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Bienvenue à Pecq, Hainaut, Hainaut, une perle du patrimoine régional prête à vous dévoiler ses charmes ! Nichée entre campagne verdoyante et histoire millénaire, cette ville est le point de départ idéal pour une multitude d'activités captivantes.

Commencez votre exploration par une balade à pied ou à vélo le long de l'Escaut. Cet itinéraire pittoresque vous permettra de profiter des paysages natu...
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Balade des poètes du soleil levant
5.2 km

Balade des poètes du soleil levant

Le Mont Saint-Aubert, avec ses nombreux sentiers, ses points de vue panoramiques sur les plaines de l’Escaut, ses restaurants, ses bistrots et sa plaine de jeux, est un spot de randonnée incontournable dans la région. Trois circuits vous emmènent sur les sentiers qui serpentent à flanc du mont. Le ‘Sentier des Poètes’ avec ses pierres gravées d’extraits de poèmes, les splendides vues sur la Cité des Cinq Clochers et la traversée des bois, recouverts d’un tapis de jacinthes bleues au printemps, vous assurent de belles balades en perspective, à faire en famille ou entre amis.Retrouvez les 2 autres circuits à proximité, sur la Carte en réseau « Autour du Mont Saint-Aubert », dans la Wapibox « Plaines de l'Escaut ». Envie de partir à l’aventure ? Balthazar le faucon et Millie l’écureuil vous invitent à découvrir le Mont Saint-Aubert. Spécialement pour les familles, ce podcast vous dévoilera les secrets de ces paysages vallonnés et préservés et l’identité particulière de ce mont en Wallonie picarde, le long de la balade des poètes du soleil levant. Vous pouvez accéder au podcast en cliquant ici. Ecouter le podcast. Vous voulez en savoir plus sur la Chaîne des Monts ? Cette chaîne de collines s'étend d'ouest en est, de Watten en France, à La Houppe en Wallonie picarde, en passant par Kemmel en Flandre. Elle culmine à moins de 200 mètres mais constitue un relief très marquant dans le paysage. Procurez-vous dès maintenant la carte de la Chaîne des Monts en famille et/ou le roadbook pour les cyclosportifs disponible sur le Wapishop.

2 h
7.9 km
10 Place du Mont Saint Aubert 7542 Mont-Saint-Aubert
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L’église Saint-Martin
452 m

L’église Saint-Martin

Attestée dès 1108 par une bulle (une lettre marquée de son sceau) du pape Pascal II, l’église Saint-Martin est un remarquable édifice de style gothique tournaisien daté de 1570 à l’arc triomphal, mais où subsiste, au collatéral nord, un vestige de l’église romane du XIe siècle. En 1918, elle subit de graves dommages au collatéral nord et à la tour. Les toitures, les charpentes et les voûtes en bardeaux sont également détruites. Une restauration est menée dès 1922-1923 par l’architecte Paul Clerbaux. Après la Seconde Guerre mondiale, en 1950-1951, une nouvelle restauration porte essentiellement sur l’intérieur de l’édifice. Caractérisée par le parement soigné en pierre calcaire mise en œuvre à la tour et au collatéral nord, contrastant avec l’élévation en briques et calcaire pour le collatéral sud et le chevet, l’église est composée d’une tour de façade, de trois nefs et d’un chevet à cinq pans. Trois bâtières indépendantes confèrent à l’édifice l’aspect d’une église-halle, mais, à l’origine, le collatéral sud était rythmé par cinq pignons transversaux, sur le modèle du gothique hennuyer. La tour préserve un noyau primitif des XIIe et XIIIe siècles, mais appartient essentiellement aux XVe et XVIe siècles pour sa configuration actuelle. Greffée d’une tourelle d’escalier, elle est coiffée par un haut clocher cantonné de bulbes depuis le XVIIe siècle. L’intérieur, enduit, est structuré par des colonnes à chapiteaux tournaisiens, soutenant les arcs cintrés ou brisés. Nef et collatéraux sont voûtés de berceaux lambrissés reconstitués, avec nervures sur blochets et filières à accolade. Au-dessus de l’arc triomphal, une pierre aux armes de Langlée porte le millésime de 1570, témoin de la clôture des travaux de construction, ou du remaniement des parties supérieures de l’église après la suppression précoce des pignons du collatéral sud. Des voûtes quadripartites en briques sur nervures de calcaire couvrent le chœur et la croisée du transept. Classement comme monument le 8 avril 1942

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L’église Saint-Éleuthère
2 km

L’église Saint-Éleuthère

L’église d’Esquelmes est l’une des plus anciennes églises romanes d’Europe. Elle est dédiée à saint Éleuthère, évêque de Tournai mort en 531 qui, selon la tradition, venait prêcher à cet endroit. Durant tout l’Ancien Régime, elle fait office de chapelle et est rattachée à la paroisse de Ramegnies-Chin. Le 25 octobre 1803, elle est érigée en église paroissiale par l’évêque de Tournai. Installée à la rupture de pente de la vallée de l’Escaut, l’église paroissiale Saint-Éleuthère est entourée de son petit cimetière emmuré. Remarquable édifice de style roman remontant au XIe siècle, elle est typée par la simplicité de ses composantes dont l’articulation et l’étagement sont particulièrement harmonieux. Elle est élevée en moellons de calcaire de Tournai et coiffée d’une bâtière de tuileaux ponctuée d’un clocheton ardoisé depuis le XVIe siècle. Elle se compose d’une nef unique, éclairée avec parcimonie par des fenêtres hautes et d’un chœur à une travée droite terminé par une courte abside basse épaulée d’une sacristie du XVe siècle. Restaurée au milieu du XIXe siècle, elle a été discrètement allongée de deux travées et pourvue d’une nouvelle façade ouverte d’un portail néoroman. L’intérieur adopte la même sobriété et la nef, couverte d’un plafond plat, est rythmée par des arcades basses aveugles sous les fenêtres ébrasées. Séparé de la nef par un arc triomphal de style gothique, le chœur est voûté en berceau et laisse apparaitre le moellonage de calcaire en parties basses. À l’intérieur, on notera de beaux fonts baptismaux à cuve octogonale en pierre de Tournai, un fragment de dalle funéraire de la fin du XVIe siècle et divers autres monuments funéraires des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Classement comme monument le 14 septembre 1934

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L’église Saint-Léger
3.2 km

L’église Saint-Léger

L’église Saint-Léger se place dans la tradition du gothique tournaisien. Reconstruite au XVIe siècle en pierre de Tournai, elle conserve des traces de l’édifice gothique antérieur datant du XIIIe siècle. Incendiées en 1693, les parties supérieures du bâtiment sont réparées en briques. Les berceaux lambrissés font place à des plafonds et les toitures sont remplacées par une toiture unique. Entre 1987 et 1994, l’église connaît une grande campagne de restauration. Le bâtiment est composé d’une tour imposante, d’une nef avec bas-côtés de trois travées et d’un transept saillant. Le chœur à trois pans est annexé de deux sacristies des XVe et XVIIIe siècles. La tour carrée compte quatre niveaux marqués par des cordons. Ses angles sont renforcés de contreforts à clochetons octogonaux encadrant la flèche effilée de la tour. Remarquons la petite baie géminée, élément de remploi provenant peut-être de l’église du XIIIe siècle, ainsi que les vestiges de la façade occidentale situés de part et d’autre de la tour. L’intérieur abrite certains éléments de décoration des XVIIIe et XIXe siècles, tels que les autels, stalles du chœur, lambris ainsi que les statues de la Vierge et de saint Léger. Le saint, traditionnellement symbolisé par le stylet (qui servit à lui crever les yeux), tient ici une tarière, outil typique de la région utilisé dans la fabrication des sabots. À noter également, la porte de la sacristie, couverte de clous qui, selon la tradition, ont été plantés par les malades espérant la guérison. Classement : 15-01-1936  

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Le canal de l’Espierre
3.4 km

Le canal de l’Espierre

Véritable colonne vertébrale paysagère, le canal de l’Espierre parcourt le territoire communal d’Estaimpuis et de Pecq avant de passer en Flandre. Il est signalé par les deux cordons de peupliers qui le bordent. Décrété en 1839 dans le but de relier l’Escaut à la Deûle (France) et d’approvisionner en charbon et en eau la région de Lille-Roubaix-Tourcoing, il est adjugé à l’entrepreneur Messen, déjà adjudicataire du canal de Roubaix. Les travaux débutent en 1840 et se terminent en 1843. Il était géré par la Société Anonyme du Canal de l’Espierre et ce jusqu’en 1949, date à laquelle l’État belge en assure la reprise. Aujourd’hui rendu à la navigation de loisirs, il contribue réellement à l’identité de la commune. Étiré sur 8,5 km de long, le canal est jalonné de maisons pontières, autrefois couplées à des cabarets, des passerelles, de trois écluses et d’autant de ponts. Le parcours wallon du canal est ainsi classé comme site, y compris ses infrastructures (les ouvrages éclusiers, les trois pont-levis métalliques, les chemins de halage et les rangées de peupliers). Ici, traversant le canal et surplombant une écluse, se trouve le pont du Centre. Ce pont-levis a été installé vers le milieu du XXe siècle et est, avec les autres ponts, écluses et passerelles, l’un des éléments contribuant à la valeur patrimoniale et paysagère du canal. Classement comme site et établissement d’une zone de protection le 8 septembre 2000

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Le canal de l’Espierre
3.4 km

Le canal de l’Espierre

Véritable colonne vertébrale paysagère, le canal de l’Espierre parcourt le territoire communal d’Estaimpuis et de Pecq avant de passer en Flandre. Il est signalé par les deux cordons de peupliers qui le bordent. Décrété en 1839 dans le but de relier l’Escaut à la Deûle (France) et d’approvisionner en charbon et en eau la région de Lille-Roubaix-Tourcoing, il est adjugé à l’entrepreneur Messen, déjà adjudicataire du canal de Roubaix. Les travaux débutent en 1840 et se terminent en 1843. Il était géré par la Société Anonyme du Canal de l’Espierre et ce jusqu’en 1949, date à laquelle l’État belge en assure la reprise. Aujourd’hui rendu à la navigation de loisirs, il contribue réellement à l’identité de la commune. Étiré sur 8,5 km de long, le canal est jalonné de maisons pontières, autrefois couplées à des cabarets, des passerelles, de trois écluses et d’autant de ponts. Le parcours wallon du canal est ainsi classé comme site, y compris ses infrastructures (les ouvrages éclusiers, les trois pont-levis métalliques, les chemins de halage et les rangées de peupliers). Ici, traversant le canal et surplombant une écluse, se trouve le pont Mauroy, un pont-levis installé vers le milieu du XXe siècle. Intéressant par sa typologie, il contribue comme les autres ponts, écluses et passerelles à la qualité patrimoniale et paysagère du canal. Classement comme site et établissement d’une zone de protection le 8 septembre 2000

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Le canal de l’Espierre
3.6 km

Le canal de l’Espierre

Véritable colonne vertébrale paysagère, le canal de l’Espierre parcourt le territoire communal d’Estaimpuis et de Pecq avant de passer en Flandre. Il est signalé par les deux cordons de peupliers qui le bordent. Décrété en 1839 dans le but de relier l’Escaut à la Deûle (France) et d’approvisionner en charbon et en eau la région de Lille-Roubaix-Tourcoing, il est adjugé à l’entrepreneur Messen, déjà adjudicataire du canal de Roubaix. Les travaux débutent en 1840 et se terminent en 1843. Il était géré par la Société Anonyme du Canal de l’Espierre et ce jusqu’en 1949, date à laquelle l’État belge en assure la reprise. Aujourd’hui rendu à la navigation de loisirs, il contribue réellement à l’identité de la commune. Étiré sur 8,5 km de long, le canal est jalonné de maisons pontières, autrefois couplées à des cabarets, des passerelles, de trois écluses et d’autant de ponts. Le parcours wallon du canal est ainsi classé comme site, y compris ses infrastructures (les ouvrages éclusiers, les trois pont-levis métalliques, les chemins de halage et les rangées de peupliers). Ici, traversant le canal et surplombant une écluse, se trouve le pont du Petit Preux, au lieu-dit Petit Voisinage. Le pont-levis actuel, également connu sous le nom de pont du sabotier, a été monté au milieu du XXe siècle. Intéressant pour sa technologie, il contribue également à l’intérêt patrimonial et paysager de l’ensemble du site. Classement comme site et établissement d’une zone de protection le 8 septembre 2000

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