ELECTROBIKE LOCATION : Location de vélos électriques en Normandie -
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Parcours à travers les grandes demeures normandes jusqu'aux hauteurs de HOULGATE (Durée 120min aller/retour)
Au départ du minigolf de Merville-Franceville, vous pourrez parcourir le littoral à travers Cabourg et ses imposantes maisons en colombages, traverser Houlgate jusqu'à ses hauteurs pour vous rendre sur un promontoire dominant la ville. Vous pourrez alors profiter d'un très beau panorama surplombant la côte fleurie.
Au retour, nous vous inviterons à découvrir le quartier médiéval de Dives-sur-mer et ses Halles vestiges de Guillaume le conquérant. Un passage sur port Guillaume, ou encore vous rendre sur Cap Cabourg pour profiter du bord de mer, les itinéraires bis sont nombreux.
En vélo électrique : 32km - 120min aller/retour
/ Merville-Franceville
/ Cabourg
/ Houlgate jusqu'à son promontoire
/ DIvers sur mer et sa cité médiévale
/ Port Guillaume
/ Cap Cabourg
16 km
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max. 90 m
90 m
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Styles : RandonnéeBaladeDécouverteEn villeMerForêt Publics : FamilleSportifsRandonneurs occasionnelsCyclistes Thématiques : CulturelPatrimoineBalade natureAu bord de l'eauHistorique |
Aspect asymétrique et néo-basque qui interpelle et change des villas classiques du Second Empire.
Construite en 1880 dans la typologie classique. On remarque sa tour polygonale couverte d'une toiture-terrasse à l'italienne. Un belvédère couronne la toiture de style Renaissance.
Dessinée par Mauclerc. Grande richesse des décorations.
Par l'architecte Mauclerc. Villa aux grands volumes, de style éclectique, rehaussée d'un pan de bois soulignant la toiture. Bow-windows en pierre et bois. Échauguette. Brique savamment utilisée en totale harmonie avec le silex.
Cet ensemble de 3 villas présente des pignons de styles flamands différents : La Goélette est dotée d'un pignon à gable simple, la Frégate d'un pignon à volutes et la Corvette d'un pignon à redents.
Au sein du port de Dives sur Mer Cabourg Houlgate, le bassin à flot nommé Port Guillaume est un port bien équipé. Brasseries, commerces sont situés sur le quai. Mécanicien, motoriste, chantiers... complètent l'offre à destination des plaisanciers.
Cet ancien relais de poste sur la route de Caen à Rouen par la grève date en partie de la fin du 15ème siècle. De nombreuses célébrités y ont séjourné. A la fin du 19ème siècle, avec la mode des bains de mer, une riche clientèle s'implante et l'auberge va connaître son époque de splendeur avec Monsieur Le Rémois. Grand amateur d'art, il orne les bâtiments normands de sculptures sur bois de style Médiéval ou Renaissance. Il fait l'acquisition de statues, vases et bustes des 17e et 18e siècles, qu'il installe dans la cour. Le village d'Art est ouvert aux visiteurs. Vous y trouverez l'Office de Tourisme, dans lequel sont exposés des vitraux du 14ème siècle, les Anges Musiciens.
Les Halles de Dives-sur-mer témoignent de l'activité importante d'un marché, assurément antérieur au 11ème siècle. Des datations des pièces de charpente réalisées en 2012 ont permis d'établir que leur construction a eu lieu au début du 15ème, entre 1405 et 1423. Elles sont constituées d'un vaisseau principal et de deux bas-côtés symétriquement disposés. La charpente repose sur une série de 66 piliers de chêne, comme toutes les constructions importantes de cette époque. Les Halles étaient entièrement ouvertes à l'origine jusqu'au début du 20ème siècle. Les bas côtés actuels ont été rajoutés récemment, dans le style du pan de bois typique du Pays d'Auge, qui emploie le bois pour l'ossature et le torchis (argile mêlée de paille) pour les cloisons entre les colonnes. Le toit est constitué de tuiles anciennes en argile locale. La charpente est restée dans son état d'origine. Dans les années 1950, la partie orientale des Halles a été fermée. Un pavage a été posé, rehaussant le sol d'une vingtaine de cm, et des fenêtres ont été ouvertes sur la toiture pour laisser pénétrer le jour. Un marché très réputé s’y tient le samedi matin, avec d’excellents produits du terroir.
Construite en 1895 par l'architecte Lewicki dans un style néo-normand auquel se mêlent quelques décors néo-gothiques. Le commanditaire est Madame Jeanbernat qui fit aussi construire la villa la Jacquière rue Amédée Renée,dans un style similaire.
Construite en 1886 par l'architecte Edouard Singery pour lui même. Son style éclectique très riche fait valoir les talent du propriétaire qui est à l'origine de ce quartier résidentiel.
Elle fut construite au début des années 1880 dans un style oriental. Autrefois un belvédère coiffait sa tour mais il fut soufflé par une explosion durant le déminage du jardin par le troisième bataillon du génie en 1945.
Construite en 1887 par l'architecte Edouard Singery pour E. Toisoul. dans un style néo-renaissance. On retrouve l'empreinte du premier propriétaire sur la souche de cheminée et sur les balcons.
Construite par l'architecte Baumier en 1878. Roland Garros y séjourna lorsque Emile Dubonnet en était propriétaire.
Ces villas jumelles furent édifiées en 1890. Leur composition symétrique est visible uniquement sur la façade sud. Madame Ballot loua la villa les Sirènes. Elle était l'épouse du critique littéraire et auteur de pièces de théâtre, Marcel Ballot, qui chroniquait les lundis dans le Figaro. Marcel Proust fit livrer à Madame Ballot un magnifique bouquet en 1910.
Au 13ème siècle est attestée la présence d’au moins un moulin à blé sur le cours du Drojon. En 1249 (sous St Louis) le chevalier Raoul de la Haye donne à l’abbaye de St-Etienne de Caen des droits qu’il avait sur le Drojon (actuel Drochon) situé à St-Aubin de Beuzeval. En 1698, un seigneur, dans le recensement de son domaine, mentionne le moulin banal. En 1726 Estienne Landrin achète la ferme les « Bossettes » avec ses dépendances qui deviendront Le Moulin Landry. A la révolution on comptait 3 moulins à blé : • le moulin du Manoir de Beuzeval (au niveau du golf) • le moulin Denise (au niveau du Centre Sportif de Normandie) • le moulin Landry Le moulin s’est construit autour d’une partie centrale, reste d’un ancien Moulin à Blé. En 1850 Jacques Landry, Maire de Beuzeval de 1831 à 1868 et aussi meunier, fit édifier des adjonctions dans le style néo-normand pour y habiter. Cet ensemble fut complété en 1894 par une série de dépendances et par une nouvelle extension des bâtiments d’habitation. La propriété dite du Moulin Landry a été classée en « Site protégé » au titre de l’article L 341-2 du Code de l’environnement le 22 juillet 1942.
Cette cascade, dans ce jardin, pourrait être naturelle, sauf qu’en s’en approchant on constate que les marches qui la composent sont régulières et que l’homme l’a créée. Et pour cause elle était l’élément indispensable du moulin Landry situé au bout du chemin. Ce moulin fonctionnait grâce à l’énergie hydraulique et la cascade servait à réguler son débit d’eau. Le Drochon a vu son cours remodelé en vue d’obtenir un écoulement à deux niveaux distincts : - Niveau supérieur : le cours d’eau continue son cheminement pour former le bief qui alimente l’étang du Moulin. - Niveau inférieur : régulée par des vannes, une partie du cours d’eau (variable selon les besoins du Moulin) est détournée vers le lit inférieur en contrebas et, après avoir dévalé les marches, chemine vers la mer. Même si le moulin n’est plus en fonctionnement, la cascade est toujours vivante, pour le plaisir des promeneurs et aussi des canards qui font partie du paysage.
La première église du village de Beuzeval fut construite au 12ème siècle. Son porche gothique, refait au 15ème siècle, est à l’entrée du cimetière de Houlgate. Il est inscrit au titre des monuments historiques depuis le 27 avril 1948. Lorsque la nouvelle ville de « Houlgate » fut construite en 1858, il fallut un lieu de culte plus proche. Ainsi M. Vergniolle finança la construction d’une nouvelle chapelle (rue Jean Vasnier) qui fut fréquentée jusqu’à la construction cette église. L’église Saint-Aubin réalisée en style néo-gothique par l’architecte Barthélémy, fut inaugurée en mai 1878. Le clocher fut achevé en 1888 grâce au don de la famille Armengaud. Certains vitraux des bas-côtés, sont incrustés de représentations des visages des donateurs ou de leurs enfants. Ils ont été réalisés par Lorin, maître verrier de l’atelier de Chartres.
Il fut construit en 1860 pour M. Dulong dans un style néo-gothique anglais.
A appartenu aux frères Lumière.
Construite en 1865 par Baumier pour Antoine Lasnier. Autrefois séparée, les villas La Marjolaine et Les Lierres ont été réunies par un corps de bâtiment transversal. A gauche sur la photographie.
Manoir néo-normand construit en 1890 par l'architecte Edouard Papinot, caractérisé par l'importance des toitures et leur spectaculaire complexité.
De Nombreux décors de céramiques ornent cette villas de 1892. Elle fut une maison pour enfants orphelins après la seconde guerre mondiale.
La table d’orientation est scellée sur une casemate de la Seconde Guerre Mondiale. A cet emplacement fut tournée une scène du film «Un singe en hiver» de Henri Verneuil avec Jean Gabin et Jean-Paul Belmondo. En contrebas, Les Falaises des Vaches Noires s’étendent de Houlgate à Villers et forment un site sauvage classé d’intérêt scientifique et paysager depuis 1995. Il est coutume de dire que leur appellation viendrait des rochers de craie recouverts d’algues noires, tombés à leurs pieds qui ressemblent à des bovins. Une autre version fait référence au terme « vacca » qui signifie « source », expliquée par les ressources naturelles en eau du lieu. Ce site constitue une nécropole de fossiles dont l’origine remonte à la période Jurassique de l’ère secondaire. Les falaises peuvent être longées à marée basse mais il est interdit de les creuser pour récolter des fossiles.