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Champ de Mars - Passy - Trocadéro - Etoile - Champs Elysées

Champ de Mars - Passy - Trocadéro - Etoile - Champs Elysées

Description

Quelques incontournables de Paris

Aucune difficulté particulière.

Le temps de parcours estimé ne prend pas en compte les éventuelles visites.
Point de départ : métro Ecole Militaire, ligne 8

Informations techniques

Marche
Difficulté
Très facile
Durée
3h30mn (1j)
Dist.
11 km
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Profil altimétrique

Point de départ

75007   Paris
Lat : 48.85462Lng : 2.30623

Points d'intérêt

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Ecole militaire

Fondée en 1751 par Louis XV, à l'instigation du Maréchal de Saxe, afin de former les officiers de l'armée (la France sort victorieuse mais non sans peine de la guerre de Succession d'Autriche), l'Ecole Militaire est destinée à l'instruction de cinq cents jeunes gens nobles et nés sans fortune. Le projet est confié à l'architecte du Roi, Ange-Jacques Gabriel. Ses visées grandioses se heurtent vite à la réalité des difficultés de financement et le chantier du Champ de Mars est obligé de réduire sa voilure. En 1780, alors que l'institution forme des cadets depuis une vingtaine d'années, les travaux prennent fin. Malheureusement, l'Ecole Militaire ferme ses portes en 1787 et verra ses affectations changer de nombreuses fois au cours du temps (dépôt, caserne...). Elle ne retrouve sa destination initiale qu'à la fin du XIXe siècle pour ne plus la quitter. Le pavillon central de la façade donnant sur le Champ de Mars, surnommé le Château, de style néo-classique, est orné de dix colonnes corinthiennes surmontées d'un fronton d'un fronton sculpté de trophées et d'allégories. Sur l'entablement, quatre statues figurent, de gauche à droite, la Victoire, la France, la Paix et la Force. Le dôme quadrangulaire qui le coiffe, inspiré de ceux du Louvre, ainsi que les deux ailes basses qui l'encadrent datent du Seconf Empire. La statue équestre du maréchal Joffre, érigée devant l'Ecole Militaire en 1939, ouvre le Champ de Mars en direction de la tour Eiffel et de la colline de Chaillot.

13 Place Joffre 75007 Paris
- Dominique David -
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Trocadéro/Palais de Chaillot

En 1823, dans le cadre du mandat qui leur est confié pour rétablir la monarchie absolue en Espagne, les troupes françaises s'emparent du fort de Cadix, nomme Trocadero. Trois ans plus tard, une reconstitution a lieu sur la friche qui fait face au Champ de Mars, la colline de Chaillot, au sommet de laquelle est édifiée une réplique en carton-pâte, figurant la place forte. Le nom restera attaché au lieu. En 1878, dans le cadre de l'exposition universelle, le palais du Trocadero est édifié au sommet de la colline dans un style composite, mélange hispano-mauresque et néo-byzantin. Initialement prévu pour ne pas durer plus que le temps de l'événement, il restera sur place près de 60 ans. Son délabrement, lié à un sérieux manque d'entretien, le condamne à la disparition. Il sera détruit et remplacé lors de l'exposition universelle de 1937 par l'actuel palais de Chaillot. Ce dernier, conçu par les architectes Carlu, Boileau et Azéma, en reprend l'ossature. Les architectes font démolir la partie centrale pour y implanter une vaste esplanade, dégageant une vue époustouflante sur la tour Eiffel, le Champ de Mars et l'école militaire, et l'enserrent entre deux monumentales ailes curvilinéaires. Dans les soubassements de l'édifice, on peut visiter l'aquarium de Paris, installé dans une ancienne carrière et seul vestige de l'exposition universelle de 1878. Les deux ailes abritent : - le Théâtre National de Chaillot (l'ex-TNP fondé par Jean Vilar) - le Musée National de la Marine (fermé pour travaux jusqu'en 2023) - le Musée de l'Homme, dont les collections ethnographiques ont été définitivement transférées au musée du quai Branly et qui se propose de répondre aux questions "Qui sommes-nous ? D'où venons-nous ? Où allons-nous ?" - la Cité de l'Architecture et du Patrimoine, qui présente notamment au visiteur moulages, maquettes et reproductions grandeur nature de nombreux monuments français du Moyen-Âge au XVIIIe siècle. Pour plus d'informations : theatre-chaillot.fr www.musee-marine.fr/paris www.museedelhomme.fr/ www.citedelarchitecture.fr/fr

1 Place du Trocadéro et du 11 Novembre 75016 Paris
- Dominique David -
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Musée Guimet

Considéré comme l'une des plus riches collections d'art asiatique au monde, le Musée national des Arts asiatiques - Guimet se constitue progressivement à l'initiative d'Émile Guimet (1836-1918), industriel et érudit lyonnais, qui l'enrichit au travers des collections qu'il met sur pied durant ses voyages à travers le monde, notamment au Japon, en Chine et en Inde. Se spécialisant dans les objets d'art asiatiques, Guimet transfère ses collections dans le musée qu'il fait construire à Paris par Jules Chatron et qui est inauguré en 1889. Le bâtiment est réalisé avec les mêmes plans qu'il avait fait auparavant édifier à Lyon. A la même époque, un musée indochinois, abritant mes découvertes de l'explorateur Louis Delaporte dans la colonie française, se crée au palais du Trocadéro, la majeure partie de ses collections est ensuite transférée au musée Guimet, ce dernier se voyant rattaché en 1927 à la Direction des musées de France, regroupant d'autres collections et legs de particuliers. Les collections du musée couvrent actuellement l'essentiel de l'Asie Orientale, se concentrant principalement sur les objets archéologique ou d'arts ancien, à l'exclusion de l'art contemporain et des objets ethnologiques, ces derniers trouvant plutôt leur place au sein du Musée du quai Branly. Néanmoins, le musée, à côté de ses collections permanentes et des expositions temporaires, tend à occuper aussi en adéquation avec l'évolution muséale, une place de centre culturel dédié aux cultures d'Asie en organisant rétrospectives cinématographiques, récitals et concerts, spectacles de danse et de théâtre. Les collections permanentes se répartissent entre : • Asie du Sud-Est : Thaïlande, Birmanie, Vietnam, Indonésie, Laos, Cambodge • Inde • Chine • Asie centrale et Route de la Soie • Afghanistan et Pakistan • Himalaya : Népal, Tibet • Corée • Japon • Collection Riboud (Textiles) • Archives photographiques Pour plus d'informations : www.guimet.fr/

6 Avenue d'Iéna 75116 Paris
- Dominique David -
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Arc de Triomphe

A son retour victorieux d'Austerlitz, Napoléon, inspiré des pratiques de la Rome antique, clame à ses hommes : "Vous ne rentrerez dans vos foyers que sous des arcs de triomphe.". En 1806 est ordonnée la construction du monument, qui est confiée à Jean-François Chalgrin. Le chantier est colossal, nécessite des fondations à sa démesure et le monument peine à sortir de terre. Les premières défaites napoléoniennes vont ralentir sa progression, à laquelle la chute de l'Empereur va mettre un terme provisoire. Sous la Restauration, la construction reprend brièvement. Il faut attendre le règne de Louis-Philippe pour voir, en 1836, l'achèvement du monument et son inauguration le 29 juillet, sixième anniversaire des Trois Glorieuses. Les dimensions de cet arc tétrapyle sont gargantuesques : 49,54m de haut, 44,82m de large, 22,21m de profondeur, pour un poids de 50 000 tonnes, 100 000 tonnes en prenant en compte les fondations qui s'enfoncent à 8,37 m de profondeur), Quoique colossal, il n'en demeure pas moins harmonieux. Devant les façades principales des piédroits, le premier registre est orné de groupes en ronde-bosse sur des piédestaux. Ce bandeau est surmonté d'un premier entablement constitué d'une frise de grecques et d'une corniche saillante. Le second registre est animé de grands cadres de pierre rectangulaires, orné d’un bas-relief, et surmonté d'un entablement, comprenant une frise historiée, sous une corniche saillante. Le troisième registre dans la partition verticale de l'édifice est un important étage d'attique orné de 30 boucliers. Les groupes sculptés sont, face à l'avenue des Champs Elysées, à gauche, le Triomphe de 1810, par Cortot, à droite le Départ des volontaires de 1792 (plus connu sous le nom de La Marseillaise), par François Rude, respectivement surmontés de bas-reliefs représentant la bataille d'Aboukir et les funérailles de Marceau. En faisant le tour dans le sens des aiguilles d'une montre, on voit, face à l'avenue Kléber, la bataille de Jemappes. Côté avenue de la Grande Armée, à gauche, la Paix, par Etex, surmonté de la prise d'Alexandrie, à droite, la Résistance, par Etex, et le passage du pont d'Arcole au registre supérieur. Finalement, la bataille d'Austerlitz orne la face côté avenue de Wagram. Sous la voûte à caissons repose depuis 1921 le soldat inconnu à côté duquel brûle depuis 1923 une flamme du souvenir. Sur les boucliers de l'attique sont gravés les noms de grandes batailles de la Révolution et de l'Empire, tout comme sur les faces intérieures des piliers des grandes arcades, les faces intérieures des petites arcades étant ornées des noms de personnalités de la Révolution et de l'Empire. De la terrasse de l'Arc, on jouit d'une vue inégalable sur Paris. Pour plus d'informations : www.paris-arc-de-triomphe.fr/

- Dominique David -
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Auteur de la donnée

Image Dominique David
proposé par Dominique David

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Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾