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Circuit découverte du centre historique d'Entraygues

Description

Au confluent du Lot et de la Truyère
Entraygues (qui signifie « entre les eaux », ses habitants : « les Entrayols » à 219m d’altitude, se situe au confluent du Lot et de la Truyère et aurait été fondée au milieu du 10ème siècle. Le 1er texte ancien signalant INTER AGUAS est de 1097. Notons que déjà au temps des romains, le village représentait une position stratégique au carrefour des voies de communications et au croisement des routes de l’Auvergne et de la Vallée du Lot.

Informations techniques

Ce circuit a été mis à jour le : 20/05/2016
1.2 km
1 h
max. 230 m
min. 224 m
21 m

Profil altimétrique

Point de départ

1-2 Rue du Docteur Versepuech , 12140 Entraygues-sur-Truyère
Lat : 44.64609Lng : 2.56496

Étapes

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1

Portail Haut

Entre les maisons, imaginez ici un pont-levis et une haute tour carrée abritant le "Portail Haut" qui était la grande porte d'entrée, au nord de la ville.

37 Rue Droite 12140 Entraygues-sur-truyere
- Office de Tourisme du Pays d'Entraygues -
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2

Chemin de Ronde

En avançant, le mur d'enceinte se révèle aisément sur notre gauche, et à l'arrière des maisons, construites au 19e siècle sur le Tour de Ville, s'appuie sur ce solide mur. Nous sommes ici sur l'ancien chemin de ronde du village fortifié. Imaginez de l'autre côté, sur l'actuel "Tour de Ville" un fossé. Continuons dans la rue Droite que nous suivons jusqu'au passage Marcou à gauche). Cette "venelle" s'ouvre dans la rue de l'Horloge tout comme l'impasse des consuls que l'on trouve juste après. Remarquons au rez-de-chaussée de presque chaque maison, de petites portes en bois qui ouvraient sur les cabanes à cochon. Jadis, et jusqu'à la guerre 39/40, chaque famille d'Entraygues élevait son cochon à demeure. Leurs excréments, répandus dans la cité quand ils sortaient de leurs appentis, étaient recouverts de paille et de fougères. Le tout constituait un excellent fumier utilisé pour les vignes des coteaux alentours. Hélas, une partie de ce fumier s'infiltrait lentement dans le sol et l'on imagine aisément combien les infiltrations de cette eau souillée dans les puits (200 à l'intérieur du village autrefois) causèrent de nombreuses et graves épidémies (typhoïde, choléra...). Continuons jusqu'à l'angle de la ruelle de l'horloge.

37 Rue Droite 12140 Entraygues-sur-truyere
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3

Tour d'Escombels

Nous découvrons les vestiges d'une tour de défense dont nous mesurons l'importance d'autrefois. Observons la meurtrière : il s'agit de la Tour "d'Escombels", la seule restante de ce côté, qui faisait partie des remparts de la Cité. Ces fortifications du Moyen-âge (représentées en 1555 par un dessin du notaire de Cazaux) furent commencées au 11e siècle et terminées à la fin du 14e. Elles comportaient un château fort et pas moins de 13 tours. Prenons la ruelle de l'horloge

25 Tour de ville 12140 Entraygues-sur-truyere
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4

Ruelle de l'Horloge

Il y avait ici, une école mixte entre le 14e et 17e siècle. Après les guerres de religions, les enfants ont été séparés. Après être passé sous un cantou (passage couvert sous les maisons) Prenons à gauche, la rue Droite à nouveau

25 Tour de ville 12140 Entraygues-sur-truyere
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5

Rue Droite

Elle s'appelle ainsi car elle se trouvait à droite de la place Majeure (ci-après). La rue qui se trouvait à gauche se nomme aujourd'hui, rue du Collège. C'était autrefois la rue commerçante, l'artère de la Cité où se tenaient les boutiques et les artisans. Ici, de très nombreuses maisons ont conservé les marques du passé. Nous distinguons les maisons "des riches", toutes en pierre, recouvertes de crépi depuis, et les maisons des "pauvres" avec le sous-bassement en pierre, puis montées ensuite avec du torchis, soutenu par des colombages en bois. Découvrons de belles portes avec leur marteau, leurs clous forgés et ciselés, aux encadrements de pierres taillées, de belles façades de jetées bâties à colombages.

6 Rue Droite 12140 Entraygues-sur-truyere
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6

Porte Valette

Au n°8 de la rue, ce curieux portail en bois de noyer date du 16e siècle. Il a été classé en 1927 et comportait 2 marteaux : celui du bas pour les piétons et celui du haut pour les cavaliers. La cour intérieure était toute en pierres avec des galets de rivières qui pavaient le sol. En arrivant au n°1 de la rue, on peut observer un exemple de ce qu'étaient autrefois ces nombreuses petites boutiques, les échoppes, avec une porte centrale encadrée de socles de pierre permettant la présentation des marchandises. Nous arrivons alors sur la place A. Castanié

8 Rue Droite 12140 Entraygues-sur-truyere
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7

Place Albert Castanié

Celle-ci s'appela tout d'abord, place de Mage c'est-à-dire place Majeure, ou place principale de la forteresse. On y arrivait par la porte sud ou "Portail Bas". Elle servait de place de marché et de place des assemblées générales lors de nombreuses élections. Après la guerre de 39/40, elle prit le nom de place Albert Castanié en mémoire du chef de la résistance locale tué en juin 1944 par les allemands sur la route de Golinhac (sur cette route, au "Belvédère" dominant Entraygues face au confluent, un monument porte les noms des victimes de cette triste époque).

2 Place Albert Castanie 12140 Entraygues-sur-truyere
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8

Demeure Noble

Sur la droite dans la belle maison Renaissance qui porte l'Inscription : "A l'étape de la reine Margot", Marguerite de Valois dite "La Reine Margot" aurait passé la nuit du 27 septembre 1585, lors de sa fuite, suite à sa rupture avec son mari Henri de Navarre, futur Henri IV. Elle aurait entonné un chant marial le lendemain dans la chapelle du ND du Pontet avant de s'acheminer vers la forteresse de Carlat (Cantal). A l'angle gauche de cette demeure, sur l'échelle de graduation, sont reportés les niveaux des inondations. Traversons la place vers le Lot.

7 Place Albert Castanie 12140 Entraygues-sur-truyere
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9

Tour Valiech

Elle se trouvait entre le débouché de la rue de l'Horloge et la boutique Indigo. Au-dessus du magasin, découvrons, dans sa niche, une "piéta" du 15e siècle, la Vierge du Portail Bas, qui s'appela d'abords Nostra Dona d'en Dol (Notre Dame de la Vallée), lorsqu'elle était placé au-dessus du grand portail qui commandait l'entrée sud du bourg. De 6 m de large, ce portail était surmonté de la grande Tour Valiech ou Tour de l'Horloge, démolie en 1860 pour récupérer les pierres devant servir à la construction de l’Église actuelle. A l'extérieur, un profond fossé sur lequel était jeté le Pont Levis. La Piéta étaient voilée de noir lorsque la cité était touchée par une épidémie. Après la démolition de la Haute Tour Valiech, la Piéta fut récupérée et placée dans cette petite niche. Elle devint Notre Dame de Pitié, qui passait pour miraculeuse. Jusqu'en 1960, elle était encore fleurie continuellement et près d'elle brûlait des cierges pour les guérisons et les femmes en couche. Nous arrivons sur les quais du Lot (à 300 m vers la gauche, se trouve la Chapelle ND du Pontet et le Pont sur le Lot). Prenons à droite.

11 Place Albert Castanie 12140 Entraygues-sur-truyere
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10

La Bédisse

Vers la droite, l'esplanade de la Bédisse ainsi nommée, car de petits arbustes (les bédisses) y poussaient autrefois avant la construction du quai par les prisonniers espagnols de Napoléon 1er. La Bédisse, située hors des murs de la ville, était sous Louis XIV, un lieu de rixe. Au bout du quai, il reste encore 3 gros anneaux, derniers vestiges d'une longue histoire : la navigation sur le Lot et le flottage du bois. Cette rivière fut toujours une voie navigable, mais seulement officiellement jusqu'au 10 juillet 1835, par Ordonnance Royale, lorsque la basse vallée du Lot fut aménagée. Nous devons savoir que dès 1551, Entraygues était un gros port et disposait de 20 à 25 bateaux qui portaient à Cahors, situé à 30 lieues, du vin, du fromage, du seigle, du bois... Il n'y avait pas de routes et le trafic se faisait par le Lot. Au 18e siècle, on utilisait cette voie 6 mois par an, de novembre à avril, lorsque la rivière était "marchande" (plus importante) disait-on. En l'An III (1794) existait à Entraygues un syndicat de la Marine. Les grands bateaux utilisés alors, les "Gabares", pouvaient transporter de 18 à 27 tonnes. Ils étaient vendus avec leur chargement, notamment des merrains (planche de bois pour fabriquer les douves des tonneaux) lorsqu'ils arrivaient à Cahors (région de vignobles). Ils étaient ensuite envoyés vers Bordeaux. Dans le courant du 19e siècle, remontaient de Bordeaux épices et poissons de mer, la fameuse morue séchée et fumée, "stockfisch". Les occitans remplacèrent ce terme par "estofis". Le plat préparé avec des pommes de terre s'appelle "l'estofinada" (Almont les Junies étant aujourd'hui le fief de cette spécialité locale). Au début du 20e siècle vivait encore à Entraygues le dernier responsable de la navigation sur le Lot, Turlan, dénommé l'Amiral, mort en 1912. Le coup de grâce fut donné au transport fluvial par le développement du chemin de fer, puis du système routier à la fin du 19e siècle (1880/1900).

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11

Le Château

C’est en 1278 qu’Henri II, comte de Rodez et vicomte de Carlat, frappé par l’avantage que présentait pour la défense du lieu, ce point de passage important, acquit la terre d’Entraygues et entreprit la construction du Château qui se termina en 1282. C’est à la même époque que l’on construisit le Pont d’Olt ; celui de la Truyère étant déjà en service. Il fit donc bâtir 3 grosses tours séparées, surmontées de créneaux (il est probable que déjà une fortification existait à cet endroit). Avec des corps de bâtiment rectangulaires à 2 étages, l’ensemble formait un magnifique édifice ; ce n’était pas un château de plaisance mais une forteresse militaire, un nid de chevaliers ! La chevalerie occitane était très appréciée alors. Les tours ne comportaient d’ouverture qu’au-dessus des mâchicoulis. A leur base, 2m d’épaisseur, on ne pouvait pénétrer dans le château que du côté de la ville. Le château était le bâtiment essentiel de l’ensemble fortifié avec les remparts et les treize tours. Il subit de très nombreux sièges mais se révélait imprenable. Malheureusement, au cours d’un épisode douloureux des guerres de religions, un capitaine huguenot, qui se nommait « Gentil », serait parvenu, par ruse, à s’emparer du château qu’il assiégeait en vain depuis quelques jours. A cours de munitions, il fit creuser des sapes (tranchées sous un mur pour le renverser). Il fit placer des tonneaux remplis de sables prétendant qu’il s’agissait de poudre ! Les assiégés capitulèrent le 4 septembre 1587. Le château avait été condamné au rasement en 1604. Entre 1654 et 1658, le nouveau propriétaire, Henri de Montvallat, fit reconstruire, en partie, le château tel qu’il se présente aujourd’hui. En effet il reste du 13e siècle, l’escalier central, les 2 tours qui ont toutefois été restaurées, par endroits, et une salle voutée au rez-de-chaussée. Le Château resta la propriété des Montvallat durant plus d’un siècle, jusqu’à la Révolution. Il fut vendu comme bien d’émigré en 1796 à Jean-Joseph Saury, officier de santé. Par la suite, il changea plusieurs fois de propriétaire. A présent, il appartient à une communauté religieuse diocésaine, les Sœurs de Joseph de Clairvaux et abrite une école primaire privée (l’internat a été transformé en centre d’hébergement).

2 Rue de la Grave 12140 Entraygues-sur-truyere
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12

La Peyrade

Nous voici au pied du Château, au confluent du Lot et de la Truyère, au lieu-dit « La Peyrade » ainsi nommé parce que c’était autrefois un secteur pavé, pour le port, descendant jusqu’au bord de l’eau. Nous pouvons donc imaginer toute l’activité d’un ancien port fluvial et chantier naval où embarquaient les cargaisons de vin, fromage et bois en direction de Bordeaux. Profitez-en pour apprécier le confluent des deux rivières et plus précisément la Truyère qui se jette dans le Lot.

2 Rue de la Grave 12140 Entraygues-sur-truyere
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13

Parking et jardin de la Grave

Remontons la rue de la Grave.

2 Rue de la Grave 12140 Entraygues-sur-truyere
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Le Pourtanel

En tournant à droite dans la rue du Pourtanel, nom d’un petit portail ouvrant les remparts pour sortir côté Truyère, nous voyons à droite les restes du mur de fortification du chemin de ronde et une belle maison moyenâgeuse. En avançant dans la petite ruelle de droite, les vestiges de ces fortifications laissent apparaitre leur architecture dite « mur lité » et en encorbellement.

10 Rue de la Grave 12140 Entraygues-sur-truyere
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Tour d'Iot

Tout au bout de la ruelle, à droite, subsistent aussi les bases d’un petite tour des remparts, La Tour d’Iot. Cette ancienne tour de défense reste bien conservée et nous donne une bonne idée de la forme que pouvait avoir la cité entourée de remparts. La Cour du Château : Celui-ci, demeure privée, ne peut se visiter. Sur la porte principale, la date gravée 1658, indique la date de reconstruction du bâtiment entre les deux tours. Le fronton est encadré de deux écus (armoiries hélas mutilées à la Révolution), armes de la ville et des De Montvallat, Seigneurs de la cité. La porte, si elle est entrouverte, laisse apercevoir l’élégant escalier de pierre du 13e.

20 Rue Basse 12140 Entraygues-sur-truyere
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Rue Basse

C’est la plus caractéristique, le mieux conservée, au niveau le plus bas (comme son nom l’indique), donc la première à ressentir les effets des eaux en périodes d’inondations. Au n°9 se situe la maison d’un ancien maitre de bateau. Nous remontons par la rue du Château pour déboucher place de l’Eglise. 16 bis Place de l’Eglise A ses débuts elle s’appelait place Neuve. La première grande demeure, au n°3 à l’angle de la place, fut construite par le Comte de Montvallat pour sa maîtresse. La nouvelle église, de la fin du 19e siècle est simple et dépouillée. Dans le bas-côté, près de l’autel de la Vierge, sur un pilier, se trouve une plaque en la mémoire de Déodat de Laparra, grand bienfaiteur d’Entraygues.

11 Rue Basse 12140 Entraygues-sur-truyere
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Ancien couvent des Franciscaines

Dans cette belle demeure ancienne, étaient abritées les religieuses franciscaines garde-malades, dont le dévouement reste dans les mémoires des anciens. Historique de l’Eglise : En 1680, la chapelle construite grâce au legs de Déodat de Laparra devient l’Eglise paroissiale. Elle a été reconstruite en 1860, presqu’au même endroit, avec une orientation différente. L’Eglise fut restaurée en 1960. L’orgue que vous pouvez découvrir à l’intérieur, a été acheté à St Maurs des Fossés en 2011 et inauguré le 11 mai 2014.

3 Rue du Collège 12140 Entraygues-sur-truyere
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Rue du Collège

A 50 m, une belle porte romane, décorée d’une guirlande d’Oves, s’ouvrait autrefois sur la rue. Elle date de 1570 et était la porte d’entrée de la chapelle de l’hôpital, plus tard monastère des Ursulines qui s’élevait sur l’emplacement actuel du presbytère et de l’école publique. Après la tourmente révolutionnaire (1803), un collège secondaire fut créé dans ces locaux. Détruit par un incendie en 1881, on reconstruit sur les lieux l’école publique telle qu’elle se présente actuellement. Face à elle, un court passage conduit à la placette Adolie Boubal, où s’élevait l’ancienne Eglise d’Entraygues. Cette rue du Collège (autrefois rue Esquerre) était celle où demeurait la bourgeoisie de la cité. Empruntons le passage Monseigneur Lacroix qui nous mène à droite au Moulin de la Truyère.

2 Rue du Collège 12140 Entraygues-sur-truyere
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Le Moulin de la Truyère

Ce moulin vers lequel converge la Chaussée (avec plus de 250 m, elle passait pour la plus longue du Rouergue) fut construit en 1373 sur l’initiative de Déodat de Laparra. Longtemps pourvoyeur de farine, le moulin devint au début du 20e siècle, en 1902, une petite usine électrique, fournissant à Entraygues le courant au temps où, après les bougies et les lampes à pétrole, une maigre ampoule de quelques watts éclairait les intérieurs. Il prit définitivement sa retraite vaincu par EDF en 1960, mais ce fut la première « usine électrique » du département.

1 Passage du Moulin 12140 Entraygues-sur-truyere
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Tour Al Caîre

Sur l’emplacement de la grande maison de droite s’élevait la tour d’angle nord-ouest des remparts, dites « Al Caîre » (au coin). Elle servait de prison.

1 Passage du Moulin 12140 Entraygues-sur-truyere
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Passage du Moulin

Le passage du moulin est un des « Cantous » qui servait à la circulation des habitants et à l’intervention rapide de la garde vers les murs d’enceinte. Prenons à droite pour nous retrouver au point de départ La Place de la République, dite avant 1914 « Lo fieiral dels porcs » (le foiral des cochons) avec, au centre, le monument aux morts.

41 Rue Droite 12140 Entraygues-sur-truyere
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Points d'intérêt

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Le Pont d'Olt ou Pont Notre Dame

Construit à la fin du 13ème siècle, le Comte d’Armagnac le fit couper en 1388 (en même temps que celui d’Espalion) afin d’empêcher le passage des routiers. Le Pont d’Olt semble avoir davantage souffert des caprices de la rivière que le pont de Truyère. La liste des nombreuses réparations connues dont ce pont a fait l’objet devrait montrer l’importance des reprises de cet édifice. Il aurait été réparé notamment en 1524 et en 1680 (en même temps que le pont de Truyère).

2 Route de Villecomtal 12140 Entraygues-sur-Truyère
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Pont gothique sur la Truyère

Classé monument historique, il fut construit par les frères pontifes, nullement moines, mais faisant partie de congrégations ayant pour mission de construire des ponts. Il comportait une tour de péage à chaque extrémité et jusqu’au début du 20ème siècle, des petits marchands et colporteurs se tenaient dans les refuges pour proposer, aux passants, leurs marchandises. Il a su résister aux terribles inondations successives d’autrefois !

2 Route d'Aurillac 12140 Entraygues-sur-Truyère
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Le barrage et la Centrale hydroélectrique EDF de Cambeyrac

L'aménagement hydroélectrique de Cambeyrac est le dernier construit sur la Truyère avant que la rivière ne rejoigne le Lot à Entraygues-sur-Truyère. Il est composé d'un barrage et d'une centrale située dans son prolongement. Son rôle est de produire la première des énergies renouvelables, l’hydroélectricité, et de lisser le débit de la rivière à l'aval du barrage. Situé à l’entrée d’Entraygues, ce site, exploité par EDF, est composé d’un barrage construit entre 1954 et 1957. Il a été aménagé pour que les visiteurs puissent librement y accéder et s’informer. Depuis l’extérieur, il est ainsi possible d’observer la salle des machines et de comprendre le fonctionnement de cette centrale qui produit l’équivalent de la consommation de 14000 habitants. Grâce à des pupitres d’information, répartis autour de la centrale et sur le belvédère situé à l’extrémité du barrage, vous pourrez également découvrir comment ce site a été construit, les organes qui le composent et la flore aquatique locale. Des jumelles d’observation et des explications illustrées permettent aux plus jeunes de s’informer sur les animaux qui vivent à proximité.

Le Moulinet 12140 Entraygues-sur-Truyère
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La Chapelle du Pontet

Située à l’entrée Sud Est d’Entraygues, au confluent du ruisseau d’Estampe et du Lot, elle date de 1097. Ce petit sanctuaire se compose de 2 bâtiments. Le plus petit d’abord, recluserie ou ermitage, dédié plus tard à Notre Dame, est l’édifice primitif. Agrandie en 1679, la chapelle devient le couvent des Ursulines (3 religieuses logent au dessus). Peu de temps après, la confrérie des Pénitents noirs de la Croix les remplacent jusqu’au début du 20ème siècle. La chapelle primitive fut restaurée en 1960 et la chapelle des Pénitents en 1990.

1 Quai Notre Dame 12140 Entraygues-sur-Truyère
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