À voir autour
Voir plus
Ouvrir
Fermer
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter

Oups... Il semblerait que Cirkwi n'ait pas l'autorisation d'utiliser votre position.

Description
Carte
Étapes
Points d'intérêt
Notes et avis
À voir autour

Isle était une fois

Isle était une fois
Isle était une fois
Isle était une fois
Isle était une fois
Isle était une fois
Isle était une fois
Isle était une fois
Isle était une fois

Description

Belle-île-en-mer vous ouvre les portes de son patrimoine historique et vous fait découvrir les moindres recoins de son passé !

Informations techniques

Ce circuit a été mis à jour le : 25/04/2016
48 km
max. 69 m
min. 3 m
723 m

Accessibilité

Style : Découverte
Thématique : Patrimoine

Profil altimétrique

Point de départ

La Citadelle , 56360 Le Palais
Lat : 47.34924Lng : -3.15564

Étapes

image du object
1

Sans oublier ...

Les Aiguilles de Port Coton Le peintre Claude MONET a révélé en quelques toiles célèbres la beauté fascinante de ces roches dentelées. Leur appellation vient de l'écume fouettée qui, par gros temps, forme de gros flocons mousseux semblables à du coton.

D190 56360 Bangor
- melanie.maheo -
Consulter
image du object
2

Sans oublier ...

La Plage de Donnant, un incontournable à ne pas manquer ! Une fois arrivé vers Jean et Jeanne tourné sur la gauche et aller savourer le bon air marin. L'Anse de Donnant est située sur la côte dite sauvage de Belle-Ile. L'action combinée de la houle et du vent est à l'origine de la géomorphologie actuelle des rivages et de la richesse des paysages : les rochers, constitués principalement d'une riche schisteuse d'âge précambrien sont très déchiquetés, inspirant d'ailleurs de nombreux peintres célèbres dont Monet. Sous l'action du vent se forment dans la dune d'importants nappages de sable, des cuvettes et des ondulations de toute sorte.

Anterre 56360 Sauzon
- melanie.maheo -
Consulter
image du object
3

Sans oublier ...

La Pointe des Poulains Dominé par un petit phare automatisé d'une portée de 23 miles, dont l'autonomie est assurée par ses panneaux solaires, le site offre un panorama grandiose. Par temps clair, la vue s'étend jusqu'à l'île de Groix, Lorient et embrasse toute la Baie de Quiberon. Acquises par le Conservatoire du Littoral en 2000, l'île des poulains et la propriété toute proche de la tragédienne Sarah Bernhardt, font l'objet d'un programme de protection et de valorisation.

Sentier côtier 56360 Sauzon
- melanie.maheo -
Consulter
image du object
4

Sans oublier ...

La Plage des Gr

Les Grands Sables 56360 Locmaria
- melanie.maheo -
Consulter

Points d'intérêt

image du object

La Citadelle Vauban

Fondée en 1549, la Citadelle forme une étoile de granit dominant le Port de Le Palais. Devenue, de nos jours, un musée d’art et d’histoire retraçant toute l’histoire de Belle-Ile. A découvrir à travers les salles de la marine et de l’arsenal, des concerts et des expositions artistiques et culturelles. Elle est également un hôtel classé en 4 canons, c’est-à-dire qu’elle fait partie d’une chaîne (Groupe Savry) d’hôtels dits « particuliers » et ont leur propre classement spécifique. Tantôt une prison pendant la première guerre mondiale, tantôt un établissement militaire, la Citadelle regroupe aujourd’hui encore des vestiges de son histoire mouvementée. Elle comprend des bâtiments militaires pouvant loger 2 000 hommes, un arsenal, deux citernes, une fontaine, un puits souterrain, deux magasins à poudre et des abris voûtés. De plus, l’arsenal, qui a été construit en 1780 en granit et en chêne, était destiné à recevoir le matériel d’armement de toute l’île. Il est devenu un vaste monument de trois niveaux de cinq cents mètres cubes et se prête aux expositions. Classé monument historique depuis 2006, elle a été édifié par Vauban (de son vrai nom Sébastien Le Prestre de Vauban) un ingénieur, architecte et poliorcétique (expert en construction d’attaque et de défense) sous le règne du Roi Soleil.

La Citadelle Vauban 56360 Le Palais
- melanie.maheo -
Consulter
image du object

L'Enceinte Urbaine

Autrefois, Belle-Île constituait une position militaire stratégique, face aux côtes bretonnes sud et à l’embouchure de la Loire. Ses productions agricoles et ses ressources en eau douce en faisaient un point d’attache privilégié pour la marine de guerre. L’édification de la citadelle, aux XVIe et XVIIe siècles, remaniée par Vauban, ingénieur des fortifications de Louis XIV, à la fin du XVIIe siècle, en témoigne. Vauban avait initialement planifié l’édification d’une enceinte fortifiée sur les hauteurs de Palais pour appuyer la citadelle. Il en avait même dessiné les contours, mais faute de crédits, les travaux ne purent être réalisés. Lors de l’invasion par les britanniques en 1761, ceux-ci installèrent justement leurs canons à l’endroit où aurait dû être construite l’enceinte urbaine. Son édification fut alors jugée indispensable pour assurer la sécurité de Belle-Île. Les travaux commencent en 1802 et se terminent en 1877. Témoignage unique et intact de l’architecture militaire du XIXe siècle, l’enceinte urbaine bénéficie à ce titre d’une inscription à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques. « L’un des plus beaux exemples d’enceinte urbaine conçue et réalisée sous le premier Empire que nous possédons en France » Ph. PROST. Historien des Fortifications Pour la découvrir, allez vous y promener : une belle balade entre les arbres et les vieilles pierres, d'1h30 environ.

Rue des Remparts 56360 Le Palais
- melanie.maheo -
Consulter
image du object

La Belle Fontaine

Egalement appelée Aiguade de Vauban, car construite sous son autorité en 1703, elle servait autrefois au ravitaillement des navires en eau douce. Ce réservoir peut contenir 860 000 litres qui sont retenue par deux quais. Il n'existe plus que 2 bâtiments de ce type en France aujourd'hui. En 1839, la mairie de Le Palais acquiert l’ensemble du site pour 100.000 francs et fera classer le réservoir au titre des Monuments Historiques en 1990.

Port Salio 56360 Le Palais
- melanie.maheo -
Consulter
image du object

Le Phare de Kerdonis

Le 18 avril 1911, le gardien, meurt à la suite d'un malaise en nettoyant la lentille du phare. Sa femme et ses enfants l'on relayé afin d'assurer la continuité du service du phare. Suite au nettoyage commencé par le gardien, le mécanisme était partiellement démonté. De ce fait, il dût être actionné à la main durant toute la nuit. Suite à une lettre de Mr Raissac, percepteur à Belle-Ile, publiée le 6 juin par Le Figaro et reprise par toute la presse cet acte héroïque fit grand bruit au sein de l'opinion nationale et même internationale. Théodore Bortel écrivit une chanson, Les Petits Gardiens du feu, en l'honneur des petits héros et de leur maman.

Le Phare de Kerdonis 56360 Locmaria
- melanie.maheo -
Consulter
image du object

L'église de Locmaria

La première église de Locmaria aurait été consacrée en 1070. Elle serait donc la plus ancienne de l’île. L’église actuelle possède encore un clocher avec un dôme en « poivrière » élevé en 1714. Divers remaniements et agrandissements ultérieurs, particulièrement en 1868, ont achevé de donner à l’église son aspect actuel. On rapporte d’elle une curieuse légende, celle de Notre-Dame du Bois-Tors. Jadis, un bel orme dressé devant l’église, avait été abattu par l’équipage d’un navire hollandais qui devait s’en servir pour remplacer le mât brisé par la tempête. Alors qu’on débitait le tronc à grands coups de hache, on le vit tout à coup se rouler, puis se raidir « tors du pied au faîte ». Dans l’impossibilité de se servir d’un mât ainsi vrillé et, sans doute aussi, fortement impressionnés, les marins repartirent aussitôt.

Rue Emile Kersaho 56360 Locmaria
- melanie.maheo -
Consulter
image du object

Le Grand Phare

Édifié selon les plans de l’ingénieur Fresnel, le Grand Phare de Kervilahouen est entré en service en 1836. La tour mesure 52 m, son diamètre est de 7,50 m à la base et 5,50 m au sommet. Son ascension est possible, après avoir gravi 213 marches de granite puis un escalier de fer. De là-haut, on découvre par temps clair de très beaux points de vue panoramiques sur toute l’île. En 1882, aux abords de l’anse de Goulphar, un petit bâtiment a été édifié pour abriter un signal sonore (sirène de brume) ; celui-ci est relié à la salle des machines du phare par un tuyau conduisant l’air comprimé. Le phare, avec la parcelle et les bâtiments situés sur celle-ci et sa sirène de brume (située à 1200m) font l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 12 juin 19952.Comme douze autres phares bretons, il est classé monument historique par arrêté du 23 mai 2011.

Phare du Goulphar 56360 Bangor
- melanie.maheo -
Consulter
image du object

Les Menhirs de Jean et Jeanne

Entre 3 500 et 1 800 avant J.C.La légende de Jean et Jeanne : Jean, fils d'un barde, et Jeanne, pauvre bergère, se retrouvaient chaque soir pour s'aimer malgré l'interdiction faite par le Conseil des Druides, désapprouvant cette alliance contraire aux lois des castes. Les druides chargèrent les sorcières de Borgroix de transformer ces deux amants en pierres... Mais certaines nuits de pleine lune, une bonne fée, touchée par le malheur de ces deux jeunes gens, rompt le sort qui les frappe : Jean et Jeanne peuvent ainsi se retrouver quelques instants…

Menhirs 56360 Sauzon
- melanie.maheo -
Consulter
image du object

L'espace muséographique de Sarah Bernhardt

Sarah Bernhardt, de son vrai nom Henriette Rosinne Bernard, est une comédienne française née à Paris le 22 octobre 1844 et décédée à Paris le 26 Mars 1923.Devenue célèbre dans le monde entier en 1869 à l’Odéon grâce un rôle dans >, elle dirigera par la suite le théâtre de la Renaissance et montera ensuite sa propre troupe. Ses tournées la conduisent à travers le monde : Etats-Unis, Rome, Budapest, Varsovie, Saint Pétersbourg… Avec son tempérament, elle jouera jusqu’à la fin de sa vie malgré une amputation de la jambe. C’est grâce à son ami le peintre Clairin qu’elle découvre Belle-Île, en 1893. Elle achète d’abord un fortin à la pointe des Poulains puis le manoir du Penhouët qui sera détruit durant la Seconde Guerre Mondiale. Elle continue d’aller à Belle-île jusqu’en 1922 et décède un an après. Elle demande à être enterrée à la pointe des Poulains. Malheureusement son souhait ne pourra être exaucé. Depuis 2007, son ancienne demeure a été réaménagée comme à l’époque et a été transformée en espace muséographique ouvert au public.

Pointe des Poulains 56360 Sauzon
- melanie.maheo -
Consulter

Notes et avis

À voir autour
Voir plus
Ouvrir
Fermer
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter