Découvrez Lourdes avec HOTEL D'IRLANDE : Activités et plus

Trois basiliques, trois arts dans les Sanctuaires Notre-Dame de Lourdes (Visite de préférence l’après-midi en raison des offices du matin, et avant la procession de 17h)

Cet itinéraire permet aux marcheurs pèlerins de se rendre à Bartrès, village situé à 5km de Lourdes. Depuis la Grotte de Massabielle, sortir du Sanctuaire par la porte Saint Michel. Tourner à gauche rue du Dr Boissarie et suivre le balisage blanc et rouge du GR101 jusqu'au charmant village de Bartrès où vous pourrez vous restaurer.

Le Chemin de Vie de Bernadette présente la petite ville de Lourdes, dans son contexte social et historique, avant, pendant et après les Apparitions de 1858. Du dix-neuvième à nos jours, le visiteur suit l’évolution de la ville et ses transformations nécessaires à l’accueil des foules. Cet itinéraire révèle, sous forme de panneaux illustrés, la cité mariale telle que Bernadette l’a connue et fréquentée. Ce parcours, réalisable en 1h30, comporte dix-sept points d’intérêt. Le cheminement entre les stations est libre et plusieurs itinéraires vous sont proposés pour découvrir la ville.

Évocation de Lourdes au Moyen Âge est un parcours historique qui remémore la cité médiévale de Lorda, ancien nom de Lourdes, protégée par ses deux lignes de fortifications aux douze tours et blottie au pied du château fort – lieu de résidence des comtes de Bigorre dès le XIe siècle. Ce cheminement, en partie virtuel, transporte le visiteur quelques siècles en arrière. Les panneaux illustrés présentent un coup d’œil rétrospectif sur ce Lourdes médiéval. Ce parcours, réalisable en une heure, comporte onze points d’intérêt.

Au départ de Lourdes, cette section du GR101 permet de rejoindre en 2 étapes le Val d'Azun et les cols du Soulor et de Saucède à travers la vallée de Batsurguère, le massif du Pibeste et la vallée du Bergons Il offre ainsi la possibilité aux randonneurs arrivant en train (gare de Lourdes) de rejoindre à pied le GR10 (col de Saucède) ou le GRP Tour du Val d'Azun.

Descriptif : Visite de la ville de Lourdes à l’aube des Apparitions Durée : environ 2h. La visite commence devant l’Office de Tourisme.

Balisé en rouge et blanc, le Chemin Henri IV (GR782) permet de relier Lourdes à Pau par une ancienne voie romaine établie depuis des siècles sur les collines qui dominent la rive droite du Gave de Pau. Le Chemin Henri IV est un parcours longue distance, 50km, tout au long duquel vous observerez la chaîne des Pyrénées, longerez des parcelles forestières et traverserez des zones de culture.

Le Pic du Jer est largement reconnaissable. Situé à l'entrée sud de la ville de Lourdes, un funiculaire permet d'accéder à son sommet. Un sentier de randonnée permet également d'atteindre son sommet.

Vivez une expérience unique lors de cette visite guidée de 45 minutes au coeur des Grottes de Betharram. A pied, en bateau et en petit train, découvrez toutes les curiosités de ses galeries et ses salles ! A PIED, EN BATEAU ET EN PETIT TRAIN, DÉCOUVREZ DURANT 1H20 TOUTES LES CURIOSITÉS DES GROTTES DE BETHARRAM ! Vous commencerez votre parcours par la partie supérieure de la grotte, constituée de larges galleries et de grandes salles ornées de nombreuses stalactites et stalagmites. Vous descendrez ensuite un gouffre de 80 mètres ! Accompagné de votre guide, vous naviguerez alors en barque sur la rivière souterraine. C'est en petit train, sur un parcours souterrain de 700 mètres que vous terminerez votre visite. Profitez de cette activté pour vivre une expérience insolite ! 

Aménagée dans un canyon sauvage creusé par l’Adour au cœur des Pyrénées, cette via ferrata vous assure de passer un moment sportif et convivial en famille ou entre amis. AMÉNAGÉE DANS UN CANYON SAUVAGE CREUSÉ PAR L’ADOUR AU COEUR DES PYRÉNÉES, CETTE VIA FERRATA VOUS ASSURE SPORT ET CONVIVIAL EN FAMILLE OU ENTRE AMIS. Tyroliennes, balançoires aériennes ou encore ponts de singe vous attendent dans ce site époustouflant. La progression se fait en hauteur à même la roche, et tous les jeux et prises d’escalade sont scellés dans les rochers : sensations fortes garanties ! L’itinéraire est adapté à tous les niveaux de 3 à 83 ans. Une animatrice sera présente pour s’occuper des tout petits pendant que les plus grands pourront parcourir la via ferrrata en compagnie de guides experts de la montagne. L’itinéraire est entièrement sécurisé et tout le matériel aux normes en vigueur vous sera fourni sur place : baudriers, casques, longes et mousquetons. A la fin de l’activité, le café et le thé vous seront offerts dans une cabane de berger traditionnelle. Les participants adultes et jeunes se verront remettre le diplôme de grimpeur de l’Adour ainsi que des photos et un film personnalisé.

A deux pas de la vallée du Gave de Pau, des célèbres grottes de Bétharram, et à proximité de Lourdes, l'hôtel Le Vieux Logis ravit tout autant les familles et les touristes de passage que les voyageurs d'affaires. Quatre générations se sont succédées pour faire de la maison de famille, un domaine hôtelier au charme et à la personnalité très affirmés. Aujourd'hui, Marie-Pierre, Francis et leurs enfants poursuivent la tradition béarnaise et veillent à votre bien-être en vous proposant 27 chambres, 5 chalets/chambres au plus près de la nature, un restaurant à la cuisine reconnue, un bar, 2 salles de réunion et une piscine extérieure de saison (chauffée de mai à octobre). L’Hôtel est situé au cœur d'un grand parc avec un terrain de pétanque et une aire de jeux avec vue sur le piémont pyrénéen que vous pourrez apprécier depuis la terrasse du restaurant, de votre chambre ou de votre chalet.

Plus d'infos : https://www.ter.sncf.com/nouvelle-aquitaine/gares/recherche/pratique

Implanté dans un quartier résidentiel, sur le passage de la Véloroute V81, dans le village d'Igon, le gîte de la Chenaie est le lieu idéal pour profiter de vacances reposantes au contact de la nature. Marie-Claudine et Gérard vous accueillent dans cette coquette maison indépendante fleurie où vous pouvez vous délecter du parfum du jasmin en fleurs tout en admirant la chaîne des Pyrénées au son des clapotis de l'Ouzom. Fonctionnel et confortable, cet hébergement conviendra particulièrement aux familles puisqu' à proximité les enfants peuvent profiter d'une aire de jeux, d'un terrain de tennis et de football.

Plus d'infos : https://www.ter.sncf.com/nouvelle-aquitaine/gares/recherche/pratique

Plus d'infos : https://www.ter.sncf.com/nouvelle-aquitaine/gares/recherche/pratique

A Sévignacq-Meyracq, à l'entrée de la Vallée d'Ossau, cette propriété datant du 17ème siècle vous accueil pour un séjour tout confort. Le gîte, d'une capacité de 14 personnes se situe dans une ancienne étable rénovée avec goût. Le terrain arboré de plus de 8 300m² dispose d'une piscine et d'un verger entouré de pâturages avec vue sur les Pyrénées.

Dans une vallée aux paysages naturels préservés, le gîte « Le Balcon du Rey d'Ossau » a pris place. Au calme, face aux montagnes ! Evelyne vous accueille dans son gîte tout confort au RDC de sa maison. Le gîte est également accessible pour les personnes à mobilité réduite. A l'extérieur, terrasse couverte et barbecue pour vos soirées d'été.

Envie de vivre une nuit insolite et romantique dans une bulle à la belle étoile ? Venez découvrir le domaine Reves2bulles situé proche de Pau, des Pyrénées et de la Côte Atlantique et coupez-vous de votre quotidien le temps d'une nuit, d'un week-end ou plus, en couple ou entre amis. Le soir venu, vous pourrez admirer le coucher du soleil et les étoiles depuis votre lit douillet. Vous n'aurez plus envie de fermer l'œil ! Une expérience insolite unique à vivre à deux, dans une bulle entièrement chauffée, semi-transparente.

Le jeudi 11 février 1858, vers midi, Bernadette Soubirous passe ici, accompagnée de sa sœur Toinette et leur amie Jeanne Abadie. Les trois filles viennent du Pont Vieux et se dirigent vers le moulin de Savy pour chercher du bois. Elles suivent ensuite le canal du moulin et se retrouvent face à la Grotte de Massabielle. Restée sur la rive, Bernadette aperçoit dans le creux du rocher une Dame et prie avec elle. Ce fut la première des dix-huit Apparitions de la Vierge Marie. Dès les débuts, les foules se pressent et depuis lors des millions de pèlerins ne cessent d’emprunter le même chemin. Pour faire face à l’afflux des malades et des pèlerins, tout le quartier de la rive gauche du Gave (avenues Bernadette Soubirous, Peyramale et Mgr Schoepfer) est profondément remanié : autrefois constitué de terres agricoles, il est de nos jours exclusivement construit d’hôtels et de magasins de souvenirs. Aujourd’hui encore, sur les pas de Bernadette, les foules entrent dans le Sanctuaire Notre-Dame de Lourdes par la porte Saint-Joseph. Affluant du quartier hôtelier par la place Mgr Laurence (1790-1870), l’évêque qui reconnut les Apparitions en 1862, ils passent sous la statue de Saint-Joseph, qui s’élève sur le pilier gauche de la porte. Cette statue, offerte en 1909 par le diocèse de Lyon, est la copie de celle sculptée par Paul-Emile Millefaut (1848-1907) pour la basilique de Fourvière. Sur le socle, on lit l’inscription latine : « Posuerunt me custodem », « On m’a placé comme un gardien ». Du haut de son piédestal, Saint Joseph sourit aux pèlerins et aux malades, leur présentant l’Enfant-Jésus qui les bénit.

Jusqu’en 1881 et l’ouverture du pont Saint-Michel situé en aval, le seul point de franchissement du Gave et d’accès à la Grotte de Massabielle s’effectuait par cet antique Pont-Vieux. Bernadette l’emprunta avant et après chacune des Apparitions. Ce fut également l’itinéraire des premiers pèlerinages. Ce pont existe depuis le Moyen Âge et n’a jamais été emporté par les crues. En 1870, la ville décide d’aplanir son profil, en supprimant son dos d’âne. Entre 1900 et 1932, il fut élargi pour permettre le passage du tramway.

Au début du XIXe siècle, le vieux cimetière médiéval situé autour de l’église Saint-Pierre (actuelle place Peyramale) devient exigu. En 1800, la commune institue le cimetière de l’Arberet, aujourd’hui cimetière de l’Égalité. L’histoire de Lourdes repose ici, entre le château fort et le sommet du Béout : certains témoins des Apparitions, la famille Soubirous (à l’exception, bien sûr, de Bernadette, qui se trouve à Nevers), la maîtresse des novices de Bernadette ainsi que de nombreux hospitaliers. On remarque également le monument aux morts de la Grande Guerre, une œuvre rare parce que son architecte, le sculpteur Jean-Marie Mengue, n’hésite pas à représenter un soldat mort, tel un gisant. Enfin, on dénombre quelques grandes familles qui, à la fin du XIXe siècle, ont choisi Lourdes pour édifier leur sépulture, telle la famille de Béarn.

Lourdes, comme d'autres villages des Pyrénées, a connu, au Moyen Âge et jusqu'au XIXe siècle, une population victime de ségrégation, dont l'origine reste mystérieuse. Dans certaines églises de montagne, les cagots avaient leur petite entrée latérale et un bénitier réservé. A Lourdes, ils avaient leur propre chapelle. Nous savons peu de chose de cette chapelle Senjouan, ou Saint Jean-Baptiste. Elle est désignée vers 1604 comme la « capelle de St-Jean-du-Gaou » (Gave), et aujourd’hui, comme la chapelle des cagots. Elle était encore debout en 1872, où elle servait de grange au propriétaire des Bains de Senjouan établis à côté. En 1911, le bénitier des cagots était chez Marceline Saint-Jean (70 ans), propriétaire du domaine du même nom. Elle déclarait que c’était son grand-père qui avait rasé la dite chapelle. Son père y a vu dire la messe. Son grand-père fit don à la paroisse de la statue de Saint-Jean-Baptiste (XVIIIe siècle, classée MH), présentée actuellement dans l’église paroissiale ; et d’un tableau représentant le même saint (un temps dans la crypte de l’église).

Le boulevard de la Grotte a été construit par les chapelains du Sanctuaire, en partenariat avec l’État, pour relier directement la gare ferroviaire à la porte Saint-Michel qui donne accès, par l’esplanade, au Sanctuaire. Le pont Saint-Michel est un élément clé de cet itinéraire. Il a été construit par l’architecte Edouard Harlé (1850–1922), qui réalisa également l’observatoire astronomique au sommet du Pic-du-Midi de Bigorre (2 877 m). Les travaux commencèrent en 1877, en tenant compte de la crue dévastatrice du 13 juin 1875, et ils s’achevèrent en 1881.

La tour du Baüs, Baous ou de Baux, doit son nom à la falaise qui supportait la partie sud de l’enceinte de la ville, et le long de laquelle courait la Carrerette (petite rue), actuelle rue de la Grotte. La tour-porte, haute de 13m50, se trouvait au milieu de cette rue, au niveau de l’Hôtel de Rome. Elle servit de prison à plusieurs époques. En 1871, la commune décide de la raser. Le développement des pèlerinages, depuis 1858, rendait difficile le franchissement de la voûte de cette tour-porte par les fiacres et calèches. Le quartier du Fort avec ses rues et venelles médiévales donnait également accès à cette tour.

Vers Septembre 1859, la famille Soubirous vint s'établir au Moulin Gras, grâce à l'aide financière de l'abbé Peyramale. Bernadette Soubirous put avoir une petite chambre pour elle seule. De nombreux pèlerins voulaient la voir et l’interroger.

L’origine des cagots est mal définie : est-elle médicale ? Les lépreux ont été au Moyen Âge assimilés aux cagots, par la suite la lèpre semble devenir un alibi. Ethnique ? C’est-à-dire descendants des Wisigoths ? Religieuse ? Par exemple, descendants des Maures ? Leur existence est attestée depuis le XIIe siècle, à l’époque sous le nom de crestias, et leur ségrégation perdurera dans les Pyrénées jusqu’à la moitié du XXe siècle.

Il s’agit d’une élévation défensive naturelle, placée au centre d’un bassin glaciaire, et défendue, pour partie, par le Gave. Le développement militaire, économique et politique du site vient de cette situation stratégique. Antiquité. Certains auteurs y ont vu l’Oppidum novum de l’itinéraire d’Antonin. Rien ne permet d’appuyer cette assertion, malgré la présence de céramique de la fin de l’Âge du Fer et de l’époque gallo-romaine. L’occupation du site est connue par des trouvailles, en remploi, relevant d’un lieu de culte (dévotion à Mithra) sur le replat dominant le Gave. Haut Moyen Âge. Un texte du XIIIe siècle conte le siège de la place par Charlemagne, en 778, contre le sarrasin Mirat. Ce récit, considéré comme légendaire, est à l’origine des armes de la ville. Bas Moyen Âge. Le premier château de pierre est antérieur à 1020. C’est la résidence des comtes de Bigorre jusqu’en 1195. Par ses grandes qualités stratégiques et défensives, le site comtal est l’objet de nombreux conflits, parfois ponctués de sièges, comme celui de 1407, pendant la guerre de Cent ans : le fort est repris au parti Anglais qui le tenait depuis le traité de Brétigny (1360). XVIe siècle. Au gré des alliances et des conflits, il passe de mains en mains, dont celles du roi de Navarre, comte de Bigorre et futur Henri IV. Il fut pris et la ville dévastée pendant les guerres de religions. XVII-XVIIIe siècles. Suivant les préconisations de Vauban, le fort a été grandement modifié pour résister au développement de l’artillerie. Sous Louis XIV, il deviendra prison d’Etat : « la Bastille des Pyrénées ». XIXe siècle. De très importants travaux du Génie modifient l’aspect général du site, avec la construction d’un système complexe de défenses sur les dehors de la fortification. La place s’enterre complètement pour mieux résister à la force de l’artillerie moderne. Malgré tout, le fort est déclassé en 1889. Il est racheté par la commune en 1894. XXe siècle. Pendant la Grande guerre, le fort, réquisitionné, sert de prison pour les soldats allemands, puis pour les soldats d’origine alsacienne-lorraine. En 1921, à l’initiative du Touring Club de France, est inauguré le Musée Pyrénéen.

Les jardins suspendus doivent leur existence à la création d’une porte bastionnée permettant d’accéder à la basse-cour du fort (barry ou demi-lune). Cette porte est mise en place suite à la visite, en 1685, de Vauban, ingénieur du roi. Cette préconisation est réalisée avant 1715. Le nouvel accès, côté falaise, a nécessité la mise en place d’une sente créée par apport de terre. Durant les deux siècles qui suivent, des terrasses sont formées grâce au soutien de murettes. L’espace créé sert de potager à la garnison, libérant les anciens jardins dans le barry. En 1809, onze parcelles d’une centaine de mètres carrés sont en place. Après 1858, elles sont exploitées par des propriétaires d’auberges et de pensions de famille du quartier du fort. A la fois potagers, poulaillers, porcheries, étendoirs à linges d’hôtels, elles sont peu à peu abandonnées avec la disparition de cette hôtellerie.

Tél.05 62 94 56 89

En plein cœur de la ville, situé idéalement entre Pau, Tarbes et Lourdes, l'hôtel du Commerce vous servira une cuisine gourmande et authentique. "Un lieu convivial où l'on mange bien", voilà comment les habitués parlent du lieu. Pour les amateurs de viande, l'entrecôte de bœuf grillée plébiscitée par les clients, le coq au vin, l'incontournable omelette aux cèpes, la paëlla, les cruji coques ou encore les desserts variés. De quoi ravir les papilles de chacun...

Situé non loin du centre ville de Pontacq, le café de France vous servira sa cuisine "bistrologique" avec des produits du marché. Le chef vous fera partager sa cuisine traditionnelle modernisée selon les saisons avec des produits frais. Pour les amateurs de bonne viande, le faux filet garni est proposé tous les jours !

A proximité des grottes de Bétharram, le restaurant gastronomique de la famille Gaye est un établissement à la réputation locale historique, qui vous propose une cuisine raffinée et qui met les producteurs locaux à l’honneur. Aux beaux jours, votre déjeuner ou dîner pourra se faire en terrasse dans un cadre reposant et verdoyant. Le chef Francis Gaye met l'accent sur une cuisine de saison, à travers son menu du terroir en sublimant les produits régionaux. Il est respectueux du fait-maison comme le définit la devise des "Maitres restaurateurs" dont il détient le label. Foie gras, magret, truite sont revisités par ses soins pour un dégustation gourmande et délicieuse.

Situé à l'entrée de la ville de Pontacq, non loin de Tarbes et Lourdes, ce petit resto mérite le détour. Amateurs de bonne chère et d'ambiance sympa, ce restaurant cave bar à vin est pour vous. On vous servira des plats frais changeant suivant les saisons : piquillos farcis à la viande ou au poisson, veau pleurotes, camembert fondu et salade de noix, risotto aux fruits de mer sont quelques uns des plats proposés, le tout accompagné d'un bon petit vin proposé par le chef.

Venez découvrir notre carte! Entrées, salades repas, grillades à prix savoureux, pâtes, desserts gourmands. Grand parking gratuit.

Situé au cœur du charmant village d'Igon, le restaurant Chez Ludo offre une escapade gastronomique en Italie avec une cuisine authentique. Dirigé par le chef Ludo, ce lieu chaleureux et convivial propose une cuisine mettant en valeur les produits locaux et de saison avec des plats et des pizzas. Dans un cadre rustique et intimiste, chaque visite à Chez Ludo promet une pause culinaire avec des parfums d’Italie pour le plus grand plaisir des convives.

Situé à Bénéjacq, en, plein cœur du village et sur la place principale à proximité des commerces, le restaurant Les Petits Gourmands est la fusion de deux restaurants : La Pizz' et du Tirant d'Eau. Freddy et son équipe vous accueillent dans un pole culinaire avec plusieurs types de restaurations. Le matin retrouvez un dépôt de pain et de pâtisserie pour une pause gourmande. Le midi, vos restaurateurs proposent une restauration traditionnelle de type brasserie. Le soir succombez aux pizzas faites maison des deux chefs Freddy et Jonathan (à emporter de octobre à juin et sur place et à emporter de juin à octobre). Le restaurant s'anime deux soirs dans la semaine le vendredi et samedi soir avec des soirées bistrot-bar. Le poulet rôti du dimanche midi ne vous laissera pas indifférents.

Venez boire un thé ou proposer une activité ! Toutes les propositions sont bienvenues... C'est un endroit à vivre, ou l'on se rencontre, avec des gens de tous âges, de tous horizons, où l'on boit un coup et on danse, un café, une couture, une scène slam, philo, poésie, court-métrage... Ce café associatif est une porte d'entrée vers tous les possibles, un lieu pour mutualiser, expérimenter, partager avec les utilisateurs, les adhérents et plus largement les habitants et visiteurs de Bagnères de Bigorre. Ce lieu est en auto-gestion permettant à toutes et tous de venir se reposer, se rencontrer et créer ensemble. Pour tout projet, veuillez nous contacter préalablement.

A deux pas du centre-ville de Bagnères de Bigorre, bercé par le clapotis de la Fontaine Saint Blaise, Umesh et Juliana vous proposent des spécialités népalaises authentiques, des plats métissés et des assiettes végétariennes, sur place ou à emporter. Tout est fait maison, élaboré à partir de produits frais et locaux, et/ou des produits Bio. La viande provient de petits producteurs locaux (Bagnères, Oueilloux...) et les légumes de maraîchers des Hautes-Pyrénées.

Une ambiance reposante, calme et familiale ? Ne cherchez plus, vous êtes au camping 3 étoiles La Chataigneraie, au coeur des Pyrénées. A proximité, tous les points d'intérêts incontournables des Pyrénées (Pic du Midi, Gavarnie, Col du Tourmalet), et sur place une piscine chauffée avec toboggan.

Dans le petit village de Neuilh à 700 mètres d'altitude, à 10 mn de Bagnères de Bigorre, nous vous accueillons dans notre roulotte au cadre enchanteur face aux montagnes. Prête à vous accueillir en toutes saisons, chauffée l’hiver, "La roulotte qui chuchote" avec son jacuzzi a été conçue pour des moments de sérénité totale . De belles prestations pour un repos absolu. Votre lit avec son ensemble en lin ou en coton tissé aux couleurs douces sera fait à votre arrivée. Les serviettes et draps de bain sont en coton bio. Le panier du petit déjeuner (pain et viennoiserie) vous est déposé chaque jour à votre convenance. Karine vous propose également le soir des menus faits maison typiques du pays.