direction du col Guillotier sur un sentier en balcon pour atteindre une piste forestière qu’il faut suivre à gauche jusqu’à une clairière. S’engager sur un sentier en contrebas de la piste qui remonte jusqu’au col de Guillotier. Après avoir franchi ce dernier, poursuivre le sentier sur une longue descente en Adret (face Sud). Forêt sur éboulis, typique d’une hêtraie sèche. 5 : 8,6 km | 1 234 m Le sentier débouche sur une piste forestière, la suivre à gauche sur 3 km. En chemin partez à la découverte des vestiges des anciennes bâtisses monastiques. Passage devant l’Abbaye, poursuivre tout droit à la montée jusqu’au parking. Arrivée 11,5 km | 1 261 m

4 h
11 km
Facile
Départ depuis le parking au-dessus de l’ancienne chartreuse 05140 Saint-Julien-en-Beauchêne
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N°11 (rouge) - Le Quigouret
4.1 km

N°11 (rouge) - Le Quigouret

Boucle sportive aux confins des Hautes-Alpes et de la Drôme au départ du hameau rénové de Vaunières. Départ : Parking à l’intersection d’une piste 600m en aval du hameau de Vaunières. Distance : 8,6 km D+: 700 m Difficulté : Difficile Le Quigouret offre une vue panoramique sur les Baronnies Provençales, le Buëch, le Dévoluy et le Vercors. Descriptif : Départ : Depuis le parking (600m en aval du hameau de Vaunières, à l’intersection d’une piste, juste avant le pont.) Prendre la route à la descente. Faire 50 m et emprunter sur la droite le sentier dans la forêt de hêtres en suivant le balisage jaune. 1 : 0,7 km | 1 238 m Le sentier débouche sur un chemin qu’il faut remonter sur 20m pour ensuite reprendre un sentier peu marqué sur la droite dans la forêt. Avec l’altitude les hêtres sont progressivement remplacés par d’anciennes prairies recolonisées par des pins. 2 : 1,7 km | 1 459 Remonter le sentier en suivant les cairns et le balisage jusqu’à une clôture. La longer sur la droite jusqu’à la franchir. Continuer à la montée en suivant l’épaule formée par la montagne jusqu’à franchir une seconde clôture. Une fois franchie, se diriger à vue en direction du sommet. 3 : 2,1 km | 1 559 mArrivée à l’antécime, aborder la dernière partie de l’ascension du Quigouret. Au point culminant, magnifique panorama. S’engager à l’ouest sur la crête pour rejoindre un sommet annexe. Les éboulis en ubac du Quigouret sont fréquentés par des chamois. 4 : 3,8 km | 1 686 m Rejoindre en suivant la crête un petit sentier visible en contrebas qui gagne la forêt. Suivre l’itinéraire globalement descendant ponctué de petites montées jusqu’à atteindre le col de Vaunières. Au printemps il est possible d’observer des orchidées. 5 : 6,2 km | 1 419 m Au col, descendre sur la droite en direction de Vaunières. Après avoir franchi les torrents, bifurquer à droite sur la piste jusqu’à rejoindre le hameau. Le traverser et regagner le parking en suivant la route. 8,6 km | 1 116 m Arrivée Attention : Cette randonnée est réservée aux personnes à l’aise avec l’orientation : le sentier est peu marqué sur la crête, il peut être difficile de s’orienter par temps brumeux. Des bâtons seront utiles dans la descente qui est souvent raide

4 h
8.6 km
Moyen
Hameau de Vaunières - Parking à l’intersection d’une piste 600m en aval du hameau. 05140 Saint-Julien-en-Beauchêne
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Les Gorges de la Toussière
4.9 km

Les Gorges de la Toussière

Cette randonnée est accessible aux personnes en situation de handicap moteur, équipée d'une joëlette. Au départ de La Caire (998m), cet itinéraire de difficulté moyenne se réalise en boucle. Partez imaginer ce que pouvez être la vie des paysans et des templiers dans les gorges de Toussière. Entre chemin au milieu des buis, point de vue sur les sommets environnants, ruines et alpages, cette randonnée en offre pour tous les goûts. Présentation de l'itinéraire A La Caire, prendre la route goudronnée qui monte en direction de la voie ferrée, suivre le Collet. Vous traversez quelques maisons avant de vous enfoncez dans un chemin herbeux. De là, un sentier montant assez raide, vous amène à travers les buis jusqu'au Collet. Au Collet, prendre la directon du Chemin de la Commanderie par une large piste qui monte légèrement. La piste se rétrécit ensuite pour devenir une sente dans les alpages. Cette partie est assez plate et contourne le ravin de Toussièrette. Au Chemin de la Commanderie, suivre les Gorges de Toussières. Attention, vous traverserez plusieurs petits ruisseaux, le sol est donc humide et glissant. Le sentier est un peu raide en descente au départ puis il s'élargit pour rentrer dans la forêt et devient moins raide. Aux Gorges de la Toussière, traversez le ruisseau puis continuez la piste qui descends jusqu'à La Caire. Vous longerez le cours d'eau qui se jette dans le Buëch.

2 h
4.5 km
Moyen
La Caire 26620 Lus-la-Croix-Haute
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Distillerie La Salettina
29 km

Distillerie La Salettina

Distillerie "La Salettina" depuis 1961 dans la maison natale de Maximin Giraud (l'un des enfants ayant vu la vierge en 1846). Liqueur de Génépi des Alpes IGP macérée pendant au moins 3 ans et distillée. Matériel utilisé depuis plus de 100 ans. Distillerie "La Salettina" depuis 1961 dans la maison natale de Maximin Giraud le berger ayant eu la révélation de Notre-Dame de la Salette. La liqueur La Salettina recette de 1865 de Maximin Giraud. Liqueur de Génépi des Alpes IGP (Indication Géographique Protégée) macérée pendant au moins 3 ans et Liqueur de Génépi des Alpes IGP distillée, liqueurs de plante Vulnéraire, Hysope, Framboise, mûres sauvages, myrtilles sauvages. 2023 Médaillé d'Or et d'Argent au championnat du monde des spiritueux de Londres 2023 dans la catégorie liqueur. OR : Génépi des Alpes Macération IGP Argent : Génépi des Alpes Distillation Cuvée Napoléon 1815. Vous découvrirez, lors de votre venue, un atelier et l’activité de tous les jours d’un liquoriste. Dans cette cave où le matériel centenaire est toujours utilisé, la fabrication des liqueurs et apéritifs vous sera expliquée, depuis le ramassage des plantes jusqu’à la mise en bouteille. Vous trouverez aussi dans notre boutique des produits de territoire soigneusement sélectionnés. Visites et dégustations gratuites . Horaire 7 jours par semaine de mi-avril à mi-octobre. Ouverture et visite sur demande de mi-octobre à mi-avril. Les groupes sont les bienvenus sur rendez-vous au 04 76 30 05 02

Rue du Four 38970 Corps
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La Chartreuse de Durbon
3.9 km

La Chartreuse de Durbon

La chartreuse Notre-Dame de Durbon est une ancienne chartreuse, une des quatre premières de l’ordre des chartreux. Située au hameau de Durbon, à 6 km au nord-est de Saint-Julien-en-Beauchêne, dans le vallon du torrent de Bouriane, *** L'histoire : Cette chartreuse est fondée dès 1116, grâce aux donations de la famille de Beldisnar ou Beaudinar et de l'évêque de Gap. Dom Lazare et quelques frères, les premiers moines viennent de Grande Chartreuse. En 1121, ils reçoivent l'Alpe de Petra Galdemar, dans le haut bassin de Rioufroid. En 1126 ils achètent à divers propriétaires toutes leurs possessions, forêts, prés, alpages, pâturages, à Durbon. En 1140, ils achètent à de très nombreux propriétaires l'ensemble des champs, prés, forêts, rochers et eaux, formant le terroir de Rioufroid. Leur domaine pastoral s'accroît surtout lorsqu'ils étendent leurs possessions sur les hauts versants qui dominent la vallée. Ils s'étendent sur la rive droite vers la Tête de Garnesier, vers Chamousset, vers La Jarjatte. Leur domaine culturel rayonne en étoile autour de Durbon et sort même du Bochaine comme le fera largement leur domaine pastoral. En 1145, ils possèdent un cellier à Guignaise près de Châtillon-en-Diois et au XIIIe siècle, ils se constituent, sur le territoire d'Aspres, un domaine vinicole. Le pape Alexandre III confirme la fondation en 1169. En 1173, un conflit les oppose avec les chevaliers du Temple de Lus-la-Croix-Haute, au sujet des pâturages de Crosetz et de Gargata (montagnes de la Jarjatte). La chartreuse demeure très pauvre jusqu’aux donations faites par Frédéric Barberousse en 1178 et Henri VI en 1188. Le domaine se développe, mais dans des terres très incultes. En 1222, Notre-Dame de Bertaud ayant demandé le passage de ses moutons allant en Dévoluy, sur le territoire de Durbon, les moines acceptent à contre-cœur et réduisent le séjour au maximum d'une nuit. Les chartreux se montrent fort jaloux de leur indépendance et refusent en 1304 de recevoir l'évêque Etienne de Gap en tournée, avant qu'il n'ait signé cette déclaration solennelle « qu'il n'entend point porter atteinte aux droits de la Chartreuse et que ce précédent (l'hospitalité) n'aura aucune influence ». En 1278, à Rioufroid, une bataille s'engage entre les chartreux et les gens de Saint-Julien; les syndics de l'universitas de Saint-Julien accusent le prieur lui-même d'avoir jeté la première pierre. Raynaud de Montauban entraîne à sa suite, le 10 juin 1301, les habitants d'Agnielles sur les terroirs des Chartreux à Recours. Ils malmènent le bétail, occupent une grange. Un incendie en 1405 aurait été irrémédiable sans la concession pontificale d’une imposition sur les legs pieux dans toute la province ecclésiastique. En 1446, les moniales de la Chartreuse de Bertaud, sinistrée, sont transférées à Durbon, dans une maison voisine de celle des chartreux. Elles y sont fixées en 1453. En 1463, le chapitre général de l'ordre uni et incorpore les biens du monastère de Bertaud à ceux de la chartreuse de Durbon, l'indépendance du monastère de Bertaud n'existe plus. Durbon administre les biens de Bertaud comme les siens, il n'y a plus de distinction entre les deux monastères. La communauté y reste jusqu’en 1601, date à laquelle le chapitre général transfère la dernière moniale à Prémol et rétablit une maison de moines à Durbon. Pendant ce temps, la maison n’héberge pratiquement plus de moines, et le prieur est aussi vicaire des moniales. Les biens des moniales sont attribués à Durbon. Les guerres de religion l’éprouvent beaucoup, mais le XVIIe siècle est une époque de prospérité, avec exploitation de mines et hauts fourneaux. La Chartreuse de Durbon était propriétaire de plusieurs mines de fer, de cuivre et de plomb, exploitées dès le début du 16e siècle qui alimentaient des martinets étrangers à l'abbaye. La chartreuse crée sur le territoire de l'actuelle forêt domaniale un haut fourneau à Rioufroid, où se développe un véritable complexe métallurgique, avec plusieurs martinets et forge à la catalane. Le 13 février 1790, l'Assemblée constituante prononce l'abolition des vœux monastiques et la suppression des congrégations religieuses. La communauté est dispersée en 1791. Les biens de la chartreuse sont confisqués, puis dispersés ou vendus. Des fouilles archéologiques de la maison haute de la chartreuse ont eu lieu de 2002 à 2007. Les prospections entreprises dans la commune de Saint-­Julien­-en-­Beauchêne ont permis de retrouver les vestiges de plusieurs de ces établissements métallurgiques parmi lesquels un haut-fourneau et un martinet. À proximité du haut fourneau coupé par la route forestière qui dessert la forêt domaniale, ont été retrouvés des amas de scories denses ainsi que des laitiers de nature archaïque en cours d'étude. Des billes et fragments de fonte sont fréquemment associés aux déchets. Surmontant les ruines, une galerie de mine précédée d'une exploitation à ciel ouvert développe une vingtaine de mètres dans les calcaires du Crétacé Supérieur, suivant une strate de minerai de fer de faible puissance. D'autres galeries de mines signalées dans les archives n'ont pu être retrouvées. En revanche, plusieurs niveaux géologiques contenant du minerai de fer ont été identifiés dans les corniches calcaires qui barrent la rive droite du ravin. Des sentiers muletiers parfois taillés dans le roc ont été repérés en altitude (plus de 1700m). Ces sentiers qui permettaient de relier les différentes vallées entre elles, constituent un réseau reliant les principales unités métallurgiques entre elles. Le complexe métallurgique de la Chartreuse de Durbon constitue un site de grande importance dans le domaine de l'histoire des techniques métallurgiques.

Durbon 05140 Saint-Julien-en-Beauchêne
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Maison forestière Retrouvance® d’Agnielles
7.1 km

Maison forestière Retrouvance® d’Agnielles

Maison forestière 14 places isolée au cœur de la forêt domaniale de Durbon. Bâtiment du XVIIe siècle restauré : fonctionne aux énergies renouvelables 500 Kwatts maxi. Idéal loisirs de pleine nature : Escalade, Via-ferrata, Rando, VTT, etc... Capacité : 14 personnes, 7 chambres Ouverture : Toute l'année. L'accès n'est pas garanti au gîte en période hivernale. Accessibilité PMR : Non accessible aux personnes PMR Accès : Gorges d’Agnielles 05140 Aspres-sur-Buëch Accès par 5km de piste forestière carrossable, non garanti en période hivernale. Cette ancienne maison forestière est située au cœur d'un village aujourd'hui abandonné, au milieu d'une vallée entre les pays du Buëch et du Dévoluy. L'endroit est idéal pour la pratique des loisirs de pleine nature. Ce bâtiment du XVIIe siècle, restauré dans la tradition montagnarde, vous permettra de rayonner sur un immense territoire protégé. Au programme : Vous aimez la nature, vous pratiquez des activités de plein air… Cette maison forestière vous conviendra parfaitement. Les gorges d’Agnielles qui offrent de multiples activités : VTT, randonnées pédestres, escalade, via ferrata, spéléologie… Confortablement aménagée, cette maison centenaire est nichée au cœur de la forêt domaniale de Durbon. De grande capacité (jusqu’à 15 places), elle est adaptée à des réunions de famille ou d’amis à centres d’intérêts multiples : repos pour les uns, activités de pleine nature pour les autres. Description / Confort : 1er étage accessible par des marches extérieures. Au premier niveau : – Salles voûtées : Salon avec cheminée, salle à manger, cuisine équipée d’une cuisinière 4 feux et four à gaz, un réfrigérateur, cafetière italienne ou à piston et vaisselle pour 15 personnes. – 1 chambre de 2 avec salle d’eau commune, – 1 toilette commune. A l’étage : – 1 salle d’eau commune, – 2 chambres de 2 avec salle d’eau commune, – 3 chambres de 2 avec salle d’eau, – 1 chambre de 3 avec salle d’eau commune. Lits en 90 cm avec couettes et oreillers : prévoyez votre literie (sac de couchage, ou draps, ou sacs à viande). Linge de maison et de toilette non fournis. Le ménage est à la charge du locataire, pensez à amener vos produits d'entretien. Attention : Zone de faible réseau téléphonique – Pas de wifi. Le gîte se situe dans la forêt domaniale de Durbon et ne possède pas de point feu extérieur : Tout feu extérieur est interdit. L’énergie : L’énergie est fournie par une picoturbine type Pelton, Fourniture de 220 volts. Puissance : de 2 à 5 Kwatts. Cette énergie électrique sert à alimenter directement le frigo, les systèmes chaudière, plusieurs prises dans le gîte. Tout l’éclairage est en 220 V. L’énergie électrique non utilisée est valorisée en chaleur pour l’eau chaude sanitaire et appoint chauffage. Ce bâtiment est autonome en énergie à plus de 80% ! Activités à proximité : - Randonnées : Les Agniellards, tour du Buëch, GR94, ascension de Durbonas - Le sentier des falaises, - VTT - Pêche - Site d’escalade en solo ou avec un bureau des guides - Via ferrata en 2 itinéraires : un itinéraire facile et un plus sportif. - Spéléologie en découverte à la grotte de la Résurrection Richesses naturelles : En automne, dans les clairières qui avoisinent le gîte, des ombres étranges se profilent le soir… Les cerfs n’ont pas hésité à s’approcher et leur brame puissant troue le silence de la nuit. Impressionnant !

Gorges d'Agnielles - Forêt Domaniale de Durbon 05140 Aspres-sur-Buëch
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Prudence !
Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾