Les trésors de La chapelle-en-valgaudemar, Hautes-Alpes

Sous les cimes enneigées, cette boucle sillonne la vallée du Valgaudemar sur des sentiers en balcon ou plus bas au fil de l'eau. Ce tour pour vététistes confirmés peut se découper en 3 étapes de 30 km avec 1000m de dénivelée en moyenne. Etape 1 : La Chapelle - Les Paris (23 km, 700m de denivelée) Etape 2 : Les Paris - Brudour (33 km - 1400m de dénivelée) Etape 3 : Brudour - La Chapelle (31 km - 1000m de dénivelée). Suivant votre niveau de pratique ces étapes peuvent être cumulées ou découpées.

Arpentant l’étage alpin, cet itinéraire conduit au refuge puis au Pas de l'Olan (2695 m) d'où on ne peut qu'admirer le paysage de ce vallon haut perché.Le sentier débute par quelques lacets dans les pierriers et sepoursuit en traversant une lande de callunes. La vue se dégage petit à petit sur la vallée de Navette et le hameau des Portes qui fait face.Puis, on arrive à l'étage montagnard, au milieu des pelouses alpines, d’où l'on retrouve la vue sur le village de la Chapelle et le refuge de l'Olan. A quelques pas de celui-ci, se trouve une vieille dalle en béton qui témoigne du passage d'une avalanche dans les années 1950.Un passage au refuge pour une rencontre avec le gardien et/ou une petite collation est toujours agréable. La dernière partie de l'ascension est vraiment admirable par son caractère alpin. Le sentier chemine entre les vieux polis glaciaires avant de finir dans les pierriers juste avant le Pas de l'Olan (2695 m). Le champ de vision s'étend alors sur l'entrée de la vallée, le Pic Turbat (3023 m) et au loin le massif du Dévoluy.Pour entamer la descente sur l'autre versant, un peu d'attention est demandé, mais sans aucunedifficulté technique. La descente s'effectue assez directement par des pentes d'éboulis puis rejoint le Clot de Combe-Froide, ancien lieu d'alpage.Ici, une intersection conduit au croisement de la Bourelle sur le sentier initial.

De hameau en hameau, une belle entrée en matière pour partir à la découverte du patrimoine bâti et de l'histoire du Haut Valgaudemar avant de se lancer sur les cimes.En face de l'Office du tourisme de La Chapelle, entre le bar et le magasin de souvenirs, part le sentier du GR54 qui remonte la vallée vers Le Clot. Suivre ce sentier qui longe de plus ou moins près le torrent de la Sèveraisse en sa rive gauche jusqu'au hameau du Bourg.Puis, un pont en bas du Bourg permet de passer en rive droite. Le sentier monte alors un peu plus jusqu'au hameau du Rif du Sap.L'itinéraire redevient alors très paisible jusqu'à l'ancien hameau du Clot en passant par le refuge Xavier Blanc où il est possible de se désaltérer.Ce sentier est un aller-retour mais vous pouvez aussi utiliser la navette pour le chemin de retour.

Petite balade de découverte du patrimoine naturel : les Oulles du Diable !Montée jusqu'au hameau des Portes puis suivre la direction du Pont des Oulles et descendre jusqu’au pont. Le retour s’effectue en empruntant le sentier en rive droite.

Une balade le long de la Séveraisse jusqu’au pont des Andrieux, sur l’itinéraire de la Valgaude (GR54) avec, en toile de fond, les sommets des Bans, des Aupillous et du Jocelme. Le retour s’effectue par une belle forêt couverte de mousse.

Idéal pour les trailers qui découvrent l'itinérance, ce séjour de 6 jours vous emmène au coeur des plus beaux joyaux des Écrins. Ici, chaque tournant réserve son lot de surprises. Chaque soir un refuge différent teinté par la personnalité de son gardien ou de sa gardienne. Plongez au plus près de la haute montagne, la vraie, grâce à cette itinérance en trail proposée ici en 6 étapes. Chaque étape est prévue dans une refuge de la FFCAM d'où émanent de délicieuses odeurs de cuisine et un esprit montagne unique. Un départ en douceur depuis le village de la Chapelle-en-Valgaudemar emmène progressivement vers le Haut Valgaudemar où le végétal laisse petit à petit place au minéral. La fin de la première étape est couronnée par une vue imprenable sur le cirque glaciaire de Gioberney. Après un repos bien mérité, il est temps de repartir vers Vallonpierre, son col et son lac. La rudesse du climat de haute montagne est ici très observable. Tout comme la vue vertigineuse sur le géant de pierre, le Sirac. La suite de l’itinérance fait redescendre d’un étage pour mieux remonter. Un court passage au village de La Chapelle-en-Valgaudemar avant de grimper vers les refuges de l’Olan dans un premier temps, puis des Souffles dans un second temps. L’ambiance montagnarde est de retour avec ses torrents, ses panoramas vertigineux et ses chemins escarpés. Pour la dernière étape, retour en vallée, sur une variante du GR® de Pays du Tour du vieux Chaillol. Un peu plus roulant mais encore très dépaysant.Un voyage sportif dont vos jambes, mais surtout votre tête, se souviendront pendant très longtemps ! 

Ce tour très sportif, court mais intense, mettra sans doute vos jambes à rude épreuve mais pour des récompenses toujours au sommet. Cette boucle est un véritable condensé de sport et de nature, agrémentée d'un accueil convivial dans les refuges de la FFCAM.La première étape entre La Chapelle-en-Valgaudemar et le refuge de Vallonpierre annonce la couleur du séjour. Au départ sans difficulté précède deux ascensions vers le refuge du pigeonnier puis, plus loin, le Col de Vallonpierre. Entre les deux, alpages, lacs et panoramas vertigineux vous accompagnent. Le deuxième jour, une descente à fort dénivelé vous attend suivie d'une grande ascension vers le Pas de l’Olan. Le minéral laisse de nouveau place au végétal au fur et à mesure que l’altitude diminue.La dernière étape, entre le refuge des Souffles et La Chapelle-en-Valgaudemar est certes plus roulante, mais n’est cependant pas dénuée de variété et de rythme. Trois jours de pur dépassement et de dépaysement total !

Cette boucle vous fera emprunter une montée ombragée jusqu’au hameau traditionnel des Portes. Au-delà, le pont roman des Oulles permet la traversée du torrent de Navette et de ses bouillonnantes marmites de géants, les « Oulles du Diable ». Fruit de la formidable force de la nature, les Oulles du Diable sont une des merveilles de la vallée du Valgaudemar. Attention toutefois à ce torrent dangereux.

Une portion de sentier a été emportée au niveau de la combe de Lambernard entre le col du vallon et le lac du Lauvitel, le passage est donc impossible sur cette portion. Les variantes du GR®54 sont ici valorisées avec le Tour de l'Oisans et des Écrins au Au départ de La Chapelle-en-Valgaudemar, le Tour de l’Oisans et des Écrins débute en douceur le long de la rivière de la Séveraisse avant d’arpenter le versant sud du Pic des Souffles offrant une vue imprenable sur la vallée du Valgaudemar. L’étape du lendemain consiste à franchir l’impressionnant col de la Vaurze. Tout aussi impressionnante est la descente sur le Valjouffrey sauvage. Le col de Côte Belle, bien vert, rejoint le village de Valsenestre, dans le vallon du Béranger. Cette fin d'étape est une halte salvatrice avant de repartir sur la variante B du GR®54 constituant la plus longue étape du parcours en terme de durée et l’une des plus difficiles de part les importants dénivelés. La variante, par le col de la Romeïou, permet de longer plusieurs lacs dont l’un des lieux les plus emblématiques du côté Oisans des Écrins : le lac du Lauvitel (1530 m d’altitude). L’étape suivante se rapproche alors de la célèbre station des Deux Alpes sur les deux versants (Vénosc et Mont-de-Lans) reliée par la variante C du GR®54, et rejoint le joli village de Mizoen. La suite s’élève en altitude à flanc de montagne, longeant le grand lac du Chambon situé en contrebas, pour rejoindre les refuges au pied du plateau d’Emparis. Au-dessus, le col de Souchet offre une vue cinq étoiles sur la Meije. Près de 1000 mètres de dénivelé négatif permettent de rejoindre La Grave. Il faut ici continuer le long de La Romanche jusqu’à ses sources sur l’alpage de Villar d’Arène. Arrivé au col d’Arsine, le spectacle est saisissant. L’univers de haute montagne invite à rendre visite aux lacs glacières d’Arsine avant d’entamer une longue descente le long du torrent du Petit Tabuc jusqu’à la vallée de la Guisane et Monêtier-les-Bains. Objectif: La Vallouise par le col de l’Eychauda et les paisibles chalets de Chambran. Huit kilomètres de route carrossable le long du torrent de l’Onde et voici l’alpage de Jas Lacroix. Le passage du Col de l’Aup Martin, le plus haut de tout l’itinéraire, est toujours un moment fort de l’aventure, et la descente sur le Pré de la Chaumette est tout aussi sportive. Pour atteindre le lac de Vallonpierre pas moins de trois cols taillés dans le schiste sont à négocier avec prudence. La dernière étape consiste en une longue descente dans la vallée du Valgaudemar où le sentier rejoint La Chapelle en Valgaudemar pour clôturer le GR®.

Au départ du hameau des Portes, cette jolie boucle permet de belles découvertes. Du village abandonné de Navette, vous approcherez la cascade de Buchardet par un petit sentier escarpé. Accéder ensuite à la cabane de l'Aup au pied de la moraine du glacier. Départ du parking du hameau des Portes. Vous passerez par les ruines du village de Navette, abandonné depuis 1937 à cause des crues successives de 1914 à 1928.

Perché sur une prairie alpine, à la frontière de la haute montagne, le refuge de l'Olan vous offre un belvédère unique sur La Chapelle en Valgaudemar, le cirque prestigieux de l'Olan, la Cime du Vallon... Etape pour alpinistes et randonneurs : haute route reliant le refuge des Souffles. Salle commune et cuisine à l'étage, point d'eau et fontaine. Restauration sur réservation. Accessible depuis La Chapelle en Valgaudemar en 4h, dénivelé 1245 mètres.

La montée au refuge à partir de Villard Loubière est devenue une classique de la randonnée pédestre. Petits dortoirs équipés de couettes, salle à manger conviviale, douches chaudes et grandes terrasses aménagées. Point de départ idéal pour le Pic de Turbat, un 3000 m facile d'accès. Etape inévitable du Tour de l'Oisans (GR 54R). Lac Lautier 1h15. Possibilité de petite restauration et buvette. Accessible en 2h30, dénivelé 900 mètres.

Le refuge du Clot - Xavier-Blanc vous accueille pour un moment de détente à la journée, pour une première expérience en refuge ou au long de votre itinérance (GR54, Tour du Valgaudemar, Tour du Chaillol). Dans le massif des Ecrins, au bout de la vallée du Valgaudemar, le chalet du Clot est à la croisée des tours de l'Oisans (GR 54), du Vieux Chaillol, et du Valgaudemar. Cette grande et vieille bâtisse en pierres construite près du torrent de la Séveraisse, aujourd'hui au creux de la forêt de bouleaux, églantiers, aliziers, frênes, ... hébergeait originellement des mineurs exploitant des filons de galène au-dessus du Gioberney, avant de devenir un des premiers refuges du Club Alpin Français. Elle profite d'un ensoleillement généreux en été, automne et printemps, tout autant que de l'ambiance feutrée de la forêt hivernale. Ici, à l'ancien hameau du Playne, chaque saison revêt ses meilleures atouts. Le refuge est gardé l'été par Ingrid Benoit, le reste de l'année il est accessible en mode non gardé. Ce lieu vous invite à la détente et est le départ pour de nombreuses randonnées, à la journée ou sur plusieurs jours : tour du Vieux Chaillol, tour du Valgaudemar, GR54 ... en période non enneigée, et raquettes ou ski de randonnée quand la neige a recouvert les pentes marquées du Valgaudemar. De mai à novembre, la route mène au pied du refuge, avec une marche de seulement 10-15 minutes pour le rejoindre. Ensuite, ce seront environ deux heures de balade dans un environnement magique tout de blanc étincellant pour le découvrir. (attention, la montagne est un milieu qui comporte des risques naturels à prendre en considération, surtout par présence de neige, ne pas se déplacer sans s'être renseigné auparavant) Au refuge l'accueil y est chaleureux avec une cuisine maison à partir de produits choisis (locaux autant que possible et/ou bio), sans oublier jeux, lectures et échanges conviviaux ! En famille, entre amis, partenaires sportifs ou en solo, le refuge du Clôt Xavier Blanc ouvre grandes ses portes à qui prend le temps de venir le rencontrer.

Blotti au pied de la face ouest du Sirac, ce refuge fut construit en 2001 en bois et en pierre. Dortoirs spacieux et lumineux, équipés de couettes. Douches chaudes et WC à l'intérieur. Au départ du refuge, possibilité de plusieurs courses et randonnées : Sirac, col et Pic de Vallonpierre, col des Chevrettes, GR 54, refuge de Chabournéou, Tour du Vieux Chaillol. Accessible en 2h30 depuis le parking du Gioberney, dénivelé 700 mètres.

Refuge perché à l'extrémité d'une arête (crête de l'Orient) dans un univers minéral, en vue de la face est des Rouies, remarquable lorsque les brumes de l'aube en soulignent le relief. Ce séduisant refuge fait le bonheur des randonneurs comme des alpinistes grâce à ses atouts multiples : dortoirs douillets avec couettes, toilettes sèches, douches chaudes, salle de restauration spacieuse et lumineuse, poêle pour les journées humides et un aspect bois bien chaleureux. Sa situation est idyllique et convient aux randonneurs qui peuvent le découvrir en parcourant une boucle agrémentée de lacs, de rhododendrons, de cascades, de chamois et de bouquetins. Il est aussi prisé des alpinistes auxquels il permet d'accéder aux Rouies (courses de neige et rocher), aux pics Central ou Ouest du Vaccivier, au mont Gioberney, et encore bien d'autres traversées alpines et sauvages !

Situé à 1 797 m d'altitude, à 2 de marche depuis le hameau de Champhorent sur un sentier facile à faire en famille remontant le torrent de la Muande. Vous accédez en un lieu d'échanges privilégiés, de partage d'émotions entre alpinistes, randonneurs et gens de la montagne. Au refuge vous trouverez tout le nécessaire pour cette aventure particulière, les gardiens sont là pour conseiller, vous renseigner et orienter dans le choix de vos itinéraires. Au pied de glaciers et de lacs accessibles ( la Muande, les Rouies, les Sellettes, les Bêches, les Fétoules...), faune, flore, troupeaux vous donnent rendez-vous et chacun d'entre vous, du plus petit au plus grand, du contemplatif à l'aventurier, du grimpeur au promeneur, y trouvera satisfaction. Vous pourrez y déguster des produits biologiques et locaux, le tout dans une cuisine créative et colorée. Une programmation évènementielle se tisse chaque été pour faire profiter à tous de concerts, spectacles, veillées. N'hésitez pas à suivre l'actualité en ligne ! Respecter la législation du Parc National des Ecrins. Le refuge fermera ses portes à partir du 15 juillet 2025 pour deux ans. Le temps nécessaire pour une réhabilitation complète qui nous permettra d'encore mieux vous accueillir.

Chabournéou dévoile un univers de montagne et de glacier. Cet ancien refuge à l'ambiance authentique offre une belle variante sur le Tour du Vieux Chaillol ou du GR54. Restauration toute la journée. Pas de salle hors sac. Un refuge authentique dans un cadre alpin au pied de la face nord du Sirac. Facile d'accès par un chemin au nom évocateur "le sentier du ministre", le refuge vous accueille pour la saison de ski de printemps et pour l'alpinisme et la randonnée pédestre en été. Accessible en 2h30 depuis le parking du Gioberney, dénivelé 450 mètres.

Ce gîte communal a ouvert ses portes en juillet 2012. Il est composé de 24 places, réparties en 4 chambres avec lit double et 4 dortoirs de 4 personnes. Demi-pension, nuitée, repas randonneur, pique-nique. Situé dans le Parc National des Ecrins. 5 chambres avec lits doubles et sanitaires privatifs. Restauration ouverte à tous les midis et pour le goûter dans l'après-midi.

Construit aux sources du Drac blanc, dans une agréable prairie d'alpage. Le refuge du Pré de la Chaumette vous accueille pour faire étape sur le GR54, passer une première nuit en refuge ou prendre un rafraîchissement durant la journée. Refuge facile d'accès pour les familles : 1h30 depuis le parking des Auberts (350 m de dénivelé). Etape du GRP Tour du Vieux Chaillol Étape majeure du GR54 entre Vallouise et la Chapelle en Valgaudemar.

En fond de vallée du Vénéon, il offre un panorama sur le glacier de la Pilatte et les sommets les plus prestigieux des Écrins. Le refuge de Temple Ecrins a été entièrement rénové en 2018. Il offre 48 couchages, constituées de modules pour 1 à 3 personnes et équipés de couettes. Lumineux et chaleureux, le refuge est équipé de douches. Un poêle à bois permet de passer d’agréables soirée au coin du feu, tout en profitant des repas généreux faits maison que vous propose la gardienne. La grande fenêtre de la salle de restauration offre une vue imprenable sur les paysages typiquement alpins de l’Oisans. VOUS RANDONNEZ DANS LE COEUR DU PARC NATIONAL DES ÉCRINS Le massif des Écrins est un espace exceptionnel, ouvert à tous, dont les patrimoines naturels, culturels et paysagers sont rares. Pour protéger ces richesses, le cœur du parc est matérialisé par des drapeaux peints bleu-blanc-rouge, où une réglementation est à respecter. Merci d’en prendre connaissance en préparant votre randonnée afin de préserver ce bien collectif sur le site ecrins-parcnational.fr.

C'est au fond de la vallée du Valgaudemar, après l'avoir parcourue sur toute sa longueur, que le village de La Chapelle-en-Valgaudemar se niche. On y découvre encore des maisons avec cette caractéristique architecturale que sont les tounes (voûte abritant la porte d'entrée). Le pont du village enjambe le torrent de Navette qui rejoint la Séveraisse un peu plus bas pour ensuite se jeter dans le Drac à proximité de Saint Firmin. La communes offre un grand attrait touristique avec ses nombreux itinéraires de randonnée et voies d'alpinisme, un site nordique, des hameaux typiques (Les Portes, Le Casset, le Rif du Sap...), des curiosités naturelles (lacs d'altitude, cascades, Oulles du Diable, cirque du Gioberney...), une faune et une flore riches et, bien sûr, les nombreux sommets dépassant les 3000 m d'altitude tels que l'Olan (3 564 m.), les Rouies (3 589 m.), les Bans (3 669 m.) et le Sirac (3 440 m.). Pour la petite histoire : La Chapelle-en-Valgaudemar est une commune née de la fusion de deux communes (Clémence-d'Ambel et Guillaume-Peyrouse) en 1963. En 1973 est créé le Parc national des Écrins, qui entoure en grande partie la commune. La Maison du Parc occupe l'ancien asile Saint Paul où les religieuses soignaient les gens du pays.

Véritable musée de plein air dans le paysage rural, l’art pictural du cadran solaire se veut silencieux et accessible à tous. Promeneurs aujourd’hui, voyageurs hier. Il appelle à la réflexion et à la méditation, magnifiquement visible sur les édifices religieux, ou jalousement caché, au détour des ruelles des hameaux de montagne. Riche de son climat ensoleillé, le département des Hautes-Alpes abrite la plus grande concentration de ce patrimoine d’art populaire. De nos jours, avec le travail du cadranier Rémy Potey, les chamois et autres aigles royaux côtoient les oiseaux imaginaires du mystérieux et célèbre Zarbula, artiste piémontais du XIXème siècle.

Véritable musée de plein air dans le paysage rural, l’art pictural du cadran solaire se veut silencieux et accessible à tous. Promeneurs aujourd’hui, voyageurs hier. Il appelle à la réflexion et à la méditation, magnifiquement visible sur les édifices religieux, ou jalousement caché, au détour des ruelles des hameaux de montagne. Riche de son climat ensoleillé, le département des Hautes-Alpes abrite la plus grande concentration de ce patrimoine d’art populaire. De nos jours, avec le travail du cadranier Rémy Potey, les chamois et autres aigles royaux côtoient les oiseaux imaginaires du mystérieux et célèbre Zarbula, artiste piémontais du XIXème siècle.

Le mot "oule" provient du mot latin olla qui signifie marmite. Les Oules du diable sont composés d'une succession de cascades située dans une gorge étroite. Au fil du temps, les eaux et les galets de la Séveraisse ont érodé la roche dure. En tourbillonnant, ils ont creusé et polis les cavités, leur donnant ainsi des formes spectaculaires de "marmites de Géants". A la suite d'accidents mortels, des barrières ont été installées.

Les prairies de fauche entourent le village de La Chapelle. Malheureusement, ces prairies naturelles, riches en fleurs et en insectes, sont de plus en plus souvent remplacées par des prairies temporaires, c'est-à-dire semées certaines années. L'arrosage de ces prairies se fait encore grâce aux canaux, toujours bien entretenus par leurs utilisateurs et avec l'aide du Parc national. Vous découvrirez la prise d'eau du canal de la Grande Levée, non loin du sentier lorsque celui-ci se rapproche de la Sèveraisse. Ces canaux ont un grand intérêt pour le maintien d'une flore de zones humides, comme la dorine et la gagée jaune, toutes deux protégées.

Les prairies de fauche entourent le village de La Chapelle. Malheureusement, ces prairies naturelles, riches en fleurs et en insectes, sont de plus en plus souvent remplacées par des prairies temporaires, c'est-à-dire semées certaines années. L'arrosage de ces prairies se fait encore grâce aux canaux, toujours bien entretenus par leurs utilisateurs et avec l'aide du Parc national. Vous découvrirez la prise d'eau du canal de la Grande Levée, non loin du sentier lorsque celui-ci se rapproche de la Sèveraisse. Ces canaux ont un grand intérêt pour le maintien d'une flore de zones humides, comme la dorine et la gagée jaune, toutes deux protégées.

Au passage, on peut admirer la cascade de Combefroide. Elle se situe juste en face de la Chapelle-en-Valgaudemar. Il y a aussi une magnifique vue sur le sommet de l'Olan qui culmine à 3564 m.

La myrtille est un sous-arbrisseau touffu dont les ramilles vertes et anguleuses portent de petites feuilles tendres, ovales et finement dentées. Ses fleurs, lie-de-vin, sont solitaires en forme de grelot. Elles donneront dès le mois d’août des baies comestibles à la pulpe violette, d’où son appellation populaire de « gueule noire ». Elle accompagne l’embrune en altitude, où des versants entiers se parent d’un rouge vif bien visible dans le paysage, l’automne venu. La myrtille constitue un complément de nourriture pour la faune baccivore (qui se nourrit de baies), frugivore ou herbivore, ce qui lui aurait valu son nom scientifique vaccinium, du latin vacca (vache).

La myrtille est un sous-arbrisseau touffu dont les ramilles vertes et anguleuses portent de petites feuilles tendres, ovales et finement dentées. Ses fleurs, lie-de-vin, sont solitaires en forme de grelot. Elles donneront dès le mois d’août des baies comestibles à la pulpe violette, d’où son appellation populaire de « gueule noire ». Elle accompagne l’embrune en altitude, où des versants entiers se parent d’un rouge vif bien visible dans le paysage, l’automne venu. La myrtille constitue un complément de nourriture pour la faune baccivore (qui se nourrit de baies), frugivore ou herbivore, ce qui lui aurait valu son nom scientifique vaccinium, du latin vacca (vache).

A quelques lacets de La Chapelle-en-Valgaudemar, le hameau des Portes est la halte idéale pour découvrir l’architecture traditionnelle de la vallée. Non loin, les Oulles du Diable creusent patiemment la roche en marmites bouillonnantes. Les crues, les guerres et toutes sortes d'autres fléaux se sont abattus sur le Valgaudemar entre la fin du XIXe siècle et le début du XXe. La vallée s'est ainsi peu à peu dépeuplée, laissant la place aux forêts. Mais le hameau des Portes n'a pas encore disparu. Seuls trois habitants le peuplent annuellement, mais la plupart des constructions n'est pas encore réduites à l'état de vestige et reste des illustrations splendides de l'architecture traditionnelle adaptée aux rudes conditions de la vallée. Ainsi autrefois, les toits étaient-ils tous recouverts de chaume résistant à la neige et les cheminées placées très hautes pour éviter l'embrasement de cette couverture hautement inflammable. Hommes et bêtes partageaient souvent le rez-de-chaussée tandis que les chambres étaient situées au premier. L'avantage d'un tel agencement étant de profiter de la chaleur dégagée par les animaux lors des longs hivers du Valgaudemar. Autre élément typique, « la toune », une arcade de pierre qui permet encore aujourd'hui de s'abriter des intempéries ou de profiter tranquillement de la chaleur captée par la blancheur traditionnelle des murs. Abris pour les animaux, le matériel et les hommes, cette commodité est placée sur la façade principale des maisons.

Bar.

Spécialités locales, cuisine traditionnelle, plats du jour. Vente de tourtons.

Les Glaciers vous proposent du snacking (poulet croustillant, tourtons et ravioles, croquettes de camembert). Ouverture selon enneigement, merci de nous contacter par téléphone pour confirmation

Découvrez une cuisine simple transmise de mère en fille et appréciez les plats mijotés auxquels seul le temps permet de révéler toute leur saveur. De spécialités en tradition, dégustez oreilles d'ânes, tourtons, ravioles, tourte et pot au feu de chèvre.

Arrêtez-vous boire un verre après une randonnée, au Gioberney avec sa terrasse panoramique et sa vue sur la cascade du voile de la Mariée. Nous travaillons avec un maximum de produits frais, de producteurs locaux et labellisés bio. Nous proposons un plat du jour, des menus ‘terroir’, des plats pour les enfants, ou pour les végétariens. L’après-midi, vous pourrez déguster une coupe glacée ou une part de tarte aux myrtilles maison, et profiter pleinement du splendide panorama.

Le restaurant, avec sa terrasse panoramique, propose une cuisine traditionnelle, riche en spécialités du Valgaudemar telles que les « oreilles d’ânes », les fameuses « ravioles » mais aussi l’agneau du Valgo, la terrine maison, les fromages locaux... Nous travaillons avec un maximum de produits frais, de producteurs locaux et labellisés bio. Nous proposons un plat du jour, des menus ‘terroir’, des plats pour les enfants, ou pour les végétariens. L’après-midi, vous pourrez déguster une coupe glacée ou une part de tarte aux myrtilles maison, et profiter pleinement du splendide panorama.

Un bar à l'esprit bistro de pays, avec beaucoup de convivialité. Petite restauration sur réservation, et glaces l’été.

Depuis 1965, la famille Gueydan vous accueille dans ce restaurant où la tradition culinaire est le maître-mot. Cuisine de marché, chaque jour renouvelée. Du 100% maison avec des produits du cru, souvent biologiques et avec beaucoup d'amour. Les spécialités locales sont proposées dans nos différents menus, et les truites du vivier de la maison sont toujours disponibles. La conclusion de toutes ces belles propositions de Colette est certainement une belle carte des vins avec quelques 80 références. Sur réservation.

Cuisine préparée maison avec des produits frais de nos vallées, renouvelée à chaque repas où l’alliance des odeurs et des saveurs d’ici et d’ailleurs est une alchimie subtile. Cuisine créative, inspirée de la cuisine locale, recettes oubliées ou tendance. Sur réservation.

Dans sa salle à manger à l'ambiance montagnarde ou en terrasse avec vue sur la cascade de la Pisse, le refuge du Tourond vous propose ses spécialités : Tourte aux pommes de terre maison, charcuterie de pays et tartes à la framboise ou aux myrtilles. Suite à un arrêté communal de juin 2025, le parking au hameau des Fermonds n'est plus accessible. Le départ se fait depuis le pont du Brout en contrebas.

Situé à 2350 m d'altitude, ce gros bâtiment construit en 1957 fut emporté par une avalanche deux ans plus tard. En témoigne une dalle de béton en contre-bas du refuge. Reconstruit en 1966, il est définitivement agrandi en 1978 avec une capacité de 54 places. Étape sur le Tour de l'Oisans (GR 54), il accueille les randonneurs à la belle saison et possède un abri d'hiver, il appartient au Club Alpin Français.

Situé à 2350 m d'altitude, ce gros bâtiment construit en 1957 fut emporté par une avalanche deux ans plus tard. En témoigne une dalle de béton en contre-bas du refuge. Reconstruit en 1966, il est définitivement agrandi en 1978 avec une capacité de 54 places. Étape sur le Tour de l'Oisans (GR 54), il accueille les randonneurs à la belle saison et possède un abri d'hiver, il appartient au Club Alpin Français.

Perché sur une prairie alpine, à la frontière de la haute montagne, le refuge de l'Olan vous offre un belvédère unique sur La Chapelle en Valgaudemar, le cirque prestigieux de l'Olan, la Cime du Vallon... Etape pour alpinistes et randonneurs : haute route reliant le refuge des Souffles. Salle commune et cuisine à l'étage, point d'eau et fontaine. Restauration sur réservation. Accessible depuis La Chapelle en Valgaudemar en 4h, dénivelé 1245 mètres.

La montée au refuge à partir de Villard Loubière est devenue une classique de la randonnée pédestre. Petits dortoirs équipés de couettes, salle à manger conviviale, douches chaudes et grandes terrasses aménagées. Point de départ idéal pour le Pic de Turbat, un 3000 m facile d'accès. Etape inévitable du Tour de l'Oisans (GR 54R). Lac Lautier 1h15. Possibilité de petite restauration et buvette. Accessible en 2h30, dénivelé 900 mètres.

Le refuge des Souffles est géré par le CAF. Un gardien vous accueille de juin à septembre. C’est l’occasion de vous restaurer en échangeant avec un professionnel de la montagne ou, si vous le souhaitez, passer une nuit en altitude, une bonne façon de scinder l'itinéraire en deux jours.

Le refuge des Souffles est géré par le CAF. Un gardien vous accueille de juin à septembre. C’est l’occasion de vous restaurer en échangeant avec un professionnel de la montagne ou, si vous le souhaitez, passer une nuit en altitude, une bonne façon de scinder l'itinéraire en deux jours.

Durant l’été 1923, le guide Célestin Bernard prend en charge les travaux de construction du refuge de Font Turbat. Quelques grands noms de l’alpinisme y sont associés comme Guery, Ripert, Frendo, Fourastier, Boell, venus explorer les montagnes du Valjouffrey. En 1934, Devies et Gervasutti tracent un itinéraire historique dans la paroi nord-ouest du pic de l'Olan. 22 ans plus tard, la directe Couzy-Desmaison (ED) est ouverte à gauche de la précédente, surmontant la partie la plus raide de la face. La construction du refuge dans sa conception actuelle date de 1962. Il est agrandi et rénové en 1996-1997.

Curieuse idée que ce refuge construit sous la route montant au Gioberney, à "seulement" 1397 m d'altitude ! C'est qu'il était là il y a plus d'un siècle, bien avant que la route fut construite ! En effet, ce bâtiment simple et robuste appartenait à la Valgodemar Mining Company qui exploitait ce secteur au sous-sol riche en cuivre et en plomb argentifère. Quand l'exploitation prit fin, le CAF racheta l'édifice et lui donna le nom de Xavier Blanc en reconnaissance d'un des membres fondateurs du CAF, sénateur des Hautes-Alpes.

Curieuse idée que ce refuge construit sous la route montant au Gioberney, à "seulement" 1397 m d'altitude ! C'est qu'il était là il y a plus d'un siècle, bien avant que la route fut construite ! En effet, ce bâtiment simple et robuste appartenait à la Valgodemar Mining Company qui exploitait ce secteur au sous-sol riche en cuivre et en plomb argentifère. Quand l'exploitation prit fin, le CAF racheta l'édifice et lui donna le nom de Xavier Blanc en reconnaissance d'un des membres fondateurs du CAF, sénateur des Hautes-Alpes.

Le refuge du Clot - Xavier-Blanc vous accueille pour un moment de détente à la journée, pour une première expérience en refuge ou au long de votre itinérance (GR54, Tour du Valgaudemar, Tour du Chaillol). Dans le massif des Ecrins, au bout de la vallée du Valgaudemar, le chalet du Clot est à la croisée des tours de l'Oisans (GR 54), du Vieux Chaillol, et du Valgaudemar. Cette grande et vieille bâtisse en pierres construite près du torrent de la Séveraisse, aujourd'hui au creux de la forêt de bouleaux, églantiers, aliziers, frênes, ... hébergeait originellement des mineurs exploitant des filons de galène au-dessus du Gioberney, avant de devenir un des premiers refuges du Club Alpin Français. Elle profite d'un ensoleillement généreux en été, automne et printemps, tout autant que de l'ambiance feutrée de la forêt hivernale. Ici, à l'ancien hameau du Playne, chaque saison revêt ses meilleures atouts. Le refuge est gardé l'été par Ingrid Benoit, le reste de l'année il est accessible en mode non gardé. Ce lieu vous invite à la détente et est le départ pour de nombreuses randonnées, à la journée ou sur plusieurs jours : tour du Vieux Chaillol, tour du Valgaudemar, GR54 ... en période non enneigée, et raquettes ou ski de randonnée quand la neige a recouvert les pentes marquées du Valgaudemar. De mai à novembre, la route mène au pied du refuge, avec une marche de seulement 10-15 minutes pour le rejoindre. Ensuite, ce seront environ deux heures de balade dans un environnement magique tout de blanc étincellant pour le découvrir. (attention, la montagne est un milieu qui comporte des risques naturels à prendre en considération, surtout par présence de neige, ne pas se déplacer sans s'être renseigné auparavant) Au refuge l'accueil y est chaleureux avec une cuisine maison à partir de produits choisis (locaux autant que possible et/ou bio), sans oublier jeux, lectures et échanges conviviaux ! En famille, entre amis, partenaires sportifs ou en solo, le refuge du Clôt Xavier Blanc ouvre grandes ses portes à qui prend le temps de venir le rencontrer.