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Parcours Découverte en 21 étapes de La Châtre

Parcours Découverte en 21 étapes de La Châtre
Crédit : OTLC VD

Description

L'origine de La Châtre est incertaine : oppidum gaulois, camp romain, fondation d’un monastère au VIIe siècle. Seule une origine féodale est attestée avec l’installation d’un collège de chanoines par Ebbes de Déols au milieu du XIe siècle. Autour de la collégiale, se regroupent maisons, cimetière, espace marchand, constituant un enclos canonial. À proximité aurait existé un enclos castral : sans doute une simple tour en pierre, entourée d’une basse-cour.

À la fin du XIIIe siècle, la cité s’étend en dehors des enclos comme en témoignent les maisons du XIIIe siècle rue Tourtelat et rue d’Olmor. La Châtre a pour seigneurs les Déols puis les Chauvigny qui sont peu présents, mais dotent le chapitre Saint-Germain de nombreux privilèges.

Au XIVe siècle, la ville subit l’insécurité et le marasme économique créés par la guerre de Cent ans, aggravés par l’épidémie de peste de 1348-1349. C’est pourquoi, au début du XVe siècle, elle se dote d’enceintes avec trois portes d’accès principales. Un "donjon" est édifié par les Chauvigny. Les bords de l’Indre accueillent moulins à blé et à tan, tanneries et teintureries qui vont contribuer, avec les foires et marchés, à la prospérité de la ville. La vigne s’installe sur tous les coteaux devenant la principale activité agricole.

En 1463, est signée entre Guy III de Chauvigny et les habitants de La Châtre "la Grande Charte" qui octroie certaines libertés et des exonérations de taxes.
Au cours du XVIe siècle, une bourgeoisie commerçante se développe. La ville s’embellit de nombreuses constructions encore visibles aujourd’hui. Au XVIIe siècle, avec le mouvement de la Contre-Réforme, des congrégations religieuses (visitandines, capucins) construisent des couvents à l’extérieur des enceintes.

Au XVIIIe siècle, La Châtre devient une ville royale, siège de nombreuses juridictions (prévôté, élection, bureaux des tailles et des aides, grenier à sel...). Une bourgeoisie de robe et quelques nobles souvent grands propriétaires terriens viennent habiter La Châtre. Des hôtels particuliers sont édifiés dans les quartiers centraux. À la fin du XVIIIe siècle, la destruction des enceintes permet à la ville de s’agrandir ce qui se fera vers l’ouest avec la création au XIXe siècle du quartier de la sous-préfecture et celui menant à la gare.

Le XIXe siècle est également marqué par une vie artistique et culturelle intense pour une ville de cette taille. Son théâtre reçoit des acteurs et actrices célèbres et dispose pendant un temps d’une troupe permanente ; des journaux se créent. George Sand contribue aussi à faire connaître ce petit coin du Berry en recevant chez elle à Nohant de nombreux artistes, écrivains et hommes politiques.

Informations techniques

Ce circuit a été mis à jour le : 27/05/2021
3.6 km
1 h 30 mn
max. 231 m
min. 200 m
78 m
Style : Découverte
Publics : FamilleRandonneurs occasionnelsPersonnes âgéesScolaire
Thématiques : CulturelPatrimoine

Profil altimétrique

Point de départ

36400 La Châtre
Lat : 46.58118Lng : 1.98636

Points d'intérêt

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Hôtel de Villaines

Cet hôtel particulier fut édifié par Bargat à la fin du XVIIIème siècle pour le Marquis Etienne Philippe de Villaines, chef de brigade des gardes du corps du Roi, maréchal des camps et armées en 1790. Acheté par la Municipalité en 1807, il abrita le collège de La Châtre jusqu'en 1954. Depuis, il abrite le Musée de poche George Sand et la Vallée Noire ainsi que le siège de la bibliothèque et les fonds patrimoniaux de l'intercommunalité.

136 Rue nationale 36400 La Châtre
- Office de Tourisme du Pays de George Sand -
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Statue George Sand

En 1877, la municipalité décida d'ériger une statue en hommage à George Sand (1804-1876) dans un jardin public portant le nom de l'écrivain. La statue, conçue en marbre de Carrare est l'oeuvre d'Aimé Millet. Elle fut inaugurée le 10 août 1884, lors d'une grande fête, en présence de Ferdinand de Lesseps (créateur du canal de Suez qui vivait dans la région), de Maurice Sand (fils de George Sand), de messieurs Paul Meurice (ami de Victor Hugo et de George Sand), Calmann et Lévy (éditeurs de George Sand). En 1890, deux séquoias furent plantés en son honneur. Ainsi, la ville rendait hommage à celle qui disait " j'ai décrit La Châtre, je l'ai sermonnée parce qu'au fond, je l'aime".

2 Avenue George Sand 36400 La Châtre
- Office de Tourisme du Pays de George Sand -
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Hôtel de Ville - Couvent des Carmes

L'Hôtel de Ville a pris place dans le chœur du couvent des Carmes en 1838. Le couvent quant à lui, fut édifié à la fin du XIVème siècle pour remercier les Carmes de leur dévouement lors de l'épidémie de peste qui frappa la ville en 1348. Quelques vestiges subsistent encore : la chapelle Notre-Dame de la Pitié (actuel foyer du Théâtre) ainsi que la porte en ogive qui marque l'entrée de la salle Maurice Sand.

20 Rue Spilimbergo 36400 La Châtre
- Office de Tourisme du Pays de George Sand -
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Théâtre Maurice Sand

En 1798, à l’initiative d'acteurs amateurs de la ville, les communs du couvent des Carmes furent transformés en salle de spectacle. Maurice Dupin, père de George Sand s'y produisit. Devant la dégradation du lieu, il fut décidé en 1809 que le théâtre quitterait les communs pour s'installer dans l'église du couvent, son emplacement actuel. Il connut alors ses heures de gloire entre 1830 et 1850. George Sand assista à de nombreuses représentations et certaines de ses pièces y furent jouées comme Claudie. En 1904, la Comédie Française vint y présenter "François le Champi" pour le centenaire de la naissance de l'écrivain. La salle fut une première fois modernisée vers 1935 suite au développement du cinéma. En 1994, la salle fut complètement restaurée en un magnifique théâtre à l'italienne de 200 places. Elle porte le nom du fils de George Sand, Maurice, homme de théâtre et de marionnettes.

20 Rue Spilimbergo 36400 La Châtre
- Office de Tourisme du Pays de George Sand -
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Maison du Chevalier d'Ars

Cette haute maison, ornée de fenêtres et de lucarnes en pierre moulurée fut la propriété du capitaine Louis d'Ars, maître d'armes du célèbre Chevalier Bayard qu'il adouba lui-même. Il possédait également le Château d'Ars, situé à 2km au nord de La Châtre. Elle fut achetée en 1638 par les pensionnaires du couvent des Carmes. Cette maison abrita des religieuses Ursulines en 1855, les Dames Dominicaines en 1869 puis le collège de jeunes filles.

10 Rue d'Olmor 36400 La Châtre
- Office de Tourisme du Pays de George Sand -
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Maison de Bois - Place Laisnel de la Salle

Ancienne place dite "du pavé", cette petite place porte aujourd'hui le nom de Laisnel de la Salle (1801-1871), maire-adjoint de La Châtre, auteur de "Croyances et Légendes du Centre de la France" et ami de George Sand. Cette place abrite une ancienne demeure de La Châtre : "la Maison de Bois" du XVème siècle. Elle fut construite par une riche famille de marchands et laisse apparaître de beaux colombages, une magnifique porte cloutée ancienne à accolade sculptée. La teinte rouge date de sa restauration au XIXème siècle. George Sand évoque cette "maison rouge" dans son roman André. Elle y fait habiter son héroïne, une fleuriste du nom de Geneviève. "Avant de sortir d'une petite rue tortueuse et déserte, il lui montra une vieille maison de briques, dont tous les pans étaient encadrés de bois grossièrement sculpté. Un toit en auvent s'étendait à l'entour et ombrageait les étroites fenêtres"

2 Place Laisnel de la Salle 36400 La Châtre
- Office de Tourisme du Pays de George Sand -
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Eglise Saint-Germain

L'église actuelle se situe sur l'emplacement historique du cœur de la cité fortifiée de La Châtre. La première église de la ville fut probablement construite au XIème siècle. Après l'incendie de La Châtre en 1152, un autre édifice fut érigé, doté d'une nef de 30 mètres de long. Le clocher quant à lui ne fut construit qu'au XIXème siècle. Il fut reconstruit en 1895 suite à une donation mais aucun calcul de fondations n'ayant été réalisé, il s'écroula un an plus tard, entraînant avec lui la nef. Les habitants se montrèrent généreux pour participer à la construction de l'ensemble de la nouvelle église. Celle-ci fut consacrée le 16 octobre 1904. A l'intérieur, se trouve une piéta du XVème siècle provenant du couvent des Carmes.

2 Rue Fort Lévêque 36400 La Châtre
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Le cimetière médiéval

Actuellement rue du parvis St Germain, cette ruelle était, au Moyen Âge, dans l’enclos du chapitre canonial, elle portait alors le nom de rue du lampier, rappelant la présence d’une lanterne des morts dans le cimetière, alors contigu à l’église. Dans le lanternon situé au sommet de la colonne, brulait une lumière chargée d’éloigner les démons et de protéger défunts et vivants de tous les dangers surnaturels. À la fin du XVe siècle, elle accompagne le déplacement du cimetière hors les murs de la ville, avant d’être livrée aux démolisseurs en 1784. On peut encore voir le chevet d’une chapelle, avec sa fenêtre à besants, construite en 1399, dédiée à saint Barthélémy, patron des bouchers et tanneurs.

Rue du parvis St Germain 36400 La Châtre
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N°9 rue de Bellefond

Dans cette maison vécut Henri de Latouche, journaliste, chroniqueur judiciaire, poète écrivain et fondateur du journal "Le Figaro". Homme de lettres, il contribua à faire connaître de nombreux auteurs tels que André Chénier, Honoré de Balzac et George Sand. Il mourut en 1851. Une stèle en granit de Crevant lui rend hommage dans les jardins de l'Hôtel de Ville. Plus tard, cette bâtisse fut la sous-préfecture de La Châtre en 1857 et 1872. Elle abrite aujourd'hui le presbytère.

7 Rue de Bellefond 36400 La Châtre
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Maison des Pavillons

George Sand trouva refuge dans cette maison lors de son procès en séparation de son mari le baron Casimir Dudevant en 1836. Le 25 mai 1836, elle écrivait à son amie Marie d'Agoult : "un jardin de quatre toises carrées, plein de roses et une terrasse assez spacieuse pour y faire dix pas en long, me servent de salon, de cabinet de travail... Je fais un nouveau volume à Lélia".

1 Rue Saint-Pierre 36400 La Châtre
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Donjon des Chauvigny

Ici se tenait le château construit en 1424, résidence des Chauvigny, seigneurs de La Châtre. Seul subsiste le donjon d'une hauteur de 20 mètres dont les murs de 2 mètres d'épaisseur sont percés de meurtrières. A partir de 1734, la tour servit de prison. En 1937, la prison fut supprimée et le bâtiment fut racheté par Jean Despruneaux. Il en fit un musée privé rassemblant des souvenirs des amis de George Sand et de la romancière elle-même. En 1939, il accueillit la collection ornithologique du musée municipal et devint en 1954, à l'occasion du cent cinquantenaire de la naissance de George Sand, le "Musée George Sand et de la Vallée Noire" que M.Despruneaux légua à la ville de La Châtre en 1966.

64 Rue Venose 36400 La Châtre
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Pont des Cabignats

Le pont des Cabignats a pris le nom déformé de la famille Escabignat, de riches bourgeois qui firent une donation pour l'aménagement du pont. De chaque côté, on peut voir les maisons de bois, anciennes tanneries avec leurs séchoirs avançant sur l'Indre. La proximité de l'eau permettait de tremper les peaux qui étaient, après de nombreuses étapes, mises à sécher dans les greniers. L'industrie du cuir dans la région connut un essor important. En 1811, on dénombrait 18 tanneries à La Châtre, soit la plus grande concentration de cette profession dans l'Indre. Elles ont fermé les unes après les autres à la fin du XIXème siècle tout comme les nombreux moulins implantés le long de l'Indre.

9 Rue du Maquis 36400 La Châtre
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13 Les anciens abattoirs

Inaugurés en 1858, ces abattoirs présentent une architecture néo-classique caractéristique des bâtiments civils du XIXe siècle. Construits dans la pierre jaune de Montgivray, les bâtiments s’ordonnent de manière symétrique tels les deux pavillons de l’entrée, la grande halle avec ses deux bas-côtés, les deux abreuvoirs monumentaux en forme de coquille. À l’arrière se trouve le grilloir pour les porcs avec sa toiture curieusement découpée. Dans les années 1890, 6000 à 7000 animaux étaient abattus par an. Les abattoirs cessèrent leurs activités en 1993. Depuis 2001, les bâtiments abritent la FOREPABE (Formation pour la Restauration du Patrimoine du Berry), centre qui forme aux métiers de la pierre et à la restauration du patrimoine architectural.

14 Rue du Maquis 36400 La Châtre
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Fontaine Sainte-Radegonde

La Grand'Font était autrefois consacrée à Notre-Dame. La croyance populaire y a ensuite attaché le culte de Sainte-Radegonde (521-587). Mentionnée dans les archives dès le XVème siècle cette fontaine miraculeuse jaillissait initialement du rocher avant d'être reconstruite sous le Second Empire à son emplacement actuel. On y faisait brûler des chandelles pour la bonne délivrance des femmes en couches .

2 Rue de la Fontaine 36400 La Châtre
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Ancien quartier de la teinture

La proximité de la rivière permet dès le Moyen Âge l’épanouissement d’activités économiques : les teinturiers s’installent sur l’île formée par les bras de l’Indre, les tanneurs sur la rive gauche. On compte alors de nombreux moulins, à blé, à fouler pour les draps, ou encore à tan, écorce broyée nécessaire pour le tannage des peaux. L’enchevêtrement de petites maisons d’ouvriers, de vignerons, de quelques grandes maisons de familles propriétaires des ateliers, des séchoirs aux tuiles aérées, rendent ce quartier pittoresque. Il retentissait des bruits des moulins et des tanneries mais aussi des blanchisseuses qui venaient laver le linge à la rivière. La Commune libre "du P’tit Mur", créée en 1978 par un groupe d’amis, préserve la mémoire et l’identité de ce quartier. Une treille de la liberté y est entretenue depuis sa création. C’est aussi ici qu’en 1943, les trois mouvements clandestins de résistants « Combat », « Libération » et « Franc-tireur » fusionnèrent sous le sigle M.U.R. (Mouvements Unis de Résistance).

1 Rue du Pont aux Laies 36400 La Châtre
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Pont aux Laies

Il s'agit d'un pont médiéval à deux arches inscrit à l'inventaire des Monuments Historiques. Il est situé à l'emplacement de l'ancienne voie romaine. Son étymologie reste floue et son orthographe aussi : Pontaulais, Pontaulay, Pont au legs, Pont aux Laies... Une légende prétend que des laies auraient tenté de pénétrer dans la ville par ce pont lors d'une année de sécheresse.

33 Rue du Pont aux Laies 36400 La Châtre
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Place de L'Abbaye

Cette jolie place ne doit son nom qu'à un terrain qui, autrefois, appartenait à l'Abbaye de Prébenoist en Marche. Elle offre à ses promeneurs un joli panorama sur la vallée de l'Indre et le coteau de la Rochaille. George Sand aimait venir se promener à cet endroit encore sauvage pour herboriser en compagnie de son ami botaniste Jules Néraud (dit Malgache, suite à un voyage à Madagascar)

8 Place de l'Abbaye 36400 La Châtre
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Maison de la famille Ajasson de Grandsagne

Cette demeure est habitée au début du XIXe siècle par François Ajasson de Gransagne, maire de La Châtre sous le Consulat. Un de ses fils, Stéphane (1802-1845), initie, dans sa jeunesse, la future George Sand aux sciences naturelles. Il entre au Museum d’histoire naturelle de Paris et est l’élève puis le collaborateur de l’anatomiste Georges Cuvier. On lui doit des ouvrages de vulgarisation scientifique et surtout la direction de l’édition d’une encyclopédie à bon marché la Bibliothèque populaire ou l'Instruction mise à la portée de toutes les classes et de toutes les intelligences

17 Rue de l'Abbaye 36400 La Châtre
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Place Notre-Dame

Autrefois se trouvait sur cette place une porte fortifiée par laquelle passaient de nombreux pèlerins allant à Saint-Jacques de Compostelle. Seule la statue qui l'ornait est restée et fut placée sur la façade de l'auberge qui en a pris le nom. Cette statue, la colonne qui la porte et l'auvent qui la surmonte sont aujourd'hui classés Monuments Historiques.

4 Place Notre Dame 36400 La Châtre
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Place du Docteur Vergne

Cette place porte le nom du Docteur Etienne-William Vergne (1811-1882), réputé pour ses opérations de la cataracte. Il habitait au numéro 5. Au fond de la place, le restaurant l’Escargot a pris la suite d’une ancienne auberge, la Tête Noire, qui fut relais de poste au XVIIIe siècle et où séjourna Sophie Victoire Delaborde avant la naissance de sa fille, la future George Sand. Au numéro 2 de la place, la grande demeure conserve un puits de pierre de style gothique. Jeune fille, Aurore Dupin, future George Sand, venait souvent dans cette maison rendre visite au Docteur Decerfz avec sa grand-mère. Plus tard, dans une nouvelle titrée Pauline, elle décrivit en détail l'intérieur de la demeure.

5 Place du Docteur Vergne 36400 La Châtre
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Palais de Justice - Place de la République

Au XIVème siècle, après l'épidémie de peste, cette place servit aux inhumations.Par la suite, elle devint le champ de foire jusqu'en 1850, date à laquelle fut édifié le Palais de Justice. L'ancien Hôtel-Dieu de la Trinité se trouvait entre les numéros 4 et 12 de la rue Duguet. En 1921, la Municipalité décida d'élever un monument pour garder le souvenir des nombreux morts de la Guerre 1914-1918. La réalisation fut confiée au sculpteur berrichon Ernest Nivet, élève de Rodin. Inauguré le 18 novembre 1923, le monument représente la Berrichonne éplorée qui se tient près d'une lanterne des morts ; elle symbolise la douleur des veuves et des mères des soldats.

1 Place de la République 36400 La Châtre
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Place du Marché

Cette grande place devint la place principale de la ville à partir du XVème siècle. Quelques demeures anciennes témoignent de cet âge d'or qui vit s'amorcer le développement industriel et commercial de La Châtre. Rue du Marché, la maison à colombages, qui date du XVème siècle fut au XIXème siècle la demeure de Sylvain Chicot chez lequel George Sand s'approvisionnait en chandelles, cire et tabac. La maison dite "pointue", qui date également du XVème siècle, donne son caractère médiéval à la petite rue qui la borde. Jules Sandeau (écrivain et amant de George Sand), habita en bordure de cette place entre 1818 et 1832. Il lui inspira son pseudonyme, directement tiré du nom de Sandeau.

1 Place du Marché 36400 La Châtre
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