Le 18 avril 1911, le gardien, meurt à la suite d'un malaise en nettoyant la lentille du phare. Sa femme et ses enfants l'on relayé afin d'assurer la continuité du service du phare. Suite au nettoyage commencé par le gardien, le mécanisme était partiellement démonté. De ce fait, il dût être actionné à la main durant toute la nuit. Suite à une lettre de Mr Raissac, percepteur à Belle-Ile, publiée le 6 juin par Le Figaro et reprise par toute la presse cet acte héroïque fit grand bruit au sein de l'opinion nationale et même internationale.
Théodore Bortel écrivit une chanson, Les Petits Gardiens du feu, en l'honneur des petits héros et de leur maman.