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Description
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Points d'intérêt
Notes et avis
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GR® 670, Le chemin Urbain V

Topo guide, le chemin d'Urbain V
Crédit : Parc national

Description

Une randonnée de 320 kilomètres sur les pas du « bienheureux » pape Urbain V, à la découverte de la vie et de l’œuvre de Guillaume Grimoard, depuis Nasbinals jusqu’en Avignon.

Seule la portion du chemin qui traverse le territoire du Parc national des Cévennes, entre Mende et Anduze, est ici présentée. 
Retrouvez l'intégralité de l'itinéraire dans le topoguide Le chemin Urbain V (réf. 670) de la Fédération française de randonnée pédestre, en vente dans les maisons du Parc, à la boutique en ligne sur www.cevennes-parcnational.fr, dans les librairies, magasins de sport et sur boutique.ffrandonnee.fr.
L’association des Amis du Bienheureux pape Urbain V peut vous accompagner et vous donner toutes les informations nécessaires pour le bon déroulement de votre séjour : www.randonnee-urbain-v.com

Informations techniques

Ce circuit a été mis à jour le : 16/11/2022
149 km
192 h
4572 m

Profil altimétrique

Point de départ

Lat : 44.5170799Lng : 3.4979891

Points d'intérêt

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Ferme de Chapieu

" Siège d'une très grande exploitation caussenarde, cette ferme est organisée autour d'une cour centrale. Le bâtiment principal , ouvert au sud, comprend deux étages d'habitation surmontant une bergerie. Deux étables, surmontées de granges voûtées de 22 m de long, forment les ailes." (A. Boemare)

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Château de Chapieu

" Ce château est le plus ancien de la baronnie du Tournel. Le site de Chapieu est un diverticule du causse de Mende, cerné de pentes fortes sur trois côtés : il suffisait de barrer le passage le reliant au plateau pour le défendre. Il est d'ailleurs probable qu'un oppidum l'ait précédé dès l'Age de fer. (....) Fut-il finalement rasé comme beaucoup d'autres sur ordre de Richelieu ? En tout cas, dès le XVIIe siècle, il n'est plus que ruines." (A. Boemare)

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Église de St-Pierre

" L'église romane de St-Pierre a été construite au XIIe siècle et agrandie au XIVe; bâtie en tuf et en calcaire de la région, elle est restée d'un dessin très pur. La nef est voûtée en plein cintre, deux chapelles ajoutées au XIVe forment le bas-côté. Elles abritent les enfeus (niche funéraire) des familles d'Auriac, de Châteauneuf et du Tournel. Le transept surmonté d'une coupole sur trompe portait, avant la Révolution, un clocher octogonal. L'abside à cinq pans et les absidioles sont couvertes de voûtes sphériques ; elles forment à l'extérieur un chevet d'une belle composition." (A. Boemare)

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La Fage

Le hameau de La Fage est riche d’une architecture ancienne et d’un patrimoine rural exceptionnel. Vous pouvez y admirer :- l’ancien moulin, en contrebas de la route ,juste avant l’entrée dans le hameau ;- le four à pain, avec sa salle de travail ;- le métier à ferrer les bœufs ;- le lavoir ;- la croix avec son bénitier et sa dalle de granite sur laquelle on posait le cercueil lors des enterrements ;- le clocher de tourmente, édifié en attendant une église qui n’a jamais été construite. Il rythmait la vie quotidienne et les jours de tourmente (tempête de neige poudreuse), les villageois sonnaient la cloche pour aider les voyageurs à trouver le chemin du village.

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Dolmen des Combes

Balise n° 3Parmi les monuments mégalithiques, les dolmens sont mieux connus que les menhirs. Ils sont liés à des pratiques funéraires à partir de -3 500 ans (fin du néolithique) jusqu’à -200 ans avant J.-C. Dans ces sépultures collectives, les morts sont déposés avec quelques objets personnels. Les pratiques funéraires offrent de précieux indices sur les croyances et l’organisation d’une société ancienne. Ces monuments sont souvent positionnés dans des endroits dominants, rappelant certainement aux vivants le souvenir des anciens. Le dolmen des Combes, à chambre simple, a été réemployé à l’âge du bronze comme en témoignent les restes d’une incinération retrouvés lors de sa fouille.

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Panorama

Balise n° 4

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Chabusse

Balise n° 5Après une brutale rupture de pente, le replat de Chabusse avec ses trois beaux menhirs et un quatrième, modeste et incomplet, porte des traces d’occupations successives. Le docteur Charles Morel qui publie en 1940 le premier inventaire des menhirs de la cham des Bondons, rapporte qu’une grande hache en granit poli a été trouvée ici. Cet élément et d’autres, découverts plus récemment (silex taillés, pointes de flèches, grattoirs …), confirment une occupation humaine contemporaine des menhirs. Sur ce même site, la fouille de deux tumuli a livré des restes d’inhumations multiples et/ou d’ensevelissements d’os, associés à des objets dont la datation va de l’âge du bronze au début de l’occupation romaine.

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Les Combettes

Balise n° 7Comme son nom l’indique, le village des Combettes est abrité dans une dépression. L’exposition présentée dans le four communal souligne l’installation tardive des premiers hommes sur le mont Lozère. Au néolithique final, 3 500 ans avant notre ère, la région des Grands Causses est fortement occupée du fait d'une expansion démographique. Les premières communautés agropastorales s’installent, créant fermes et villages et défrichant l’espace pour les cultures céréalières et l’élevage, tout en s’adonnant encore à la cueillette et à la chasse. Ces groupes humains sont à l’origine du mégalithisme. L’âge des métaux met par la suite un terme à l’édification de monuments mais conserve encore un temps l’usage des dolmens.

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Construire les paysages

Balise n° 8Les constructeurs de menhirs évoluaient-ils dans le même paysage qu’aujourd’hui ? Les connaissances archéologiques ne permettent pas encore de restituer très précisément les paysages de la fin du néolithique sur les versants du mont Lozère. Cependant, la naissance de l’agriculture et de l’élevage au néolithique amorce assurément une nouvelle relation de l’homme à la nature. Pour la première fois de leur histoire, les populations dessinent le paysage en le ponctuant de monuments, mais surtout en y développant des activités agricoles et pastorales. Quelque 5 000 ans plus tard, l’intervention de l’homme se poursuit ici autour de mesures Natura 2000, visant notamment le maintien de milieux ouverts et des activités agropastorales.

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Ruisseau du Bramont

Il existe deux Bramont ! Outre celui que vous longez, un autre Bramont coule au nord de la cham des Bondons. Lorsque vous traversez Les Combettes, vous êtes au pied de ce plateau calcaire qui culmine à une altitude d'environ 1 200 m. Mais sous ce plateau coule une autre rivière: la rivière souterraine du Bramont découverte en 1967. Elle prend une partie de l'eau du Bramont du Lot (nord) pour la rejeter dans le le Bramont du Tarn (sud) ! Les anciens l'avaient compris : en bouchant, débouchant, ou déviant les pertes du ruisseau, ils faisaient varier le débit de la résurgence.

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Le moulin de Pradine

Il est l'un des huit moulins à eau qui fonctionnaient dans le vallon d'Ispagnac. Deux étaient situés sur le Tarn, les autres sur des affluents. Ces moulins produisaient des farines de blé et de châtaigne, ainsi que de l'huile.

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L’église d’Ispagnac

L’église Saint-Pierre d’Ispagnac est un des plus beaux exemples d’architecture romane en Gévaudan. Datant du XIIe siècle, elle est dédiée à Saint-Pierre et Saint-Paul. D’une architecture très sobre sur la façade extérieure, avec un portail simple à trois voussures en plein-cintre surmonté d’une rose qui éclaire la nef, l’ensemble paraît massif. Mais une fois à l’intérieur, vous découvrirez une architecture simple et aérée. Un son et lumière vous invite à la découverte. Afin d’apprécier au mieux cette architecture, il vous faut sortir de l’édifice et le contourner pour découvrir le chevet et le décor qui le compose.

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Les vignerons d’Ispagnac

En 2003, le savoyard Sylvain Gachet réintroduit les vignes à Ispagnac et Florac, sur six hectares de terrasses. Sur des terrains argilo-calcaires ou de schiste, il tente la réimplantation du Domaine de Gabalie. En 2006, Elisabeth Boyé et Bertrand Servières s’installent comme vignerons dans les Gorges du Tarn, toujours dans le cadre du projet de relance de la vigne sur ce site. Les ronces ou « bartas » qui ont envahi presque tous les terrains sont nettoyés. Les murs en pierre sèche sont reconstruits. Des amandiers, pêchers de vigne et cinq hectares de vignes sont replantés : le Domaine des Cabridelles voit le jour. Les vignerons partagent la même cave coopérative à Ispagnac, qui sert aussi de point de vente. Un petit arrêt s’impose pour déguster les vins (la cave viticole se situe au niveau du parking de l'école publique)

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Le pont de Quézac

Il permet d'enjamber le Tarn et de rejoindre le village de Quézac situé sur la rive gauche. Vers 1350, le pape Urbain V décide de financer sa construction afin de faciliter l'accès des pèlerins à la collégiale Notre-Dame de Quézac. Sa construction s'achève au cours du XV° siècle. Son histoire est jalonnée de destructions partielles par les crues, de reconstructions plus ou moins solides. Il est classé monument historique le 27 août 1931.

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L'eau de Quézac

L'eau minérale de Quézac jaillit naturellement de la source Diva, à l'entrée du village, dans un environnement exceptionnel, naturellement protégé depuis des siècles. Cette eau au goût agréable, riche en sels minéraux et oligo-éléments, est également réputée pour son action bienfaisante sur l'estomac. La source vient en fait du mont Aigoual et met, selon des études scientifiques, de 30 à 40 ans pour rejaillir à Quézac, après s'être déposée dans les nappes et s'être chargée en gaz naturel (ce qui est rare en France).

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Le castor (Castor Fiber)

Les parties calmes et profondes du Tarn sont propices à l'installation du castor européen qui vit dans un terrier creusé dans les berges de la rivière. Il est essentiellement végétarien, la base de son alimentation étant la cellulose. Il se nourrit de jeunes pousses, d'écorce, de plantes aquatiques ou de feuillage abondant dans la ripisylve. Il est ainsi utile à la régulation du boisement des berges qui facilite le développement de la faune et de la flore du bord de la rivière. Contrairement à son cousin canadien il ne créait pas de barrage sur les cours d’eau de notre territoire.

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Château d’Arigès

Il apparaît à gauche, dans une trouée forestière. Il n’est, en 1658, qu’une métairie dont les maisons sont en ruines lorsque l’achète le seigneur d’Issenges. Il l’habitera dès 1688. Ce château sans doute plus confortable que la « maison carrée », est bâti dans un méandre du Tarn et entouré de terres riches prêtant bien aux cultures.

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La chèvrerie Gautier

Yolande et Christian gèrent une petite exploitation agricole qui proposent des fromages de chèvre fermier. C’est un produit typiquement cévenol. Le troupeau est constitué de 60 chèvres laitières de race alpine et tout le lait est transformé en fromage fermier sur place. De fin novembre jusqu’à fin avril, c’est la pause pour les chèvres, qui doivent nourrir leurs petits chevreaux !

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La chapelle Saint-Saturnin

La chapelle Saint-Saturnin, entourée de son cimetière, au cœur du bourg, renferme un magnifique décor peint couvrant l'ensemble des murs. Elle fut construite au XII° siècle. Guillaume de Grimoard (futur pape Urbain V) y fut baptisé en 1309. Elle se trouve à côté de la mairie. Un petit détour s'impose.

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Truite fario (Salmo trutta fario)

Cette truite présente dans nos cours d'eau est une espèce autochtone. Cette souche fait partie de notre patrimoine. Sa taille varie en fonction de la nature de l'eau, de la pression de pêche et de la nature du fond (caches). L'été, elle chasse en eau vive et en surface et capture des insectes. L'hiver, elle mange des larves sur le fond. La reproduction commence dès le mois de novembre et s'étale durant l'hiver. La femelle pond sur un fond de gravier qu'elle creuse avec sa nageoire caudale. Le mâle y dépose sa laitance sur les œufs. Une fois fécondés, ceux-ci sont recouverts de gravier. La réussite de la reproduction dépend des variations de débit et surtout des risques d'assèchement des frayères par hiver sec.

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Le Tarn

Le Tarn prend naissance à 1550 m d'altitude sous la crête du mont Lozère. Creusé d'abord dans le granite, il délimite le Bougès et le mont Lozère. Après Bédouès, il rencontre le Tarnon et peu à peu pénètre en terrain karstique dans lequel il s’aménage un lit de plus en plus profond. C'est à son point de confluence avec la Jonte, au Rozier, que le Tarn quitte le département de la Lozère.

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Pineraie de pin sylvestre (Pinus sylvestris)

Balise n° 5Le pin sylvestre est l’exemple type d’une essence dynamique de pleine lumière qui colonise des sols appauvris par des siècles de pâturage. Ses graines ailées et légères, portées par le vent à plusieurs centaines de mètres, lui permettent de se répandre relativement vite. Ici, une jeune pineraie gagne sur la callune (bruyère). Son feuillage clair, qui laisse passer la lumière jusqu’au sous-bois, permet la régénération d’autres espèces (chênes, hêtres ou sapins), qui domineront peu à peu les pins en les privant de lumière.

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Champlong-du-Bougès

Cette ancienne auberge, aujourd’hui maison forestière, et ses environs ont été le cadre de nombreuses assemblées. En juillet 1702, elle était habitée par la famille Jalabert, dont Jeanne l’une des filles était prophétesse.

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Les Ayres

La situation du hameau sur la draille où passaient marchands, muletiers et bergers a fait des Ayres, pendant des millénaires, un lieu de foires réputé pour ses "loues" où les journaliers - bergers, valets, batteurs de blé...- venaient chercher du travail. "Il y avait trois loues, une première le dimanche après le 29 septembre, la St-Michel, la grand'loue une semaine plus tard et la troisième la semaine d'après(....)" On se louait pour différents travaux : la cueillette des vers à soie ou des châtaignes, le battage du blé ou les vendanges, la garde et l’accompagnement des troupeaux de moutons à l’estive… Ici, pas de contrat de travail, quand employeur et employé tombaient d’accord... Le journalier laissait en gage à son employeur un effet personnel.

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La nature domptée

Sur ce sentier, on sent l’acharnement du Cévenol à dompter une nature rebelle : ici, un pont en arc qui franchit un ruisseau dont l'eau a creusé un sillon aux parois abruptes, formant des « marmites »; là, un pan entier du sentier aillé dans la roche pour passer d'un versant à l'autre; plus loin, des murets ou « bancels» construits pour tenir la terre dans laquelle on a planté le châtaigner. Même le cheminement de l’eau est aménagé pour irriguer les cultures et aussi pour se protéger du ruissellement des fortes pluies. Un environnement bien organisé : l’eau captée à la source est stockée dans des bassins puis redistribuée par un réseau de « béals ». Les jardins potagers occupent les terrasses les plus proches de l’habitation. Un peu plus loin se trouvent les près irrigués, les arbres fruitiers, les mûriers et le rucher. Enfin, la châtaigneraie enserre les terrains de culture. Sur les  terrasses, des caniveaux appelés« trincats »  permettent l’écoulement de l’eau.  En travers des ruisseaux, des seuils de pierre sèche sont aménagés pour régulariser le débit et aussi récupérer la terre charriée par le flot.

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Bourg

La rue principale est mentionnée dès le XIIIe siècle, mais l’essentiel des constructions actuelles date du XIXe siècle, période de prospérité liée à la production de la soie. Un pan de mur, encore en place sur la droite, est le témoin de l’ancien temple de Saint-Germain, construit en 1655. Il présentait une architecture de type « Velaux » c'est-à-dire avec un seul arc de pierre qui embrasse toute la largeur du bâtiment. L’interdiction du protestantisme en 1685 entraîne sa destruction. À droite, la rue de la Cantarelle était le lieu d’hébergement de fileuses de soie aux XIXe et XXe siècles. Sur la gauche, l’ancien hôtel Martin a abrité de nombreux Juifs et étrangers lors de la Seconde Guerre mondiale.

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Le pont des Camisards

Longtemps, la légende voulut que ce pont en dos d'âne ait été construit par Jean Cavalier, chef camisard, entre 1702 et 1704... Il n'en est rien. Sa construction eut lieu dix ans plus tard, entre 1714 et 1718, lorsque l'intendant de Louis XIV, Monsieur de Basville, procéda à l'aménagement routier cévenol. Le diocèse d'Alès prit une part importante à ce  chantier et les habitants de Mialet furent contraints d'y participer en y travaillant ou en payant des taxes. En 1976, il fut classé Monument historique. (Nelly Bernard)

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Informations complémentaires

Départ

Mende

Arrivée

Anduze

Ambiance

Ce chemin offre l’opportunité de découvrir des lieux chargés d’histoire, riches de patrimoines naturel et culturel remarquables, empreints de spiritualité... Depuis l’Aubrac jusqu’au Palais des papes à Avignon, en passant par les gorges du Tarn, la montagne du Bougès, les Cévennes septentrionales et les vallées du Gardon, l’itinéraire mène le visiteur à la rencontre d’un homme « d’exception » !

Recommandations

Attention, pour des raisons diverses, il peut y avoir une différence de balisage entre le marquage sur le terrain et le tracé du topoguide : merci de bien vouloir suivre le balisage sur le terrain. Adaptez votre équipement à la randonnée de plusieurs jours, mais aussi aux conditions météo du jour. N'oubliez pas que le temps change vite en montagne. Pensez à emporter de l'eau en quantité suffisante, de bonnes chaussures et un chapeau. Refermez soigneusement clôtures et portillons.

En coeur de parc

Le Parc national est un territoire naturel, ouvert à tous, mais soumis à une réglementation qu’il est utile de connaître pour préparer son séjour

Auteur de la donnée

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