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St-Georges Plaines du Varat

Description

Balade équestre autour de Saint Georges sur Fontaine.
Chemin de bonne qualité. Pour les cavaliers, vous pourrez même emprunter un passage en herbe dans un champs afin de faire un petit galop. Le chemin a été spécialement prévu pour les cavaliers par l'agriculteur.

Informations techniques

Ce circuit a été mis à jour le : 19/02/2017
16 km
2 h 10 mn
max. 174 m
min. 88 m
25 m

Accessibilité

Styles : RandonnéeBaladeÀ la campagneForêtTerroir
Publics : FamilleSportifsRandonneurs occasionnelsRandonneurs aguerris

Profil altimétrique

Point de départ

485 Rue du Bout d'Aval , 76690 Saint-Georges-sur-Fontaine
Lat : 49.54475Lng : 1.17128

Points d'intérêt

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Haras du Bourg

Le Haras du Bourg est une entreprise familiale depuis 1925. A cette date, la famille Cartenet arrive à Saint Georges sur Fontaine afin de créer un centre d'élevage pour chevaux de courses de trot. C'est une petite pension de propriétaire. La multiculture des installations fait la particularité du Haras du Bourg avec : -une piste de galop tous temps longue de 800 mètres. -une ligne droite -une piste ronde en salle -une carrière de 100 X 80 m (arrosée et drainée) -une carrière de 55 X 35 m -une carrière de 45 X 27 m -un marcheur de 6 places -un manège 30 X 20 m -des obstacles de cross -de nombreux paddocks -douche, solarium

25 Rue du Bout d'Aval 76690 Saint-Georges-sur-Fontaine
- Ar-Sparfel -
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Cirque gallo-romain (propriété privée)

Sur cette propriété privée, on devine l'emplacement d'un cirque gallo-romain. Effectivement, Cailly et Saint-André sur Cailly ont été par le passé, le lieu d’une forte présence romaine : il n’est pas possible d’exclure l’histoire romaine de Saint André de celle de Cailly, tant les deux sont liées. Ainsi, d’après Wilhem Martin dans son ouvrage intitulé : « Recherche sur les voies romaines de la Seine Inférieure », pas moins de 6 voies romaines en provenance de Rouen, Lillebonne, Arques, Amiens, Paris, Radepont, Beauvais convergeaient vers ces localités. De plus des voies de jonction entre ces différents tracés pouvaient permettre de gagner quelques kilomètres pour aller de l’une à l’autre des voies et éviter ainsi de très couteux efforts, en contournant autant que faire se peut, la descente vers la vallée du Cailly puis sa remontée. Les communes de Saint-André sur Cailly-et Cailly devaient être considérées, selon l’abbé Cochet, comme « un seul point antique ». Si des ruines romaines et un trésor furent découverts à Cailly, d’autres ruines et trésors bien plus importants furent découverts à Saint-André pour la plus grande partie au XIXème siècle. On y retrouva des pièces de monnaies, de la mosaïque, des cercueils de pierre, des colonnes hautes de 4 mètres... Mais ce qui retient surtout l’attention, c’est la présence d’un amphithéâtre romain de vaste dimension (70 mètres par 46) reconnu dès 1817, et visité en 1864 par l’abbé Cochet. Il est comparé, par les spécialistes, au théâtre romain de Lillebonne ou à celui de Jublains dans la Sarthe. En 1870, après avoir recueilli des fonds, l’abbé Cochet put commencer des fouilles qui furent assez vite interrompues à la demande du fermier exploitant. Il fut alors obligé de remblayer ses tranchées. Il découvrit malgré tout le mur de pourtour (précinction) d’une longueur de 150 mètres environ pour une épaisseur d’un mètre 50. Le fond de la maçonnerie était en silex et recouvert de tuf identique au théâtre de Lillebonne, des arènes de Paris ou de Senlis. L’ouverture de la scène est de 79 mètres d’un podium à l’autre. Appuyée sur ces podiums, une grande loge (cunéus) devait dominer toute la cavée, avec un passage (vomitoire). Le théâtre était destiné à recevoir une immense population. Il découvrit également quelques monnaies et un cercueil plutôt de l’époque franque. Il regretta amèrement de ne pas avoir pu poursuivre ses fouilles en espérant qu’elles puissent être reprises plus tard, ce qui n’a pas été fait jusqu’à présent (2010). Pour plus d'informations n'hésitez pas à vous rendre sur le site suivant: www.commune-cailly.fr/

732 Rue du Bout Levet 76690 Saint-André-sur-Cailly
- Office de tourisme Normandie Caux Vexin -
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Le château du Varat (édifice privé)

Le château du Varat est situé à la limite des communes de Saint Georges et de Claville-Motteville. Le domaine avec ses deux fermes, ses bois, son hameau du Val Vendard et la ferme de la Vastine constituait un domaine qui s'étendait sur 150 hectares au XVIII e siècle. La famille "Du Varat" donna son nom au domaine au début du XVI e siècle puis le céda aux" Saint-Laurent" en 1548. La famille Laudasse racheta le domaine au 18e siècle et restera au Varat jusqu'en 1792. C'est Nicolas Laudasse qui fit dresser le plan actuel du château en 1779 puis qui reconstruit presque tout le château en 1785. La date figure sur la façade sud. Les armes de la famille figurent sur les plaques des cheminées du château.

- Office de tourisme Normandie Caux Vexin -
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Château de Mont-Grimont (édifice privé)

Rendez-vous sur le site : www.montgrimont.com/ Vous y trouverez toutes les informations historiques du site, à ne pas manquer!

Le Mont Grémont 76690 Fontaine-le-Bourg
- Office de tourisme Normandie Caux Vexin -
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Église Notre-Dame de Fontaine-Le-Bourg

L'église Notre Dame de Fontaine le Bourg possède un plan en croix latine. L'abside est du XIe siècle., la nef et le clocher datent du XVIe siècle. Un baptistère du XIIIe siècle est situé à l'entrée de l'église. Au fond de l'abside se trouvent quelques chapiteaux des débuts de l'art roman en Normandie.

389 Rue Delamare Deboutteville 76690 Fontaine-le-Bourg
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption

L'origine de cette l'église est attestée dans un document de l'an 990, dans lequel Richard 1er offre, parmi douze églises, Sancta Maria de Wasto (nom primitif de Fontaine-le-Bourg) à l'abbaye de la Trinité de Fécamp, échappant ainsi à la juridiction de l'archevêque de Rouen. Quelques rares chapiteaux romans sont d'origine. Le 7 décembre 1627, le clocher est ruiné par la foudre. Sur sa base conservée, un toit très bas est installé. L'église n'est restaurée qu'au milieu du xixe siècle par l'architecte Couillard. Le clocher est réhabilité en 1885 grâce à la contribution de la famille Delamare Debouteville et à une aide du département.

389 Rue Delamare Deboutteville 76690 Fontaine-le-Bourg
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Le Moulin de la Nation

Au bord du Cailly, petit affluent de la Seine, et à l’entrée ouest du village, se dresse la bâtisse plus que centenaire d’un ancien moulin à blé. Cette bâtisse, toujours flanquée de la roue à aubes qui actionnait les meules, repose sur d’importants blocs de grés. Elle s’élève sur trois étages et ses murs, constitués de deux types de briques, témoignent des différentes phases de reconstruction et d’agrandissement effectuées au cours du XIXe siècle. En effet, sur cet emplacement existait déjà un vieux moulin qui avait appartenu sous l’ancien régime aux Abbés de Fécamp, puis à la nation française consécutivement à la confiscation des biens du clergé pendant la révolution (1789 – 1799), d’où l’origine de son nom. Remis en vente en 1807 par la caisse d’amortissement du Domaine Impérial (1), il fût acquis, la même année, par le Sieur David Dubuc, fabricant à Rouen. D’autres propriétaires lui succédèrent qui entreprirent soit les travaux de reconstruction, soit les travaux d’agrandissement tel que François Vendémiaire Delamare (2). L’un d’entre eux (Mme Vve Edet) obtint l’autorisation d’utiliser la force hydraulique par ordonnance du roi Louis Philippe datée du 16 février 1846. Malgré tous les efforts de modernisation faits par les différents meuniers et notamment par le dernier, Pierre Acloque, le moulin cessa définitivement de produire de la farine en 1958. Il est maintenant dépourvu de tout matériel de meunerie, mais subsiste encore la roue à aubes en parfait état de fonctionnement. Celle-ci est reliée par l’intermédiaire de plusieurs organes de transmission à un générateur lequel peut fournir occasionnellement de l’électricité. Pour entrer un peu dans les détails techniques, la roue est du type « de côté », elle mesure 5 m de diamètre et 1,20m de large. Elle est principalement métallique à l’exception des 40 aubes qui sont en bois de différentes espèces (chêne, acacia, azobé). Elle tourne normalement à 4 tr/ min. et entraîne directement sur son axe un rouet de fosse équipé de dents en bois de charme. L’ensemble de transmission constitué d’un pignon complémentaire droit, de deux poulies à gorge et quatre poulies plates permet d’obtenir une vitesse de rotation finale de 1 000 tr/min. La hauteur de chute étant de 1,70 m et le débit de la rivière estimé à 300 l /s, la puissance maximale utile est de l’ordre de 3kW. Progressivement restauré en habitation, il est devenu depuis mai 2010 un pittoresque et confortable gîte rural pouvant accueillir 6 à 8 personnes. Sa majestueuse roue contribue au charme du site et les engrenages intérieurs associés à la génératrice d’électricité protégée par un dispositif de sécurité très particulier font l’étonnement de tous ! (1) Recherches effectuées par Alain Dugard, historien local (2) Père d’Edouard Delamare-Deboutteville, inventeur de l’automobile moderne

195 Sentier aux Mulets 76690 Fontaine-le-Bourg
- Ar-Sparfel -
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Auteur de la donnée

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proposé par Ar-Sparfel

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