Découvrez CAMPING AILEFROIDE à Pelvoux, Hautes-Alpes

Durant 5 jours, cette itinérance traverse des paysages grandioses de haute montagne à perte de vue, conjugués à l’ambiance singulière et hors du temps des nuits en refuges d’altitude !Le Tour des refuges en Vallouise est proposé ici en 5 étapes, mais les plus courageux pourront le faire en moins. Le hameau d’Ailefroide, point de départ, prend vie à la saison estivale où il accueille grimpeurs, contemplatifs et randonneurs. Il est situé à l’embranchement de la vallée sauvage et encaissée du Celse Nière dont la rive gauche est dominée par le Massif du Pelvoux et la vallée du Torrent de St-Pierre qui mène au Pré de Mme Carle.La première étape de ce périple conduit au refuge du Sélé, situé sur un verrou glaciaire dominant la vallée et au pied des versants sud de l’Ailefroide (3950 m) et du Pic Sans Nom (3913 m). Après un faux plat et plusieurs lacets, le sentier rejoint « la barre du Sélé », qui se franchit par un sentier raide, équipé de câbles. L’étape 2 propose de revenir sur ses pas jusqu’à la jonction avec le sentier du refuge du Pelvoux. Le refuge se dévoile au dernier moment. Depuis le promontoire devant le refuge, on profite d’un ensoleillement tardif très appréciable. Le lendemain, retour à Ailefroide par l’itinéraire de montée, où il est possible de faire étape. Les motivés pourront rejoindre directement le Pré de Mme Carle en longeant la rive droite du Torrent de St Pierre. Changement de vallée, changement de décors. Puis, le sentier s’élève alors rapidement au-dessus de la plaine. Au détour d’un virage, on découvre le Glacier Blanc. Il faudra encore passer plusieurs courts ressauts rocheux (câbles) avant d’arriver au refuge. Depuis la terrasse en granit moutonné, on ne peut pas se lasser du paysage environnant et des vues sur les versants nord des sommets qui surplombent le Glacier Noir : Le Pelvoux, le Pic sans Nom, l’Ailefroide et tant d’autres. Le dernier jour on revient au point de départ : Ailefroide.

Dans un cadre de très haute montagne, cette randonnée emprunte une vallée aux montagnes mythiques et conduit à deux refuges par un franchissement de falaise périlleux.Du parking, remonter la vallée du Sélé par le sentier qui suit la rive gauche du torrent de Celse Nière. Après une longue montée en faux plat, le sentier emprunte des lacets raides jusqu'à la jonction avec le sentier du refuge du Pelvoux (1993m).Poursuivre tout droit par de grandes traversées qui mènent au pied d'une falaise très raide.Un large sentier permet d'attraper des câbles qui remontent cette face sur la droite tout d'abord, puis en traversée vers la gauche. A la sortie de la falaise, remonter le bon sentier qui tourne franchement à droite pour gagner le sommet du promontoire rocheux où se trouve le refuge.Le retour s'effectue par le même itinéraire en sens inverse.

Une montée en refuge pleine de charme sur un sentier très agréable qui mène en des hauts lieux de l'histoire de l'alpinisme.Du parking remonter la vallée du Sélé par le sentier qui suit la rive gauche du torrent de Celse Nière. Après une longue montée en faux plat, le sentier remonte des lacets raides jusqu'à la jonction avec le sentier du refuge du Sélé (1993 m).Prendre à droite le sentier du refuge du Pelvoux qui serpente au milieu des éboulis et de petites barres rocheuses, puis se poursuit en lacets dans des pentes d'herbe et de rochers peu inclinées. Le refuge est invisible jusqu'à l'arrivée mais l'approche est signalée par des cairns (tas de pierres).Emprunter le même itinéraire en sens inverse pour le retour. 

Réunir à la fois la douceur du mélézin, la fraîcheur des ravins, la dimension de la haute montagne au milieu d'une faune emblématique, c'est ce que réussit cette randonnée vers la bosse de Clapouse.Du parking, remonter la vallée du Sélé par le sentier qui suit la rive gauche du torrent de Celse Nière.Au poteau 1572 m, franchir le torrent vers la gauche sur la passerelle (refaite en 2022. Démontée de novembre à juin). Remonter la rive droite du torrent par le sentier de Clapouse, puis celui-ci oblique à gauche et remonte les pentes en serpentant alternativement sous les mélèzes et les aulnes verts. L'itinéraire mène ensuite astucieusement dans les barres et les traversées de ravins, avant de déboucher dans le vallon de Clapouse. La Bosse est le petit sommet de gauche qu'on atteint par une sente.Le retour s'effectue par le même itinéraire en sens inverse.

C'est en 1891 qu'apparait dans le paysage ce refuge sur la voie d'accès au Pelvoux, il est nommé refuge Lemercier, du nom du généreux donateur qui finance sa construction (il est le fils d'Abel Lemercier, 1er secrétaire du CAF). Il remplace, sur le même site, un refuge plus ancien, le refuge de Provence. Ce refuge en bois est fabriqué à Paris puis transporté en morceaux pour être remonté sur la plateforme où se situe l'actuel refuge. Il comportait à cette époque une quinzaine de couchages, et comble du modernisme un poële à pétrole, évitant ainsi aux utilisateurs d'avoir à monter du bois. Le combustible était acheminé en début de saison par les guides locaux. Il restera utiliser jusqu'en 1962, date de construction du nouveau refuge en pierre. Durant ces longues années il accueillera de nombreux alpinistes dont on retrouve les noms dans les différents livres d'or. Y sont fait mention, entre autre des visites de Mr METTRIER, au retour de la 1ère de la face Nord du Col Est suivie du couloir Mettrier ,en 1909, ou de Mr HELBRONNER venu édifié le grand cairn toujours présent devant le refuge. Restauré en 2009, par Louis CHIORINO et son équipe, et transformé en musée, il dispose désormais de 10 couchages, afin de vous accueillir dans ce lieu chargé de l'histoire des premiers alpinistes de ce massif.

Mont-Pelvoux, inévitable classique du massif des Écrins. Cette course très variée, vous fera progresser entre rocher, neige et glace. La première journée consiste à monter jusqu’au Refuge du Pelvoux, situé à 2704 m d’altitude sur un promontoire rocheux. Depuis Ailefroide, comptez 3h30 de montée. Parcourez le vallon du Sélé et ses superbes cascades présentes en début de saison. Attention, de nombreux animaux (dont chamois et marmottes) ont trouvé le lieu fort sympathique et y ont fait leur lieu d’habitat : - Respectez ces espèces et leur tranquillité- Ramassez vos déchets et ne laissez pas de nourriturePour la deuxième journée, quittez le Refuge du Pelvoux pour rejoindre la Bosse de Sialouze. Remontez le glacier du même nom pour atteindre le bas du couloir Coolidge. Si trop en glace, empruntez l’itinéraire des Rochers Rouges. Ce couloir, d’une inclinaison assez élevée (40 degrés), vous fera arriver sur le Glacier du Pelvoux. Montez ensuite jusqu’à Pointe Puiseux pour atteindre le sommet, à 3943 m d’altitude.La descente est à ne pas négliger, il y a des désescalades, des rappels et sachez que les vires d'Ailefroide peuvent être dangereuses. La descente se fait par le Glacier du Pelvoux, en rive droite, puis par le Glacier des Violettes. Plusieurs rappels sont nécessaires selon les conditions. Des ponts de neige et des passages sous des séracs sont à envisager. Le bas de la descente par les vires d’Ailefroide et par le névé des militaires aboutit au parking de Printemps du Pré de Madame Carle. Restez vigilant à la descente !Comptez environ 2h du refuge jusqu'à l'attaque du couloir Coolidge, puis 5 à 6h de descente par le glacier des Violettes jusqu'à Ailefroide, soit 10 à 11h de course. Retour : L'itinéraire renseigné à le même point de départ et de retour. La fin de la course se réalise donc sur le sentier descendant qui longe le torrent Saint-Pierre jusqu'à Ailefroide. Sachez qu'une autre option est possible, et vous fait arriver au parking des Bans, plus haut au niveau de la plaine alluviale du Pré de Madame Carle. Pour cette option, il est préférable de partir à deux voitures pour en laisser une au départ et une à l'arrivée. Il est également possible de prendre les navettes qui relient le Pré de Madame Carle à Ailefroide. Les navettes sont mises en place sur les mois de juillet et août : www.paysdesecrins.com/sites/ot-paysdesecrins/files/content/files/zou05_ligne_543_largentiere_puy-saint-vincent.pdf

Un agréable circuit permettant de rejoindre Ailefroide Du parking des Claux, prendre le sentier, en direction d’Ailefroide par Pra Chapel, s’élevant juste à droite de la conduite forcée. Un peu plus haut, il enjambe celle-ci et se poursuit par un beau chemin pavé entouré de murets de pierres. Il passe vers les chalets du Serre puis de Pra Chapel, traverse un couloir d’avalanche (voir recommandations) et parvient aux chalets situés en amont d’Ailefroide.  Prendre la route sur la gauche pour passer sur le pont et commencer à redescendre sur cette route traversant tout le hameau. Suivre une petite route pénétrant dans le camping, se poursuivant par un sentier traversant le torrent de Celse-Nière. Après la passerelle, prendre à gauche le sentier qui rejoindra plus loin la route d’Ailefroide. Le sentier redescend jusqu’au parking des Claux, en coupant plusieurs fois la route.

Un beau voyage au-dessus de la vallée, au départ des remontées mécaniques de la station de Pelvoux. En partant du sommet du télésiège de la Crête, prendre le sentier qui monte vers le lac de Puy Aillaud en suivant le balisage. Avant d'atteindre les 2600m d'altitude, le sentier bifurque à droite vers le lac de Puy Aillaud. Retour : le retour peut s'effectuer par le télésiège du Préron ou par la piste qui descend à travers la station jusqu'au parking.

Un sommet inoubliable avec une vue exceptionnelle sur le massif des Ecrins. En partant du sommet du télésiège de la Crête, prendre le sentier qui monte vers la Blanche en suivant le balisage. Avant d'atteindre les 2600m d'altitude, le sentier bifurque à droite vers le lac de Puy Aillaud. Ne pas prendre cette bifurcation, et bien continuer tout droit en direction de la Blanche. Retour : le retour peut s'effectuer par le télésiège du Préron ou par la piste qui descend à travers la station jusqu'au parking.

En balcon sur le vallon de Chambran, découvrez ce sentier thématique marqué par le pastoralisme. De Chambran, suivre la piste se dirigeant vers le fond du vallon.  Tourner à droite pour débuter la montée.  Faire un aller-retour pour avoir une vue sur la cabane des Fons située dans le vallon. Revenir sur ses pas pour ensuite prendre la direction de la cabane du clot de la Selle en prenant à gauche le sentier qui y monte. L’itinéraire passe ensuite à proximité de la cabane pour remonter au-dessus d’elle sur un épaulement. Le sentier part alors à flanc ; il chemine à travers une vaste casse de blocs calcaires, poursuit à l’horizontale dans l’alpage avant de descendre sur la cabane récente des Prés du Rocher.  Emprunter la piste d’accès à la cabane pour rejoindre la route et remonter celle-ci sur quelques centaines de mètres jusqu’à Chambran.

En fond de vallée du Vénéon, il offre un panorama sur le glacier de la Pilatte et les sommets les plus prestigieux des Écrins. Le refuge de Temple Ecrins a été entièrement rénové en 2018. Il offre 48 couchages, constituées de modules pour 1 à 3 personnes et équipés de couettes. Lumineux et chaleureux, le refuge est équipé de douches. Un poêle à bois permet de passer d’agréables soirée au coin du feu, tout en profitant des repas généreux faits maison que vous propose la gardienne. La grande fenêtre de la salle de restauration offre une vue imprenable sur les paysages typiquement alpins de l’Oisans. VOUS RANDONNEZ DANS LE COEUR DU PARC NATIONAL DES ÉCRINS Le massif des Écrins est un espace exceptionnel, ouvert à tous, dont les patrimoines naturels, culturels et paysagers sont rares. Pour protéger ces richesses, le cœur du parc est matérialisé par des drapeaux peints bleu-blanc-rouge, où une réglementation est à respecter. Merci d’en prendre connaissance en préparant votre randonnée afin de préserver ce bien collectif sur le site ecrins-parcnational.fr.

Située en plein cœur de forêt à 1560 mètres d’altitude, cette ancienne cabane forestière, propriété de l’ONF, est une véritable ode à la nature et à la tranquillité. Idéale pour venir se ressourcer et profiter du grand air en famille ou entre amis. Balades, départ de randonnées ou farniente vous n’avez que l’embarras du choix. Infos Pratiques Capacité d’accueil : 5 personnes maximum. Équipements : Pièce à vivre équipée d’un poêle à bois, d’une gazinière, d’un réfrigérateur, d’un évier, d’une table et de bancs ainsi que de toute la vaisselle nécessaire. Dortoir à l’étage. Salle de bain et WC avec accès par l’extérieur.

Adèle Planchard légua sa fortune pour bâtir le refuge. Dans son environnement « haute montagne », sa longue marche d’accès est peu technique et superbe, accessible à tout randonneur.. ou presque ! Devant les glaciers, et le lever de soleil est inoubliable Le refuge est le deuxième plus haut perché du massif des Ecrins. Situé dans le Massif des Ecrins, groupe de la Grande Ruine dans le Briançonnais, ce refuge est un belvédère sur la Barre des Ecrins. En y arrivant, vous découvrirez l’univers de la haute montagne. Du refuge, vous aurez une très belle vue sur l’enfilade de Sommet du Pic de Neige Cordier jusqu’à La Roche Méane qui culmine à 3765 m (Pointe Breevort). Accès du Pied du Col (5h) sur sentier balisé. En Eté, pas de besoin de matériel technique. Au printemps le refuge est aussi gardé pour la saison de ski de randonnée, comme première étape du tour de la Meije, ou pour l'ascension de la Grande Ruine !

Sylvie et Seb vous accueillent dans leur refuge, ancienne bergerie entièrement restaurée avec des matériaux écologiques et traditionnels; situé au cœur de l'alpage de Villar d'Arène, au pied des glaciers aux portes du Parc National des Ecrins. Situé sur le plan de l'Alpe à 2106m, au pied des glaciers et aux portes du parc national des Ecrins, ce superbe chalet-refuge vous ouvrira ses portes pour un séjour en pleine nature ; une échappée belle au cœur de la montagne, pour se ressourcer et faire le plein de belle énergie en famille. Drap de propreté obligatoire. Ce refuge confortable et de petite capacité vous accueille pour une nuit ou plus, pour un séjour sportif ou contemplatif (ou les 2) dans un cadre magnifique et calme, loin du wifi, du stress et des tracas de la vie d'en bas ! Logement en petites chambres. Le refuge dispose de 20 places, une salle de bains avec 2 lavabos et 2 douches chaudes et un grand salon/ salle à manger avec poêle à bois. Électricité 220V. Douche solaire extérieure. Compter environ 1h30 à 2h de montée par le sentier au départ d'Arsine (Villar d'Arène) et 1h30 par le sentier des Crevasses au départ du Col du Lautaret (à mi-chemin de ce sentier, il y a un passage quelque peu vertigineux durant 50m mais avec une main courante sur le chemin le long de la paroi). De nombreuses randonnées faciles sont à découvrir au départ du refuge, en voici quelques exemples : - Les Sources de la Romanche - Le lac de l'Etoile - Le Lac d'Arsine Refuge marqué “Refuges ALPES”.

Chabournéou dévoile un univers de montagne et de glacier. Cet ancien refuge à l'ambiance authentique offre une belle variante sur le Tour du Vieux Chaillol ou du GR54. Restauration toute la journée. Pas de salle hors sac. Un refuge authentique dans un cadre alpin au pied de la face nord du Sirac. Facile d'accès par un chemin au nom évocateur "le sentier du ministre", le refuge vous accueille pour la saison de ski de printemps et pour l'alpinisme et la randonnée pédestre en été. Accessible en 2h30 depuis le parking du Gioberney, dénivelé 450 mètres.

Situé en plein alpage, le refuge de l'Alpe vous accueille, petits et grands, pour une randonnée à la journée, une première nuit en refuge, une étape sur le GR54 ou vers un autre refuge. Pour l'alpinisme et le ski de rando : c'est LE spot par excellence ! Avec une superbe vue sur le sommet des Agneaux l’accès se fait par une randonnée familiale très facile ; malgré quelques passages raides, elle permet de remonter aux sources de la Romanche et de profiter d’une pause bien agréable en bordure de ce joli torrent. " Un petit ruisseau, quelques blocs de rochers, des pentes herbeuses et l’espace tout entier pour courir et rire à la vie. Non loin, les poules picorent herbes et insectes, et à quelques mètres, depuis son parc, l’âne de bât observe la scène de ses yeux doux, ici c'est un peu le Paradis", nous disent les gardiens. Les enfants pourront courir, grimper, se rouler dans l'herbe… A eux la liberté ! C'est aussi le point de départ de courses en montagne vers différents sommets (Agneaux, Neige Cordier, Chamoissière, la Pyramide…) A partir du refuge : Principales randonnées à pied : - Le lac du glacier d’Arsine (2400m – 2h) - Les sources de la Romanche (2150m – 1h) - un petit sommet : la bosse de Chamoissière - Etape sur le Tour de l'Oisans (GR54) Alpinisme : - Les Agneaux (3646m – AD) - Pointe de Chamoissière (3215m) - Pic de Neige Cordier (3613m) Ski de randonnée : - Etape sur le Tour de la Meije et sur le Tour des Ecrins - Couloir nord de Roche Faurio - La Grande Ruine - Le col des Chamois, le col du Fauteuil, le col des Agneaux / les Agneaux... La palette est riche de choix ! NB : Tourisme adapté : Le refuge, via le sentier des Crevasses, est accessible en joëlette avec aide. (possibilité d'emprunt à l'office du tourisme de la Grave, sur réservation et contre caution : 04 76 79 90 05).

Refuge perché à l'extrémité d'une arête (crête de l'Orient) dans un univers minéral, en vue de la face est des Rouies, remarquable lorsque les brumes de l'aube en soulignent le relief. Ce séduisant refuge fait le bonheur des randonneurs comme des alpinistes grâce à ses atouts multiples : dortoirs douillets avec couettes, toilettes sèches, douches chaudes, salle de restauration spacieuse et lumineuse, poêle pour les journées humides et un aspect bois bien chaleureux. Sa situation est idyllique et convient aux randonneurs qui peuvent le découvrir en parcourant une boucle agrémentée de lacs, de rhododendrons, de cascades, de chamois et de bouquetins. Il est aussi prisé des alpinistes auxquels il permet d'accéder aux Rouies (courses de neige et rocher), aux pics Central ou Ouest du Vaccivier, au mont Gioberney, et encore bien d'autres traversées alpines et sauvages !

Au cœur d’un cirque de haute montagne entre le Pavé, Roche Méane et le Pic Gaspard, sur les rives d'un lac glaciaire, ce refuge d'altitude propose un voyage aux airs himalayens dans une des vallées les plus secrètes et sauvages du massif des Ecrins. Monter au lac du Pavé, c'est d'abord une randonnée magnifique pour ensuite toucher au plus près la haute montagne. Situé au cœur d’un cirque majestueux, le nouveau refuge du Pavé s’insère dans un décor saisissant…. La haute montagne à l’état pur. Récemment rénové (2024), et gardé l'été, le nouveau refuge du Pavé accueille alpinistes, grimpeurs, randonneurs aguerris et tous les amoureux de la nature. Vous découvrirez sur place un refuge dont la conception a été dictée par l’environnement qui l’entoure, alliant confort et sobriété. Pauline, la gardienne, mettra tout en œuvre pour que vous passiez un agréable moment en montagne ! Convivialité et bonne humeur sont au rendez-vous ! Le refuge permet un accès rapide à un grand nombre de courses d'alpinisme et d'escalade : des plus faciles aux plus difficiles. Le sommet le plus prisé est le Pic nord des Cavales : c'est l'une des plus belles courses d'alpinisme facile du massif des Ecrins sur un granit d'excellente qualité. La pointe Emma, qui présente les mêmes caractéristiques, est elle aussi parcourue par de nombreuses cordées. Sur ces deux sommets, on trouve de nombreuses voies de difficultés variées et l'un comme l'autre offrent une vue remarquable sur le vallon des Etançons et la face sud de la Meije. La pointe des Chamois, voisine de la pointe Emma, est parfaite pour une course rapide d'initiation. Les amateurs des grandes courses du grand Oisans sauvage se tourneront vers le Pic Gaspard et son arête sud-sud-est : la fameuse Devies-Gervasuti. Les fous de verticale se dirigeront au pied de la face sud du Pavé. On y trouve trois voies, dont l'une des escalades les plus difficiles du massif avec du 7b à 3500 m d'altitude ! Les alpinistes au long cours s'engageront dans la belle et exigeante traversée Pavé - Meije orientale. Un must du secteur. Pour les courses de neige, le col du Pavé en aller/retour, est tout indiqué. Du col, possibilité également de rejoindre le refuge du Promontoire ou vice et versa (course sérieuse : terrain glaciaire raide et crevassé). Enfin, on n'oubliera pas la Grande Ruine et le fameux col du Diable. Réchauffement climatique en cause, ce grand couloir n'est plus guère pratiqué et il faut chercher les bonnes conditions d'enneigement très tôt en saison.

Le refuge du Clot - Xavier-Blanc vous accueille pour un moment de détente à la journée, pour une première expérience en refuge ou au long de votre itinérance (GR54, Tour du Valgaudemar, Tour du Chaillol). Dans le massif des Ecrins, au bout de la vallée du Valgaudemar, le chalet du Clot est à la croisée des tours de l'Oisans (GR 54), du Vieux Chaillol, et du Valgaudemar. Cette grande et vieille bâtisse en pierres construite près du torrent de la Séveraisse, aujourd'hui au creux de la forêt de bouleaux, églantiers, aliziers, frênes, ... hébergeait originellement des mineurs exploitant des filons de galène au-dessus du Gioberney, avant de devenir un des premiers refuges du Club Alpin Français. Elle profite d'un ensoleillement généreux en été, automne et printemps, tout autant que de l'ambiance feutrée de la forêt hivernale. Ici, à l'ancien hameau du Playne, chaque saison revêt ses meilleures atouts. Le refuge est gardé l'été par Ingrid Benoit, le reste de l'année il est accessible en mode non gardé. Ce lieu vous invite à la détente et est le départ pour de nombreuses randonnées, à la journée ou sur plusieurs jours : tour du Vieux Chaillol, tour du Valgaudemar, GR54 ... en période non enneigée, et raquettes ou ski de randonnée quand la neige a recouvert les pentes marquées du Valgaudemar. De mai à novembre, la route mène au pied du refuge, avec une marche de seulement 10-15 minutes pour le rejoindre. Ensuite, ce seront environ deux heures de balade dans un environnement magique tout de blanc étincellant pour le découvrir. (attention, la montagne est un milieu qui comporte des risques naturels à prendre en considération, surtout par présence de neige, ne pas se déplacer sans s'être renseigné auparavant) Au refuge l'accueil y est chaleureux avec une cuisine maison à partir de produits choisis (locaux autant que possible et/ou bio), sans oublier jeux, lectures et échanges conviviaux ! En famille, entre amis, partenaires sportifs ou en solo, le refuge du Clôt Xavier Blanc ouvre grandes ses portes à qui prend le temps de venir le rencontrer.

Blotti au pied de la face ouest du Sirac, ce refuge fut construit en 2001 en bois et en pierre. Dortoirs spacieux et lumineux, équipés de couettes. Douches chaudes et WC à l'intérieur. Au départ du refuge, possibilité de plusieurs courses et randonnées : Sirac, col et Pic de Vallonpierre, col des Chevrettes, GR 54, refuge de Chabournéou, Tour du Vieux Chaillol. Accessible en 2h30 depuis le parking du Gioberney, dénivelé 700 mètres.

Hameau isolé en hiver du fait de la fermeture de la route à cause de la neige, Ailefroide reprend vie au printemps et peut accueillir plus de 1000 résidents en été. Ancien hameau d’alpage, Ailefroide est devenu, au XXème siècle, un camp de base majeur pour les alpinistes partant à l’assaut des sommetsmythiques environnants. Depuis les années 1980, la notoriété internationale du hameau s’est accrue avec le développement de la pratique de l’escalade en grandes voies sur les parois granitiques alentours.

Animal emblématique de la montagne, le chamois est en fait plutôt un animal de forêt. À l’aise dans les pentes et les rochers, il est doté d’adaptations remarquables telles qu’un cœur très volumineux et un sang très riche en globules rouges, lui permettant de gravir plusieurs centaines de mètres de dénivelé en quelques minutes (400 m à l’heure pour un randonneur moyen !). En hiver, leur pelage est plus sombre, faisant office de « capteur solaire ».

Entre mélèzes et parois de granite, au pied du Mont Pelvoux se trouve Ailefroide, autrefois un hameau d’alpages. Il s’agit du dernier hameau de la vallée situé à la confluence des vallons de Saint-Pierre et de Celse Nière. “Ailefroide” signifierait “Alpe froide”, le soleil étant peu présent l’hiver. C’est le départ de nombreux sentiers et le paradis des grimpeurs. Ailefroide est un lieu mythique pour les alpinistes, une stèle rappelle la conquête du Pelvoux en 1828.

Un couple d’aigles vit dans la vallée d’Ailefroide. Chaque couple a un territoire de chasse très grand, aussi ne pourrait-il y en avoir plus dans un vallon comme celui-ci. Ce couple a construit plusieurs aires dans les parois autour d’Ailefroide : une seule est occupée par année, après quelques réaménagements. Les aires sont situées dans le bas des territoires de chasse afin que les aigles puissent ramener sans trop de problème à l’aiglon des proies lourdes.

Caché dans les bois de mélèzes, le chevreuil montre parfois sa fine tête à l’aube et au crépuscule. Pas toujours aisé de voir cet animal discret mais quelques traces peuvent trahir sa présence tels l’empreinte en forme de cœur de ses frêles sabots ou les troncs d’arbustes écorcés par le frottement des jeunes bois du brocard pour en ôter les derniers lambeaux de velours. Et parfois, c’est un aboiement sonore et guttural qui résonne dans le bois.

Le grimpereau des bois est un petit oiseau compact et agile. Son bec est long et recourbé, sa queue constituée de plumes raides. Ses longs doigts sont pourvus d'ongles acérés. Autant d'adaptations à l'exploration des écorces des mélèzes dans lesquelles il chasse insectes et autres araignées qui constituent son régime alimentaire tout au long de l'année.

Ce petit passereau commun est rarement vu mais souvent entendu. Il est l'interprète d'un chant de quelques secondes, d'une dizaine de notes répétitives, qui devient rapidement identifiable, voire obsédant. Le mâle chante presque toute la journée d'avril à juin, puis seulement le matin en juillet. L'orage s'éloigne et les arbres s'égouttent, qu'il recommence déjà à chanter. Fin août, mâles et femelles partent pour les savanes arborées africaines, suivis par les jeunes de l'année.

Trapu, queue courte, bec effilé, le cincle plongeur est souvent perché au milieu du torrent, sur un bloc au ras de l'eau. Reconnaissable à sa tache blanche du menton à la poitrine et au reste de son plumage entre roux et gris ardoise, cet oiseau plonge dans les eaux glacées à la recherche de larves aquatiques qui constituent l'essentiel de son menu.

Emblème des Alpes du sud, ce résineux perdant ses aiguilles en hiver, se pare d’or et illumine la montagne à l’automne. Les mélézins sont entretenus par le pâturage des troupeaux. Sans eux, d’autres arbres comme le sapin ou différents pins peuvent pousser pour donner un autre type de forêt. Espèce pionnière, le mélèze ne craint pas la lumière pour s’installer. Son bois résistant et imputrescible a toujours servi pour la construction des maisons.

Le rhododendron, arbrisseau aux fleurs d'un rose carmin très vif, est souvent escorté de myrtilles, d'aulnes verts et autres petits saules. Il est caractéristique de la zone de combat. Situé entre la limite de la forêt et les derniers arbres, cet espace de transition est particulièrement prisé par le tétras lyre pour nicher et se nourrir en toute sérénité.

Arrêtez-vous boire un verre après une randonnée, au Gioberney avec sa terrasse panoramique et sa vue sur la cascade du voile de la Mariée. Nous travaillons avec un maximum de produits frais, de producteurs locaux et labellisés bio. Nous proposons un plat du jour, des menus ‘terroir’, des plats pour les enfants, ou pour les végétariens. L’après-midi, vous pourrez déguster une coupe glacée ou une part de tarte aux myrtilles maison, et profiter pleinement du splendide panorama.

Le restaurant, avec sa terrasse panoramique, propose une cuisine traditionnelle, riche en spécialités du Valgaudemar telles que les « oreilles d’ânes », les fameuses « ravioles » mais aussi l’agneau du Valgo, la terrine maison, les fromages locaux... Nous travaillons avec un maximum de produits frais, de producteurs locaux et labellisés bio. Nous proposons un plat du jour, des menus ‘terroir’, des plats pour les enfants, ou pour les végétariens. L’après-midi, vous pourrez déguster une coupe glacée ou une part de tarte aux myrtilles maison, et profiter pleinement du splendide panorama.

Authentique et conviviale ; au pied du feu l'hiver ; pizzas maison ainsi que plats simples et desserts faits maison, équilibrés et généreux ; le tout sur fond de jeux de sociétés en tout genre, jeu de fléchettes, tennis de table l’été, jeux pour enfants Situé en bordure du Parc National des Écrins, très champêtre avec la vue sur les sommets enneigés et les glaciers. Retrouvez dans notre auberge des repas au fil des saisons, comme nos raclettes et tartiflettes ainsi que nos pizzas maisons. Et parce que notre souhait est de satisfaire le plus grand nombre, retrouvez également nos plats végan et free gluten comme notre fameux Dahl indien aux épinards. Les familles sont les bienvenues avec nos menus adaptés aux plus petits. Une terrasse en bois, exposée sud au bord de la patinoire l'hiver et au bord de la Romanche l'été, vous permettra de passer un excellent repas.

Osez un repas dans ce chalet d'altitude typique situé hameau de Fontcouverte à 1860 m . Ancienne fruitière fromagère du village de Névache, l'Auberge de la Fruitière est un établissement incontournable de la Haute Vallée ! Ancienne fruitière à fromage de Névache, puis refuge et maintenant restaurant d'alpage depuis plus de 40 ans, l'Auberge de la Fruitière, au bord de la Clarée et à 150m des cascades de Fontcouverte, bénéficie d'un décor exceptionnel. Pour une petit pause ou un vrai repas, vous y trouverez une cuisine maison, issus de produits locaux et/ou bio, avec des spécialités de montagne, tartes aux myrtilles sauvages, goûters, plateau de charcuterie, boissons.. Les Fondues savoyardes maison se font sans réservation ! Ouvert tous les jours en été et en hiver et aux vacances de la Toussaint. ( le soir sur réservation ) L'accès l'hiver se fait en raquettes ou à skis : comptez alors 1h30 de marche. L'été on peut y accéder en voiture, à pied, à vélo... Attention : l'établissement ne dispose pas de lecteur de carte bancaire : chèque ou espèce uniquement. Pensez à réserver !

Une cuisine traditionnelle, un plat du jour soigné à base de produits locaux : gigot d'agneau, soupes aux herbes sauvages, gratins et tartes salées, sa tarte myrtille, ses crumbles... servis dans un cadre chaleureux et montagnard! L'équipe du Vialaou vous accueille dans l’auberge située juste en face de l'Église Saint Marcellin de Ville Haute ! Salade du randonneur, assiette complète, gratinée, quiche, planche, plat du jour ... desserts maisons !!! Jusqu'à 20 personnes à l'intérieur et 30 personnes en terrasse ! Groupes jusqu'à 20 personnes : se signaler ! Le bar est ouvert toute la journée : Vous pouvez également déguster nos plats sucrés et/ou salés à toute heure.

Ferme de production biologique (Label AB) à 1400 m d'altitude. Vente exclusivement sur le marché de Briançon toute l'année. Oeufs extra frais et légumes de saison. Pas de vente sur place. Du champ à l'assiette! On ne peut pas faire plus local! Nous vous accueillons dans notre authentique Ferme Auberge montagnarde pour vous faire découvrir un repas fermier issu de notre production! Le menu est unique (entrée + plat + dessert) et composé essentiellement de nos produits. En été vous pourrez assister au nourrissage des animaux! A la fois maraîchers et éleveurs, nous cultivons une trentaine de légumes et élevons cochons, agneaux ainsi que des poules pondeuses en Agriculture Biologique. L'hiver nous aimons cuisiner et faire mijoter nos plats comme nos anciens, sur notre fourneau à bois! Nous avons également appris auprès d'eux les recettes traditionnelles de la fameuse saucisse au choux, des caillettes et bien d'autres spécialités charcutières. Le patrimoine culinaire des Hautes-Alpes est riche et il nous tient à coeur avant tout de le perpétuer et de continuer à l'enrichir! -L'hiver: accès depuis la piste de ski de fond et piste de luge à 50m. Terrasse ensoleillée. -Privatisation de salle possible pour vos réunions de familles ou événements spéciaux (nous consulter) -Cuisine adaptée: Végétariens, sans gluten ou lactose... merci de nous prévenir en cas d'intolérances alimentaires ou de régime particulier -Parking privé -

Restaurant et bar au bord de la Clarée. Ce lieu historique vous accueille chaleureusement toute l'année en vous proposant une cuisine entièrement maison, généreuse, gourmande, locale et avec un brin d'originalité. Le bistrot est un des plus anciens commerces de Névache acquis dans les années 60 par Thérèse et Philippe Donzel. Au Bon Coin possédait huit chambres d'hôtes et c'était le lieu de rencontre des habitants pour l'heure du café, de l'apéro ... C'était également une épicerie, une boutique souvenirs, un bureau de tabac et même un distributeur de gaz ! En 1992, Nicole et Gaston transforme l'épicerie en crêperie ! Après d'important travaux Pascale leur fille ouvre en 2010 une boutique de décoration, salon de thé et transforme les chambres d'hôtes en location de meublé. Vint ensuite la reprise de l'établissement par Valérie et Jacques, qui pendant plus 10 ans ont développés l'offre de restauration avec plaisir et ardeur. Depuis mai 2025, c'est dans nos mains, celles de Virginie et Térence, que "Le Bon Coin" a été confié. Couple de professionnels diplômés et passionnés, nous avons hâte de vous accueillir ou de vous revoir ! Pensez à réserver ! On y est bien Au Bon Coin, on y revient !

Situé à 2 280 mètres d’altitude, le Chalet de Rocherousse vous accueille dans un cadre exceptionnel. En terrasse ou à l’intérieur, retrouvez-vous entre amis ou en famille pour un moment convivial. Faites une pause gourmande et savourez les spécialités locales, une glace ou un rafraîchissement bien mérité. Et pour une expérience unique, réservez un repas autour de nos braseros : des grillades au grand air, à partager dans une ambiance chaleureuse.

Bar.

Spécialités locales, cuisine traditionnelle, plats du jour. Vente de tourtons.

En 1891, 4 tonnes de bois sont acheminées par le train jusqu'à L'Argentière avant d'être transportées par voiture puis à dos de mulets jusqu'à l'ancien abri Puiseux. Les matériaux sont alors tirés par des hommes sur des traîneaux jusqu'à l'emplacement prévu. Utilisé durant 70 ans, ce refuge servira de débarras aux différents gardiens et comme logement pour leurs aides après 1962. En effet, durant l'été précédent, 145 tonnes de matériaux ont cette fois été héliportées et ont permis la construction du refuge de Pelvoux. Il est inauguré le 15 juillet 1962 en présence de Maurice Herzog, alors haut-commissaire à la Jeunesse et aux Sports.

Coiffant la barre rocheuse qui ferme le vallon de Celse-Nière, ce refuge de pierre fut construit en 1983 pour remplacer l'ancien abri de bois devenu très insuffisant. Ce bâtiment moderne de 76 places appartient au Club Alpin Français ; il est gardé de mi-juin à début septembre. C'est la porte d'entrée vers des sommets qui ont marqué l'histoire de l'alpinisme : l'Ailefroide, la Pointe des Boeufs rouges, le Pic du Sélé...

Réalisé en 1925, le tout premier refuge du Sélé était situé à 2700 m sous un auvent rocheux qui s'est affaissé en 1954. Il a été reconstruit deux ans plus tard par l'entreprise briançonnaise de Ferdinand Bayrou, toujours en bois, mais 600 m plus bas que le précédent. Encore utilisé comme refuge d'hiver, il est ouvert en autonomie à partir de mi-septembre.

Le refuge est un ancien témoin de l'époque pionnière de l'alpinisme en Vallouise dans la seconde moitié du XIXe siècle. Il se situait à l'époque au pied du glacier. Il fût construit en 1886 pour suppléer un abri sous roche utilisé par les premiers alpinistes. De petites dimensions, aux matériaux de pierres et de bois, il représente une référence historique. Ses vestiges abritent une exposition retraçant son histoire.

En Hiver : 13/12/2019 > 22/03/2020 19/12/2020 > 21/03/2021 A la recherche d’une location de chalets en bois dans les Hautes-Alpes au cœur du Pays des Écrins, pour des vacances au ski en famille ou entre amis ? Découvrez les chalets de Vallouise ! En Été : 15/05/2020 > 27/09/2020 Campez à 1200 m d’altitude au cœur du village de Vallouise, avec une vue exceptionnelle sur les montagnes. Échappée belle au Pays des Écrins !

Pour apporter un peu plus de confort aux alpinistes, des refuges remplacèrent progressivement les bivouacs et abris pionniers utilisés. Ainsi, le refuge Tuckett, construit en 1886, suppléa l’abri sous roche encore visible non loin. Il fut remplacé en 1948 par le refuge du glacier Blanc puis fut réhabilité en musée. L’actuel refuge des Ecrins, situé en haut du glacier, fut construit en 1968. Il succéda au refuge Caron construit en 1922, lui-même remplaçant un premier abri Caron bâti en 1903.

Perché sur son rocher, le refuge des Bans offre une vue dégagée vers la vallée de l'Onde d'un côté et sur le cirque de hauts sommets qui bouclent le vallon de l'autre. Construit en pierres taillées il y a une cinquantaine d'années, il offre 22 couchages. Très animé dans la journée avec sa terrasse qui accueille les randonneurs venus goûter les spécialités locales, il retrouve son calme le soir venu et offre un belvédère appréciable pour observer bouquetins et chamois. L'accueil chaleureux des gardiens, la soupe cuite au four solaire et l'ambiance de bout du monde de ce refuge concourent à passer une soirée inoubliable.

Perché sur son rocher, le refuge des Bans offre une vue dégagée vers la vallée de l'Onde d'un côté et sur le cirque de hauts sommets qui bouclent le vallon de l'autre. Construit en pierres taillées il y a une cinquantaine d'années, il offre 22 couchages. Très animé dans la journée avec sa terrasse qui accueille les randonneurs venus goûter les spécialités locales, il retrouve son calme le soir venu et offre un belvédère appréciable pour observer bouquetins et chamois. L'accueil chaleureux des gardiens, la soupe cuite au four solaire et l'ambiance de bout du monde de ce refuge concourent à passer une soirée inoubliable.

En fond de vallée du Vénéon, il offre un panorama sur le glacier de la Pilatte et les sommets les plus prestigieux des Écrins. Le refuge de Temple Ecrins a été entièrement rénové en 2018. Il offre 48 couchages, constituées de modules pour 1 à 3 personnes et équipés de couettes. Lumineux et chaleureux, le refuge est équipé de douches. Un poêle à bois permet de passer d’agréables soirée au coin du feu, tout en profitant des repas généreux faits maison que vous propose la gardienne. La grande fenêtre de la salle de restauration offre une vue imprenable sur les paysages typiquement alpins de l’Oisans. VOUS RANDONNEZ DANS LE COEUR DU PARC NATIONAL DES ÉCRINS Le massif des Écrins est un espace exceptionnel, ouvert à tous, dont les patrimoines naturels, culturels et paysagers sont rares. Pour protéger ces richesses, le cœur du parc est matérialisé par des drapeaux peints bleu-blanc-rouge, où une réglementation est à respecter. Merci d’en prendre connaissance en préparant votre randonnée afin de préserver ce bien collectif sur le site ecrins-parcnational.fr.

Semi enterré sur un beau replat face aux plus beaux sommets du massif le refuge Temple-Ecrins tire son nom du col de la Temple un peu au-dessus et de la célèbre Barre des Écrins, point culminant du massif, qui le domine. Comme bien d'autres en Oisans le premier refuge fut bâti en 1925. Construit en bois un peu plus haut que le refuge actuel il fut entièrement emporté par une avalanche 13 ans plus tard. Il fallut alors attendre 1947 pour le voir reconstruit par l'oganisation "Jeunesse et Montagne". Facile d'accès il est l'objectif d'une belle randonnée familiale couronnée par un bon repas et le point de départ de courses alpines aussi célèbre que le col de la Temple, le Pic Coolidge ou la Face nord de la Barre.