Le projet Chemins de Mémoire propose 10 circuits transfrontaliers de 35 à 80 km entre Gaume et Lorraine Belgique, Meuse, Ardennes et Meurthe et Moselle. Le long de ces circuits, vous découvrirez, grâce aux 135 points d’information, l’histoire particulière et peu connue de la Bataille des frontières d’août 1914.
Lors de cette Bataille, les troupes allemandes et françaises s’affrontèrent dans des combats sanglants au sud de la Belgique et en Lorraine. Des dizaines de milliers de soldats des deux camps sont tués ou mis hors de combat, tandis que des centaines de civils innocents sont fusillés par l’envahisseur qui détruisit systématiquement de nombreuses localités.
Là où, il y a 100 ans, la Grande Guerre n’avait laissé que champs de bataille et villages détruits, vous découvrirez aujourd’hui des paysages bucoliques et des villages pittoresques.
Fleuve, canal, lac ou étangs, l’eau y est omniprésente. Traversée par le fleuve Meuse, le Pays de Stenay-Val Dunois a une histoire très riche et dispose d’un patrimoine exceptionnel.
Construite en 1830 après démolition de l’ancienne sur ordre de la paroisse pour cause de vétusté avancée, cette église reprend les canons classiques très prisés du XIXe siècle. La façade a reçu un avant-corps à colonnes cannelées et chapiteaux ioniques supportant un entablement avec frise et un tympan décorés. On notera les statues de Saint-Pierre et Saint-Paul et les médaillons des quatre évangélistes au-dessus de l’entablement.
Dans la crypte, venez découvrir le portail de l'église Saint-Dagobert (9ème - 12ème siècle), la pierre mystérieuse de Stenay, la stèle du Roi perdu. Dans la salle Saint-Dagobert, vous pourrez admirer l'exposition permanente d'histoire et d'archéologie mérovingienne, histoire et légende de Saint-Dagobert II. Un centre de documentation mérovingienne est ouvert aux chercheurs et curieux. Plans de circuits de randonnées pour découvrir les environs et vous guider à la légendaire Fontaine Saint Dagobert.
Situé entre le Château Fort de Sedan et les Sites de Mémoires de Verdun, le Musée de la Bière de Stenay retrace toute l’histoire des arts et traditions brassicoles, des origines (-12 000 ans) à nos jours, avec plus de 2 500 m² d'exposition. Sa collection de 50 000 œuvres lui permet de proposer un parcours didactique et ludique stimulant aussi bien la vue que le goût, l’odorat, le toucher ou l’ouïe. La visite du Musée se termine à la Taverne, lieu de vente de produits du terroir et de dégustation avec un large choix de bières artisanales et industrielles de fermentation haute, basse et spontanée. (Source : www.muséedelabiere.com) Musée de la Bière de Stenay 17 rue du moulin 55700 STENAY +33 (0)3 29 80 68 78 Contact : musee.biere@meuse.fr Site : www.museedelabiere.com Ouverture tous les jours du 1er mars au 1er décembre 7 jours -7 (jours fériés inclus) de 10h00 à 12h30 (fermeture de la billetterie à 12h00) et de 13h30 à 18h00 (fermeture de la billetterie à 17h30) La taverne ouvre ses portes à 10h15 et les ferme à 18h.
Situé entre le Musée de la Bière et le port de Plaisance, le parc de la Forge invite à la balade et à la flânerie. Ce parc fait partie des espaces autrefois occupés par les fortifications. Comme son nom l'indique, le parc de la forge était le jardin du maître de forge dont la demeure est devenue aujourd'hui centre social et culturel. Les bâtiments de l'usine se trouvaient derrière la maison. Construit dans les années 1830, ce joli parc compte encore un bel échantillon botanique : Ginko biloba, Liriodendron tulipifera, fagus sylvatica asplenifolia et purpurea, ... une serre, un bassin, une petite statue d'enfant embrassant un cygne, et plus récemment installés, quelques agrès et un tas de sable pour les bambins.
65 variétés d'arbustes. 40 arbres, fleurs sèches. Jardin horticole privé paré de ses plus beaux atouts de juin à octobre : annuelles- bisannuelles - graminées - vivaces - potagères - cucurbitacées, insolites, exotiques, aromatiques, magiques. Recyclage à partir de plastiques, bois, fer... et création d’insectes. Chaque année, un thème différent. Animations ponctuelles (artistes), yourte. Visites libres ou guidées sur demande. Visites pédagogiques.
Il fut port de commerce avant d'être port de plaisance. Le petit port de Stenay est une halte agréable et très pratique à deux pas du centre-ville et des restaurants ! Jumelé avec l'aire d'accueil des camping-cars, vous y trouverez tous les services d'une capitainerie classique : eau, électricité, sanitaires avec douches chaudes, wc, lave-linge, wifi gratuite, hivernage, location de vélos,... - 10 pontons, - 20 anneaux, - Des services garantis tout au long de l'année.
Le bureau d'information touristique située au port de plaisance est ouvert d'avril à septembre. Wifi.
Au cœur du domaine de Charmois, dans la partie la plus ancienne des lieux, se trouve la brasserie dans le secret de laquelle est élaborée la bière de Charmoy. Cette bière de garde de fermentation haute n'est ni filtrée, ni pasteurisée et lentement refermentée en bouteilles dans le respect des plus pures traditions brassicoles. Deux bières sont produites : - la Charmoy blonde, vous surprendra par sa douceur et la richesse de ses arômes subtils - la Charmoy ambrée, vous étonnera par son excellente amertume rehaussée par un agréable fruité. Vente de produits sur place tous les samedis matin de 9h à 12h. Possibilité de visites : le Musée de la bière et de la Brasserie de Charmois sur réservation au 03 29 80 68 78. Visite pour les groupes (10/25 pers.) : 1h30 avec dégustation uniquement sur rendez-vous, tarif sur demande. Date(s) d'ouverture : Ouvert toute l'année Samedi matin de 9h à 12h. Tous les jours sur rendez-vous pour les groupes.
Les chemins de mémoire sont 10 circuits transfrontaliers, créés à l'occasion du centenaire de la Première Guerre mondiale. Ces chemins, tous carrossables en voiture, passent sur les traces de la bataille des frontières d'août 1914. Une carte et un livret traduits en plusieurs langues sont disponibles dans les maisons et offices de tourisme à Florenville et Virton côté belge ; Stenay, Doulcon, Montmédy, Damvillers, Spincourt et Longuyon côté français.
La Côte Saint-Germain surplomble le village de Lion-devant-Dun. Cette côte fut occupée très tôt par un oppidum gaulois. Les romains y installèrent ensuite le camp Adrien. Aujourd'hui cette côte est un site de décollage pour les parapentes.
Regroupe 516 corps en 2 ossuaires et 10 tombes individuelles de soldats, qui évacuant Montmédy pour rejoindre Verdun, sont morts lors de la bataille de Brandeville (28/29 Août 1914). Ont été inscrits sur la plaque de l'ossuaire, les soldats disparus qui avaient pris part à ce combat très particulier : la garnison de Montmédy en retraite qui, s'étant retrouvée derrière les lignes allemandes, pour regagner les lignes françaises, a dû attaquer les Allemands "par derrière". Parmi ces soldats : des morts au combat du Bois de Murvaux dont pour certains, les corps ont été inhumés dans d'autres nécropoles, des prisonniers dont certains sont morts en Allemagne et inhumés à Sarrebourg, un (au moins) qui est retourné chez ses parents passer le reste de la guerre caché dans la cave de la ferme, et certains qui ont ont réussi à rejoindre les lignes françaises. Sources : www.francegenweb.org
Les chemins de mémoire sont 10 circuits transfrontaliers, créés à l'occasion du centenaire de la Première Guerre mondiale. Ces chemins, tous carrossables en voiture, passent sur les traces de la bataille des frontières d'août 1914. Une carte et un livret traduits en plusieurs langues sont disponibles dans les maisons et offices de tourisme à Florenville et Virton côté belge ; Stenay, Doulcon, Montmédy, Damvillers, Spincourt et Longuyon côté français.
Avec 100 hectares de vigne en 1860, Murvaux possédait le plus important vignoble du nord meusien, aujourd’hui il n’en reste presque plus. Afin de faire revivre le passé, une maison de laboureur-vigneron du 19ème siècle s’est ouverte au public et présente notamment une exposition de matériel viticole et agraire qui se visite librement grâce à un système de fiches. Une salle de classe du début du 20ème siècle est également reconstituée. Petite boutique de produits dérivés de la vigne, animations ponctuelles. Des visites guidées pour les groupes sont également possibles tout au long de l'année, sur réservation. Entrée payante (modique) 18 rue de Oudun 55110 Murvaux Tel : 06 03 55 23 99
Frank Luke est né le 19 mai 1897 en Arizona, sa famille émigra d'Allemagne vers les États-Unis en 1874. Il est le cinquième enfant d'une fratrie de huit. Il grandit en excellant sportif, travaille dans une mine de cuivre et participe à des matchs de boxe à poing nus. Après l'entrée en guerre des États Unis en avril 1917, Luke intègre la section aviation de l'US. Après sa nomination comme second lieutenant en mars 1918, il est envoyé en France pour un entraînement complémentaire et est affecté en juillet au 27e Aero Squadron. Il restera 2e lieutenant jusqu'à sa mort, mais sera nommé lieutenant à titre posthume. Le 28 septembre 1918, Luke se lance à l'attaque de trois Drachen à 8 kilomètres derrière les lignes allemandes, à proximité de Dun-sur-Meuse, où il sera touché. Les Allemands enterrent Frank Luke le 30 septembre au cimetière de Murvaux. Son corps est récupéré deux mois plus tard par les forces américaines et amené au cimetière américain de Romagne-sous-Montfaucon. Sources : souvenirfrancaisdun.free.fr Le dernier vol de Frank Luke a lieu pendant la première phase de l'offensive Meuse-Argonne. Le 28 septembre
Les chemins de mémoire sont 10 circuits transfrontaliers, créés à l'occasion du centenaire de la Première Guerre mondiale. Ces chemins, tous carrossables en voiture, passent sur les traces de la bataille des frontières d'août 1914. Une carte et un livret traduits en plusieurs langues sont disponibles dans les maisons et offices de tourisme à Florenville et Virton côté belge ; Stenay, Doulcon, Montmédy, Damvillers, Spincourt et Longuyon côté français.
Située au sein de la fortification construite dès le Xe siècle en surplomb de la ville, cette église massive est édifiée en 1346 par les sires d'Apremont. Après des siècles de conflits, elle demeure aujourd'hui le seul monument subsistant de la ville haute. Classé monument historique, ce joyau d'architecture ogivale possède un buffet d'orgue et un riche mobilier du XVIIIe siècle, ainsi que deux magistrales sculptures d'Ipoustéguy, artiste de renommée mondiale né à Dun-sur-Meuse en 1920 : "Mort de l'Evêque Neumann" et "Christ". Possibilité de visites libres (individuels et groupes) ou guidées (groupes) toute l'année, sur réservation. Durée de la visite guidée : 45 minutes environ. L'église est ouverte du 1er juillet au 31 août, tous les jours de 14 h à 18 h, et lors des Journées européennes du patrimoine. Le circuit des remparts permet aussi de découvrir l'histoire de l'ancienne forteresse médiévale grâce aux panneaux d'interprétation mis en place par l'association Dun le Chastel. Un livret de jeux et des supports de visite ludiques gratuits sont également disponibles à l'Office de tourisme (enfants à partir de 7 ans, adultes, scolaires, centres de loisirs) pour découvrir en autonomie et en s'amusant l'ancienne forteresse et son église.
Dun, dunum castrum, fut sans doute à l'origine un oppidum qui permit d'améliorer la défense des camps romains de la Côte Saint Germain et de la Côte du Châtelet, et de défendre le passage de la Meuse. Le village fortifié sur une butte isolée a conservé de nombreuses traces de son système défensif médiéval. Seul monument à avoir résisté aux conflits à travers les siècles, la majestueuse église Notre-Dame de Bonne Garde (XIVe) domine la vallée de la Meuse. Un parcours pédestre autour des remparts, d'une durée d'environ une heure, vous permet, au travers de panneaux illustrés, de découvrir l'histoire de la forteresse. Découvrez aussi des engins médiévaux, un jardin médiéval... Chaque été, un chantier de restauration est mené sur les remparts, tandis que l'association Dun le Chastel oeuvre durant toute l'année pour l'aménagement, le fleurissement et la valorisation du site. L'accès à l'ancienne forteresse et au circuit des remparts est libre et gratuit.
La 5th Infantry Division, division fédérale, est l’une des plus actives dans la commémoration dès l’immédiat après guerre. Ses obélisques à quatre faces avec l’insigne de la division, le diamant rouge peint et une plaque informative en bronze, sont les plus nombreux. Un des mémoriaux divisionnaires prend une forme particulière, une rambarde de pont. Ce pont rappelle le franchissement de la Meuse par cette unité en novembre 1918. Les monuments de la 5th ID sont les plus nombreux en Meuse, d’où le surnom attribué par le général Pershing à l’unité, la « Meuse Division ». (sources : verdun-meuse.fr)
Le cimetière militaire allemand de Dun-sur-Meuse date de décembre 1914 et a été établi par les troupes allemandes qui ont stationné dans le village jusqu’à la fin de septembre 1918. En septembre 1914, un hôpital militaire de guerre avec de vastes installations s’établissait dans Dun. Entre le 25 septembre et le 30 novembre 1914, plus de 12000 soldats blessés, provenant des champs de bataille de la Meuse et de l’Argonne, ont transité par l’hôpital militaire. Les soldats grièvement blessés, qui succombaient à l’hôpital des suites de leurs blessures, ont été les premiers à être inhumés dans le cimetière. Avec l’offensive dirigée contre Verdun le 21 février 1916, et l’élargissement en mars 1916 de la bataille sur la gauche de la Meuse, au-dessous de la cote 304 et du Mort-Homme, le flot de blessés et, par conséquent, de morts ne cessa d’augmenter. Parmi ceux-ci, se trouve le général de division d’infanterie Von Wartenburg. Plus de la moitié des soldats qui reposent dans ce cimetière ont perdu la vie entre février et fin 1916. Une nouvelle fois, le nombre des morts augmentait en août 1917 par suite de la contre-offensive française et en octobre 1918 par les attaques franco-américaines. Les soldats qui reposent dans ce cimetière étaient originaires des garnisons de Mecklembourg, Bade, Bavière, Wurtemberg, Hesse, Saxe, Alsace, Lorraine ainsi que de presque toutes les provinces prussiennes. 1664 soldats reposent dans des tombes individuelles. 26 d’entres eux sont des « soldats inconnus ».
Aménagé dans une ancienne discothèque, à quelques mètres du Lac Vert, cet espace contemporain de 200 m² est géré par le comité cantonal du Souvenir Français de Dun-sur-Meuse. Ce site, propriété de la Communauté de Communes du Pays de Stenay et du Val Dunois, accueille régulièrement des expositions en rapport avec la première ou la deuxième guerre mondiale. On peut également y découvrir de nombreux documents (livres, archives, photos...), des objets de guerre, une fresque historique, du matériel militaire... Un espace documentaire avec ordinateur et connexion Internet est par ailleurs mis à la disposition des personnes souhaitant effectuer des recherches historiques. Une brochure sur les monuments militaires du Val Dunois, en quatre langues, est disponible sur place. Le comité cantonal du Souvenir Français propose aussi des circuits historiques pour les groupes, sur réservation. La Maison de l'histoire ouvre ses portes de mai à septembre et accueille des expositions temporaires. Visites, demandes de recherches sont possibles toute l'année sur rendez-vous.
Le Centre Culturel Ipoustéguy, lieu polyvalent dédié à l’expression culturelle sous toutes ses formes, accueille depuis 2001 la plus importante collection au monde d’œuvres (bronzes, marbres, aquarelles, fusains) de Jean Robert Ipoustéguy, sculpteur et peintre de renommée internationale né à Dun-sur-Meuse en 1920. Insatiable travailleur, il a réalisé 600 sculptures, des centaines d’aquarelles, de dessins et de peintures. Ses œuvres sont visibles à travers le monde, dans les plus grandes collections publiques et capitales artistiques : Tokyo, Washington, Paris, Berlin, Londres... Des expositions temporaires d’artistes régionaux et nationaux sont également proposées : peintures, sculptures, photographies, dessins, céramiques… Le 1er week-end du mois d’octobre, le Festival Ipoustéguy fait «dialoguer les Arts» avec la mise en place de nombreuses animations tous publics : concerts, spectacles de danse, théâtre, expositions, visites guidées, conférences...
Le Val Dunois, Station Verte, dispose : - d'un patrimoine exceptionnel (ancienne citadelle et église de Dun-Haut, église de Mont-devant-Sassey) et de sites de visite (Galerie Ipoustéguy, Maison du Miel et des Abeilles, Maison de l'Histoire) - d'activités de loisirs pour toute la famille (base de loisirs du Lac Vert Plage, parc de loisirs verts Forêt'Vasion, location et balades en bateau, pêche, randonnée) - de produits du terroir (élevage d'escargots La Coquille Sivrotine, Confrérie de la Toque Noire du Nord Meusien) - d'un environnement protégé (site Natura 2000 de la vallée de la Meuse).
Situé directement sur le fleuve Meuse, en plein coeur de la Station Verte du Val Dunois, le port de plaisance de Dun-sur-Meuse compte 12 anneaux. Equipé de tous les services utiles aux plaisanciers (eau, électricité, sanitaires, douche, lave-linge, aire de pique-nique, point info tourisme, wifi gratuit), il se trouve à deux pas des restaurants, des commerces et des sites touristiques du village. Une halte à ne pas manquer.
Lac et plage de sable, baignade surveillée d'accès gratuit pour toute la famille, jeux, toboggan d'eau, pédalos et attractions, balade pédestre autour du lac. Labellisé Station Verte. Camping et locations, chalets, petite restauration, snack-bar.
Les chemins de mémoire sont 10 circuits transfrontaliers, créés à l'occasion du centenaire de la Première Guerre mondiale. Ces chemins, tous carrossables en voiture, passent sur les traces de la bataille des frontières d'août 1914. Une carte et un livret traduits en plusieurs langues sont disponibles dans les maisons et offices de tourisme à Florenville et Virton côté belge ; Stenay, Doulcon, Montmédy, Damvillers, Spincourt et Longuyon côté français.
La fonderie de cloche Jeanne d'Arc de Mont Devant Sassey était construite en pierres et briques locale à l´écart du village pour éviter tout risque d'incendie. De plan carré, elle était surplombée d´un lanterneau à volets destinés à la ventilation pendant les coulées : les gaz toxiques pouvaient ainsi s´échapper par les ouvertures. Appartenant à la famille Farnier, elle fonctionna de 1826 à 1908.
Édifice rare de 1825 signé Théodore Oudet, architecte auteur de nombreux édifices publiques en Meuse du premier quart du XIX°siècle, dont le Déo de Mauvage. La municipalité, maison républicaine, occupée par les hommes, surplombe le lavoir où travaillent les femmes, symbole fort de la répartition des rôles et de l’hygiénisme au XIX°siècle.
Les chemins de mémoire sont 10 circuits transfrontaliers, créés à l'occasion du centenaire de la Première Guerre mondiale. Ces chemins, tous carrossables en voiture, passent sur les traces de la bataille des frontières d'août 1914. Une carte et un livret traduits en plusieurs langues sont disponibles dans les maisons et offices de tourisme à Florenville et Virton côté belge ; Stenay, Doulcon, Montmédy, Damvillers, Spincourt et Longuyon côté français.
Mont devant Sassey est un des villages des plus typique et des mieux conservé du Pays de Stenay-Val dunois. Au pied des côtes de Meuse, il possède toujours son architecture caractéristique et cohérente, témoin de sa prospérité au XIX° siècle : fonderie de cloche, mairie-lavoir, maisons de vignerons et de colporteurs… A proximité de la Meuse navigable, ses jardins, vignes et vergers bien orientés, protégés par les vents dominants et sa forêt ont contribué à sa richesse. L'église romane Notre-Dame de l'Assomption du XII° siècle, construite à l'écart du village à mi hauteur sur la côte, est une pépite architecturale dont le porche et la crypte sont à voir absolument. De là, la vue sur la vallée de la Meuse est superbe.
Édifiée dans un site naturel magnifique, sur un éperon boisé des côtes de Meuse, contreforts de l'Argonne, à deux pas des Ardennes et de la Gaume, l'église Notre-Dame de Mont-devant-Sassey (12ème) est l'un des plus beaux édifices religieux de Lorraine. Construite en pierres de taille à partir de 1127, elle recèle de trésors d'architecture romane et gothique. Son porche couvert octogonal du 13ème siècle, le plus ancien du Nord-est de la France à avoir conservé sa statuaire d'origine, présente une iconographie exceptionnelle. Possibilité de visites libres ou guidées (guide sur place) pour individuels ou groupes en dehors des périodes d'ouverture, sur réservation auprès des Amis de l'église de Mont.
Fin août 1914, dans les bois de mont Devant Sassey juste derrière l'église, eurent lieux d'effroyables affrontements entre armées françaises et allemandes. Vainqueurs, les Allemands creusèrent une fosse commune et y inhumèrent les dépouilles appartenant aux deux camps. Si les corps ont été transférés au lendemain de la guerre dans leurs cimetières respectifs, un petit monument allemand est encore visible. Haut de 2 mètres, il porte la mention de la présence de 23 soldats allemands et 22 soldats français. Une autre stèle se trouve à quelques mètres plus loin.
Les chemins de mémoire sont 10 circuits transfrontaliers, créés à l'occasion du centenaire de la Première Guerre mondiale. Ces chemins, tous carrossables en voiture, passent sur les traces de la bataille des frontières d'août 1914. Une carte et un livret traduits en plusieurs langues sont disponibles dans les maisons et offices de tourisme à Florenville et Virton côté belge ; Stenay, Doulcon, Montmédy, Damvillers, Spincourt et Longuyon côté français.
Le village de Villefranche est construit sur l'emplacement d'une ancienne place forte créée en 1545 par François Ier pour tenir en respect les troupes de Charles Quint établies au nord et à l'est de la région. La forteresse a été démantelée en 1634 mais on peut toujours observer le plan très particulier du village : les huit rues de Villefranche convergent vers la place d'armes centrale, depuis dénommée place de l’église. Sources : www.cc-paysdestenay-valdunois.fr
Les chemins de mémoire sont 10 circuits transfrontaliers, créés à l'occasion du centenaire de la Première Guerre mondiale. Ces chemins, tous carrossables en voiture, passent sur les traces de la bataille des frontières d'août 1914. Une carte et un livret traduits en plusieurs langues sont disponibles dans les maisons et offices de tourisme à Florenville et Virton côté belge ; Stenay, Doulcon, Montmédy, Damvillers, Spincourt et Longuyon côté français.
L'église Saint-Barthélemy de Halles sous les Côtes a été reconstruite en pierre locale de Halles en 1788. Elle abrite une belle collection de sculptures, dont la Vierge Noire de Montserrat. Chaque année en septembre, un pèlerinage lui est dédié. Partant de l'église, la procession se rend à la source « miraculeuse" sur le site de Montserrat à un petit km du village au pied des côtes.
Les chemins de mémoire sont 10 circuits transfrontaliers, créés à l'occasion du centenaire de la Première Guerre mondiale. Ces chemins, tous carrossables en voiture, passent sur les traces de la bataille des frontières d'août 1914. Une carte et un livret traduits en plusieurs langues sont disponibles dans les maisons et offices de tourisme à Florenville et Virton côté belge ; Stenay, Doulcon, Montmédy, Damvillers, Spincourt et Longuyon côté français.
Les chemins de mémoire sont 10 circuits transfrontaliers, créés à l'occasion du centenaire de la Première Guerre mondiale. Ces chemins, tous carrossables en voiture, passent sur les traces de la bataille des frontières d'août 1914. Une carte et un livret traduits en plusieurs langues sont disponibles dans les maisons et offices de tourisme à Florenville et Virton côté belge ; Stenay, Doulcon, Montmédy, Damvillers, Spincourt et Longuyon côté français.