Alerte

Alertes

À voir autour
Voir plus
Ouvrir
Fermer
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter

Oups... Il semblerait que Cirkwi n'ait pas l'autorisation d'utiliser votre position.

Présentation
Description
Carte
Étapes
Points d'intérêt
Notes et avis
À voir autour

Le circuit des châteaux

Château de Fontaine-Châtel à Saint-Germain-des-Essourts
Château de Mont-Lambert à Catenay
Château de Mondétour à Morgny-la-Pommeraye
Crédit : Pierre Demeure

Description

Balisage vert

Cet itinéraire est jalonné par quatre châteaux: celui de Bierville, de Mondétour (Monument Historique), de Fontaine-Châtel et de Montlambert. Ne manquez pas en chemin, en lisière du Bois des Pierres, le chaos de poudingue, vestiges de l'ère glaciaire.

Informations techniques

Marche
Difficulté
Facile
Durée
4h
Dist.
16 km
Afficher plus d'informations

Profil altimétrique

Point de départ

76750   Bierville
Lat : 49.5361Lng : 1.27229

Étapes

Points d'intérêt

image du object

Eglise Saint-Pierre-Saint-Paul

Paroisse depuis le 13ème siècle, Bierville a vu se succéder plusieurs églises. L’église de Bierville, dans ses parties les plus anciennes, est sans nul doute le plus vieil édifice du village: 250 ans environ. Il a existé une autre église de Bierville construite au cœur du Moyen Âge, probablement au même emplacement. La première source faisant état de son existence date du XIIIe siècle: il s’agit d’un «pouillé» de l’archidiocèse de Rouen désignant l’église de Bierville parmi les six églises du doyenné de Ry dont le patron est l’abbé du monastère du Bec-Hellouin. Aucune source ne mentionne la date de la construction de la première église de Bierville, non plus que celle de sa concession à cette abbaye du Bec fondée vers le milieu des années 1030 par un chevalier, Herluin ou Hellouin, qui l’a doté sur ses propres biens et s’y est retiré pour en devenir le premier abbé. L’abbé du Bec restera jusqu’au XVIIIe siècle le «gros décimateur» de Bierville , mais un seigneur de Bierville se dit, au milieu du XVIIIe siècle, seigneur et «patron» de Bierville. Nous n’avons aucune description de la première (ou des premières) église(s) de Bierville, mais le petit nombre de paroissiens – vingt-huit – chiffré par le pouillé du XIIIe siècle laisse présumer que la construction originelle, d’apparence romane vraisemblablement, devait être de taille assez réduite. Entre 1627 et 1662 Jacques deBaudouin, seigneur de Boissay, de Bierville et de Chef-de-l’Eau, donne des terres et des sommes (1200 livres tournois) aux charges de faire dire des messes pour le repos de son âme et de celles de ses proches. Des documents des années 1760 laissent entendre qu’entre 1760 et 1766 l’ancienne église a été détruite et remplacée par une nouvelle église. Un texte du début des années 1760 évoque l’état de délabrement de l’église ancienne. Le 25 mars 1766, la nef de l’actuelle église est considérée comme achevée : elle est plus petite que celle d’aujourd’hui: un peu plus de vingt mètres de longueur, avec un chœur moins long qu’aujourd’hui éclairé par quatre baies, avec une nef percée de huit baies (très probablement rectangulaires à l’origine, comme celles du chœur), dont le mur extérieur offre, sur une hauteur de trois mètres et sur une longueur d’un peu plus de vingt mètres, une jolie alternance de pierres de taille (dans les bas), de bandes de briques et de silex; avec enfin une façade relativement étroite (moins de huit mètres, comme aujourd’hui),faite d’alternance de pierre de taille et de silex, puis, dans les hauts, de briques et de silex. Cette façade était moins haute que celle d’aujourd’hui, et les traces de délimitation de l’œuvre originelle et de son rajout postérieur, principalement en briques, montrent que le toit du XVIIIe siècle était encore plus pentu que l’actuel. La façade d’aujourd’hui est simple, percée de deux oculi et d’un vitrail en demie lune, ornée en son sommet d’une croix de pierre et, de part et d’autre de la grande porte, de pilastres et d’une épaisseur de briques adossés au mur. Le lien rattachant Bierville au Bec-Hellouin disparut dès les premiers mois révolutionnaires. L’église finit par être désaffectée et son presbytère vendu, comme nombres d’autres biens du clergé. L’édifice porte la trace évidente d’une surélévation de la façade, d’une surélévation en briques des murs de la nef et du premier chœur avec création d’arcs brisés pour les baies, enfin d’une extension vers l’est avec la création de deux nouvelles baies éclairant un chœur rallongé, et l’adjonction d’une sacristie. Ces travaux furent certainement effectués dans le courant du XIXe siècle L’église de Bierville a été construite selon un plan allongé à chevet plat. La façade occidentale de l’église est percée d’une grande porte surmontée d’un vitrail en demi lune. Deux pilastres et une corniche encadrent la porte. Deux oculi sont percés dans la partie supérieure de la façade, sommée d’une croix en pierre. La nef comprend quatre travées, chacune percée de deux baies en arc brisé. Le clocher dont la base carrée supporte la flèche polygonale est situé dans la partie occidentale de la nef. Six ouvertures permettent à la lumière d’entrer dans le chœur de l’église, flanqué d’une sacristie. Les charpentes à double pente sont recouvertes d’ardoise. Une clôture de mur et de haies entoure l’église ainsi que son cimetière. Contre le mur de l'actuel édifice, une dalle tumulaire porte l'inscription "Cy-gît le corps de Messire Antoine Joseph de Martainville d'Estouteville Cheval seigneur et patron de Bierville Pierreval et autre lieux ci devant capitaine au régiment de Saint-Simon cavalerie chevalier de l'ordre royal et militaires de Saint-Louis, décédé le 20 d'aoust MD CCLXV, âgé de LXXXIII ans." Une autre sépulture mentionne Duboulet, capitaine d'infanterie, mort en 1832 à l'âge de 64 ans. Ce personnage fut maire et reçut le cardinal de Groyer.

76750 Bierville
- Bienvenue sur Inter Caux Vexin -
Consulter
image du object

Château de Mondétour à Morgny-la-Pommeraye

Château de 1725 en brique de Saint Jean. Cet ensemble est construit par le sieur Duval et remplace l'ancien manoir à tour d'angle. En 1771, le dernier Duval vend le domaine au baron de La Vache de Saussay. Il appartient ensuite au baron Charles de Marbot et à ses descendants. Sur le fronton sont reproduits les armes de la famille d'Acher, dites parlantes car comportant deux haches croisées, tandis que les armes des Marbot, sont meublées d'un cavalier du 7ème hussard, régiment dont Marbot est colonel à la fin de l'Empire. Communs de 1725 et 1820 en brique de Saint Jean. Achevés en quelques années, les communs se distinguent par l'unité de leur style. En 1820, un incendie détruit les communs du côté est et la cour d'honneur, entraînant une immédiate reconstruction, qui instaure ainsi la symétrie entre les deux côtés de la cour. Vers 1860, les successeurs de M. de Morgny donnent à ceux-ci leur dessin actuel et tracent le parc à l'emplacement du jardin. À cet effet ils ouvrent une percée vers l'est, à travers le bois, en direction des coteaux de Catenay. Colombier de 1777 en brique de Saint Jean. Cet édifice est dû au baron de La Vache de Saussay qui ordonne d'importants travaux afin d'élever le château au rang de sa prestigieuse position sociale. Il remplace ainsi le premier colombier qui se dressait dans l'avant-cour. Le droit de colombier, comme tous les privilèges féodaux, est aboli la nuit du 4 août 1793.

76116 Blainville-Crevon
- Bienvenue sur Inter Caux Vexin -
Consulter

Auteur de la donnée

Image Bienvenue sur Inter Caux Vexin
proposé par Bienvenue sur Inter Caux Vexin
France

Notes et avis

À voir autour
Voir plus
Ouvrir
Fermer
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Prudence !
Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾