Tour du Brasque

À l'entrée du Valgaudemar, dominant la plaine du Drac et la RN 85 qui passe au pied de son piton rocheux, se dressent les murs épais d'un château-fort médiéval. Construit en 1377, il protégea les habitants des troubles sanglants de la Guerre de Cent ans.Aujourd'hui en ruine, l'édifice est encore imposant et austère. Il témoigne d'un autre temps, une ère sombre de notre histoire. Imaginez, dans la deuxième moitié du XIVe siècle, la France est plongée dans les troubles de la guerre de Cent Ans… Les conflits ouverts profitent également aux bandits et mercenaires qui pillent et rançonnent les habitants des vallées alpines. En 1377, le gouverneur du Dauphiné, Charles Bouvilles, qui œuvre déjà à renforcer les fortifications existantes sur tout le territoire, ordonne l'édification d'un fort sur la butte stratégique « Le Tertre du Château », afin de surveiller les allées et venues des voyageurs qu'ils fussent pacifiques ou violents. Pierre d'Ambel, co-seigneur du Valgaudemar, débute les travaux pour bâtir la forteresse qui protégera ses sujets en cas d'attaque. Un souterrain secret relierait cet édifice au château de Lesdiguières de l'autre côté du Drac...pourtant personne ne l'a jamais trouvé.

Comme beaucoup d’édifices religieux anciens, l’église de Saint-Firmin a fait l’objet de nombreuses reconstructions, mais la découverte d’une tombe chrétienne du VI ou VIIe siècle atteste de l’ancienneté de l’implantation du culte chrétien sur son site.Au Xe siècle, cet édifice était la propriété de la prestigieuse abbaye de Cluny, elle aurait alors été un prieuré. Le chœur et la nef de l'église actuelle date de 1862. Ces constructions auraient été rendues nécessaires par un important accroissement de la population locale depuis la Révolution française. La cloche et l'horloge furent commandées par la commune en 1875. La première fut conçue par Paccard, frères d'Annecy-le-Vieux (Haute-Savoie) et la seconde par Louis Delphin Odobey, horloger à Morez dans le Jura.

Issu d’une famille d’apiculteurs passionnés, Gérald met à profit sa connaissance et sa passion pour les abeilles pour vous proposer du miel bio de haute montagne. Ses ruches sont installées dans l'environnement préservé de la vallée du Valgaudemar.Les abeilles butinent ainsi les nombreuses fleurs de montagne et produisent du miel de haute montagne, du miel de lavande, de châtaignier et bien d'autres, selon les emplacements et les floraisons. Médaillé neuf fois au salon de l’agriculture. En vente dans divers points de vente de la vallée.

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Le bureau d'accueil du Valgaudemar est à votre disposition pour toute information touristique et conseil durant votre séjour.