Paysages typiques des Coteaux du Layon pour cette randonnée qui joue avec la rivière alternant rives ou vues panoramiques. Sans oublier un patrimoine vernaculaire riche et témoin d'activités économique florissante : fours à chaux, pont, châteaux, maison de garde barrière...
Attention : en période de crue du Layon, partir du Pont Barré.
Balisage bleu.
Départ de la Salle des Sports, suivez le panneau directionnel indiquant le chemin du GR de pays (balisé en rouge et jaune). Puis longez le sentier du GR de pays jusqu'au prochain panneau directionnel vous indiquant le circuit Pierre Bise.
12 km
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max. 96 m
min. 21 m
238 m
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Styles : RandonnéeDécouverteTerroir Publics : FamilleRandonneurs occasionnels Thématique : Patrimoine |
Construit au Moyen-Age, les parties les plus anciennes datent du XIIIème siècle. Son nom vient du fait qu'il abritait un poste de gabelle, qui en contrôlait l'accès. Le site fut aussi le lieu d'une terrible bataille, en 1793. Les Vendéens firent subir une rude défaite aux Républicains, dont les 1 200 morts furent jetés pèle-mêle dans les Fosses Cady aux abords de la forêt. Sur un socle de granit, une croix de fer forgé marquée du Sacré-coeur et de lys commémore cette bataille. Le nouveau pont qui lui est parallèle ne date que de 1838. La zone des Coteaux du Pont Barré est classée Réserve Naturelle Régionale et est gérée par la Ligue de Protection des Oiseaux (LPO).
De près de 90 km de long, c'est la seule rivière traversant de part en part le sud de l'Anjou. Elle donne son nom à l'appellation de vin renommée, le fameux Coteaux du Layon. Le Layon fut rendu navigable en 1779 grâce à 24 écluses. Il prit alors le nom de Canal de Monsieur, les péniches transportant charbon et vin jusqu’à la Loire.
Domaine viticole - propriété privée
Domaine viticole - Propriété privée
Domaine viticole - Propriété privée
Propriété privée. Avant l'automatisation des barrières de sécurité sur les passages à niveau, le travail se faisait manuellement. Ce poste de garde-barrière était souvent occupé par les femmes des agents de la SNCF, qui devaient manœuvrer les lourdes barrières de fonte à chaque annonce d'un train, et cela tout au long de la journée, 7 jours sur 7, quelque soit la météo. Pour ce faire, les garde-barrières étaient logés sur place, dans des petites maisons toutes construites sur le même plan : une pièce de vie au rez-de-chaussée, 2 chambres et un grenier à l'étage, une cave, et une remise à l'extérieur.