Propriété privée.
Avant l'automatisation des barrières de sécurité sur les passages à niveau, le travail se faisait manuellement. Ce poste de garde-barrière était souvent occupé par les femmes des agents de la SNCF, qui devaient manœuvrer les lourdes barrières de fonte à chaque annonce d'un train, et cela tout au long de la journée, 7 jours sur 7, quelque soit la météo.
Pour ce faire, les garde-barrières étaient logés sur place, dans des petites maisons toutes construites sur le même plan : une pièce de vie au rez-de-chaussée, 2 chambres et un grenier à l'étage, une cave, et une remise à l'extérieur.