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Points d'intérêt
Notes et avis
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Parcours VTC 19 km

Parcours VTC 19 km
Parcours VTC 19 km
Parcours VTC 19 km
Crédit : OT Libramont

Description

Partez à la découverte de la campagne libramontoise à travers un parcours de 19 km balisé (au sol jaune).
Cet itinéraire emprunte des chemins empierrés et petites routes secondaires.

Informations techniques

Ce circuit a été mis à jour le : 13/04/2023
19 km
2 h
max. 545 m
min. 455 m
160 m

Accessibilité

Styles : BaladeDécouverteÀ la campagne
Public : Cyclistes
Thématique : Balade nature

Profil altimétrique

Point de départ

5-7 Place Communale , 6800 Libramont-Chevigny
Lat : 49.91557Lng : 5.37677

Points d'intérêt

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L'allée des Tilleuls

Ce chemin permettait, et permet d'ailleurs encore, aux habitants de Flohimont de se rendre aux offices en leur église paroissiale de Saint-Pierre, dont le village dépend. Ces 101 tilleuls furent plantés à la fin du 19ème siècle, probablement après l'édification du chemin de fer en 1858. Depuis peu, ces tilleuls sont répertoriés individuellement dans la liste des arbres remarquables de Wallonie.

Allée des Tilleuls 6800 Libramont-Chevigny
- Office du tourisme libramont-chevigny -
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Eglise paroissiale Notre-Dame à Sainte-Marie

Fondée en 1035, l’église de Sainte-Marie ne conserve actuellement plus que les murs et le plein cintre du chœur de sa construction. Le reste a été transformé. Un grand écran surmonté d’un Christ marquait l’entrée du chœur. Autrefois, les cultivateurs de la région venaient mettre leur bétail sous la protection de Saint-Antoine l’ermite, patron secondaire de l’église après la Sainte-Vierge. Caractéristique dans le paysage par l'élancement de sa fine flèche d'ardoises de 1961 et l'étagement de ses volumes, ce sanctuaire est de fondation très ancienne. La mononef de deux travées de baies cintrées et harpées sont apparemment du XVIIIe siècle comme la travée de chœur plus étroite et fermée par un chevet à trois pans. La toiture est en ardoises. La sacristie date de 1903 par l'architecte Würth, de Neufchâteau, et de 1961 par le père Grégoire Watelet, de Maredsous, et l'architecte Lucin Kroll, de Bruxelles, auteurs de tous les aménagements de cette date. Bientôt, la visite virtuelle disponible.

11 Jupille 6800 Libramont-Chevigny
- Office du tourisme libramont-chevigny -
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Menhir de Renaumont - Moulin de Renaumont

Ce menhir est un vieux vestige de la période romaine. Quant au moulin, il n'existe plus aujourd'hui. Il se situait en contre-bas de Renaumont. L'abbaye de Saint-Hubert avait une propriété dans ce village avec une bergerie et une grange pour y mettre le foin nécessaire à l'entretien du troupeau pendant l'hiver. Un moulin y fut construit vers le 18ème siècle. Il y eut à Renaumont une foulerie. Dans beaucoup de foyers, en même temps que l'on tissait la toile inusable pour draps de lit, on tissait aussi de la laine pour en faire la "tiretaine". C'était dans la foulerie que l'on assouplissait cette étoffe un peu rude au sortir du métier. Ce n'était pas une usine bien compliquée : une petite maison sur la rive d'un ruisseau, quelques outils et une bonne provision "d'huile de bras" pour le foulon !

Renaumont 6800 Libramont-Chevigny
- Office du tourisme libramont-chevigny -
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Le Pré Ravel

Ce pré RAVeL relie Libramont-Chevigny à Vaux-sur-Sûre et Bastogne.

23 Derette 6800 Libramont-Chevigny
- Office du tourisme libramont-chevigny -
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Place de la gare

Jusqu’au 19e siècle, Libramont est un village vivant de l’agriculture uniquement. C’est avec la construction de la gare et l’instauration de la Ligne Bruxelles-Luxembourg que le village va développer ses activités et devenir le plus important nœud ferroviaire de la province de Luxembourg. Le 26 mai 1837 est signé l’établissement de la ligne et ses travaux commencèrent le 18 juin 1846. Le tronçon Grupont-Arlon est inauguré par le roi Léopold 1er en octobre 1856. C’est ainsi que la gare de Libramont fut inaugurée et mise en service en 1858 par « La Grande Compagnie du Luxembourg ». Cette première gare fut probablement en bois. À cette époque Libramont n’était encore qu’un petit village agricole faisant partie de la commune de Saint-Pierre. Cette gare était bien située : c’était une station intermédiaire sur la ligne de chemin de fer Namur-Luxembourg, mais aussi le point de départ de la ligne vers Athus, et autrefois vers Bastogne. Le 15 septembre 1869, la ligne 163 Libramont-Bastogne, dite ligne des crêtes, est opérationnelle après plusieurs années de négociations. Elle passait par les gares de Bernimont, Wideumont, Morhet, Sibret et Bastogne sud. Ce tronçon fut prolongé en 1885 jusque Gouvy. La ligne est interrompue en 1993, remplacée par une ligne de bus. Cet arrêt devait être temporaire, mais nous voici 27 ans plus tard et la ligne est toujours fermé. Pour l’anecdote, la ligne est toujours reprise dans les données de la SNCB mais avec la mention « fermeture provisoire ». Le 12 août 1882, la ligne 165 Libramont-Bertrix est inaugurée. Pendant la Première Guerre Mondiale, ces lignes 163 et 165 deviennent des lignes stratégiques permettant de rejoindre les frontières allemandes et de relier la ville e Verdun à l’Allemagne. La gare a donc permis à Libramont de se développer socialement mais également économiquement. Avant la création de cette gare, le village ne comptait que quelque dizaine d’habitants. L’installation des lignes et de la gare provoqua une augmentation de la population dans le village. De 250 habitants en 1850, il passa approximativement à 750 habitants en 1900, année où Libramont devint une commune indépendante de Saint-Pierre. Au niveau économique, la ville a pu compter sur l’essor de la Foire agricole, l’implantation de la poste et de plusieurs entreprises importantes dont l’Oréal. Depuis, cet essor n’a jamais cessé et continue toujours à l’heure actuelle. La gare que l’on observe aujourd’hui n’est pas celle d’origine. Initialement fabriquée en bois et en pierre de l’autre côté dans la rue de l’Ancienne gare, le bâtiment devient vite trop petit pour accueillir les voyageurs et gérer le nombre de trains passant par là. En 1886, on décide de construire un nouveau bâtiment, à côté du premier, qui sera en service jusque 1891. À cette même date, de l’autre côté du chemin de fer, on inaugure un autre bâtiment, qui se trouve être la gare actuelle.

21 Rue de la Gare 6800 Libramont-Chevigny
- Office du tourisme libramont-chevigny -
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Histoire des différents ponts du chemin de fer

Ce pont a une histoire compliquée. Le tout premier pont reliant la Grand’Rue et la rue de la Cité fut créé en même temps que le chemin de fer ; c’est-à-dire dans les années 50 (inauguration de la ligne Grupont-Arlon en 1858). Il enjambait alors 4 voies, était étroit et ne permettait le passage que d’un seul véhicule à la fois. Lors de la Première Guerre Mondiale, le 4 août 1914, le pont est détruit pour retarder l’avancée des Allemands. Ceux-ci triplent le nombre de voies (4 à 12). Durant les travaux de construction en 1916 du nouveau pont, un pont temporaire en bois a été mis en place. Cette passerelle sera utilisée jusqu’en 1924. En 1924, fin de la construction du nouveau pont qui était alors tout en métal. Celui-ci sera détruit en 1940. Ce pont ressemble à l’ancien pont de Louvain à Namur. Il est tout en métal. Le 10 mai 1940, le pont de métal est détruit. Un pont temporaire en bois est alors reconstruit. En 1943, le nouveau pont est terminé et la passerelle en bois peut être enlevée. En 2009, l’ancien pont est à nouveau détruit afin de présenter un nouveau pont, tel que vous le voyez, construit jusque 2010.

1 Rue du Serpont 6800 Libramont-Chevigny
- Office du tourisme libramont-chevigny -
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Maison Marie Howet

Devant l’Office du Tourisme de Libramont-Chevigny. Cette maison fut celle d’une artiste peintre de grande renommée, lauréate du Prix de Rome en 1922 : Marie Howet (1897-1984).Elle est née ici-même, le 24 mars 1897. Elle manifeste très tôt un gout pour l’art, d’abord pour la musique puis pour le dessin et la peinture. À 16 ans, elle annonce à son père, médecin, qu’elle souhaite consacrer sa vie à l’art. Cette annonce ne fut pas accueillie avec grand enthousiasme, mais Marie Howet réussi à le convaincre. En 1913, elle intègre l’Académie des Beaux-Arts de Bruxelles. Marie, impatiente de se mettre à la peinture, commença à peindre 12h par jour. Elle ne restera qu’une seule année à l’Académie, mais cela lui vaudra deux premiers prix dans les ateliers de ses deux professeurs. Au début de la Première Guerre Mondiale, la famille Howet décide de fuir en France d’abord à Bordeaux puis à Paris. Là-bas, elle reprendra ses études à l’Académie des Beaux-Arts. Le but de son travail n’était pas de faire des expositions mais bien de peindre car elle ne savait pas vivre sans cela. Elle y rencontre Camille Lefèvre, sculpteur. Elle restera marquée à vie par les œuvres de l’artiste. En 1917, elle se lance dans la peinture en aplats. Elle peindra des natures mortes et plusieurs portraits en aplats. Une fois la guerre terminée, Marie rentre en 1919 à Libramont. La même année, elle participe au salon de l’Automne à Paris. En 1922, Marie à 25 ans. Elle remporte le prix de Rome pour son tableau « Devant la maison ». C’est un hasard si elle gagne ce prix. Refusant au départ de s’inscrire à ce concours, elle changea d’avis en dernière minute, le jour de la clôture des inscriptions. Elle remporta 12 000 francs ainsi qu’un séjour d’un mois à Rome. Elle commença à voyager après avoir remporté le prix. Les pays méditerranéens occupent une grande place dans son art : Italie, Grèce, Macédoine et même Turquie. L’Irlande, qu’elle affectionnait particulièrement, l’inspira également. Elle réalise pas moins de 64 voyages, aux durées variées mais toujours riches en inspiration. Par la suite, elle explora toutes sortes de voies, expérimentant tel principe de construction, tel registre de couleurs, voire un matériau nouveau. Elle sculpta, réalisa des collages, des santons. Elle stylisa, à l’occasion, jusqu’à donner à ses œuvres un surprenant ton de modernité. L’artiste ne s’est pas enfermée dans un seul style. Elle est capable de passer du réalisme à l’expressionisme, de l’aquarelle au pastel, elle se diversifia dans tous les domaines. Ses thèmes de prédilection étaient les jardins et les paysages sous toutes les saisons : Ardenne, France, Grèce, Irlande, … Les fleurs l’ont beaucoup inspiré également. Elle aimait peindre des natures mortes, des scènes de vie, des portraits, des nus, … Il y a aussi ces compositions cycliques, que ce soit les cathédrales ou les cadres de vie des écrivains. Marie Howet fut une artiste brillante du Luxembourg qui avait des relations amicales avec Paul Delvaux et René Magritte ; elle est une des rares artistes femmes à avoir atteint la notoriété internationale. Elle s’est montrée égale à elle-même tout au long de sa carrière, jusqu’à sa mort le 24 mars 1984. L’ancienne maison de l’artiste a été achetée par la Commune et après quelques travaux de rénovations, c’est l’Office du Tourisme qui s’y est installé. Plusieurs projets de mise en valeur de ce bâtiment patrimonial sont en cours.

19 Grand'Rue 6800 Libramont-Chevigny
- Office du tourisme libramont-chevigny -
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Musée des Celtes au dessus de la Halle aux foires

En empruntant le cheminement des archéologues qui ont découvert les pièces exposées, c’est à partir des tombes que l’exposition débute. Les fouilles archéologiques établissent un préambule au voyage dans le passé de l’Ardenne belge et dans l’univers des Celtes en général. De nombreux aspects de la vie quotidienne des Celtes y sont abordés : l’habillement, l’habitat, l’outillage, le commerce, les pratiques funéraires, et plus encore… Le parcours est complété par un aperçu de l’héritage que les Celtes nous ont légué et des idées fausses qui circulent à leur sujet. Si vous vous y rendez, vous aurez l’occasion d’observer une centaine d’objets exposés, allant du Ve au IIe siècle avant Jésus-Christ, mais aussi des maquettes et des reconstitutions de la vie quotidienne des Celtes.

7 Place Communale 6800 Libramont-Chevigny
- Office du tourisme libramont-chevigny -
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Administration communale

La Halle aux Foires fut construite dans le but d’accueillir les visiteurs de la Foire agricole. Ce projet fut demandé par la Société Royale du Cheval de Trait Ardennais, société organisatrice de la Foire agricole. La province de Luxembourg était la seule province à ne pas posséder de bâtiment économique utile à l’organisation des salons, foires, etc. Les responsables provinciaux ont alors tout de suite approuvé le projet. De plus, les responsables communaux désiraient remettre une animation dans le quartier en construisant un bâtiment, en façade de la Halle, avec des bureaux et des surfaces commerciales. En 1975, Idélux achète le terrain sur lequel est bâti la Halle. En 1978, ce terrain est revendu à la Province. Cette dernière l’a ensuite recédé à Idélux dans le but d’y construire la Halle aux Foires. Idélux demande alors des subsides pour la construction du bâtiment de la taille d’un terrain de football. La totalité des subsides ont été accordé et le bâtiment a pu être construit entre 1983 et 1984. Son inauguration s’est déroulée en 1985. 8 années se sont écoulées entre les premières idées et l’inauguration de la Halle. Le bâtiment ne contient aucun pilier afin de ne pas entraver la circulation. Pour l’anecdote, 23 km de câbles se cachent sous la dalle en béton. Les 200 emplacements d’exposants sont reliés chacun à l’eau et à l’électricité. La halle peut aujourd’hui accueillir un grand nombre d’évènement, allant du sport à la musique en passant par les évènements politiques. L’actuelle Maison communale fait entièrement partie de la construction de la Halle. Elle fut déplacée là en 1988 puis rénovée entre 2016 et 2017 pour arriver à son aspect actuel. L’ancienne Maison communale a été construite en 1901-1902 en même temps que l’ancienne église, dans la partie en pierre de l’actuelle Chambre de Commerce. Au-devant de celle-ci se trouvait le monument aux morts qui a été déplacé au début des années 90 pour trouver son emplacement actuel.

5-7 Place Communale 6800 Libramont-Chevigny
- Office du tourisme libramont-chevigny -
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