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Via Juliana - Villers-la-Ville - Retinne

Description

130 kms en 7 jours sur la « Via Julianae », en méditant et expérimentant le chemin de pauvreté de Julienne, sa vocation d’adoratrice et son acte d’abandon au Père. Le chemin de St Jacques est superposé à la via Julianae, dans sa traversée de la vallée mosane.

La « Via Juliana », initiallement tracée par Bruno Vermeire, Dominique & Myriam Beguin, en 1999, relie l’abbaye de Villers-la-Ville (sa sépulture), Fosses-la-Ville (lieu de son décès), Salzinnes, Huy, Cornillon, Retinne et finit là où le ruisseau de la Julienne se jette dans la Meuse.

Informations techniques

Ce circuit a été mis à jour le : 13/05/2020
141 km
max. 278 m
min. 55 m
1279 m

Profil altimétrique

Point de départ

8 Rue de l'Abbaye , 1495 Genappe
Lat : 50.59016Lng : 4.52923

Points d'intérêt

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Abbaye de Villers-la-Ville

La célèbre Abbaye de Villers-la-Ville est l’un des ensembles cisterciens les plus complets d’Europe. Fondée au creux de la vallée de la Thyle par saint Bernard en 1146, elle est une des premières filles de l’abbaye de Clairvaux. Bâti au 13 ème siècle sur les ruines du premier cloître, l’abbaye retrace l’histoire de la communauté de moines cisterciens qui occupa le site durant plus de 600 ans. Son état de conservation est exceptionnel vu qu’il fut pillé et saccagé par l’administration révolutionnaire française, et les moines en furent chassés vers 1796. Le domaine fut démembré et vendu à un marchand de matériau, qui heureusement n’a pas trop vendu… Ce qu’il reste du site est désormais en ruine. Devinez qui est la sainte qui est évoquée à l’abbaye de Villers-la-Ville, et dont la plaque commémorative est scellée en plein choeur ? Sainte Julienne Cornillon, enterrée ici à Pâques 1258.

8 Rue de l'Abbaye 1495 Genappe
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La collégiale Saint-Feuillen

La collégiale Saint-Feuillen a été construite à l’emplacement d’un sanctuaire mérovingien dédié à saint Pierre et de deux constructions carolingiennes successives. Vers 1086, la partie orientale du chœur ainsi qu’une crypte sont construites. De ces édifices antérieurs, seuls subsistent l’avant-corps ottonien ainsi que le transept. Les nefs ainsi que leurs chapelles sont quant à elles rebâties entre 1721 et 1723. L’avant-corps, daté de la fin du Xe siècle, est flanqué de deux tourelles d’escaliers et surmonté d’une puissante tour romane en moellons de calcaire. Elle comporte quatre étages et est couronnée d’une flèche baroque au début du XVIIIe siècle. La nef, en brique et pierre bleue, est flanquée de bas-côtés en moellons de calcaire, lesquels sont annexés de deux chapelles à pignons de brique. Les travées sont voûtées d’ogives recouvertes de stuc et d’arc doubleaux aux motifs classiques. Le transept saillant est à moitié arasé au XVIIIe siècle, il est un des vestiges conservés des édifices antérieurs (carolingien et roman). Le chœur se compose de cinq travées couvertes de voûte d’arêtes. Il est annexé d’une chapelle axiale à trois pans de 1655 et surmonte la crypte du XIe siècle. Epinglons quelques pièces remarquables du mobilier telles que le maître-autel baroque, les stalles du XVIe siècle et les fonts baptismaux romans. Classement (24-11-1941) (à l’exception de l’orgue) Patrimoine exceptionnel de Wallonie        

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Ligny - Dernière victoire de Napoléon

Le village de Ligny est au cœur de la bataille qui affronte ce jour-là une partie de l’armée de l’Empereur et les hommes de Blücher. Durant plus de six heures, 157.000 hommes s’y battent. Implanté dans une fermette du XVIIe siècle ayant servi d’hôpital de campagne, le Ligny 1815 Museum a pour vocation de faire revivre cette journée où l’Empereur est une dernière fois vainqueur. Le parcours, ludique et interactif, permet à toute la famille de plonger au cœur de l’Histoire. Ligny 1815 Museum • Rue Pont-Piraux 23 • 5140 Ligny visitwallonia.be/fr-be/content/ligny-1815-museum-la-derniere-victoire-de-napoleon

23 Rue Pont Piraux 5140 Sombreffe
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La chapelle Saint-Laurent

Jusqu’au 11e siècle, la quasi-totalité du territoire de Sart-Saint-Laurent était couverte par une forêt. C’est l’essartage de celle-ci qui est à l’origine d’un petit village de bûcherons et de la construction d’une chapelle à cet endroit. Le village s’étendit ensuite vers Fosses et Floreffe et fut alors composé de deux hameaux distincts : le Sart-Saint-Laurent faisait partie du comté de Namur et le Sart-Saint-Lambert faisait partie de la principauté de Liège. En 1121, le comte de Namur concéda à l’abbaye de Floreffe la propriété du hameau de Sart-Saint-Laurent ; celle-ci en acquit les droits seigneuriaux au 17e siècle. Les habitants de Sart-Saint-Lambert dépendaient eux de Fosses. Un vieux chêne, toujours debout, est réputé pour être la limite entre les biens de Floreffe et de Fosses. La chapelle Saint-Laurent, située dans le cimetière, est l’unique vestige d’une ancienne église désaffectée et démolie au 19e siècle. Actuellement, seul le chœur de cet édifice subsiste ; il appartenait à l’église érigée en grès et calcaire au 12e siècle et réaménagée au 16e siècle. L’édifice abrite un autel en bois et une statue de saint Laurent datée du 16e siècle. Non loin de là se trouve la fontaine Saint-Laurent dont les eaux ont la réputation de guérir les maladies de la peau. Classement comme monument le 16 octobre 1975  

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Eglise sainte Julienne de Salzinnes

L'église Sainte Julienne (1880) est animée par une dynamique communauté paroissiale. Saint Julienne fut accueillie par Hymène, l’abbesse de Salzinnes lors de son exil vers 1247. L'abbaye de Salzinnes (ou abbaye du Val-Saint-Georges) était une abbaye de moniales cisterciennes fondée au début du xiiie siècle dans la plaine de Salzinnes (Namur) et en bord de Sambre (rive droite), elle fut supprimée à la fin du xviiie siècle. Aujourd'hui, il n’en reste aucune trace sinon dans de riches archives (y compris iconographiques) conservées à Namur, et dans la toponymie de Salzinnes (rue de l’abbaye) qui est aujourd’hui un faubourg de la ville de Namur (Belgique).

88 Rue Patenier 5000 Namur
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Collégiale Notre-Dame et Saint-Domitien

Chef-d'œuvre de l'architecture gothique (14e-16e siècles), la collégiale Notre-Dame et Saint-Domitien abrite un prestigieux trésor, joliment mis en exergue dans la crypte romane subsistant de l'édifice précédent (11e siècle).Le choix de Huy comme lieu de sa sépulture révèle l'affection de l'évêque Théoduin (mort en 1075) envers Huy. De sa sépulture est exposé son mobilier funéraire.Cet ensemble historique, d'une richesse exceptionnelle, est composé de quatre châsses médiévales, d'émaux mosans, de sculptures médiévales, de textiles de haute époque et d'orfèvreries hutoises et liégeoises.

Parvis Théoduin de Bavière 4500 Huy
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L’ancien couvent des Croisiers

Cet ancien couvent borde la rue des Larrons, qui grimpait le long de la colline de la Sarte pour mener autrefois au gibet. Les terrains clos du haut de la rue servaient à l’entraînement des arbalestriers, d’où le nom de coteau des Albastries. Du monastère fondé en 1233-1234 et maison mère de l’ordre, seuls quelques bâtiments ont échappé à la Révolution, à savoir le porche et l’ancienne brasserie. L’accès au monastère se faisait par un portail en plein cintre millésimé 1742, bordé de pilastres toscans supportant un entablement sur lequel repose un fronton courbe adossé d’ailerons. Le blason martelé du général de l’ordre en fonction au moment de sa construction se détache dans un encadrement de style rocaille surmonté d’une couronne. L’ancienne brasserie de la fin du XVIIe siècle présente deux niveaux de hauteur décroissante faits de briques, moellons et calcaire, pour le soubassement et les bandeaux horizontaux, sous un badigeon. Les baies, dont l’asymétrie est plus marquée sur la partie gauche de la façade, en décrochement, ont été remaniées au fil du temps. Une toiture à la Mansart couronne le tout. Le mobilier intérieur se compose d’un escalier néoclassique de la fin du XVIIIe siècle. Un mur en petit appareil et blocs quadrangulaires limitait le couvent. Il est orné, ça et là d’écus ou potale. Classés comme site le 16 août 1978 (rue des Larrons et coteau des Albastries) Classé comme monument (avec zone de protection) le 13 mai 1998 (porche, brasserie et mur d’enceinte commun)

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L’église Notre-Dame de la Sarte

L’histoire du site remonte au XVIe siècle ou à la fin du siècle précédent. On ne peut mentionner à l’époque qu’une chapelle abritant une statue de la Vierge à l’Enfant. Celle-ci est pratiquement en ruine en 1621, lorsqu’une série de miracles se produit. La ferveur populaire entraîne très vite la construction d’un édifice de plus grande ampleur décoré par des artistes renommés, d’un cimetière et d’une habitation pour le chapelain. La chapelle est englobée dans l’édifice, avant la construction en 1854 du porche néobaroque à perron, sur les plans de l’architecte Vierset-Godin. De 1860 à 1973, des dominicains investissent le site et y aménagent un monastère. Érigé entre 1624 et 1628 en briques et calcaire sur soubassement de moyen appareil, l’église se compose d’une nef unique terminée par un chœur à trois pans. Son horizontalité est soulignée par trois bandeaux tandis que de hautes fenêtres en arc brisé rythment les parois et que trois oculi surmontent le porche du XIXe siècle. Deux petites portes, murées, étaient aménagées latéralement pour la pratique du pèlerinage. Un clocheton à flèche octogonale domine la partie occidentale de la nef. Le chœur original est doublé, en 1931-1932, d’un chœur à l’usage des dominicains. Celui-ci prolonge les parties anciennes de deux chapelles polygonales, d’un transept peu saillant et du chœur proprement dit. La décoration actuelle fut refaite à la fin du XIXe siècle dans le style néogothique mais l’édifice conserve une large part de son mobilier d’origine. Classée comme monument le 1er août 1933

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Les six chapelles de la Sarte

Guidant les pèlerins, ces chapelles du milieu du XVIIe siècle jalonnent l’itinéraire traditionnel qui les mène jusqu’au porche de l’église Notre-Dame de la Sarte, qui n’était autre, à l’origine, que la chapelle autour de laquelle s’est développé le culte miraculeux de la Vierge. Remaniées voire déplacées aux XVIIIe et XIXe siècles le long du chemin des Chapelles ou Court Thier, celles-ci montrent une allure générale largement similaire. Il s’agit d’édicules en calcaire et briques enduites surmontés d’une toiture en pavillon d’ardoises, largement ouverts sur trois côtés par une arcade soutenue par des colonnes monolithes, le plus souvent toscanes. Ces colonnes sont doublées dans deux des chapelles par des demi-colonnes sur lesquelles reposent les arcs latéraux. Un relief polychrome du milieu du XIXe siècle, protégé par une grille en fer forgé ou une niche, pour une des chapelles, se détache sur le mur du fond et représente une des douleurs de la Vierge (visite au temple, fuite en Égypte, perte de Jésus, Christ portant la croix, mort du Christ sur la croix et descente de croix). Classées comme monument le 1er août 1933

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Eglise Notre-Dame de la Sarte

Plaine la Sarte 4500 Huy
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