Découvrez Soignies, Hainaut, Hainaut : une ville à explorer

La fondation Églises Ouvertes vous propose de découvrir l’époque médiévale à travers la visite de différentes églises. Fièrement dressées depuis des siècles, elles sont les témoins de l’histoire locale. Avec les châteaux et les fermes, ces lieux de culte racontent une époque et ses coutumes. Tout au long de ces circuits, vous suivrez un petit personnage, « sans nom et sans âge ». Il vous fera voyager dans les terres du comté de Hainaut. Pour vous, il ira à la rencontre de personnages historiques et légendaires de la région. Vous irez découvrir la collégiale romane et ferez la connaissance de Saint Vincent. La promenade se poursuivra ensuite au «Vieux Cimetière», lieu paisible et rempli de magie puis sur le tracé des anciens remparts de la ville. À Chaussée-Notre-Dame-Louvignies, c’est la Dame de Laire qui vous attend. Mais avant d’y arriver, vous pourrez admirez le paysage de la Haute Senne : des étendues de champs, quelques bosquets ça-et-là et de belles bâtisses le long des routes. Enfin, à Horrues, vous en saurez plus sur saint Martin, saint Hubert et leurs animaux fétiches. Avant de retourner vers Soignies, la Chocolaterie au Manon D’Hor vous proposera la meilleure praline de 2012.

La fondation Églises Ouvertes vous propose de découvrir l’époque médiévale à travers la visite de différentes églises. Fièrement dressées depuis des siècles, elles sont les témoins de l’histoire locale. Avec les châteaux et les fermes, ces lieux de culte racontent une époque et ses coutumes. Sur les traces d’un petit bonhomme, vous irez découvrir la collégiale romane et ferez la connaissance de Saint Vincent. A Chaussée-Notre-Dame, c’est la Dame de l’Aire qui vous attend. Mais avant d’y arriver, vous pourrez admirez le paysage de la Haute Senne : des étendues de champs, quelques bosquets ça-et-là et de belles bâtisses le long des routes. A Horrues, petit village en hauteur, vous en saurez plus sur Saint Martin, Saint Hubert et leurs animaux fétiches. Avant de quitter le village, la Chocolaterie au Manon D’Hor vous proposera la meilleure praline de 2012. La promenade vous emmènera ensuite sur les traces de Baudouin IV le Bâtisseur, à Braine le Comte. Vous suivrez ensuite la vallée de la Brainette jusqu’à Steenkerque, le village des moulins et de Guillaume de Gavres, seigneur et veilleur de l’église. Sur la route de Petit-Enghien, vous pourrez admirez le plus vieux moulin toujours en activité au Pont Tordoir. Après avoir visité l’église du Saint-Sauveur, c'est la cité médiévale qui vous attend. Vous aurez l’occasion de rencontrer Jonathas, Saint Eloi, et les seigneurs d’Enghien avant de terminer la ballade au parc.

Au départ de la place verte où se situe l'hôtel de ville de Soignies. Autrefois, ce bâtiment était une ancienne tannerie qui appartenait à la famille Van Cutsem. Prenez à droite en direction de la maison espagnole. Cette maison du 16e siècle doit son nom d'une part à son architecture mais aussi à l'époque à laquelle elle fut construite. En effet Philippe ll gouvernait le territoire à cette période. Après être passé devant, tournez à gauche dans la rue Léon Hachez et vous arrivez devant la Fontaine Saint-Vincent. Après l'avoir aperçue, faite demi-tour et dirigez-vous vers le bout de la rue avant de tourner à gauche dans la rue Henry Leroy. Traversez le parc du vieux cimetière et continuez à droite pour découvrir ses remparts. Après avoir passé les remparts, vous atterrirez sur la place du jeu de balle que vous allez traverser également. Descendez dans la rue Neuve jusqu’à l’angle avec le rue Ferrer et continuer dans cette dernière. Allez au bout et prenez à droite et directement la première à gauche pour arriver sur la grande place. Vous voici à présent devant l’imposante Collégial Saint-Vincent qui est un monument de style roman primitif. Commencé début 11e siècle elle s’enrichira au 17e siècle d’une parure baroque. Jusqu’à la fin du 18e siècle, une puissante communauté de chanoines y était installée. C’est également un lieu de pèlerinage consacré à Saint-Vincent, patron de la cité. Contournez l’édifice en prenant le temps de regarder autour de vous afin de voir la halle aux draps ou encore le musée du chapitre. Continuez maintenant votre parcours en prenant la rue de la Régence où se trouve le centre de documentation de la Pierre Bleue. Son but est de faire découvrir le travail de la pierre bleue ainsi que de fournir bon nombre de documents d’archives qui traitent de l’exploitation des carrières de pierre Bleue sonégienes. Dirigez-vous ensuite à droite vers le Venelle des artistes pour arriver sur la pace Van Zeeland. De là, dirigez-vous vers la rue des Martyrs de Solteau. A la fin de cette Rue se trouve le Couvent des soeur Franciscaines. Juste après, prenez à gauche dans la rue Pierre-Joseph Wincqz et passez en dessous du pont de fer et au prochain carrefour tournez à droite pour arriver au Parc Pater. Le château Pater fut construit au milieu du 19e siècle pour Pierre-Joseph Winqz. Par la suite il fut habité par la famille Paternoster avant de revenir la propriété de la ville. Le château forme toujours un bel ensemble homogène qui emploie la pierre bleue pour le contour des fenêtres les balustrades et aussi les corniches. En sortant du parc continuez votre parcours en vous rendant vers le quartier des carrières en passant par la rue Grégoire Winqz, prenez ensuite à droite dans la rue de la Sucrerie et à gauche pour arriver dans la rue Mademoiselle Hannicq. Vous voilà au centre de formation aux métiers de la pierre. Ce site fut construit milieu 19e siècle pour accueillir l’entreprise Grégoire wincqz qui sera reprise et développé par son fils Pierre-Joseph. Rebroussez ensuite chemin et retournez dans la rue Pierre-Joseph Winqz pour arriver dans la rue des trois planches. Au carrefour prenez à droite et au bout de cette rue prenez à gauche et vous passerez en dessous du pont du chemin de fer. Une fois passé le pont prenez à gauche rue Clerbois qui vous emmènera à la gare de Soignies. Erigée en 1840 Soignies fut l’une des premières villes à posséder une gare. Une ligne de chemin de fer qui relie Bruxelles et Mons fut une chance extraordinaire pour les carrières de Soignies qui en ont profité pour faciliter l’expédition de la pierre. Descendez maintenant la rue de la station jusqu’au carrefour de la rue du nouveau monde, sur votre gauche vous pourrez apercevoir l’hôtel Modern qui est dans un style art Nouveau. Enfin vous pouvez retourner à votre point de départ en prenant à gauche au croisement de la rue de la station et de la rue neuve pour arriver dans la rue de Mons. De là prenez la première à gauche rue des orphelins avant de prendre à la fin de cette rue à droite. Vous revoilà donc place Van Zeeland où se trouve au bout votre point de départ la place verte.

Partez à la découverte de Soignies, une charmante cité millénaire nichée dans un écrin de verdure. Laissez-vous tenter par l’une de nos nombreuses balades dont le parcours sportif longeant le centre historique de notre magnifique entité. Au détour de chaque rue et ruelle, vous découvrirez un noble matériau extrait à Soignies : la pierre bleue. Plan disponible auprès de l'Office du Tourisme. Descriptif du parcours : https://www.soignies.be/fr/tourisme/decouvrir/balades.html

Au départ de la Place Verte, partez à la découverte de Soignies, une charmante cité millénaire nichée dans un écrin de verdure. Laissez-vous tenter par le parcours touristique longeant le centre historique de la magnifique entité. Au détour de chaque rue et ruelle, vous découvrirez un noble matériau extrait à Soignies : la pierre bleue. Parcours touristique : +/- 7km Plan papier disponible auprès de l'Office Communal du Tourisme de Soignies ou téléchargeable sur le site internet : https://www.soignies.be/fr/tourisme/en-pratique/office-du-tourisme.html

À l’origine, Naast était un pays de sources, de fontaines, d’étangs et de grands bois. La présence romaine paraît y avoir été forte puisqu’on a découvert des urnes funéraires, des tuiles et des monnaies. Au Moyen Âge, la sei­gneurie de Naast était très importante. Elle passa au comte du Hainaut en 1339. En 1830, l’industrie pro­prement dite n’existait pas à Naast, mais plutôt l’artisanat. On dénombrait une tuilerie, une distillerie, deux moulins à farine, trois maréchaux-ferrants, un charron, un tonnelier, un tourneur en bois et un bourrelier. À la fin du XIXe siècle, l’agriculture occupait une place importante dans la vie économique. Le com­merce de ces produits s’était développé surtout grâce au chemin de fer qui traversait le village. On re­marqua la présence d’une fabrique de moutarde et de deux carrières pour l’extraction de la Pierre Bleue, probablement ou­vertes en 1897.

À l’origine, Naast était un pays de sources, de fontaines, d’étangs et de grands bois. La présence romaine paraît y avoir été forte puisqu’on a découvert des urnes funéraires, des tuiles et des monnaies. Au Moyen Âge, la sei­gneurie de Naast était très importante. Elle passa au comte du Hainaut en 1339. En 1830, l’industrie pro­prement dite n’existait pas à Naast, mais plutôt l’artisanat. On dénombrait une tuilerie, une distillerie, deux moulins à farine, trois maréchaux-ferrants, un charron, un tonnelier, un tourneur en bois et un bourrelier. À la fin du XIXe siècle, l’agriculture occupait une place importante dans la vie économique. Le com­merce de ces produits s’était développé surtout grâce au chemin de fer qui traversait le village. On re­marqua la présence d’une fabrique de moutarde et de deux carrières pour l’extraction de la Pierre Bleue, probablement ou­vertes en 1897.

Le territoire d’Horrues fut sans doute déjà occu­pé à l’âge de la pierre et à l’époque gallo-romaine puisque situé le long de la chaussée romaine. Le fief des seigneurs de l’Eclatière se situait au nord du village. Mais le village d’Horrues eut une longue histoire commune avec Soignies puisqu’en 1198, les Comtes de Hainaut cé­dèrent Horrues au cha­pitre de la Collégiale, ain­si de 1198 à 1789, il était la possession du chapitre royal de Saint-Vincent.  Riche en végétation, le village, situé sur une butte pour une bonne partie, est traversé par de nombreux cours d’eau : la Senne, la Gageole, les ruisseaux de Boussemont et D’El pisse… Cela lui a valu la particularité d’avoir été un village où de nom­breux moulins à vent et à eau ont été érigés. Château de Beaurepaire : À l’écart dans une vaste propriété d’intérêt pay­sager, sur la chaussée d’Enghien, se trouve une imposante demeure mil­lésimée 1802 : le Château de Beaurepaire.

Le territoire d’Horrues fut sans doute déjà occu­pé à l’âge de la pierre et à l’époque gallo-romaine puisque situé le long de la chaussée romaine. Le fief des seigneurs de l’Eclatière se situait au nord du village. Mais le village d’Horrues eut une longue histoire commune avec Soignies puisqu’en 1198, les Comtes de Hainaut cé­dèrent Horrues au cha­pitre de la Collégiale, ain­si de 1198 à 1789, il était la possession du chapitre royal de Saint-Vincent.  Riche en végétation, le village, situé sur une butte pour une bonne partie, est traversé par de nombreux cours d’eau : la Senne, la Gageole, les ruisseaux de Boussemont et D’El pisse… Cela lui a valu la particularité d’avoir été un village où de nom­breux moulins à vent et à eau ont été érigés. Château de Beaurepaire : À l’écart dans une vaste propriété d’intérêt pay­sager, sur la chaussée d’Enghien, se trouve une imposante demeure mil­lésimée 1802 : le Château de Beaurepaire.

La fondation Églises Ouvertes vous propose de découvrir l’époque médiévale à travers la visite de différentes églises. Fièrement dressées depuis des siècles, elles sont les témoins de l’histoire locale. Avec les châteaux et les fermes, ces lieux de culte racontent une époque et ses coutumes. Tout au long de ces circuits, vous suivrez un petit personnage, « sans nom et sans âge ». Il vous fera voyager dans les terres du comté de Hainaut. Pour vous, il ira à la rencontre de personnages historiques et légendaires de la région. Le circuit commence en pleine campagne, sur la place d’un petit village en hauteur. Vous en saurez plus sur saint Martin et saint Hubert et leurs animaux fétiches. Après il vous emmènera sur les traces de Baudouin IV le bâtisseur, à Braine-le-Comte. Enfin, il faudra suivre la vallée de la Brainette jusqu’à Steenkerque, le village des moulins et de Guillaume de Gavres, seigneur et veilleur de l’église.

Appréciez le charme d'une maison de maître (1870) située dans le centre historique de Soignies. Prenez de la hauteur et découvrez une véritable suite pouvant accueillir 2 à 4 personnes confortablement. Disposez du second étage (suite avec lit king size, salle de bain et salon privés, télévision, wifi, frigo, thés, tisanes et café + une chambre séparée avec un lit double supplémentaire) - Jardin anglais et terrasse ensoleillée. Le petit déjeuner est offert. A 38 Km de Bruxelles, 18 Km de Mons, capitale européenne de la culture (Mons 2015), à 42 km de Brussels South Charleroi Airport (30 min. en voiture), à 16 Km du magnifique parc animalier "Pairi Daïza" et à 30 Km de la France.

Nichée en plein coeur du village d'Horrues, nos charmantes chambres d'hôtes offrent une escapade paisible et chaleureuse pour les voyageurs en quête de détente.Que vous soyez en couple à la recherche d'une escapade ou en famille pour des vacances mémorables, notre établissement saura vous séduire.Nos chambres d'hôtes offrent non seulement un cadre pittoresque, mais aussi un accueil chaleureux et personnalisé.Nos chambres élégamment décorées offrent tout le confort moderne, tandis que notre jardin paisible est l'endroit idéal pour se détendre auprès de nos animaux.

Véritable "malle aux trésors", ce château au charme romantique, typiquement 19ème siècle, renferme les témoins de la vie quotidienne à la Belle Epoque. La visite guidée mène des salons prêts à recevoir aux chambres où s'habillaient les châtelaines, jusqu'au donjon où s'étale le linge à repasser.La cuisine, un must!, choisie pour des tournages des films "Germinal" de Claude Berry et "Angel" de François Ozon, évoque les menus plantureux de cette époque. Un parc à l'anglaise, dessiné par L. Fuchs en 1870, se prête à la découverte d'arbres remarquables et centenaires.

Ferme rénovée située dans un cadre verdoyant et paisible, sur le chemin de St Jacques de compostelle. On y cultive l'amour du jardin, de la nature et des chevaux.

Les sœurs grises ou franciscaines font partie des nombreuses congrégations religieuses autrefois installées à Soignies. Appelée dès la fin du 15e siècle pour remplacer les béguines dans la prise en charge des soins aux pauvres et aux pèlerins, cette congrégation est la plus anciennement établie de la ville et aussi la seule qui subsiste de nos jours. Les sœurs ont aujourd’hui été intégrées à l’équipe d’une maison de retraite installée dans l’ancien couvent. De l’ensemble, relativement bien conservé, subsistent les bâtiments conventuels, organisés autour d’un cloître fermé et d’une cour rectangulaire. Les façades, de type tournaisien, allient briques et pierre calcaire sur deux ou trois niveaux et conservent une partie de leurs châssis d’origine. La chapelle, construite entre 1761 et 1765 comme le reste du couvent, est surmontée d’un clocheton à bulbe à l’arrière et a conservé son austère façade qui ne laisse en rien deviner le luxe de la décoration intérieure composée de stucs d’inspiration Louis XV. De part et d’autre de la grande fenêtre surmontant le portail d’entrée se trouvent deux statues de saint Joseph et sainte Élisabeth, patrons de la chapelle. Classement comme monument le 2 décembre 1959

Seule réalisation Art nouveau au sein d’un ensemble de maisons de maître de style éclectique, le Modern hôtel a été construit en 1902 à la demande de Firmin Ferbus, industriel et directeur d’un moulin à Soignies. Bâti selon les plans de l’architecte Émile François, l’hôtel est géré par le restaurateur Victor Scio qui l’acquiert en 1929 et dont la famille possède toujours le bien. L’hôtel est remarquable par la cohérence, l’harmonie et la continuité de conception entre les façades extérieures et l’aménagement intérieur entièrement Art nouveau. Les façades, en briques et pierre calcaire, sont caractérisées par les jeux de lignes courbes et orthogonales des baies et des menuiseries, et la présence d’un balcon semi-circulaire en ferronnerie à l’angle du bâtiment. Du côté de la rue du Nouveau Monde, une belle porte d’entrée est ornée d’un vitrail représentant une libellule. L’intérieur est lui aussi caractéristique de l’Art nouveau : jeux de lignes courbes, ferronneries, mosaïques, lustres, boiseries, balcons, vitraux, plafond à caissons.  Fait exceptionnel, le mobilier d’époque orne encore la salle du restaurant, jusqu’au comptoir avec ses meubles de services, cloisons amovibles, tables, chaises, porte-manteaux… Classement comme monument le 25 août 1980

Bien que liée au comté de Hainaut et à ses souverains, Soignies est au Moyen Âge profondément sous l’emprise du chapitre de la collégiale Saint-Vincent qui, en véritable seigneur de la ville, contrôle l’administration et la justice, ainsi que la vie économique. L’évolution de la bourgade atteint une étape d’importance en 1365 lorsque débute l’érection d’une enceinte qui permet à Soignies d’accéder au rang de Bonne Ville du comté de Hainaut. Le sac de la ville par les troupes du comte de Flandre un an plus tôt avait en effet décidé le chapitre à doter la cité de fortifications. L’enceinte urbaine de Soignies se présente sur un plan des plus simples : elle est constituée d’importantes levées de terre, bordées par de larges fossés partiellement inondés et interrompus par quatre portes fortifiées. Le système est renforcé au 15e siècle par l’érection de murailles de pierre et de tours maçonnées pouvant abriter armes et matériel. À partir de 1677, les fortifications sont progressivement démantelées et démolies. Aujourd’hui, la physionomie de la ville reste marquée par ce système défensif : les rues s’organisent selon un plan radioconcentrique à partir de la collégiale et l’enceinte reste perceptible dans son tracé. Plusieurs vestiges sont toutefois parvenus jusqu’à nous tels ceux présents ici ainsi que d’autres situés à l’angle de la rue Neuve et de la place du Jeu de Balle. Le rempart du vieux cimetière suit encore le tracé de l’enceinte et rend compte de la structure des défenses sonégiennes. Classement comme monument le 11 août 1980

Le Centre de Documentation de la Pierre Bleue a pour vocation de faire découvrir à ses visiteurs le travail de la pierre et de mettre à la disposition de tous une documentation constituée d’archives et de documents actuels, de livres, de photos, de films, d’outils, d’échantillons… Se rapportant à l’exploitation des carrières de Pierre Bleue sonégienne et aux métiers s’y rapportant. Les visiteurs y trouveront la fidèle reconstitution d’un appentis de tailleur de pierre, tels qu’ils existaient au début du 20ème siècle et une magnifique collection de fossiles unique.

Construite en dehors des murs d’enceinte dans le premier tiers du 17e siècle dans le but d’accueillir les pestiférés de la ville, la chapelle Saint-Roch était autrefois entourée d’un cimetière dont plusieurs pierres tombales sont aujourd’hui encastrées dans les façades intérieures et extérieures. À la fin du 17e siècle, un ermitage consacré à saint Antoine est construit juste à côté et subsiste jusqu’à la fin de l’Ancien Régime. Située en retrait de la rue, la chapelle est composée d’un chœur avec chevet semi-hexagonal et d’une nef unique précédée d’une petite construction à deux niveaux dont l’étage servait d’habitation à l’ermite qui était chargé de l’entretien de l’oratoire, sous l’autorité du chapitre de la collégiale Saint-Vincent. Le sanctuaire a été principalement élevé en briques, à l’exception du soubassement de moellons de calcaire. Après la Révolution, la ville devient propriétaire des lieux et y établit un hospice pour vieillards en 1816. Rapidement abandonnée par la suite, la chapelle est rendue au culte en 1875 et remise en état à l’initiative du doyen François, comme l’indiquent deux chronogrammes situés sur la façade-pignon. L’édifice est à nouveau restauré à la fin des années 1980 dans le but de le transformer en petit espace culturel. Classement comme monument le 25 juin 1980

Blotti contre la Collégiale, le musée fait revivre les trésors des Chanoines (XIIe-XVIIIe siècles).Ce musée abrite de nombreuses collections: des peintures, des sculptures en bois et en pierre, des pièces d’orfèvrerie, des ornements liturgiques… et plus encore.

Soignies, ville d’origine médiévale, a vécu pendant près de 9 siècles à l’heure des Chanoines de Saint- Vincent, qui y firent élever au XIe siècle une imposante collégiale. De style roman primitif, ses hautes murailles en moellons patinés et ses deux tours massives surmontées de flèches altières donnent à l’édifice force, majesté et élégance. Le mobilier (XVIIe siècle), de style Baroque (chaire de vérité, stalles, lambris), est complété par une Vierge maternelle du XIVe siècle et une Mise au Tombeau du XVe siècle.

Le samedi qui précède le 3ème dimanche d’octobre, c’est la fête à MONONK Simpelourd, le souvenir de l’oncle “simple et lourd”. Un cortège folklorique sort dans les rues de la ville en escortant SIMPELOURD, un sonégien en chair et en os, déguisé et grimé, qui arrive à la gare à 19h et rejoint le centre ville en saluant et lançant des CARABIBIS, une sorte de babelute locale. Le brûlage de Simpelourd se déroule le mardi soir.

  Cette belle maison traditionnelle évoque parfaitement l’architecture civile du 16e siècle dans la région, à une époque où des bâtiments érigés en briques et pierre commencent progressivement à remplacer les constructions en matériaux périssables (bois, argile, torchis et chaume). L’édifice arbore une haute toiture de tuiles plates, ainsi qu’une façade en pierre bleue et briques, dont le rez-de-chaussée a été modifié en 1797 comme l’indiquent les ancres sur le parement. La façade est typique de la transition de l’architecture du bois vers la pierre à cette époque et conserve aux étages une structure en pans-de-bois hourdés de briques. Il semble qu’à l’origine, la maison était pourvue d’une grande salle à chaque niveau et que chacun était  accessible au moyen d’une tourelle d’escalier circulaire, toujours dressée contre la façade arrière. Cette disposition laisse à penser qu’il ne s’agissait pas d’une demeure privée mais bien du local d’une corporation, voire de la halle aux draps, comme l’indiquent les archives et dont l’établissement horeca porte aujourd’hui le nom. Classement comme monument le 28 août 1947

Commençons notre visite par la collégiale de Soignies. À l’époque, Soignies n’est qu’un petit village, une bourgade sans grande importance. La construction d’une telle collégiale est une démesure au regard des besoins locaux. Disproportionnée dans un paysage de verdure, on la voit à des lieues à la ronde ! Entrez dans la collégiale et observez cet univers fait de pierre et de verre.… Tout est dédié à Saint-Vincent. Un grand homme pour un grand édifice ! Nous sommes au VIIe siècle. Un beau jour, un moine vient s’installer au milieu de la forêt : il veut s’éloigner de tout afin d’épouser une vie de contemplation. - Mais qui est ce saint homme ? - Je m’appelle Madelgaire, noble franc. Madelgaire nait en 607 dans le Hainaut. Il épouse Waudru, une dame de la haute noblesse et ensemble ils ont quatre enfants. Tout en accomplissant les devoirs liés à son rang, Madelgaire fonde le monastère de Hautmont. Ayant terminé l’éducation de ses enfants et d’un commun accord avec son épouse, il s’y retire afin d’embrasser la vie religieuse, loin de la puissance et de la gloire. Cependant, désireux de s’éloigner plus loin encore de la population, il construit un monastère au milieu de la forêt. Il prend le nom de Vincent, « le victorieux ». Chaque lundi de Pentecôte, depuis plus de 750 ans, un Grand Tour est organisé en son honneur dans la région sonégienne. L’édifice porte le nom de « collégiale » car il a accueilli durant des siècles les chanoines du chapitre de Soignies. Le mot chanoine vient du latin canonius – canon – et fait référence à la règle établie par le clergé qui devait être récitée et méditée chaque matin par la communauté religieuse, chapitre après chapitre, afin d’être intériorisée. D’où le nom de l’institution religieuse. Avancez vers le chœur de l’église. Regardez à travers la vitre : au fond, au milieu du retable, trône la somptueuse châsse de saint Vincent. Mais, ce n’est pas le seul trésor de ces lieux : les miséricordes de stalles en chêne sculpté valent aussi le détour. Elles permettaient aux chanoines de s’y appuyer lorsqu’ils étaient fatigués, d’où leur nom : ils se reposaient tout en demandant miséricorde à Dieu ! Pourquoi étaient-ils fatigués ? Car ils devaient réciter des prières debout durant de longues heures… - Mais de quoi vivaient-ils ? - De la dîme, cette taxe payée par le peuple, et des dons de riches laïcs pour s’accorder les faveurs du Dieu tout puissant. Pour construire la collégiale romane, il a fallu faire appel à un nombre important de gens de métier : des architectes, des carriers, des tailleurs de pierre, des charpentiers ou encore des forgerons. Pendant des dizaines d’années, la vie à Soignies est donc rythmée par le va-et-vient de la scie sur le bois ou encore par le bruit du marteau contre la pierre. Promenez-vous à présent dans la collégiale et partez à la découverte de quelques-unes de ses œuvres remarquables. Dans le jubé, sur la droite, une Vierge à l’Enfant regarde le fidèle avec bienveillance. Tout en allaitant l’Enfant Jésus, elle tient dans sa main droite un livre, sans doute la Bible. On devine le corps en-dessous des draps : la draperie est fluide, elle épouse les formes, et la ceinture accentue ce désir de réalisme. Ces caractéristiques sont typiques de la sculpture gothique. - Viens petit, il faut rendre les derniers hommages au Christ. - Il est ici ? - On pourrait presque croire que oui… Au fond de l’église, à la droite du chœur, un ensemble sculptural intégré dans une niche murale déploie tout le génie d’un artiste du XVe siècle : la Mise au Tombeau. Ce thème est récurrent à l’époque de l’artiste : c’est la fin d’un siècle ponctué de famines, d’épidémies et de guerres. Pour réchauffer les cœurs, l’Eglise met en avant l’ultime sacrifice du Christ symbole d’une résurrection future et d’une vie meilleure dans l’au-delà pour tous … ou presque. - Tout paraît si réaliste. En se retournant, une ouverture laisse apparaître le chœur. Sur le mur d’en face, en haut à gauche, se dévoilent quelques dessins à l’ocre de l’époque gothique : une frise et des arcades du XIIIe siècle, restaurées il y a peu. Au XIe siècle, la collégiale est entièrement peinte de motifs géométriques, d’arcatures ou encore de rinceaux d’inspiration végétale. L’ensemble crée un véritable appareil à faux joints : il imite la maçonnerie en soulignant les arcs des fenêtres ou encore les voûtes. Aujourd’hui, les murs sont recouverts d’un beige rosé, la teinte la plus ancienne attestée dans l’édifice. Cet enduit protège d’autres motifs, toujours cachés, par souci de conservation. - Imagine la profusion de couleurs…Cela devait être magnifique ! Continuez jusqu’au fond de l’église pour vous retrouver derrière le chœur, et prêtez-vous au rituel du lieu : passez entre les colonnes en y frottant vos articulations. Une étrange coutume ? Pas tant que ça… Au-dessus de vos têtes se trouve la châsse de saint Vincent contenant ses reliques. Se frotter aux colonnes permet d’être au plus proche du saint et de guérir ses problèmes d’articulation et de rhumatisme. Le culte des reliques est très répandu au Moyen Âge. Afin de manifester sa puissance, les fidèles les disposent dans un reliquaire ou une châsse richement décorés. Des analyses au carbone 14 ont démontré que les ossements présents dans la châsse de saint Vincent remontent bien au VIIe siècle. Chanoines et Sonégiens ont su préserver leur trésor des aléas du temps. Au départ, les reliques de saint Vincent auraient été placées dans une crypte semi-enterrée, éclairées par des fentes dans le mur blanc, toujours visibles aujourd’hui. Cet espace derrière le chœur, c’était donc la rue. Au XIIe siècle, la coutume veut qu’on élève les reliques pour les montrer aux fidèles et aux pèlerins. Le chapitre construit alors un gigantesque monument composé d’au moins 80 colonnes, fabriquées en calcaire de Tournai soutenant la châsse de saint Vincent. L’agencement actuel date de la deuxième moitié du XVIIe siècle et du début du siècle suivant. La collégiale abrite un musée, le Musée du Chapitre. Établi dans les anciens locaux du chapitre, le Musée du même nom expose des œuvres d’art sacré, liées à l’histoire religieuse locale. Ouvert chaque dimanche de 14h à 18h de la Pentecôte aux Journées du Patrimoine

L'Atelier de Marius est niché au cœur de la ferme familiale, initiée par Marius, le papa et grand-père de Jean-Marc et Caroline. Leur philosophie est de proposer une cuisine faite-maison savoureuse, remplie de produits locaux, éthiques et qui rémunère justement les producteurs. L'imprenable vue sur les champs et les prairies environnants rend l'atmosphère de ce restaurant conviviale et chaleureuse. Doté d'un potager sur place, l'Atelier de Marius s'inscrit dans la dynamique "du champ à l'assiette". Le restaurant met un point d'honneur à concocter des plats à la fois authentiques et généreux, rassemblant avec talent les merveilles de notre terroir. Profitez de plats délicieusement préparés dans ce charmant restaurant où hospitalité et délices gustatifs se rencontrent. Restaurant labellisé Table de Terroir. Le label Table de Terroir récompense les restaurants qui subliment les produits locaux. Tous les établissements labellisés Table de Terroir se retrouvent sur www.tabledeterroir.be

Découvrez le côté pile du monde du spectacle, artistiquement recréé pour votre plaisir. Les murs décorés d'authentiques croquis de scène, costumes et accessoires sont éclairés par des rampes de projecteurs comme derrière un véritable décor. Les plafonds s'égaient de tables dressées... à l'envers. Un cadre chatoyant et époustouflant qui vous transporte dans l'univers féerique du spectacle! La cuisine "ouverte" constitue un show permanent à elle seule! Le chef agrémente la belle cuisine française d'une note d'originalité toujours bienvenue. Les suggestions varient au fil du marché et des saisons.

Lieu convivial d'exposition pour les artistes, artisans, associations et organisations locales.

Venez découvrir cette table presque cachée qui peut compter sur le bouche-à-oreille pour tourner, chaleureuse et conviviale. Vous y trouverez une cuisine franche, sincère et sans artifices s’inspirant des saisons et du marché. Vous pourrez également également compter sur le sommelier qui se fera une joie de sélectionner les meilleurs vins pour accompagner vos plats et également découvrir la boutique du restaurant « Le garde Manger », dans laquelle vous trouverez des fabrications maisons.

Le Café des Étangs est un endroit bucolique : une petite maison rustique qui fait face à un étang calme, bordé de grands arbres. L'établissement est installé au milieu des bois qui cernent la vieille Abbaye de Saint-Denis (500 hectares!), son vieux hameau de maisons coquettes et ses petits etangs, à deux pas d'Obourg et trois de Mons. L'endroit est idéal pour se promener tranquillement en fin de repas ! Le Café des Étangs vous propose également des bières issues de brasseries de la région et d'ailleurs.

Havre de paix dans un noble écrin de verdure au cœur du joli village de Lombise. Le cadre dont vous rêvez, pour réussir vos fêtes et vos diners d’affaires . La cuisine accessible pour tous ; simple et saine ; met parfaitement en évidence la qualité et la fraicheur des produits. Quand le soleil pointe son nez, vous profiterez de la chaleur estivale sur la terrasse qui a fait la renommée du restaurant « La Maison du Cocher ». Votre véhicule trouvera facilement une place sur un vaste parking . Le restaurant se situe à 5 minutes de Pairi Daiza, à 15 minutes de l’Hôpital de Notre Dame de la Rose à Lessines et à 15 minutes du site archéologique d’Aubechies.

Une cuisine authentique et accessibleAvec une carte mettant en avant des produits frais et de saison, La Maison du Cocher propose une cuisine simple, saine et savoureuse, accessible à tous. Chaque plat est préparé avec soin pour sublimer la qualité des ingrédients et ravir vos papilles.Une terrasse emblématique et un vaste parkingDès l’arrivée des beaux jours, installez-vous sur la terrasse ensoleillée, reconnue pour son cadre paisible et agréable. De plus, un large parking est à votre disposition pour une expérience sans contrainte.Offrez-vous une pause gastronomique dans un cadre d’exception et laissez-vous séduire par l’accueil chaleureux de La Maison du Cocher !

Le restaurant Les Salines c'est avant tout un univers de saveurs et de plaisirs culinaires qui enchanteront vos papilles ! L'ambiance décontractée et feutrée des Salines vous permet d'apprécier à sa juste valeur une cuisine inventive, de saison, qui met l'accent sur les saveurs. Et lorsque chaleur et soleil sont présents, une dégustation en terrasse vous séduira sans nul doute… À l’époque du siècle des Lumières et de la saline d’Arc-en-Senans, le sel était utilisé pour la conservation de certains aliments comme la viande ou le poisson. C'était donc à ce titre une denrée essentielle. Le projet industriel et de société de la saline royale révélait toute son importance.

Appréciez le charme d'une maison de maître (1870) située dans le centre historique de Soignies. Prenez de la hauteur et découvrez une véritable suite pouvant accueillir 2 à 4 personnes confortablement. Disposez du second étage (suite avec lit king size, salle de bain et salon privés, télévision, wifi, frigo, thés, tisanes et café + une chambre séparée avec un lit double supplémentaire) - Jardin anglais et terrasse ensoleillée. Le petit déjeuner est offert. A 38 Km de Bruxelles, 18 Km de Mons, capitale européenne de la culture (Mons 2015), à 42 km de Brussels South Charleroi Airport (30 min. en voiture), à 16 Km du magnifique parc animalier "Pairi Daïza" et à 30 Km de la France.

Nichée en plein coeur du village d'Horrues, nos charmantes chambres d'hôtes offrent une escapade paisible et chaleureuse pour les voyageurs en quête de détente.Que vous soyez en couple à la recherche d'une escapade ou en famille pour des vacances mémorables, notre établissement saura vous séduire.Nos chambres d'hôtes offrent non seulement un cadre pittoresque, mais aussi un accueil chaleureux et personnalisé.Nos chambres élégamment décorées offrent tout le confort moderne, tandis que notre jardin paisible est l'endroit idéal pour se détendre auprès de nos animaux.

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"LA FERMETTE" 2 chambres et 1 gîte aménagés dans une ancienne fermette restaurée, en pierre du pays, située entre Enghien et Soignies. Véranda. Etang, animaux de basse-cour. Jardin fleuri. R. de ch.: divan-lit 1x2 p., douche, lavabo, WC, salon, s. à m., cuis. 1er ét.: 1 ch. (1x2 p., divan-lit 2 p., lavabo, TV).