En partant la voie verte à côté du magasin Super U, vous rejoindrez un chemin longeant les bois et un ruisseau dans une boucle qui vous emmènera jusqu'aux ruines de Quié, ancien hameau démoli.
10 km
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max. 495 m
min. 303 m
283 m
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Style : Balade Public : Famille |
Aller jusqu’à Super U. De là, suivre le balisage rouge et blanc du GR7 le long de l’ancienne voie ferrée jusqu’à l’ancienne maison du garde barrières.
Tourner à droite pour suivre un chemin goudronné sur 1,2 km environ, quitter ensuite ce chemin pour suivre un sentier longeant les bois et un ruisseau.
Le chemin sort des bois et traverse des prairies pour rejoindre une route goudronnée (lieu dit Camp Grand)
Là, quitter le GR7 qui part à gauche, et suive les balises jaunes à droite pour monter ensuite sur la colline. Compter 10 minutes pour rejoindre les ruines du Fort du Quié.
Traverser les ruines, prendre le chemin descendant sur la gauche qui vous mènera à une 1ère puis à une 2nde intersection au pied d’un raidillon. VARIANTE : De là, vous pouvez monter, en aller-retour, à la borne 503 où vous aurez une vue panoramique sur le Massif de Tabe & la Vallée de l’Hers. Sinon, prendre le chemin qui descend à droite pour s’enfoncer progressivement dans les sous-bois.
Après 500 mètres environ, vous arrivez à une clôture, bien la refermer derrière vous.
Continuer tout droit sur le chemin qui descend le long d’une clôture située sur votre gauche pour atteindre une maison isolée appelée « La Baraque ».
Rattraper la route goudronnée en prenant à droite le chemin serpentant au milieu des champs et rejoindre la voie verte qui vous ramènera au départ du sentier.
Dès 1903, la ligne Mirepoix-Chalabre-Lavelnet permet de rattacher la vallée industrielle de l'Hers au réseau ferroviaire national via Bram ou Pamiers. Jusqu'à sept trains circulent chaque jour. La Compagnie des Chemins de Fer du Midi, chargée par l’État de l'exploitation de la ligne de transport des voyageurs, du courrier et des marchandises : matières premières (bois de sapin), produits manufacturés (textile et peigne en corne). Plus de deux cent usines et des milliers d'ouvriers font ainsi fonctionner l'économie locale des draperies, chapellerie, peignes et chaussures. A partir de 1945, le développement du transport routier et la désindustrialisation réduisent progressivement l'usage de la voie . Un locateur diesel remplace alors le train à vapeur. En 1973, le train siffle une dernière fois sur la ligne. Histoire d'un chemin de fer devenu chemin de randonnée...
Cet ancien hameau démoli ne correspond plus aujourd'hui qu'à un lieu-dit : plus personne n'y vit depuis au moins 60 ans. Ce point culminant de la commune était habité par des agriculteurs et on raconte qu’à la guerre de 14-18, le fermier, revenu en permission à Quié, y aurait retrouvé sa femme au lit avec l’employé, qu’il aurait tués sur le champ, avant de déserter.
Ce massif (aussi nommé massif du Saint-Barthélémy) a toujours eu pour les peuples qui vivaient sous son ombre, une importance spirituelle de premier ordre : nombreux vestiges mégalithiques, culte solaire probable dès la plus haute antiquité, cultes païens attestés par les écrits historiques. Le nom « Tabe » est la francisation de l’occitan « Tava/Tabo ». Un large consensus fait provenir ce toponyme du nom du « Mont Thabor », en Palestine, où eut lieu l’épisode biblique de la Transfiguration du Christ.
Les Ruines du Fort du Quié :
Cet ancien hameau démoli ne correspond plus aujourd’hui qu’à un lieu-dit : plus personne n’y vit depuis au moins 60 ans. Ce point culminant de la commune était habité par des agriculteurs et on raconte qu’à la guerre de 14-18, le fermier, revenu en permission à Quié, y aurait retrouvé sa femme au lit avec l’employé, qu’il aurait tués sur le champ, avant de déserter.
Massif de Tabe & Vallée de l’Hers:
Ce massif (aussi nommé massif du Saint-Barthélémy) a toujours eu pour les peuples qui vivaient sous son ombre, une importance spirituelle de premier ordre : nombreux vestiges mégalithiques, culte solaire probable dès la plus haute antiquité, cultes païens attestés par les écrits historiques. Le nom « Tabe » est la francisation de l’occitan « Tava/Tabo ». Un large consensus fait provenir ce toponyme du nom du « Mont Thabor », en Palestine, où eut lieu l’épisode biblique de la Transfiguration du Christ.