La montée du coteau de Beauregard mène au plateau nord où se côtoient vergers et vignes. Plongée, ensuite, à la belle époque du chemin de fer... "La ligne du haut" ANGERS-DOUE et "la ligne du bas" CHALONNES-DOUE, alternent entre chemin creux verdoyant, puis ouverture sur les vignes en coteau, et vue ouverte dur la vallée.
Balisage jaune.
Départ : Place du Champ de Foire
11 km
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max. 94 m
min. 34 m
159 m
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Styles : RandonnéeDécouverte Publics : Randonneurs occasionnelsRandonneurs aguerris Thématique : Patrimoine |
De l’église du XIIème, il ne reste que le clocher. Après un incendie en 1793, l'église est restaurée en 1810, puis transformée en 1858. La flèche est modifiée entre 1911 et 1913 par l'architecte Dussouchay, qui ajoute également des nefs latérales. Le cœur de Jean-Aimé SOYER, général vendéen, est conservé dans l’église. Sur le cadran de l’horloge est inscrit : « Veillez et priez vous ne savez pas à quelle heure viendra le seigneur ».
L'ancienne ligne de chemin de fer Perray-Jouannet a été ouverte le 18 août 1884 et fut déclassée en 1954. D'une longueur de 26 km, elle était aussi appelée Ligne du Layon, car elle suivait ses méandres. Aujourd'hui, la partie située en Saint Aubin de Luigné et Thouarcé est aménagée en voie verte, sur 16 km.
Située au coeur du Layon, l'aire d'appellation du Bonnezeaux est délimitée à 3 coteaux de la commune de Thouarcé (Beauregard, Montagne et Fesles), exposés plein sud, et couvre 80 ha. Les vendanges se font manuellement, pas tris successives des raisins arrivés à surmaturité. Puissant et rond, l’AOC Bonnezeaux est issue du cépage chenin, et présente des arômes de fruits confits, d’épices et de caramel. On le conserve pendant de nombreuses années, 10 ans minimum.
Chapelle Saint Joseph. Grâce à quelques bénévoles, ce petit lieu de culte au cœur du village de Bonnezeaux fait retentir sa cloche tous les dimanches vers 13h00, ainsi que lors d'un décès d'un habitant du village.
Propriété privée. Moulin cavier construit au XVIème siècle, il est équipé de 2 paires de meules. Il resta en activité jusqu'en 1914, date à laquelle le meunier fut appelé sur le front mais ne revint jamais. En partie détruit en 1944, il subit une tempête en 1978 qui emporta les ailes et l'arbre. La hucherolle fut ensuite enlevée car trop dangereuse. En 1980, il est inscrit à l'Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques. Restauré en 1985, il a été inauguré en 1986
300m de sentier étroit et pentu.